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Armée Suisse


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Etant donné qu'il faudrait de toute façon des chasseurs pour les protéger, je ne suis pas sûr qu'on serait vraiment gagnant (car les chasseurs peuvent toujours faire de l'air-air en temps de paix (pour faire tourner le parc et diminuer leur usure par exemple), et ont donc une utilité, alors que les hélicos de combat (hormis des EC-635 armés) ne serviraient quasiment à rien 99% du temps).

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Pour l'air sol ne ferait-on pas mieux de prendre des hélidrones armés de minimissilles, exemple le Fire Scout américain : en vol tactique (très basse altitude) il a une bonne survivabilité (cf les Gazelles syriennes qui dans un ciel contrôlé par les israéliens on pu attaquer et détruire nombres de chas) il est meilleur marché que n'importe quel avion (je crois environ 10 mio) il est sacrifiable et peut se poser n'importe ou près des lignes de front pour recharger. Intégré dans un système à la Brossolet il serait redoutable

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A choisir, le préfère de loin 6 Caracal, équipés pour les missions de sauvetage tout temps et pour les opérations spéciales, avec la possibilité de monter un SH20 et/ou des MAG58 en sabord et éventuellement la possibilité de monter des pods canons/roquettes (surtout s'ils peuvent aussi être montés sur les EC-635 déjà acquis) car ce qu'il manque aux forces aériennes:

1) Des hélicos équipés pour les missions en milieu difficile et par mauvais temps. Car les 3 kit FLIR actuels à monter sur les Super Puma sont à peine suffisant (je sais pas si c'est toujours le cas, mais pendant longtemps il y en avait un qui était utilisé dans les Balkans, ce qui ne faisait plus que 2 kits pour la Suisse, dont un quasi-uniquement réservé au piquet SAR (vu qu'il s'agit il me semble des 3 seuls FLIR disponibles en Suisse...) et l'autre souvent utilisé pour des missions de police (le kit dispose d'une liaison sol permettant au commandement au sol de voir les images prises par le FLIR en temps réel))

2) Des hélicos équipés pour les opérations spéciales. Car actuellement, le DRA 10 et le groupe d'intervention de la PM doivent se contenter de Cougar désarmés...

3) Des hélicos capables de répliquer à des tirs en provenance du sol. Car aucun appareil des forces aériennes n'est équipé de mitrailleuse en sabord...

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  • 4 weeks later...

L'interdiction des armes à sous-munitions vacille en Suisse

ARMEMENT | L'interdiction des armes à sous-munitions en Suisse a du plomb dans l'aile. La commission ad hoc du Conseil national demande en effet au plénum de ne pas entrer en matière. La droite craint pour l'armée.

[...]

http://www.tdg.ch/actu/suisse/interdiction-armes-munitions-vacille-suisse-2011-10-18

Y a pas à dire, on fait jamais comme les autres...  :lol:

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  • 3 months later...

bonjour,

sur le fil suisse de l'aviation, il y ce lien

http://www.explorateur.ch/explo/exploration%20frag%20dra%2010%20grenadier%20explorateur%20parachutiste%20armee%20suisse.html

dedans il est dit que certaines unités d'élites sont des miliciens:

"Les éclaireurs sont tous des miliciens, mais le niveau est digne d’une unité d’élite professionnelle étrangère. La sélection commence à l’âge de 16 ans environ, pour déjà être évalué sur le plan physique et psychique ainsi que pour faire ses premiers sauts. Puis vient la première partie de l’école de recrue qui continue de tester (et d’éliminer) les candidats. Pour 300 aspirants par année, 30 à 40 vont enter à l’ER et seuls 10 ou 15 iront comme para dans la Cp écl pch 17. Avec Armée XXI, tous les paras accomplissent 43 semaines d’école de recrue et obtiennent ainsi le grade de sergent comme soldat spécialiste, le chef de patrouille est un lieutenant et accomplit 59 semaines de formation initiale. Chaque année ils accomplissent un cours de répétition de 4 semaines."

mes questions sont les suivantes :

comment, juste avec 4 semaines par an et peu ou pas d'expérience du combat réel, on peut dire dire que ces unités sont au niveau de soldats qui s'entrainent toute l'année ?

pour cela, quel est leur entrainement...

et enfin y a t il des exercices avec d'autres armées, ou devant des observateurs étrangers, qui nous permettent de confirmer ou d'infirmer.

