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FRANCE : 5° puissance économique?


SPARTAN
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Je n'ai rien contre le principe des "prix de transferts" qui répondent à une vraie logique économique et qui sont reconnus en tant que tel par les autorités des principaux pays développés

Ce qui me dérange, c'est l'abus qui en a été fait par une partie des groupes internationaux pour devenir au final une arme de fraude fiscale massive

Quelques chiffres et données ( année 2012 ):

Montant des prix de transferts : 54 milliards d'euros donc incidence fiscale 18 milliards d'euros.

Montant de la fraude fiscale internationale détectée et sanctionnée par la DVNI ( la direction nationale chargée de vérifier ( et sanctionner ) les grands groupes ) : 2 milliards d'euros sur 4.6 au total ( y compris pénalités )

Montant total de la fraude fiscale des professionnels détectée et sanctionnée en 2012 : environ 9 milliards d'euros

Au final en tenant compte des pénalités et des autres motifs de fraude à l'international, on doit avoir 1.6 milliard de fraude liée aux "prix de transferts" détectée et sanctionné

Ca représente presque 20% de la fraude détectée en France pour les professionnels et 10% des opérations liées aux prix de transfert

Hors là, on se base uniquement sur la fraude fiscale détectée par les services de la DGFiP

Solidaires ( syndicat majoritaire à la DGFiP ( je ne suis pas membre ) ) estime que 80% de la fraude n'est pas détectée et encore plus pour l'IS

On arrivé donc au final à une estimation comprise entre 10 et 50% des opérations liées aux prix de transfert qui seraient des montages frauduleux liés à la fraude fiscale

En ce qui concerne l'impact de la fiscalité sur les entreprises, il est très limité : les prélèvements fiscaux sur les entreprises représentent 100 milliards d'euros soit 5 points de PIB seulement

En comparaison, la fiscalité pesant sur les particuliers atteint 330 milliards soit presque 17 points de PIB

En France ce sont les particuliers que l'on taxe, pas les entreprises ( surtout qu'une partie des 100 milliards sert à financer des systèmes d'aides et de crédits pour les entreprises )

Sources :

rapport 2013 de la DGFiP :

http://www.economie.gouv.fr/files/directions_services/dgfip/Rapport/2013/dgfip_ra_2013.pdf

interventions du directeur de la DVNI devant l'Assemblée Nationale et le Sénat :

http://www.assemblee-nationale.fr/14/pdf/cr-ceaffcahuzac/12-13/c1213010.pdf

http://www.senat.fr/rap/r13-087-2/r13-087-218.html

Diverses publication de Solidaires ( SNUI )

Modifié par loki
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Dans tous les cas ça reste du foutage de gueule.

Pas forcément, c'est plus un problème sémantique. On a appeler l'évolution du PIB "croissance" ou "croissance du PIB" en anglais "growth domestic product". Donc maintenant on est coincé avec "croissance" ... sauf si tu arrives à faire changer le langage de je ne sais combien de million de personne.

Déjà que la plupart des gens ne c'est pas ce qu'est la "croissance" va leur expliquer que c'est "moins" "la baisse du PIB" :lol:

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Le marché automobile français, typique d'un pays pauvre! En France, 54% des immatriculations de voitures neuves concernent des modèles à faibles marges, produits à l'étranger. Un niveau record sans équivalent en Europe occidentale.

C'est désormais indiscutable. La France prend de plus en plus l’allure d’un marché automobile de pays pauvre. Sur les dix premiers mois de 2014, les petites voitures d'entrée de gamme ont en effet représenté 54% du total  selon les données du CCFA (Comité des constructeurs français d'automobiles). Il y a un an, c'était 52% et, surtout, en 2012, on était encore à 49%. Un poids énorme, démesuré et atypique sur le Vieux continent. La France s'éloigne de la moyenne ouest-européenne, où les "petites" (type Renault Twingo, Peugeot 208) représentent à peine 42% des ventes.

Toutes les autres catégories de voitures chutent sur le marché automobile français (proportionnellement). Les "compactes" (genre Renault Mégane, Peugeot 308) ne sont plus qu'à 30% du total, contre 31% un an auparavant. Et les autres segments à plus forte valeur ajoutée et- en principe - à hautes marges sont en berne.

Les familiales (gamme "moyenne supérieure" type Citroën C5 ou Peugeot 508) pèsent  seulement 11% du marché total dans l'Hexagone, contre 17% en Europe occidentale. Enfin, le "haut de gamme", spécialité des constructeurs allemands que les marques françaises ne concurrencent plus, il est réduit à presque rien: 5% à peine du marché français, contre 12% en moyenne pour l'Europe occidentale.

