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Le 28/06/2017 à 19:02, Kiriyama a dit :

L'armée est menacée d'une pénurie de soldats

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L'armée est-elle en danger? Oui, à en croire son chef, Philippe Rebord. Il manquera bientôt 10 000 soldats, de quoi menacer l'équilibre du système. Le chef désire remotiver les jeunes et inciter les femmes à s'engager davantage.

Les effectifs de l'armée suisse sont en danger: selon son chef Philippe Rebord, il manquera bientôt 10'000 hommes. "Le système risque d'imploser, alors que les menaces existent", prévient-il dans un entretien à plusieurs médias. Il veut donc motiver les jeunes.

 

La Suisse devraient embaucher des mercenaires suisses...il parait qu'ils sont excellents !!:chirolp_iei:

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  • 1 month later...
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Berne sonne la charge contre le service civil

Face à des effectifs militaires qui ne cessent de diminuer, le Conseil fédéral veut faire baisser le nombre de civilistes.

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L’histoire à succès du service civil connaîtra-t-elle un coup d’arrêt brutal? Le Conseil fédéral a décidé ce mercredi d’intervenir pour réduire «substantiellement» le nombre d’admissions. Ce qui gêne le gouvernement n’est pas tant son attrait que ses effets collatéraux. Tous ces jeunes manquent à l’appel pour servir sous les drapeaux. «Le service civil est l’un des facteurs qui influent sur les effectifs de l’armée, note le Conseil fédéral. Il est nécessaire de prendre des mesures.»

Le gouvernement n’annonce pas d’objectifs chiffrés de réduction – pas plus que l’Organe d’exécution du service civil, qui reste lui aussi muet – mais rappelle que les admissions augmentent chaque année. Si le nombre de civilistes a pris l’ascenseur, c’est surtout depuis la suppression de l’examen de conscience en 2009. Cette situation inquiète les défenseurs de l’armée. Le Conseil national a ainsi adopté en juin une motion pour réduire l’attrait du service civil, en allongeant sa durée. Selon ce texte, qui doit encore passer devant les États, les astreints ayant commencé une école de recrues et qui souhaitent passer au service civil ne pourraient déduire que la moitié des jours effectués au sein de l’armée.

Pour stabiliser la courbe – voire la faire redescendre –, le Conseil fédéral veut lui aussi agir sur les personnes qui bifurquent en cours de chemin. L’an dernier, 40% des nouveaux admis au service civil étaient des soldats qui avaient déjà effectué des obligations militaires. En fixant un nombre minimum de 150 jours de service civil à effectuer, il veut ainsi «décourager» ceux qui ont servi au sein de l’armée à la quitter. Autre mesure contraignante: l’instauration d’un délai d’attente de douze mois pour les militaires déposant une demande après l’école de recrues.

Le coup de frein du gouvernement n’est pas une surprise. La barricade du service civil tremble depuis des mois sous les coups de boutoir de la droite. «C’est le moment!» s’exclame d’ailleurs le conseiller national Yannick Buttet (PDC/VS). Aujourd’hui déjà, il est rare que les effectifs soient «complets et suffisants», note le haut gradé. «Quand des manifestations sportives nous demandent un appui, cela devient toujours plus compliqué de le fournir.» Et même si l’armée va passer à 100 000 hommes, il faudra une réserve de 140 000 soldats pour assurer cet effectif. Bref, le risque de manquer de personnel est «réel».

Le Valaisan salue notamment les propositions pour éviter que des soldats ne changent leur fusil d’épaule après l’école de recrues. «Dans un tel cas, ils ne peuvent pas dire que c’est une question de conscience. Certaines recrues passent leur permis poids lourds puis demandent à passer au service civil!» Le problème ne vient-il pas de l’armée, qui n’arrive plus à intéresser? «Des mesures ont été prises, notamment pour faire reconnaître dans le civil les formations militaires. Mais se trouver au milieu de la nuit en février à faire la garde aux Grisons en marge du WEF ne sera jamais sexy. On ne peut pas juste consommer et regarder son intérêt personnel.»

«Le service civil doit rester une solution pour les cas de conscience», renchérit Raymond Clottu (UDC/NE). Il ajoute que la troupe est «vitale pour assurer la sécurité du pays et des infrastructures. Le jour où l’armée devra par exemple venir en appui des cantons parce qu’il y aura eu une série d’attentats, il faudra des gens bien formés et des effectifs.»

