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Elections américaines 2008


"Qui sera le/la prochain(e) président(e) ?"  

74 membres ont voté

  1. 1. "Qui sera le/la prochain(e) président(e) ?"

    • Barack Obama
      43
    • John McCain
      32
    • ou autres
      4


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Oui c'est de la com, l'aide n'est jamais dénué d'arrières pensées, c'est comme lors du Tsunami, pourquoi à votre avis les indiens n'ont pas voulu que des navires de guerres américains viennent dans leurs eaux, même pour des raisons humanitaires ?

Parsqu'ils font de l'ingérence en prime, et que l'inde qui veut etre un grand pays ne le tolère pas, pas plus que les russes ou les chinois qui savent pertinement que c'est aussi un moyen de faire de l'espionnage et de la com pour améliorer son image.

Quand à Neowens, je crois que tu te méprend, je n'ai rien contre les américains, je suis juste sans illusions sur eux.

Ils sont comme les chinois et les russes, ils voient leurs interets avant tout, le reste passe apres, on peut s'en servir, ils peuvent nous aider, mais ils sont tout de même des rivaux économiques.

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Zaromana, trés mauvaise réponse au suget du Tsunami, et pourtant on en a parler à l'époque, les iles Indiennes étaient ''secret défenses'' avec des tas d'installations militaires, New Delhi ne voulaient que les étrangers fouillent dans le coin  :P

Et comme je l'écrit plus écrit, en mode cynique extréme comme tu le fait alors que les gens ont aussi un coeur et une morale, leurs intéréts (et le notre dans les les pays dit riches) est que les gens dans le monde soient bien portant pour pas qu'ils nous envoient des épidémies, qu'ils soient éduqué et qu'ils ont du travail pour qu'ils nous achétent des produits à haute valeur ajouté et non seulement du soda et surtout qu'ils ne viennement pas mettre la pagaille en posant des bombes :P

Tiens, autre chose devinez sous quelle présidence le budget social outre atlantique est à son niveau le plus haut depuis les New Deal ?  >:(

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Alors pourquoi des millions de personnes, des centaines d'adminstrations donnent à des milliers d'associations des milliards de Yens, Dollars, Euro ?  :P

La Norvège donnent au prorata de sa population bien plus que la moyenne, quelle est son interet ?

La Finlande donne en autre 7 374 631 $ en 2008 au fond de secours d'urgence des Nations Unis,, quand retire t elle ?

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C'est quoi la population norvégienne et finlandaise ? ajouté à la population suedoise et danoise, ca ne fait même pas la moitiée de la population française.

Autrement dit ces pays n'existe pas au niveau géopolitique, ce sont des nains politiques, économiques et militaires.

Les pays qui pèsent ce sont les 5 grands de l'apres guerre, plus les grands perdants et maintenant l'Inde, et lz ce qui dirige ce n'est pas la bonté ou le désinteressement, c'est les interets.

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Les pays qui pèsent ce sont les 5 grands de l'apres guerre, plus les grands perdants et maintenant l'Inde, et lz ce qui dirige ce n'est pas la bonté ou le désinteressement, c'est les interets.

Bizard, moi je vois des pays qui pesent de moins en moins, surtout dans le camp des "gagnants" de l'apres guerre....

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La Chine et la Russie sont en pleine remonté, et les USA sont toujours le pays le plus puissant du monde.

Certe, il n'empeche que les USA, sont entrains d'amorcer une perte de puissance, quand à l'Angleterre et la France, elles sont clairement en perte d'influance et de puissance depuis plusieurs années, comptant de moins en moins sur la scene mondiale...

Une solution : un bloc européens puissant...

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Pour Zarorama, vous n'avez pas répondu à ma question. La générosité et l'altruisme ne sont pas de vaint mots, et les gvts sont composé d'humains, avec des sentiments et des pulsions  :P

Sinon, Obama n'est qu'un populiste, c'est les ''socialistes'' de la 4eme Internationale qui le disent  :lol::

http://www.wsws.org/francais/News/2008/fev08/obam-f16.shtml

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  • 3 weeks later...