Pas étonnant, dans ces conditions, que Renault et PSA soient devenus, à leur corps défendant des spécialistes de petits véhicules... qui ne se vendent quasiment qu'en Europe occidentale, principalement du sud. En effet, la plupart de ces petits véhicules - sauf les Dacia - sont trop chers pour l'Inde ou le Brésil, des marchés pourtant portés eux aussi sur les "petites".  Et ces modèles sont en fait invendables en Russie, Chine, Asie du sud-est et en Amérique du nord. Tel est bien le problème des constructeurs tricolores, et notamment de PSA Peugeot Citroën

Un handicap pour le "made in France"

Favorisés par les pouvoirs publics à coup de bonus-malus et de discours et mesures défavorables à l’automobile, ces petits modèles à zéro ou très faible marge - sauf les Dacia à bas coûts - sont en grande partie produits... hors de France! L'orientation vers le bas du marché hexagonal est donc une mauvaise nouvelle pour le "made in France". Les Dacia à bas coûts de Renault sont fabriquées en Roumanie et au Maroc.

La petite Renault Twingo est assemblée en Slovénie, tout comme 60% des Clio. Les Peugeot 107-108 et Citroën C1 proviennent de République tchèque.  PSA a d'ailleurs averti récemment que les "petites voitures généralistes" seraient à l'avenir fabriquées toutes hors de France. PSA peine à trouver une rentabilité sur des Citroën C3 ou une partie des Peugeot 208 dans l'Hexagone. Logique : la marge sur une 208 est de 500 à 1.000 euros, selon le consultant PwC. Soit le montant de l’écart du coût de la main d’œuvre entre la France et un pays de l'Est. Lorsqu’il était le numéro 2 de Renault, Carlos Tavares, l’actuel patron de PSA , assurait qu’il y avait un écart de 1.300 euros entre une Clio fabriquée à Flins (Yvelines) et la même à Bursa (Turquie)…

Si les véhicules "compacts" de PSA sont produits en France, Renault fabrique ses berlines Mégane en Espagne. Même chose pour son futur 4x4 dérivé de la Mégane. Côté "moyennes supérieures", toutes sont en revanche assemblées en France pour le marché européen. La Bérézina du segment sur le marché français leur porte donc fortement préjudice.  La gamme "moyenne supérieure" de Renault a d'ailleurs quasiment disparu en dix ans. La familiale Laguna a totalisé 17.900 unités produites en 2013,  contre 145.000 il y a dix ans! Cette gamme  représente... moins de 1% des ventes totales du groupe Renault aujourd'hui (hors filiale coréenne Renault-Samsung), contre 10% il y a dix ans. Un véritable effondrement. Chez PSA, Il s'est produit 86.800 Peugeot 508 l'an dernier - dont une bonne partie en Chine -, contre 259.000 Peugeot 407, son prédécesseur, en 2005. Et, à l'époque, toutes étaient assemblées dans l'Hexagone.

La fin du haut de gamme français?

Quant aux limousines de "haut de gamme" tricolores, elles n'existent plus, après l'arrêt de la Citroën C6 qui ne se vend plus qu'au compte-gouttes. De plus ni PSA ni Renault ne se son lancés dans la production de 4x4 "haut de gamme", alors que, chez leurs concurrents, ces modèles ont tendance à remplacer les limousines de même catégorie. 

En dix ans, la production automobile de Renault, mais également de PSA, s'est indéniablement dirigée vers le bas. Les orientations des pouvoirs publics se sont combinées avec la montée du chômage et donc la baisse du pouvoir d'achat de certaines catégories. Certes, après avoir augmenté, la taille moyenne des voitures et la cylindrée des moteurs ont tendance à redescendre en Europe. Il n'empêche. Cet "appauvrissement" des constructeurs tricolores - alors que les allemands poursuivent leur lucrative orientation "haut de gamme" - explique en partie leurs mauvais résultats financiers et... la réduction par deux en une décennie de leur production dans les usines hexagonales. Pas de quoi se réjouir.

Modifié par DAR
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Ben oui... tous les parents comprendront pourquoi.  :lol:

 

On ne peut pas à la fois avoir 2 ou 3 gosses par famille et rouler en voiture de luxe. Sauf pour les familles vraiment aisées, qui ne représentent qu'une assez petite partie de la population.

 

Élever des enfants, ou en avoir une grosse, pour la plupart des hommes, il faut choisir !  :P

 

 

 

 

 

Une grosse voiture, voyons ! Rôooh, vous avez l'esprit bien mal placé, je trouve...  ;) 

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Ben oui... tous les parents comprendront pourquoi.  :lol:

 

On ne peut pas à la fois avoir 2 ou 3 gosses par famille et rouler en voiture de luxe. Sauf pour les familles vraiment aisées, qui ne représentent qu'une assez petite partie de la population.

