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L'artillerie de demain


max
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LE SL2A est conçu, fabriqué par THALES SAFARE

SL2A est un produit portable pour le champ de bataille permettant d'identifer l'origine de tirs d'artillerie de manière passive par l'analyse de signaux reçus sur différents microphones.

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[dailymotion=425,350]x9hcfj[/dailymotion]
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Résumé : [*]Complément de Cobra pour la veille passif permanente [*]Detection 2km pour les tir de petit mortier, et 18km sur 155mm a charge maxi [*]Chaque station se compose de 3 chapeau micro relié par cable a une balise qui rélai le signal via HF a une station de calcul - un shelter avec le matériel radio pour recevoir les signaux des stations et un ordinateur pour extraire du contenu des information cartographique. [*] Le systeme complet intégre 8 station a 3 micro, et un shelter d'exploitation.

Les images des différents élément chez servir&défendre http://servir-et-defendre.com/viewtopic.php?f=129&t=3279
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Quand on dit artillerie, ç'est quoi exactement ? Les lance-roquettes multiples, c'est de l'artillerie ?

Oui en gros tout les armes qui volent suivant une trajectoire ballistique et plutot indirecte. Un canon de char destiné a detruire des char c'est pas de l'artillerie ...

Dans le cas du detecteur sonore de départ de coup et/ou d'impact, je doute qu'il puisse detecter les departs de rockets, vu quelle ne font pas beaucoup de bruit, du moins un bruit assez passe partout et qui doit s'attenuer rapidement dans l'environnement. Par contre l'impact et l'explosion de la charge doit etre detecté normalement.

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Historiquement, l'artillerie, c'est les canons. DCA, Obusier, mortiers. de nos jours, les missiles remplaçants certains canons, c'est aussi de l'artillerie.

Les missile ballistique - guidé ou non - oui, mais pas les autres? Les missile de croisiere c'est pas de l'artillerie. Idem pour les missile antichar d'infanterie ou de cavalerie ou meme aeroportés. Je ne sais meme pas si on considere les missile antinavire de croisiere comme de l'artillerie, a priori la propulsion est entretenue longtemps donc on s'éloigne de l'artillerie.

Par contre les missile sol-air sont considére comme de l'artillerie...

Grosso modo quand la phase propulsé est courte par rapport a la durée du vol on parle d'artillerie, meme si la trajectoire est pas a proprement parlé ballistique. Par contre les arme individuelle ne sont pas considéré comme de l'artillerie, les lance grenade par exemple.

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Historiquement l’artillerie a une signification plus vaste. A ce titre je couche ici un rappel glané dans une des (nombreuses) bibles de l’arme :

« Le mot artillerie, qu’on trouve dans les textes Français à partir de 1248, vient du latin ars, artis, comme artisan, artiste, artifice, et comme de vieux mots maintenant disparus. Artiller, en particulier, signifiait autrefois : armer, fortifier… »

L’artillerie, dès que le terme existe, c’est à la fois l’art de réaliser et l’art de mettre en œuvre les moyens de guerre sortant de l’ordinaire ; armes de puissance exceptionnelle, fortification, ponts, engins divers, etc. C’est aussi l’ensemble de ces moyens et de leur personnel. C’est enfin l’atelier dans lequel ces engins sont réalisés et conservés.

Tout ceci pour dire que l’on est bien loin du découpage chirurgical actuel de l’état de l’art. Les armes dites de « puissance exceptionnelle » ne sont plus exceptionnelles du tout et se retrouvent dotées à pratiquement tous les maillons de la chaîne des forces. Dès lors ces moyens, ou systèmes d’armes, sont revendiqué par les commandements de leurs utilisateurs et ont même parfois donné lieu à de drôles de découpage… Confère le feu nucléaire des années 80 pour lequel l’armée de terre se voyait doté du Pluton, mais pas du plateau d’Albion … Parfois même on assiste à des évènements rocambolesques, comme celui du TU 22 Libyen abattu au dessus de N’djamena.