Je trouve que Hillary Clinton se comporte mal avec ses propos déplacés concernant l'origine raciale et l' "appartenance" religieuse supposée (islam) de Barack Obama.

Il y a chez cette ex-1ère dame des Etats-Unis une suffisance, une arrogance et un orgueil terrible.

Par ailleurs, j'ai eu écho que le lobbying juif et Israel ne seraient pas favorable à Barack Obama car il menacerait leurs intérêts sur le conflit israelo-palestinien et au Proche-Orient ?!

Enfin, Barack Obama creuse l’écart dans le Mississippi en emportant avec 59 % des voix contre 39 % pour Hillary Clinton.

Au total, M. Obama dispose désormais de 1.596 délégués contre 1.484 à la sénatrice de New York, selon un décompte de l’Associated Press.

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Les juifs US votent démocrate, alors si c'est pas Obama c'est Clinton  ;)

Il me semblait qu'ils étaient plutôt de tendance conservatrice (républicains) ?!

De toute manière, les démocrates et les républicains ont besoin du lobbying juif durant leur campagne électorale ainsi que d'autres lobbyings.

Un autre larron va rentrer en compétition électorale : Ralph Nader

Image IPB

Il est certain que ce troublion va encore piquer des voix aux démocrates et peut-être les faire perdre à nouveau face à John McCain.

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Clinton se sépare d’une alliée

mercredi 12.03.2008, 23:50

Une alliée de Hillary Clinton, Geraldine Ferraro, a quitté ses fonctions dans l’équipe de l’ex-Première dame après avoir déclenché une polémique en affirmant que son rival pour l’investiture démocrate à la présidentielle, Barack Obama, était favorisé parce qu’il est noir. Mme Ferraro avait affirmé en outre que « si Obama était un homme blanc, il ne serait pas là où il est maintenant (.) et s’il était une femme (quelle que soit sa race) il ne serait pas là où il est, il se trouve qu’il a beaucoup de chance d’être qui il est ».

Bien loin de présenter des excuses, elle avait répété et défendu ses assertions sur les plateaux de télévision mardi et mercredi. Barack Obama a jugé ces commentaires « absurdes » et « ridicules ».

Je suis surpris par l'importance et le poids des féministes aux Etats-Unis !  :|

Image IPB

Ce qui me choque : c'est leur mépris, et leur manque d'objectivité et critique !!!  =(

Elles ne valent pas mieux que les sectaires religieux et les racistes.  =(

P.S. : En France, on a également une championne qui s'appelle Ségolène Royal et qui joue à fond la carte féminine sachant que les femmes sont plus nombreuses que les hommes.

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Je suis surpris par l'importance et le poids des féministes aux Etats-Unis !  :|

Ce qui me choque : c'est leur mépris, et leur manque d'objectivité et critique !!!  =(

Elles ne valent pas mieux que les sectaires religieux et les racistes.  =(

P.S. : En France, on a également une championne qui s'appelle Ségolène Royal et qui joue à fond la carte féminine sachant que les femmes sont plus nombreuses que les hommes.

Le probleme c'est que dés que l'ont vote l'intérêt commun disparais et c'est du chacun pour sa gueule.

Sauf que la l'effet est démultiplier en partie  sur le plan strictement du sexe et de la couleur de peau.

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  • 2 months later...

Clinton, une victoire pour rien ?

« Je suis la candidate la plus forte.  :-X Et je serai la présidente la plus forte. »  :P Mardi, Hillary Clinton s’est drapée de sa victoire en Virginie occidentale pour tenter de faire taire les critiques qui lui demandent de se retirer de la course à l’investiture démocrate.