 

Élever des enfants, ou en avoir une grosse, pour la plupart des hommes, il faut choisir !  :P

 

 

 

 

 

Une grosse voiture, voyons ! Rôooh, vous avez l'esprit bien mal placé, je trouve...  ;)

 

 

Ton argument n'est pas faux, mais le delta de natalité en France et en Allemagne était le même il y a 5 ans, alors que le rapport entre les gabarits des voitures lui était différent. Il y a donc bien une évolution.

 

Après, plutôt que parler réellement de pays pauvre, je ferais un lien avec le matraquage qu'on fait aux gens pour leur dire qu'on va tous crever, qu'on est ruiné etc. Forcément ça les fait réfléchir au moment d'acheter une voiture... Contre laquelle la France est en guerre plus ou moins larvée.

 

D'ailleurs cet article en lui même est une escroquerie vu qu'on te dit (pour marquer) "la France, un marché de pays pauvre", et juste après "bon ils achètent des petites voitures, mais elles sont trop chères pour les pays en voie de développement qui ne sont eux mêmes pas des pays pauvres". 

Ce qui aurait été honnête c'est : Les Français investissent moins dans l'automobile que leurs voisins ouest-européen, pourquoi? M'enfin c'est moins catastrophiste donc ça clique moins.

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Ben oui... tous les parents comprendront pourquoi.  :lol:

On ne peut pas à la fois avoir 2 ou 3 gosses par famille et rouler en voiture de luxe. Sauf pour les familles vraiment aisées, qui ne représentent qu'une assez petite partie de la population.

Élever des enfants, ou en avoir une grosse, pour la plupart des hommes, il faut choisir !  :P

Une grosse voiture, voyons ! Rôooh, vous avez l'esprit bien mal placé, je trouve...  ;) 

 

En France les "petites" voitures on été de tout temps privilégié, et d'autant plus le cas aujourd'hui. Aussi bien par les constructeurs locaux que par l'état qui fait cul et chemise avec. On a longtemps eu des constructeur prestigieux de voiture prestigieuse ... mais tout est fait pour vous dégouter.

 - Prix de l'essence

 - Malus écolo.

 - Vignette et son cheval fiscal.

 - "répression" routiere.

 - Fiscalité sur les véhicule de service/fonction.

 

Au Luxembourg tu vois des grosses bagnole partout, la moitié sont des voitures de fonctions parce que la bas tu as droit d'avoir une Ferrari de fonction si tu veux et tu n'es pas taxé plus qu'avec une Twingo de fonction. En France les gestionnaires de flotte passe plus de temps a compulser les bouquin de droit fiscale que les proposition commerciales tellement c'est n'importe quoi.

 

L'air de rien le travail de soutien a nos constructeur nationaux a plus ou moins portée ses fruit ils sont encore vivant et plutot bien vivant ... alors qu'ailleurs y plus personne, sauf les allemands.

 

Pour les modèle haut de gamme ils sont quasi invendable en France rien qu'a cause du malus écolo le moindre V6 diesel se prend 2200 ou 8000€ dans les dents!!! Je ne parle même pas d'un moteur essence. Sans parler du fait que les "sedan" se vendent de moins en moins et qu'on a pas les moyen de relancer une "marque d'image". Franchement ca aurait la classe une "Facel Vega"  ou une "Panhard".

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Ben oui... tous les parents comprendront pourquoi.  :lol:

 

On ne peut pas à la fois avoir 2 ou 3 gosses par famille et rouler en voiture de luxe. Sauf pour les familles vraiment aisées, qui ne représentent qu'une assez petite partie de la population.

 

Élever des enfants, ou en avoir une grosse, pour la plupart des hommes, il faut choisir !  :P

 

 

 

 

 

Une grosse voiture, voyons ! Rôooh, vous avez l'esprit bien mal placé, je trouve...  ;)

Aussi se rappeler que le Français épargne beaucoup plus, prend nettement moins de crédit (et quand il le fait, c'est plus pour la maison que pour la bagnole): seul le Japon est comparable à cet égard. Si en plus on lui matraque que le pays s'effondre ce soir, que lui va mourir demain et que ses gamins seront à la rue après demain, l'achat de biens durables a tendance à être moindre. En France, c'est l'Etat qui s'endette, pas les Français ??? . 

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L'air de rien le travail de soutien a nos constructeur nationaux a plus ou moins portée ses fruit ils sont encore vivant et plutot bien vivant ... alors qu'ailleurs y plus personne, sauf les allemands.

Je suis d'accord avec le message precedent sauf celui-ci.

Les "partenariats" de ce genre finissent mal et aujourd'hui, on se rend compte que ca ne sert pas a grand chose.