La troisième dimension, par tradition ( ?), reste le bac à sable de l’armée de l’air, alors de fait et dans cette même veine le SAMP sera donc doté au sein de l’armée de l’air. La LATTA sera la seule préhension de la 3D pour l’armée de terre (Je note cependant que les drones du 61°RA restent encore à l’armée de terre, ainsi que l’ALAT...). Bref, on recentre les besognes.

Aujourd’hui l’artillerie conserve en son giron les bouches à feu, les LRU et …. son école avec un musée (superbe du reste). Elle conserve sa mission traditionnelle de fournir les moyens d’intervention immédiats et massifs pour appuyer la manœuvre des unités de mêlée.

L’Artillerie sol-air va appartenir au passé très très bientôt, on parlera donc dorénavant de l’artillerie à composante unique sol-sol. Je le déplore.

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En regardant la série de vidéo "afin de comparer l'évolution de l'artillerie française depuis 1985" posté par Gibbs dans le sujet sur le CAESAR, je me disait la chose suivante ...

Que de chemin parcouru depuis les « pots à feu ».

Je pense que l’artillerie est aujourd’hui en train de muter historiquement.

Les bouches à feu ne subsistent que par le CAESAR ou un rôle avéré de projection aérienne sauve quelque intérêt. Intérêt du moment pour lequel un peu de crédit (tactique et budgétaire) lui est accordé par le commandement. L’AUF1, grâce à un potentiel de projection type centre Europe, reste tout juste de mise.

En effet, né en 1977 (premier prototype en 1973), cet automoteur à casemate était très en avance sur l’état de l’art et ne souffrait que de peut de concurrence. Je ne le compare donc pas au M109. Cette avance lui permet d’aller encore « battre » du terrain il y a encore peu dans les Balkans, et avec quel brio ! Le coût alors élevé du 155 AUF1 conduit à doter les divisions d’infanterie d’un matériel plus rustique, le TRF1. Le TRF1, tracté biflèche de même balistique que l’AUF1 (et aérotransportable), souffre de son découplement tracté et donc de son délais sa mise en batterie

Depuis la fin de la WWII les artilleurs rêvaient d’un automoteur à casemate tournante et fermée, tirant tout azimut.

On peut dire aujourd’hui que les normes de la guerre nucléaire ont permit l’accélération de la genèse de cette pièce, intégrant ainsi (enfin) la couverture des servants et des munitions. Les munitions, au nombre de 42, transportées en arrière de la tourelle, sont disposées pour le tir dans des barillets de six coups. L’alimentation, le chargement, l’ouverture et la fermeture de la culasse sont entièrement automatiques, et les six coups sont tirés en 45 secondes. L’équipe de pièce, réduite à trois hommes (je ne compte pas le pilote), est protégée contre les menaces classiques et nucléaires par le blindage, la pressurisation et l’alimentation en air filtré….

Nous sommes en 1978 !

La solution CAEASAR, elle, permet une mis en en batterie quasi identique à celle d’un TRF1 avec une portée accrue (Upgrade que les bouches à feu des AUF1 ne verront  pas). Il transporte, sans leur offrir de protection, le peloton de pièce et les cartouches. Mais cette solution qui répond à un besoin ponctuel est dédiée à la projection, ne l’oublions jamais.

Car quoi, servir une pièce à découvert sur une position de tir n’est selon moi pas une avancé technologique pour l’artillerie Française. Porter les « pélos » à bout de bras et les gargousses à la main encore moins. Gicler de l’habitacle est une réelle perte de temps, de même que réintégrer celui-ci à la fin de la phase de tir. Dans un même ordre d’idée effectuer quatre ou cinq positions de tirs différentes et les servants sont bon pour un échange standart à la FOB la plus proche.

Je parle ici de fatigue physique, ou chacun le sait, lorsque l’on met en position de batterie flashe la moindre seconde est comptée, alors on saute de partout et n’importe comment (surtout à la troisième position de nuit quand il pleut). Et bing la rotule, plof la cheville et paf le FAMAS. Cette (re) nouvelle contribution physique des servants ne me paraissait pas techniquement nécessaire en 2009.

