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L'artillerie de demain


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L'usage des GMLRS en Afghanistan

http://www.wired.com/dangerroom/2010/10/did-a-new-rocket-help-rout-the-taliban-depends-what-you-mean-by-new-and-rout/

Amazingly, just a few months after NATO and Afghan troops gradually stepped up operations in the Taliban heartland of Kandahar, the insurgents have fled, with a return unlikely. At least, that’s the optimistic tone the U.S.-led coalition sounds in a credulous New York Times piece today. The headline: “Coalition Forces Routing Taliban in Key Afghan Region.”

If pronouncements like “We broke their neck” from the Afghan police commander of Argandab district seem premature, consider this: The NATO general in charge of the area credits a new miracle rocket with helping turn the tide and it has been in Afghanistan for a while.

The Times‘ veteran Afghanistan correspondent Carlotta Gall writes that locals “talk with awe of a powerful new rocket” that NATO’s used to batter Taliban outposts in Panjwai “with remarkable accuracy.” Nick Carter, the British two-star who commands forces in southern Afghanistan, figures they’re talking about the High Mobility Artillery Rocket System, the truck-borne rocket, pictured above. He boasts that the HIMARS rockets are “extraordinarily precise; they are accurate to a meter.”

Except, the system isn’t all that new — it’s been in the Army’s arsenal since 2005. That meter-precise accuracy? Overblown. And while some of the rockets HIMARS fires are satellite-guided, the system is subject to the same targeting errors that can plague air strikes and traditional artillery. In February, a pair of HIMARS rockets killed a dozen civilians.

HIMARS use is tightly-regulated, precisely because it’s so powerful. Sitting on the back of a 5-ton truck, HIMARS is capable of firing a single, 13-foot ATACMS surface-to-surface missile 100 miles or more away. Or, it can pound up to half-dozen GPS-guided rockets in a matter of seconds at at a single target more than 40 miles in the distance; that’s more than double the range of a traditional howitzer. “The advantage of HIMARS is that is can put a lot of firepower downrange very, very quickly,” an Army fire support officer told Danger Room in February.

It’s so much firepower, in fact, that, for a while in Afghanistan, air strikes were easier to authorize than HIMARS. (At least the air assaults had overhead intelligence to back ‘em up.)

HIMARS have been used extensively in the Marines’ assault on Helmand province. WikiLeaks’ Afghan War logs recounts several fights in which the rockets were fired.

This past February, HIMARS featured in a high-profile disaster during the campaign to take the Helmand town of Marja, when one of its rockets killed 12 civilians. NATO briefly suspended its use, but it ultimately determined that the problem wasn’t with the system, but rather the human beings who operated it. Tactical intelligence misidentified a civilian residence as an insurgent compound, so the rocket slammed into the right place, but it killed the wrong people. (Afghan officials then said that some of the dead civilians were actually Taliban, but that appeared to be face-saving spin.)

There’s little doubt about HIMARS’ potency. But its novelty is in question. If the Taliban saw it in Helmand, why would they permanently flee a stronghold after seeing it in neighboring Kandahar? Andrew Exum of the Center for a New American Security tweets that the piece strikes him as a NATO information operation — basically, a big spin job.

Ultimately, Gall — an exceptional reporter with deep experience in Afghanistan — cites a Taliban commander who says the abandonment of Panjwai is a mere tactical retreat: “We are waiting until this force has been exhausted and has done all they are supposed to do, and later on our fighters will re-enter the area.” That’s what they did in Marja, in Sangin, and elsewhere.

It’s one thing to clear insurgents from a place, and rocket fire definitely has a role there. But it’s quite another to hold it, and the holding is the measure of durable success. Maybe NATO and Afghan forces can hold Kandahar, but that’s a long way away. And powerful, accurate rockets don’t have any relevance for keeping a city under Afghan government control.