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Déjà, quand tu peux te permettre une telle sélection (5% environs des candidats qui proviennent eux-mêmes d'un tri sélectif suivi depuis l'âge de 16 ans), tu as à la base un matériel de premier ordre, surtout qu'une armée conscrite sélectionne sur l'ensemble de la population et non seulement sur un pool de volontaires qui ne sont pas représentatifs de l'ensemble et peuvent comporter une proportion très élevée de mauvais candidats (ce qui tend à être souvent le cas dans les armées pros).

Après, il n'est justement peut-être question dans l'article que de niveau physique, mais même là, il faut quand même reconnaître que de très bons candidats sur lesquels se concentrent beaucoup d'efforts et de moyens, pendant 43 semaines, y'a quand même des chances que cela produise un excellent résultat. Après, maîtrisent-ils tous les savoirs-faires des armées expéditionnaires appelées à remplir des panels de missions variés? Peut-être pas. Peuvent-ils développer leur savoir-faire sur une carrière longue? Seulement quelques-uns apparemment dans l'armée suisse deviennent pros. Peuvent-ils acquérir l'expérience des pros aguerris d'armées expéditionnaires? Pas vraiment vu les particularités de la politique étrangère suisse. Mais ça ne doit pas en faire moins des opérateurs de premier ordre pour un panel de missions donné.

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43 semaines de formation de base, c'est même bien au dessus, en durée, des formations les plus sérieuses... Après faut voir le rythme et le contenu concret. S'il y a eu en plus une sélection préalable sur la durée, je suis d'accord avec Tancrede, le résultat doit être plus que potable.

Puis je me souviens, du temps de la conscription, ça ne tournait pas toujours à l'avantage des pros... :lol:

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Ne pas oublier que la mission des éclaireurs parachutistes est extrêmement spécialisée:

faire de la reconnaissance en territoire ennemi, sans se faire repérer.

Pour les coups de force avec entrée par les fenêtres du 2ème étage, il y a les Grenadiers (je caricature mais c'est quasiment toujours ce qui est montré pour les grenadiers  :lol:)

De ce fait, leur formation est probablement beaucoup plus spécialisée que celles d'autres unités spéciales professionnelles étrangères.

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  • 3 weeks later...

Voici un texte rédigé par un lieutenant-colonel suisse pour voir comment envisager l'avenir de l'infanterie (en fait la milice au premier chef).

Si certaines réflexions peuvent sembler étranges pour un français, il est typique d'une forme de pensé propre à nos voisins. Il a aussi l'intérêt de montrer que: "penser le combat, c'est aussi penser la société qui le mène" comme l'avait très bien compris Machiavel.

L’infanterie, aujourd’hui et demain

Mes missions - Lire, écrire, tirer

Dans le cadre de mes activités professionnelles en tant qu'officier instruction / doctrine, une de mes missions est de faire de la prospective au point de vue DOIMP (Doctrine, Organisation, Instruction, Matériel, Personnel), et d'émettre des propositions au commandant de la Formation d'application de l'infanterie dans ces différents domaines.

Depuis environ 18 mois, je conduis une réflexion de fond sur les options possibles de l'infanterie pour les vingt prochaines années.

Et je teste ces options possibles, à une échelle réduite.

La fin d’une époque

Le moyen-âge était le temps des empires, le temps de la féodalité, le temps de la religion, l'époque des cités-états. La guerre, en ces temps, ressemblait davantage à ce que nous voyons en Lybie ou en Tchétchénie aujourd'hui qu'aux grandes batailles du XXème siècle.