Cela dit le CAESAR est couplé COBRA et intègre ATLAS, ne cachons pas notre joie.

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dans le genre aérotransportable (en A400M) et "protégé", il y l'Archer suédois.

http://www.army-technology.com/projects/archerhowitzer/

http://en.wikipedia.org/wiki/ARCHER_Artillery_System

concept que je trouve plus intéressant que le Caesar, même si l'Archer est moins facilement projetable (2x plus lourd, donc seulement en A400M ou en C-17).

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ben s'est vrai que L'AUF1 ,s'est une belle piéce d'artillerie ,et comme le dit max ,qui a fait ses preuves.

maintenant il est vrai que dans le contexte actuelle ,on a besoin d'artillerie pour la projection et le CAESAR et un bon compromit .

pour le côté servant de piéce ,perso s'est vrai que s'était physique mais s'est se qui faisait son charme ,enfin pour un boeuf comme moi  :lol:.

je pense que l'on se doit de garder une capacité de type AUF1 et CAESAR ,celui n'étant que l'amélioriation (et pas des moindres ,même pour les servants de piéce ) du principe TRF1 .

batterie flashe  =D

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ben s'est vrai que L'AUF1 ,s'est une belle piéce d'artillerie ,et comme le dit max ,qui a fait ses preuves.

maintenant il est vrai que dans le contexte actuelle ,on a besoin d'artillerie pour la projection et le CAESAR et un bon compromit .

pour le côté servant de piéce ,perso s'est vrai que s'était physique mais s'est se qui faisait son charme ,enfin pour un boeuf comme moi  :lol:.

je pense que l'on se doit de garder une capacité de type AUF1 et CAESAR ,celui n'étant que l'amélioriation (et pas des moindres ,même pour les servants de piéce ) du principe TRF1 .

batterie flashe  =D

La grosse amélioration TRF1 -> Caesar c'est essentiellement la numérisation de la chaine. On devrait voir le bout de la boucle avec le GMLRS et le 120 porté dans quelques année.

Le probleme c'est que ca risque de précipiter les TRF1 et MO120 vers la sortie alors qu'ils sont toujours tres utiles en base feu, position qui n'a pas énormement a gagné avec la numérisation de la piece, la conversion des données de tir se faisant a la volée informatiquement, y a plus qu'a afficher les bon truc dans le viseur.

Quant a la déployabilité, le M270 est aussi déployable que le Caesar ...

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  • 5 weeks later...

http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/09/la-destruction-des-armes-%C3%A0-sousmunitions-co%C3%BBtera-plusieurs-dizaines-de-millions-deuros-%C3%A0-la-france.html

Alors que la France s'apprête à ratifier la Convention d'Oslo d'interdiction des armes à sous-munitions, la sénatrice Joëlle Garriaud-Maylan (UMP, Français de l'étranger) vient de publier un rapport très synthétique sur cette affaire. On peut le lire intégralement en cliquant ici.

On apprend notamment que, "selon les premières estimations" du ministère de la Défense, "le démantèlement de ces munitions" sera "d'un coût compris entre 30 et 60 millions d'euros". Les crédits seront pris sur ceux du ministère de la Défense. "La destruction de ces munitions prendra plusieurs années et sera fonction de la capacité des industriels du démantèlement"  Il est à noter que la France ne dispose pas de capacités industrielles adéquates et qu'elle devra donc soit les développer, soit passer des marchés à l'étranger.

La France devra détruire quinze millions de sous-munitions, un chiffre à comparer à celui de l'Allemagne (40), du Royaume-Uni (38) ou des Pays-Bas (26), également signataires de la Convention.