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  • 2 weeks later...

http://www.assemblee-nationale.fr/13/cr-cdef/10-11/c1011010.asp#P3_69

M. le général d’armée Elrick Irastorza. Nous sommes à mi-parcours pour le CAESAR. La première livraison est terminée ; sur une cible de 77, il nous en reste quatre à recevoir en 2011 et nous devrions percevoir une deuxième tranche après 2015. Déployé en Afghanistan, il tire avec une précision remarquable. Il est souvent utilisé en binôme avec le système de drone tactique intérimaire (SDTI) qui permet de régler un tir à partir du moment où un drone se trouve au dessus. Nous comptons le déployer également au Liban en remplacement du canon 155 AUF1

M. Damien Meslot. Vous nous avez fait part de votre inquiétude concernant le déploiement des roquettes LRU. Nous parlons maintenant de 2014. N’y a-t-il pas un risque de voir ce déploiement abandonné ? N’y a-t-il pas, en conséquence, un risque que des régiments disparaissent, notamment le 1er RA ?

M. le général d’armée Elrick Irastorza. Il y avait 1 700 canons déployés par l’armée française à Verdun ; l’artillerie n’en possède aujourd’hui plus que 128 qui doivent être complétés par les LRU pour couvrir la zone d’engagement et fournir à nos unités les appuis nécessaires dans un espace relativement vaste. Notre capacité opérationnelle dépend donc du déploiement futur des LRU dont les performances ont déjà été évoquées. Nous avons toujours des LRM, mais il est vrai que le 1er RA est un régiment d’artillerie qui n’a plus d’artillerie puisqu’il ne peut plus tirer les roquettes à sous-munitions (protocole d’Oslo). Il dispose certes de batteries de radars Cobra, de systèmes de détection d’artillerie et de mortiers de 120, mais il va naturellement connaître une baisse capacitaire pendant les deux prochaines années. À terme, la question de son maintien se posera, surtout si la livraison tarde trop ou ne se fait pas

Pour ce qui concerne les roquettes LRU, 250 ont effectivement été commandées en 2009 et nous attendons la poursuite des opérations.

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Nous avons toujours des LRM, mais il est vrai que le 1er RA est un régiment d’artillerie qui n’a plus d’artillerie

Ils s'entraînent comment en attendant? Ils remplissent les trous en OPEX? Ou est-ce une nouvelle tactique politique pour refiler une "rage" apparente à une unité et la supprimer quelques années plus tard parce que ça n'a pas été osé initialement?

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Faire semblant de faire quelque chose pour des raisons budgétaires tout en ne faisant presque rien pour des raisons politiques.... Et les coûts pour faire coïncider les 2 sont payés par les dommages faits aux forces qui ne peuvent mettre en avant leurs raisons bassement opérationnelles.

Ca te semble logique :lol:?  

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C'est pour cela que le CEMAT est inquiet

Enfin, décaler au-delà du raisonnable l’entrée en service du LRU privera nos armées de la seule capacité interarmées tactique combinant actuellement précision quasi métrique, portée étendue (70 kilomètres) et employabilité immédiate quelles que soient la météo et l’heure du jour et de la nuit. 252 roquettes ont été commandées en 2009, il reste à réaliser l’adaptation des lanceurs du 1er régiment d’artillerie (RA) à cette nouvelle munition puisqu’ils ne peuvent plus tirer les roquettes à sous-munitions. Il faut se souvenir que c’est parce que je comptais sur cette transformation de l’actuel lance-roquettes multiple que j’ai proposé la réduction de moitié de notre artillerie

Pour ce qui concerne les roquettes LRU, 250 ont effectivement été commandées en 2009 et nous attendons la poursuite des opérations.

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Quand tu penses que les 48 LRM étaient l'essentiel de la puissance de feu de l'artillerie française et qu'on avait un stock de 20 000 roquettes; c'est à dire l'équivalent de 280 000 obus Ogre..

Un seul tir de batterie de 6 LRM équivaut à 900 obus Ogre ou quelques milliers d'obus de 155 à fragmentation.

C'est à dire 180 pièces de 155 tirant 16 obus conventionnels en deux minutes.