Ce n'est qu'à la fin de la guerre de Trente ans, avec la montée de l'état-nation, et son tryptique gouvernement-territoire-population, qu'en Europe du moins, la guerre est devenue affaire exclusive de l'Etat. Ce modèle a perduré pendant quatre siècles. 20 ans après la fin de ce que les historiens du futur nommeront la "Longue guerre", commencée en 1914 à Sarajevo et achevée en 1994 à Sarajevo aussi, nous n'avons pas assisté à la fin de l'histoire, mais sommes au début de l'âge global, du nouveau moyen-âge. L'empire se nomme ONU. Certaines religions ont visiblement grande importance, L'état-nation se vide lentement de sa substance, et les zones grises de notre monde vivent une nouvelle féodalité.

Les trois discours - empire, chaos, rebelle

Le discours de l'empire, promettant le bonheur soit sous la forme d'un califat universel, soit par une globalisation "soft", une gouvernance mondiale éclairée.

L'alternative à l'empire est, selon le discours dominant de la pensée unique,  une succession de crises économiques mineures et majeures, la fin des énergies fossiles, les changements climatiques, le chaos et l'effondrement de la civilisation.

Dans la tradition de notre petit pays qui pour citer un mot célèbre "fait les mêmes choses que les autres, mais différemment", nous pensons qu'il existe une troisième voie, la voie du rebelle...

Analyse de la mission et conséquences

Nous allons donc explorer trois directions de travail, afin de proposer des futurs possibles pour l'infanterie suisse, en suivant les principes de l'analyse de la mission. Mission, milieu, adversaire, propres troupes, temps. Nous en déduirons des axes de travail pour la doctrine, l'organisation, l'instruction, le matériel et le personnel. C'est à dessein que nous laisserons de côté pour l'instant les considérations relatives à l'infrastructure et aux finances.

La voie de l'empire

En suivant le discours de l'Empire, notre mission se réduirait à n'en être que des supplétifs, engagés sur un "limes" fluctuant, face aux nouveaux barbares. Le fantassin deviendrait par capillarité, un hoplite digital, rare, cher,  le temps d'une génération. Les finances ne nous permettront pas de suivre le mouvement plus avant. Nous serions aspirés dans des guerres coloniales, ne subsistant sur le territoire de la Confédération que des Etats-major et des centres de génération de force. L'instruction serait assurée par des moyens de simulation, très sophistiqués et coûteux, proposés par notre complexe militaro-industriel à l'affût de contrats. Notre armement se transformerait peu à peu en une accumulation de jouets digitaux à l'obsolescence programmée.

Nous aurions de la peine à recruter du monde, même en les payant bien, car nous serions en concurrence avec les sociétés militaires privées, autres acteurs incontournables de ce nouveau moyen-âge.

La descente dans le chaos

Nous ne pouvons exclure, effectivement, un effondrement de notre monde complexe, à flux tendu, ou tout au moins quelques hoquets encore plus significatifs que ceux que nous vivons.

Un scénario possible pour la Suisse serait de voir une extension, à proximité de ses frontières, de zones de non-droit, et à un lent pourrissement de la situation sécuritaire. La dictature du politiquement correct, combinée à l'ethnomasochisme et à une absence de décisions à temps conduirait nos forces de sécurité à l'inaction, en attendant les ordres de Berne. Le "pays utile", la grande mégapole s'étendant de Genève à Saint-Gall, sombrant peu à peu dans une juxtaposition de zones ultra-sécurisées et de Géhennes extérieures.

Face à un adversaire à la "Mad Max", la sécurité reviendrait à une "landwehr" et des gardes locales improvisées au gré des événements. En moins d'une génération, l'instruction régresserait à des savoir-faire élémentaires  acquis dans l'urgence, et excluant  une action tactique ou opérative, pourtant seule capable de renverser la situation. De même, faute de moyens et d'entretien,  ne subsisteraient de l'armement et l'équipement que ce qui est effectivement durable et rustique, tout le reste, passée la phase de cannibalisation, étant peu à peu abandonné.