L'etat et les constructeurs qui poussent pour garder une avance dans le diesel ? Cette avance n'est qu'une vue de l'esprit a l'heure actuelle et comporte de nombreux effets pervers.

Si Renault apparait si robuste c'est grace a son alliance avec Nissan et si PSA parait si fragile c'est que pendant la decennie 2000, les patrons ont fait n'importe quoi.

Bref, je ne mettrais pas dans la balance une action gouvernementale en premier lieu.

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Comme on dit en Allemagne: l'Allemand prefere rouler en grosse berline et bouffer au fast-food, le Francais prefere rouler dans une poubelle et bouffer gastronomique... question de philosophie.

 

Cela dit, pour moi il est clair que la France est en voie de pauperisation, face a la mondialisation le pouvoir politique n'a pas su/voulu adapter les conditions du travail et de l'emploi pour rester competitif. A mon sens, rien que de tout miser sur le tertiaire comme locomotive economique (et utiliser la fonction publique et les 35 heures pour eponger le reste) etait une connerie. J'ai l'impression que les pays qui ont su garder tous leurs secteurs actifs, l'Allemagne en tete (qui a tranche aussi dans ces programmes de prestations sociales),  ont ete plus resilient que la France.

 

Enfin je vais pas refaire le monde, mais j'ai l'impression que nos elites, si elles savent gerer un mamouth  administratif (enfin des fois il se gere tout seul),  ne savent pas rendre le pays productif ni attrayant aux investisseurs, ce qui est un serieux probleme quand on pretend vouloir inverser la courbe du chomage...

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Comme on dit en Allemagne: l'Allemand prefere rouler en grosse berline et bouffer au fast-food, le Francais prefere rouler dans une poubelle et bouffer gastronomique... question de philosophie.

Autre chose en Allemagne il est très mal vu d'avoir une résidence secondaire ... forcément avec l'économie réalisé la dessus y a moyen de doper un peu le quotidien.

Les Allemands financent aussi leur "grosse" voiture par l'usage très important du vélo comme transport alternatif par exemple, chose quasi inexistante en France, ou l'on préfère de loin avoir deux ou trois voitures.

Autre petite chose qui passe souvent inapercu, mais un gros V6 pas tres "optimisé" c'est souvent beaucoup moins d'entretien et d'emmerde qu'un petit quatre cylindre ... si tu comptes garder la voiture un peu c'est rentable.

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Pour le marché automobile, un copain me faisait aussi noter que la France est plus en retard que d'autres pays comparables dans le domaine du marché automobile, qui ressemble de plus en plus à un marché de "location" de court/moyen terme, où on n'a une voiture que pour très peu d'années, qu'on achète au final à crédit via un mécanisme de financement dépendant de plus en plus du fabricant que d'une banque classique.... Un fabricant qui, comme toutes les grandes entreprises, est au final aussi une banque de fait (et le plus souvent de droit, même si elle se limite à certaines activités). Si l'impact sur la consommation de voitures est réel, du moins à court moyen terme, la spécificité du marché automobile français devrait aussi donc renvoyer à une attitude différente par rapport à l'endettement pour fait de consommation (et au moindre endettement des Français à titre individuel), à la dépense dans la pierre, et à l'épargne. Ces systèmes de "possession temporaire" d'une voiture, qui ressemblent plus à une apparence de propriété, sont moins développés en France. 

 

Tout aussi génériquement, faudrait pas trop se regarder le nombril et baliser à mort tout en ne regardant que la verdeur de l'herbe que le voisin a sous la fenêtre de sa chambre, en ne voyant pas le reste de son jardin, généralement pas aussi vert. Il y a eu une forte relativisation de la richesse moyenne des pays dits développés ces 30 dernières années, par rattrapage d'une proportion croissante des populations de pas mal de pays, et la création nette de richesse dans ce processus n'est qu'une partie de l'explication (il s'agit aussi évidemment d'un transfert). Et la France n'est pas beaucoup plus touchée que ses voisins par ce fait: les sociétés anglaise ou allemande en général ne sont pas vraiment mieux loties. 

Modifié par Tancrède
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Pour le marché automobile, un copain me faisait aussi noter que la France est plus en retard que d'autres pays comparables dans le domaine du marché automobile, qui ressemble de plus en plus à un marché de "location" de court/moyen terme, où on n'a une voiture que pour très peu d'années, qu'on achète au final à crédit via un mécanisme de financement dépendant de plus en plus du fabricant que d'une banque classique.... Un fabricant qui, comme toutes les grandes entreprises, est au final aussi une banque de fait (et le plus souvent de droit, même si elle se limite à certaines activités).

 

 

C'est pas le cas dans toute l'Europe ?

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