Pour Lisa Mazzone (Les Verts/GE), cette annonce est au contraire «déplorable» et porte atteinte au service civil. «Celui-ci est une fois et demie plus long que l’armée, ce qui est déjà une pénalité alors que l’objection de conscience est un droit.» Également coprésidente de la Fédération suisse du service civil (Civica), elle ajoute: «Les possibilités d’affectation ne cessent d’augmenter, ce qui prouve le rôle que les civilistes jouent dans notre société, notamment pour apporter des soins aux aînés ou pour soutenir des paysans.»

«On pénalise des gens qui se mettent au service de la population en réalisant des choses concrètes», ajoute Pierre-Alain Fridez (PS/JU). Les difficultés de l’armée? «De mon point de vue, 70 000 hommes suffiraient, avec des objectifs liés aux risques actuels et en donnant plus de moyens aux gardes-frontière et aux policiers.» À gauche, on estime que c’est à la grande muette de se remettre en question. «Visiblement, elle ne réussit pas à convaincre de son utilité», note Lisa Mazzone. Pour elle, le tour de vis annoncé risque surtout d’augmenter le nombre de réformés. Et de conclure: «L’armée devrait s’interroger sur son fonctionnement plutôt que d’attaquer le service civil.» (24 heures)

24Heures.ch (16.11.2017)

 

Modifié par Kiriyama
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  • 2 months later...

L'armée veut mobiliser ses soldats par SMS

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Les militaires doivent pouvoir être mobilisables d'un jour à l'autre, même s'ils sont en vacances, estime l'armée. Quelque 20'000 personnes sont concernées.

L'armée suisse veut pouvoir mobiliser ses troupes par SMS. Elle doit pouvoir compter sur l'engagement de 20'000 soldats en cas d'invasion de notre pays ou de catastrophe naturelle, ceci sur la base d'un simple message sur les téléphones portables, même si les militaires sont en vacances. Car depuis le début de l'année, le principe de mobilisation est de nouveau en vigueur en Suisse, a révélé dimanche le Blick.

En effet, de nouvelles troupes hautement préparées doivent pouvoir soutenir les autorités civiles en cas de crise majeure, explique le journal. Comme des attaques terroristes, des inondations, des pénuries d'électricité ou des séismes. Mais il faut vraiment que l'événement soit d'importance nationale, selon la porte-parole de l'armée Delphine Allemand. Ainsi des éboulements comme ceux de Gondo et Bondo ne rempliraient pas les critères.

«E-Alarm» va plus loin Ces troupes doivent être mobilisables dans les 24 à 96 heures qui suivent l'événement, explique le Blick. Mais le nouveau système, baptisé «E-Alarm», va plus loin: selon ses plans, quelque 35'000 militaires doivent aussi pouvoir être engagés dans les 10 jours qui suivent. En particulier les troupes d'infanterie, du génie civil, du sauvetage et de la police militaire. Celles actives dans la logistique, le sanitaire et l'aviation doivent également pouvoir collaborer en cas de besoin.

Le système devrait être introduit en 2022. Vu l'impact potentiel sur le travail civil des soldats concernés, les employeurs ont été informés par l'armée. Mais la pilule passe plutôt bien. Ainsi, pour Valentin Vogt, président de l'Union patronale suisse, ce système de mobilisation est jugé «raisonnable».

Tribune de Genève

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  • 2 weeks later...

L'armée peut enregistrer la marque «Swiss Military»

Le Tribunal administratif fédéral a donné raison à l'Armée suisse à la lumière de la loi sur la protection des armoiries.

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L'Armée suisse peut enregistrer la marque «Swiss Military». Elle a gagné son recours devant le Tribunal administratif fédéral contre un fabricant de montres qui utilise ce nom depuis plus de 20 ans.

En 2013, l'Office fédéral de l'armement (ArmaSuisse) a demandé à l'Institut de la propriété intellectuelle (IPI) d'enregister la marque «Swiss Military» pour des «montres et instruments de mesure du temps d'origine suisse». La société Montres Charmex SA a fait opposition.