L'âge de servir augmenterait à nouveau, pour concerner tous les hommes valides de 17 à 60 ans, dont une proportion appréciable devrait être engagée en permanence pour assurer des tâches de sécurité élémentaires.

La voie du rebelle

La troisième voie, la voie du rebelle, la "voie suisse", veut que nos autorités, à tous les échelons, oublient un peu le politiquement correct et relisent attentivement l'article 1 de la constitution fédérale, en particulier les notions de liberté et d'indépendance du pays, et ce "hic et nunc", ici et maintenant.

Face à l'adversaire du chaos, moins bien équipé, et instruit que nous,vnous avons besoin de garder une infanterie d'élite, rustique, mais bien équipée, complétée par des forces spéciales professionnelles ou semi-professionnelles, capables d'éteindre l'incendie avec un verre d'eau dans les premières secondes, plutôt qu'avec une tonne d'eau une minute plus tard.

En outre, cette infanterie devrait pouvoir être complétée, au besoin, par des formations de "landwehr", au sens générique du terme, capables de suppléer et de soulager au besoin  nos forces de police qui ont décidément fort à faire.

Actuellement, nous encaissons. Il nous faut réapprendre à rendre. C'est ce qu'on appelle la résilience, et le prix à payer pour continuer notre "Sonderfall" comme nous l'entendons.

La période historique que nous vivons durera probablement plusieurs générations, aussi, d'ores et déjà, nous avons choisi un modèle d'instruction capable de durer plusieurs générations (WAI). Nous voulons garder une composante de milice, car la sécurité est affaire de chacun, et nous ne voulons pas d'un pays où les forces de police sont plus nombreuses que les forces armées.

Nous voulons garder une production nationale de matériel,  et mélanger hi et low-tech  chaque fois que faire se peut, pour des raisons évidentes,

Et notre effort principal reste la sélection, la formation et l'entraînement des cadres. Car ce sont eux qui pourront "reconstruire la cité", au besoin.

Les conséquences

Vaste programme...

La question principale pour nous est celle des valeurs de notre civilisation européenne, dont nous sommes au coeur. Ces valeurs sont, pour citer Ernst Jünger, "L'élan vers la beauté, la recherche incessante de la perfection et le respect de la féminité".

Nous avons le droit d'exister, et le devoir de nous défendre, d'une part pour ceux qui sont venus avant nous, mais surtout pour ceux qui vont nous suivre.

Ce qu'il nous faut, ce sont des chefs qui "voient loin, qui décident rapidement, et qui conduisent court.

Au quotidien, l'infanterie n'est qu'un des maillons de la chaîne. Elle doit apprendre à aller à la rencontre des autres armes et des autres organismes civils et militaires. Nous serons engagés ensemble. Alors il nous faut nous entraîner ensemble.

Ce que nous apportons au pays, c'est notre savoir-être de fantassin

"Discipline, savoir-faire, courage, endurance, fierté"

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  • 1 month later...

L’armée suisse va s'équiper de l’iPad.

Les tablettes sont de plus en plus employées dans l’environnement professionnel et l’armée ne fait pas exception. Ainsi, au cours de la deuxième moitié de l’année, les iPad et iPhone vont faire leur apparition dans l’armée et au Département fédéral de la défense VBS également.

http://www.bluewin.ch/fr/index.php/1537,574611/L%E2%80%99arm%C3%A9e_suisse_va_s%C3%A9quiper_de_l%E2%80%99iPad/fr/multimedia/infos/

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je ne comprends pas l'intérêt d'un IPAD dans le monde professionnel , à part l'encombrement. J'en vois apparaître au boulot mais je ne vois aucun progrès en productivité ou praticité (contre le couple laptop/desktop + smartphone). Par contre, c’est très tendance.

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je ne comprends pas l'intérêt d'un IPAD dans le monde professionnel , à part l'encombrement. J'en vois apparaître au boulot mais je ne vois aucun progrès en productivité ou praticité (contre le couple laptop/desktop + smartphone). Par contre, c’est très tendance.