En France, les munitions en question (qui ont déjà été retirées du service) concernent deux systèmes d'armes de l'artillerie. Il s'agit d'abord de la roquette M-26 du lance-roquettes multiples (LRM). La France possède 22.000 de ces roquettes qui transportent chacune 644 sous-munitions. Il s'agit ensuite de l'obus d'artillerie à grenade OGR de 155 mm, dont les stocks sont des 13.000, chacun comprenant 63 sous-munitions. La France va donc devoir démanteler 35.000 roquettes et obus.

En revanche, le missile de croisière antipiste Apache (100 en dotation) et l'obus antichar Bonus (3750) "n'entrent pas dans le champ de la convention".

A noter que de très pays détenteurs d'armes à sous-munitions n'ont pas signé la convention - dont plusieurs membres de l'Otan et de l'UE : Algérie ; Arabie Saoudite ; Argentine ; Azerbaïdjan ; Bahreïn ; Belarus ; Brésil ; Chine ; Corée du Nord, Corée du Sud ; Cuba ; Égypte ; Émirats Arabes Unis ; Érythrée ; Estonie ; États-Unis ; Éthiopie ; Finlande ; Géorgie ; Grèce ; Inde ; Iran ; Irak ; Israël ; Jordanie ; Kazakhstan ; Koweït ; Libye ; Maroc ; Mongolie ; Oman ; Ouzbékistan ; Pakistan ; Pologne ; Qatar ; Roumanie ; Russie ; Serbie ; Singapour ; Slovaquie ; Soudan ; Sri Lanka ; Syrie ; Thaïlande ; Turquie, Turkménistan ; Ukraine ; Yémen ; Zimbabwe.

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Un Micro drone, emballé dans un projectile, est lancé en canon. Lorsque le projectile atteint son apogée, il est transformé en un MAV qui devient opérationnel sur la zone à observer.

Drole de maniere de faire du loitering ... je pensais que le planage etait plus simple.

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il me semble que le drone est équipé d'un rotor coaxial ce qui permet le loitering

Oauip, mais c'est assez complexe un helicoptere, par rapport a un "planeur", pour un obus genre 155mm ca risque d'etre assez couteux, faut que tout le systeme encaisse le lancement et une accélération gargantuesque, déjà pour des solution classique genre excalibur c'est chaud ... pour une mini helo embarqué dans un "obus" ca risque des tres delicat.

Apres ca se trouve c'est un lanceur adapté avec des contrainte de propulsion légère.

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On apprend notamment que, "selon les premières estimations" du ministère de la Défense, "le démantèlement de ces munitions" sera "d'un coût compris entre 30 et 60 millions d'euros". Les crédits seront pris sur ceux du ministère de la Défense. "La destruction de ces munitions prendra plusieurs années et sera fonction de la capacité des industriels du démantèlement"  Il est à noter que la France ne dispose pas de capacités industrielles adéquates et qu'elle devra donc soit les développer, soit passer des marchés à l'étranger.

Comme par hasard, politiques et syndicats de la région de bourges militent pour la création à proximité de cette bonne ville d'un pôle d'excellence pyrotechnique, qui comprendrait, entre autre, une installation de démantèlement de munitions. Comme par hasard, la zone retenu était jusqu'à une période proche occupée par les chaines d'assemblage missiles de MBDA. De là à dire que la solution financière haute correspond aux tarifs MBDA et que la solution basse correspond aux tarifs des industriels étrangers (Nammo, ISL)...
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  • 2 weeks later...

Image IPB


http://www.defpro.com/daily/details/415/

In principle, it is not a brand-new concept. But, one can say that Israel Aerospace Industries’ (IAI) Harop is somewhat blurring the distinction between unmanned combat aerial vehicles (UCAVs) and advanced missile systems. Israel – globally known as the origin of an extensive range of innovative solutions in the field of unmanned aviation –brought forward this peculiar and elaborate looking aerial vehicle almost a decade ago, thereby insinuating that this article is not breaking news. However, it is worth depicting this concept, which is generally called “advanced loitering munition” – a designation that does seem to do justice to this craft, which rather resembles a more sophisticated reconnaissance UAV.