Cette société basée à Liestal (BL) a fait valoir qu'elle avait fait inscrire en 1995 la même marque pour des produits semblables au Registre suisse des marques. L'IPI a donc rejeté la demande d'ArmaSuisse. Il a argumenté que la loi sur la protection des armoiries, qui stipule qu'une désignation officielle ne peut être utilisée que par le service ou l'autorité qu'elle désigne, ne pouvait être appliquée telle quelle.

L'IPI a constaté que les oppositions à l'enregistrement relevaient de la loi sur la protection des marques. Or celle-ci ne permet pas l'application de la loi sur la protection des armoiries en cas de conflits entre deux signes identiques enregistrés pour la même catégorie de produits.

Saisi par armasuisse, le Tribunal administratif fédéral (TAF) n'a pas suivi l'IPI sur ce point. Il a estimé au contraire que la loi sur la protection des armoiries devait aussi s'appliquer en cas de conflit entre des marques. Puisque seul armasuisse est habilité à utiliser la désignation officielle «Swiss Military», celle-ci doit être inscrite au Registre suisse des marques.

Le TAF ne s'est pas prononcé sur la question de savoir si Charmex SA restait titulaire de la marque «Swiss Military». Cet aspect n'était pas l'objet de la procédure. Dans son argumentaire, la société bâloise a rappelé qu'elle vend des montres sous cette appellation depuis 1996 et qu'elle a consenti d'importants investissements pour imposer sa marque sur le marché.

L'arrêt du TAF est définitif et n'est pas susceptible de recours au Tribunal fédéral. 

La Tribune de Genève

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  • 1 month later...

Le National veut sauver les chevaux de l'armée

Le Département fédéral de la défense (DDPS) possède 65 chevaux de selle. Le Conseil fédéral aimerait diminuer ce nombre.

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L'armée doit continuer de disposer d'un effectif minimum de 55 chevaux. Par 149 voix contre 21 et 11 abstentions, le National a adopté jeudi, en la modifiant, une motion du Conseil des Etats. Le Conseil fédéral aimerait réduire le nombre de 65 à 38 bêtes.

Le Département fédéral de la défense (DDPS) possède 65 chevaux de selle engagés pour les cours et écoles des formations ainsi que pour le protocole militaire. Mais l'armée doit dégager de l'argent pour investir dans l'immobilier et l'armement. Le Contrôle fédéral des finances a exigé une réduction des effectifs de chevaux de selle.

Le conseiller aux Etats Jean-René Fournier (PDC/VS) réclame dans une motion de maintenir l'effectif à 65 chevaux, ainsi que les activités hors service sportives et culturelles. Selon lui, une diminution pourrait compromettre les diverses missions qui incombent à cette unité équestre.

Le National soutient l'objectif de la motion et les activités équestres de l'armée. Il a décidé d'opter pour un compromis et propose de fixer le plancher à 55 chevaux. «Il faut compter avec les chevaux malades et ceux en formation», a dit pour la commission Géraldine Marchand-Balet (PDC/VS).

Cet effectif permettra de remplir les missions de l'armée. Il assure également le contingent minimal pour les missions protocolaires. Les chevaux pourront aussi être utilisés pour des concours, des cours d'équitation pour officiers ou des activités culturelles comme la fanfare des écuyers ou les corps des dragons bernois.

Pour Christian Wasserfallen (PLR/BE) et une minorité des députés, 38 chevaux sont suffisants à remplir les missions de l'armée. Les autres activités culturelles et sportives devraient être encouragées d?une autre manière que par le budget du Département de la Défense.

Le Conseil fédéral se rallie à la proposition du Conseil national, «sans plaisir», a dit le ministre de la défense Guy Parmelin.

Les troupes du train ne sont aucunement remises en question, a encore précisé M. Parmelin. En plus des chevaux de selle, l'armée possède 150 franches-montagnes, un effectif qui ne sera pas réduit. La promotion de la race est donc garantie. Le dossier repart aux Etats.

LeMatin.ch

Modifié par Kiriyama
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  • 3 weeks later...

Vestiges de l’armée, une collection de matériel sans «concept»

Il n’y a pas de musée de l’armée en Suisse, mais des milliers de pièces disséminées sur plusieurs sites. Le Contrôle fédéral des finances estime qu’il y en a trop et veut savoir combien ça coûte exactement.