Le matériel informatique en entreprise n'a jamais eu d'interet sur le productivité. L'objectif c'est la valorisation du salarié hors salaire. En gros je te file un iphone tout neuf ou un ipad qu'a la classe plutot que d'accepter une augmentation ou une prime. C'est d'ailleurs ce qui a lancé l'informatique "personnelle" alors qu'auparavant les entreprise était exclusivement en solution terminal/serveur basique qui elle se concentrait exclusivement sur la productivité et pas du tout sur le fun. D'un autre coté si les employé passait pas la moitier de leur journée sur le net au boulot ... on aurait deux fois plus de chômeurs :lol:

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je ne comprends pas l'intérêt d'un IPAD dans le monde professionnel , à part l'encombrement. J'en vois apparaître au boulot mais je ne vois aucun progrès en productivité ou praticité (contre le couple laptop/desktop + smartphone). Par contre, c’est très tendance.

Pour travailler dans un bureau, ça n'a pas beaucoup d'intérêt.

Par contre si tu es entrepreneur, tu visites un client et que tu as les catalogues en format numérique, c'est vachement plus pratique que la caisse de papier rapiécés.

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je ne comprends pas l'intérêt d'un IPAD dans le monde professionnel , à part l'encombrement. J'en vois apparaître au boulot mais je ne vois aucun progrès en productivité ou praticité (contre le couple laptop/desktop + smartphone). Par contre, c’est très tendance.

Y stocker la documentation technique d'un avion.

Pour cela,  l'interface tactile est plus fonctionnelle que celle d'un laptop

Et l'ipad est plus compact

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Pour travailler dans un bureau, ça n'a pas beaucoup d'intérêt.

Par contre si tu es entrepreneur, tu visites un client et que tu as les catalogues en format numérique, c'est vachement plus pratique que la caisse de papier rapiécés.

déjà possible avec un laptop depuis 20 ans.

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déjà possible avec un laptop depuis 20 ans.

Y a une sacrée différence de poids et de facilité de manipulation (et d'autonomie).

Un laptop, faut le poser, le booter, se mettre bien en face (merci les écrans TN de m...).

Quand on est sur un chantier de construction à discuter le type de brique de parement, y plus pratique...

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L'armée suisse a perdu les données concernant l'équipement à retourner de 27.000 anciens soldats. Elle ne sait donc pas si l'arme d'ordonnance a été rendue par ces personnes au terme de leurs obligations. Porte-parole de l'armée, Walter Frik a confirmé cette information à la "SonntagsZeitung".

"C'est une catastrophe", estime la conseillère nationale Chantal Galladé (PS/ZH), présidente de la Commission de la politique de sécurité. Pour elle, l'armée ne maîtrise manifestement pas le problème posé par les armes. "On nous a menti durant la campagne électorale sur l'initiative sur les armes".

L'initiative populaire de la gauche intitulée "Pour la protection face à la violence des armes" avait été rejetée par 56,3% des votants en février 2011. Le texte exigeait le dépôt obligatoire des armes militaires à l'arsenal et la création d'un registre national des armes à feu.

(source : Opexnews)

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j'ai une question sur les armes à la maison dans l'Armée Suisse .

donc comme partout dans le monde ,il doit bien avoir des cambriolages chez les Suisses ,certes il y a peut-être une proportion moindre mais sa arrive .

donc est-ce que l'on peu supposé que le délinquant qui va volé un particulier ,même si il tombe sur l'arme n'y touchera pas car s'est terriblement puni se type d'acte ?

ou simplement parce que même en tant que délinquant il  a une conscience citoyenne ?

je pencherais plutôt par le côté sévérité de la loi en se qui concerne le vol d'une arme appartenant à l'armée Suisse .

ma question peu paraître idiote ,mais bon  :-[

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Je me dirais qu'un voleur est un voleur. La cause de la détention d'une arme (loisir ou défense de la société) n'a aucun impact sur le larcin.

s'est se que je pensais pour l'état d'esprit du voleur ,mais est-ce que sa arrive régulièrement se type de vol d'arme appartenant à l'Armée en Suisse ?

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