C'est à dire que les 2 regiments de LRM étaient l'équivalent de 1400 Caesar ou AUF1 TA tirant du conventionnel ou 460 tirant de l'obus Ogre.

Seuls les Européens et les pays sans armées ont signés le protocole d'Oslo.

N'ont pas signé: les USA, la Russie, la Chine, L'Inde, Israël, les pays du golfe, L'Iran, les 2 Corées etc... et même la démocratique Finlande.

http://www.clusterconvention.org/pages/pages_i/i_statessigning.html

Bref on a signé comme le Saint Siège ou le Liechtenstein ou l'irlande... :lol:

L'hypocrisie est qu'en cas de conflit avec un adversaire doté d'armes à sous munition, on comptera sur les stocks de l'US army.

L'armée de terre française est descendue d'un cran en perdant plus de 80% de sa puissance de feu en artillerie..

Quelques ONG gauchistes suffisent à faire plier la France...C'est dire le courage de nos politiques. :-[

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Rajout du message

http://www.senat.fr/leg/pjl09-113.html

A aucun moment on a évoqué de manière sérieuse l'impact militaire:

5-2 L'impact politico-militaire

En outre, en reprenant les définitions de la Convention, notamment ses dispositions techniques, le projet de loi ne remet pas en cause les capacités opérationnelles de l'armée française (Ndlr: mort de rire ou à pleurer). Après la prise en compte par les armées de cette Convention, la loi n'aura en effet d'impact :

- ni sur les opérations françaises en cours, où les armes à sous-munitions interdites ne sont pas utilisées,

- ni sur les opérations futures, où seront employées des armes plus fiables et plus précises autorisées par la Convention.

Outre l'obus d'artillerie de 155mm à grenade (OGR), la France a retiré du service opérationnel les roquettes M26 à grenades du lance-roquettes multiple (LRM). Celles-ci seront remplacées par des roquettes guidées à charge unique.

La France conserve la possibilité d'utiliser les armes de grande précision et de haute fiabilité autorisées par la Convention, comme les obus d'artillerie de 155mm antichar à effet dirigé (ACED Bonus) et les missiles air-sol APACHE qui emportent des munitions anti-pistes KRISS.

S'agissant de l'impact opérationnel, la convention autorise la poursuite des coopérations et des opérations militaires avec des Etats non parties, tout en fixant un cadre précis. Le projet de loi reprend rigoureusement ces dispositions.

A titre de comparaison, l'Espagne a annoncé qu'elle conservera 836 armes à sous-munitions, la Belgique 400.

Bref, c'est l'aveu que la France n'envisage plus d'intervention de haute intensité terrestre sans les américains.

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C'est à dire que les 2 regiments de LRM étaient l'équivalent de 1400 Caesar ou AUF1 TA tirant du conventionnel ou 460 tirant de l'obus Ogre

Si et seulement si il y a un adversaire à la fois assez maousse pour justifier cette capacité (donc qu'il faut pouvoir les projeter loin ces engins), et concentré en un ou quelques gros paquets pour que ça puisse faire effet; si l'adversaire est étalé sur une grande surface (tendance actuelle), ça reste que 48 bestioles (ou plutôt 6 batteries) sans don d'ubiquité et à la puissance trop concentrée. Si l'adversaire ne se concentre pas du tout, vaut mieux plein de "petits" canons.

Mais le politique a tranché: peu de petits canons, et peu ou pas de MLRS :P.

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Quand tu penses que les 48 LRM étaient l'essentiel de la puissance de feu de l'artillerie française et qu'on avait un stock de 20 000 roquettes; c'est à dire l'équivalent de 280 000 obus Ogre..

Un seul tir de batterie de 6 LRM équivaut à 900 obus Ogre ou quelques milliers d'obus de 155 à fragmentation.

L'armée de terre française est descendue d'un cran en perdant plus de 80% de sa puissance de feu en artillerie..