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Ce sont deux visions du monde qui s’opposent. D’un côté, les nostalgiques de l’armée accumulent des vestiges militaires, les gardent jalousement, les restaurent et les bichonnent en différents endroits du pays. De l’autre, le Contrôle fédéral des finances (CDF) réclame des comptes, un inventaire et des pièces justificatives démontrant la nécessité de conserver tous ces témoins du passé. «La réglementation renforce la tendance à trop collectionner», relève-t-il dans un triple rapport d’audit publié ce jeudi. Sourcilleux, le CDF s’étonne de n’avoir qu’une estimation globale de la collection de matériel historique de l’armée. Celle-ci est d’environ 7,4 millions de francs à la charge de la Confédération. «Mais on ne sait pas exactement combien la collection coûte par année», s’étonne-t-il. Or, s’il y a bien quelque chose que le CDF déteste, ce sont les approximations.

L’audit porte sur l’Office central du matériel historique de l’armée suisse (OCMHA), plateforme rattachée depuis 2009 à l’état-major général. Cet office central compte cinq unités de personnel, mais la collection de matériel militaire est disséminée entre quatre sites gérés par trois fondations avec lesquelles l’OCMHA a signé des conventions de prestations. Il s’agit de la Fondation du matériel historique de l’armée suisse (HAM, acronyme tiré de son appellation allemande), qui détient dans ses dépôts de Thoune et Berthoud une série impressionnante de chars, véhicules, armes, matériel de corps, chaussures cloutées, couvre-chefs et uniformes, dont celui du général Guisan. A Uster (ZH), la Fondation du matériel historique d’aide au commandement de l’armée (HAMFU) retrace l’histoire des transmissions et télécommunications. Enfin, à Dübendorf, la Fondation du Musée et du matériel historique de l’armée de l’air suisse (MHMLW) expose les avions et les objets qui y sont liés.

Le général Guisan rêvait d’un musée

Le matériel militaire mis hors service est récolté depuis le XIXe siècle. Durant la Deuxième Guerre mondiale, le général Guisan avait évoqué l’idée de tout centraliser dans un musée de l’armée suisse. Mais celui-ci n’a jamais vu le jour. Le Conseil fédéral et le parlement ont formellement renoncé à en créer un et les objets conservés sont ainsi répartis entre plusieurs musées, institutions et fondations. Pour savoir ce que cela coûte à la Confédération, le CDF a mené une première expertise en 2010. Il a émis des recommandations puis effectué un audit de suivi en 2013. Il s’est replongé dans ce dossier en 2017 et n’a guère constaté d’améliorations, au contraire. «Les recommandations formulées en 2010 n’ont pas été appliquées ou alors de manière inappropriée. Elles restent en suspens», déplore le CDF, qui ajoute que l’entretien mené avec les responsables de l’état-major de l’armée le 4 décembre 2017 n’a pas permis de trouver un accord. Deux mondes s’opposent.

Dans son troisième rapport, le CDF considère que les conventions de prestations et les documents de base manquent de transparence et ne positionnent pas assez fortement l’OCMHA face aux fondations. Il lui reproche de ne pas être en mesure de «chiffrer les coûts de personnel, les loyers, les coûts d’exploitation, de transport et de carburants». Il déplore une absence de «concept de collection» et estime que trop d’objets sont conservés. Il prend l’exemple du musée en plein air de Thoune: sur les 38 chars d’assaut qui y sont entreposés, 28 «n’ont pas leur place dans la collection» si l’on se réfère aux directives, 10 d’entre eux étant des doublons et 18 autres provenant d’armées étrangères.

Une rubrique spécifique

Que répond l’OCMHA à ces critiques? Dans sa prise de position, il affirme s’être toujours efforcé de mettre en œuvre les recommandations précédentes, conteste certains reproches et assure avoir entrepris une adaptation des conventions de prestations. La collection est-elle pléthorique? L’OCMHA souligne que, en principe, deux exemplaires de chaque témoin du passé, en particulier le matériel de corps, sont archivés et que des exceptions sont possibles. Il souligne que plusieurs variantes de conservation ont été examinées pour le musée en plein air de Thoune, le choix final revenant au chef de l’armée. L’office reproche au CDF d’avoir fait son dernier audit sur la base de documents et l’invite à venir voir ce qui se fait sur place, par exemple l’année prochaine.