Being a larger version of IAI’s Harpy, the Harop (or Harpy 2) has been developed to detect, identify and destroy high-value targets in conventional as well as asymmetric or low-intensity conflicts, especially for SEAD missions (suppression of enemy air defences). What actually blurs the above mentioned distinctions between a strike-capable UAV and a missile is it’s equipment, which gives it tactical UAV capabilities: being able to stay in the air for a period of about 6 hours and loiter over a potential target area for quite a while, it can provide vital reconnaissance information before it strikes a selected target and is destroyed.


More than just a flying warhead

As Itzhak Nissan, President and CEO of IAI said earlier this year: "Harop is an extremely impressive system and everyone at IAI is proud of this accomplishment. This is a state-of-the-art loitering munitions system which features accurate detection capabilities and minimizes collateral damage to the surrounding area."

The propeller-driven remote-controlled aircraft has a length of 2.5 m (8 ft 2 in), a wingspan of 3 m (9 ft 10 in) and carries a 23 kg (51 lb) warhead next to an electro-optical/infra-red sensor suite. The long-endurance aircraft can be launched land- or sea-based from transportable containers and fly some 1,000 kilometres. Each Harop unit consists of the air vehicles, the transportable launchers, as well as a mission control shelter. The controller can observe the target area, select a suitable static or moving target and, thereby, minimise or even prevent collateral damage. The electro-optical sensor allows attacking a SEAD target whether it emits a radar signal or not.


Soon flying in India and Germany?

As an Indian Air Force official confirmed on Tuesday, the Indian Air Force (IAF) will introduce the system into service by 2011 after having ordered eight to ten Harop systems for an estimated $100 million. This would make the Harop India’s first offensive unmanned aerial system and will complement its current fleet of tactical UAVs, which carry out surveillance and reconnaissance tasks with an important strike-capability.

Besides the export success with India, the system had been competing as “White Hawk” in the UK in 2005 and became a finalist in the race, however, was rejected when the Ministry of Defence decided to purchase a domestic competitor. A further chance to see the system in operation in a few years may be seen with the German Armed Forces. In fact, the German Ministry of Defence has already invested funds for the adaptation of Harop to its specific requirements, which has been carried out by a joint team of IAI and Rheinmetall Defence. Before, the German Armed Forces and the German MoD had separately approved an operational requirement utilizing IAI's Harop system. The project will be implemented in cooperation with Rheinmetall Defence as the prime contractor.

In statement earlier this year, IAI called this activity a reflection of the successful cooperation between IAI and Rheinmetall Defence, which has also included projects involving UAVs. According to press reports, the German Army ordered an undisclosed number of Harop systems in late September. On enquiry of defpro.com, Rheinmetall Defence did not yet give a statement on this particular order, however, is expected to provide information in due course. So far, there also is no official information available on when and how many systems will be operated, nor for which range of tasks it will be used after the adaptations have been completed.

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@G4LLY

C'est amusant que tu le poste là : j'ai failli le poster sur France et ses drones , bref  dans un topic drone ou sinon dans le topic ''missilerie navale''

Surtout que je me demande si les allemands vont les utiliser sur le f-125.

A noter qu'avec le drone camcopter, leur  missile drone delilah et enfin les harop, cela ferait cohérent comme équipement!

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@G4LLY

C'est amusant que tu le poste là : j'ai failli le poster sur France et ses drones , bref  dans un topic drone ou sinon dans le topic ''missilerie navale''

J'ai hésité ... puis dans le doute j'ai posté ici ... la finalité etant de bombarder depuis la surface. Et comme les drones sont souvent associé a l'artillerie...

Surtout que je me demande si les allemands vont les utiliser sur le f-125.

A noter qu'avec le drone camcopter, leur  missile drone delilah et enfin les harop, cela ferait cohérent comme équipement!

Effectivement y en a qui se moquaient du delilah et du tigre ... mais on sent une réelle ambition de projection chez les allemands.

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  • 3 months later...

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