Quelques ONG gauchistes suffisent à faire plier la France...C'est dire le courage de nos politiques. :-[

LOL

désolé de te contredire encore sur le sujet mais :

- les stocks de roquettes à sous-munitions arrivaient en fin de vie de toute façon

- pour les missions anti-blindés qui sont le coeur d'emploi ( de conception aussi ajoutée à lidée de toucher quelque chose en une seule passe basse altitude dans un environnement saturé de moyens sol-air pour l'aviation  ) des armes à sous-munitions, on a ( encore ) les systémes BONUS

- pour un tir anti-personnel, des munitions "AIRBURST" sont tout aussi efficaces ( voire plus face à des tranchées peu profondes ou des trous ) et ne polluent pas le champs de bataille

- pour un tir de démolition anti-materiel lourd ( tranchées profondes, bunkers etc...... ), les sous-munitions sont inéfficaces      

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Bref, c'est l'aveu que la France n'envisage plus d'intervention de haute intensité terrestre sans les américains.

petit HS mais qui est ce qui a milité pour une reduction des forces via la RGPP2 en arguant du fait qu'il n'y a que les fonctions support qui seront impactées (alors que une connaissance même superificielle des processus d'arbitrage gouvernementaux aurait suffit à savoir que les coupes décidées allaient impacter indifféremment les personnels combattants et non combattants version Mr50%TableauExcel)

et maintenant ca chouine parce que on n'a plus les forces vives suffisantes pour être autre chose que des supplétifs ? ?

d'ailleurs finalement on s'en fout un peu des MLRS vu que bientot y'aura plus d'artilleurs pour les manoeuvrer  :lol:

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qui tue le M-270, c'est son coût ramené à la faible diversité de ses munitions.

Pour prendre un exemple: celui du char.

Independament du modèle, l'un de ses interets réside dans la diversité de ses munitions. Pourtant son coût est le plus élevé au sein de chaque armée. Cette diversité fait qu'il n'est pas prêt de disparaitre.

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qui tue le M-270, c'est son coût ramené à la faible diversité de ses munitions. Pour prendre un exemple: celui du char. Independament du modèle, l'un de ses interets réside dans la diversité de ses munitions. Pourtant son coût est le plus élevé au sein de chaque armée. Cette diversité fait qu'il n'est pas prêt de disparaitre.

Personne ne t'interdit de demander une charge spécifique pour les rocket !!! Il a existe plusieurs munitions pour le M270 simplement on a pas souhaité les acquérir.

Les Retex des GMLRS anglais en Astan sont bon ... portée +70km, extreme rapidité d'éxécution, charge militaire importante 100kg explosif, emploi absolument tout temps, précisions JDAM like.

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Pour prendre un exemple: celui du char.

Independament du modèle, l'un de ses interets réside dans la diversité de ses munitions.

Ce qui tue ceux qui voudraient s'en débarrasser, c'est qu'il n'est pas "sécable" en capacités, le char, surtout les MBT de dernière génération dont une bonne partie des capacités sont un luxe inutile..... Problème, son "fond de commerce" (blindage lourd, chenille, un gros canon, capteurs) reste lui indispensable, et c'est une leçon rendue encore plus évidente depuis les débuts de l'affaire irakienne.

Pour la diversité de ces munitions, ça reste curieux comme l'essentiel des recherches vont encore à qui fera le super ultime obus HEAT qui eput faire 3,2% de plus et mieux que le précédent, plutôt que de développer massivement une palette d'obus moins chers et plus utiles pour les applications nécessaires aujourd'hui?

Peut-être parce que ça pourrait inciter certains à penser que le char a autant de vocation à être vu comme une artillerie montée ou un blockhaus mobile pour l'infanterie que comme un engin de cavalerie :lol:!

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Les Retex des GMLRS anglais en Astan sont bon ... portée +70km, extreme rapidité d'éxécution, charge militaire importante 100kg explosif, emploi absolument tout temps, précisions JDAM like.

Pour faire de la frappe chirurgicale un obus longue portée pour Caesar ferait l'affaire, non?

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Pour faire de la frappe chirurgicale un obus longue portée pour Caesar ferait l'affaire, non?