Le CDF n’est toutefois pas le seul à s’être préoccupé du concept muséal des reliques militaires. En 2011, la Délégation des finances des Chambres fédérales avait fait une visite d’information auprès de l’OCMHA. Elle avait plaidé pour l’établissement d’une «rubrique budgétaire spécifique» et le Département de la défense avait promis de l’introduire rapidement. Sept ans plus tard, le CDF constate que ce crédit spécifique n’existe toujours pas.

LeTemps.ch

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  • 4 weeks later...

Noémie Roten, la justice militaire au féminin.

Après dix ans de service, la jeune femme va officier en tant que juge suppléante dans l’armée. Elle fait partie des quatorze femmes qui ont été récemment nommées par le Conseil fédéral.

A lire ici

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  • 2 weeks later...
Il y a 1 heure, LBP a dit :

c'est quoi cette image à 2"40 ?

 

Des A-7 E Corsair tout neufs je pense que ce sont des appareils livrés à la Grèce par les USA (escalant en Helvétie) pour deux raisons

-même schéma de camouflage

-des pilotes dotés de splendides moustaches noires

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Il y a 2 heures, pascal a dit :

Des A-7 E Corsair tout neufs je pense que ce sont des appareils livrés à la Grèce par les USA (escalant en Helvétie) pour deux raisons

-même schéma de camouflage

-des pilotes dotés de splendides moustaches noires

Il y a encore la cocarde US pour celui de devant.

1) c'est des tests pour voir si les A-7 pouvaient être utilisés par les suisses ?
2) Il y a les mêmes attaches/crochets que les F5 ? pour les déplacer dans le tunnel ?

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C'est toujours impressionnant ces bases souterraines.

Par contre le moindre accident impliquant du carburant ou des munitions doit être catastrophique.

Sinon je crois que le F-5A avait été opposé au A7 Corsair en Suisse lors d'une évaluation.

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Modifié par Kiriyama
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Il y a 16 heures, LBP a dit :

c'est quoi cette image à 2"40 ?

 

A quoi bon dissimuler les façades si c'est pour laisser un immense parvis en béton gris devant ?

C'est super impressionnant le stockage des avions au plafond.

Je suis par contre étonné qu'à part le F18 il n'est jamais investi dans des avions embarqués à voilure pliable plus facile à stocker dans un petit espace. 

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Il y a 2 heures, Kiriyama a dit :

C'est toujours impressionnant ces bases souterraines.

Par contre le moindre accident impliquant du carburant ou des munitions doit être catastrophique. ça dépend du système incendie ?

Sinon je crois que le F-5A avait été opposé au A7 Corsair en Suisse lors d'une évaluation. C'est pas le même type d'avion ?

00014900.jpg

 

Modifié par LBP
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Un commentaire sur la vidéo explique la présence des A7 en Suisse.

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When there was the uprising in Hungary, the Swiss Goverment decidet that the Swiss Air Force need 40 aircraft more who are able to do Air to ground attack. First was only the compairing of the Performance data of several types, like P-16, A-4 , Harrier, and so one. After this finaly two candidats where in the run, the Dassault Milan (A ground Attack Version of the MirageIIIC and the A-7. so two A-7 and Milans weher brought to switzerland and tested by Swiss Air Force Pilots. The A-7 was clearly superior an the winner. The Swiss Air Force liked to buy 40 of them and startet to build Infrastructur on Meiringen AFB for the A-7.. but the goverment and the Aviation Industrie weher for the Milan because the Milan would be cheaper(because it had much simelarety with the MirageIIIS &MirageIIIRS who where in use in the Swiss Air Force that time, and the Industrie had contracts with Dassault. So the A-7 was testet in the cavern, but in the end the disput escalate and no A-7 and no Milan was bought... a few years later the Swiss Air Force had to buy instead secondhand Hawker Hunter who never match the performance f the A-7.

 

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Dans le village fictif de Nalé, dans le Jura, l'armée s'exerce à combattre, de façon très réaliste.

Visite en vidéo du village d’entraînement de l’armée suisse Nalé, à Bure, dans le Jura.

Nalé, le village fictif de l’armée suisse situé sur la commune de Bure, dans le canton du Jura, est l’un des terrains d’exercices militaires les plus modernes au monde. Ici, l’infanterie et les troupes blindées exercent des missions de combat réalistes. À cette fin, l’entreprise de défense RUAG a développé un système de simulation sophistiqué.

Environ 600 soldats peuvent s'entraîner en même temps.

Vidéo ici.

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