Le probleme c'est que le systeme de guidage coute plus cher dans un obus de 155 que dans une rocket M31. L'accélération initial est inifiniment plus forte dans l'obus que dans la rocket qui accelere "progressivement" induisant un surcout de conception. Donc on se retrouve avec un obus plus cher que la rocket ... obus qui va pas plus loin, qui est pas plus précis est qui est beaucoup moins puissant - presque 10 fois -

Pour le panel de munition MLRS y en a une ribambelle ... aussi bien dans la gamme rocket 227mm que missile balistique.

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IMPAQT, munition précision métrique

Mission

Les industriels majeurs de l'industrie d'armement européenne, Giat Industries (France), Bofors Defence (Suède), MBDA (Angleterre et France) et QinetiQ (Angleterre) ont créé le team IMPAQT pour fournir une solution européenne à l'artillerie. Ce consortium, qui représente un ensemble unique et inégalé de savoir-faire, de technologie et de moyens, a inventé une famille de munitions d'artillerie à guidage de précision avancé traitant des cibles à des distances encore plus lointaines et avec une précision encore plus grande.

Les premiers travaux de démonstration en vol ont déjà été réalisés avec succès et IMPAQT surclassera tous les systèmes canons.

Pour l'instant, IMPAQT comprend deux projectiles d'artillerie de 155 mm répondant aux critères IM : Impaqt Mk I avec une portée supérieure à 60 km et Impaqt Mk II dont la portée est supérieure à 75 km. IMPAQT est capable de traiter des cibles variées à une très grande distance et avec une très grande précision : le module de contrôle de vol intégré permet une précision de l’ordre de 10 m (Rayon du Cercle EquiProblable), les charges et les organes de sécurité améliorés permettent une précision et une réduction maximum des dommages collatéraux, le concept de la munition cargo permet de disposer d’une famille d’obus délivrant des effets adaptés à chaque mission (tirs de neutralisation et de destruction ou tirs ciblés sur véhicules blindés).

IMPAQT peut atteindre de très longues portées grâce à la combinaison d'un aérodynamique efficace et du choix de matériaux composites innovants.

Caractéristiques

Efficacité accrue

Précision inégalée pour minimiser les effets collatéraux.

Traitement de cibles variées grâce à l'emport de charges militaires adaptées, notamment des charges à effet dirigé.

Conception modulaire évolutive

Charges militaires originales, autodirecteur semi-actif laser pour guidage terminal.

Liaison montante pour re-allocation de cible en vol.

Introduction de matériaux composites innovants, améliorant la portée et la létalité.

Réduction des coûts

Besoin en canons et munitions réduit.

Le voila. ;)

Donnons des Caesar au 1° RA.

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Donnons des Caesar au 1° RA.

Les obus a portée amélioré, obtiennent cette portée au détiment de leur charge militaire. Enveloppe allégé et allongée en composite, moteur fusée aditionnel, plus kit de guidage complexe. Résultat il coutent les yeux de la tete pour une efficacité terminal discutable. Raison pour laquel les obus 155 excalibur ne sont pas utilisé alors que les rocket M31 le sont de maniere quotidienne autant pas les anglais que par l'USMC en Astan.

Une rocket M31 embarque de 100kg d'explosif, un obus excalibur en embarque une grosse dizaine... tout ca pour moins cher !!!

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Je savais pas que les Brits avaient des pièces de 155 en A-stan, je croyais qu'ils n'avaient que des 105 ce qui expliquait l'utilisation des LRU au delà.

Si ça se trouve il vident leur stock de LRU avant de passer au 155 impact, faut pas gacher :oops

edit: composition du 1°RA

    * 1 batterie de commandement et de soutien.

    * 1 batterie des opérations.

    * 3 batteries de tir.

    * 1 batterie de maintenance.

    * 1batterie de radars de trajectographie COBRA.

    * 1 unité de réserve de régiment professionnel.

http://213.139.102.176/terre/decouverte/presentation/composantes/artillerie/1er_regiment_d_artillerie

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