Son succès était attendu. Il n’en est pas moins sans appel : en fin de soirée, le décompte presque définitif lui donnait 67 % des voix contre 27 % pour son adversaire Barack Obama. Le scrutin dans cet Etat peu peuplé ne remet pas en question l’avance engrangée par Obama. Celui-ci est toujours largement en tête en termes d’Etats remportés, de vote populaire et de délégués. Bien plus : il l’est aussi depuis quelques jours dans le nombre de superdélégués, ces membres du parti qui peuvent choisir librement leur candidat à la Convention du parti et qui sont chaque jour plus nombreux à s’aligner derrière lui. Davantage que la « force » d’Hillary, ce vote met cependant en lumière les difficultés que rencontre son rival pour se faire accepter par une partie de l’Amérique démocrate.

Plus que jamais, les électeurs de Virginie ont concédé que la couleur de la peau du candidat était un facteur important : il a été déterminant dans le choix de plus d’un votant sur cinq. La Virginie occidentale est presque entièrement « blanche », et ses habitants sont en moyenne moins instruits et moins riches que dans le reste des Etats-Unis. Cela faisait de cet Etat un territoire pratiquement taillé pour Hillary Clinton, qui a fait le plein des voix en raison notamment de la crise économique qui frappe le pays.

« Je peux gagner si vous le décidez ainsi », a martelé la candidate devant ses supporters. Puis, balayant les reproches de ceux qui estiment que son maintien dans la course fait le lit des républicains : « Cette primaire est bonne pour notre parti. Elle est bonne pour les Etats-Unis. »

Il ne reste désormais que quatre Etats à devoir voter : Kentucky, Oregon, Montana et South Dakota, auxquels s’ajoute encore Puerto Rico. Et ce scrutin était l’une des dernières occasions pour Hillary Clinton de mettre en avant l’argument selon lequel elle serait la seule à pouvoir l’emporter en novembre dans les Etats traditionnellement républicains, comme la Virginie. L’équipe de la sénatrice de New York faisait ainsi remarquer que, depuis 1916, aucun démocrate n’était arrivé à la Maison-Blanche sans remporter auparavant le scrutin en Virginie occidentale. Bill Clinton avait gagné ici à deux occasions, en 1992 et en 1996. Al Gore et John Kerry avaient en revanche tous deux échoué.

Dans l’immédiat, pourtant, Hillary Clinton ne doit pas seulement convaincre les superdélégués du parti, mais aussi les donateurs, qui commencent à rechigner. Devant les caméras de télévision, elle lançait un nouvel appel à l’aide. Et à peine les bureaux de vote fermés, ses supporters recevaient un sms, puis un mail signé de la sénatrice. « Vous avez été généreux pour aider ce que en quoi vous croyez. Et moi, je ne vous tournerai pas le dos. »

Elle m'épatera toujours dans ses délires ....  ^-^

Edwards apporte son soutien à Obama

L’ex-candidat à l’investiture démocrate pour la présidentielle de novembre John Edwards a apporté son soutien à son ancien rival Barack Obama. L’ancien sénateur de Caroline du Nord et ancien candidat démocrate à la vice-présidence en 2004 avait abandonné la course des primaires fin janvier. C’est donc un soutien de poids, et très attendu, pour le sénateur métis de l’Illinois, qui cherche à se défaire d’une Hillary Clinton déterminée à ne pas encore jeter l’éponge.

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  • 2 months later...

Obama-McCain, la lutte finale

A QUATRE MOIS DE LA PRÉSIDENTIELLE AMÉRICAINE, LA CAMPAGNE ENTRE DANS UNE PHASE DÉCISIVE. LE DÉBAT ENTRE LES DEUX CANDIDATS S’ENVENIME. PAS FACILE POUR JOHN MCCAIN de trouver sa place face au phénomène Barack Obama.

Il n’y a pas si longtemps, John McCain pouvait passer des heures à débattre de sa vision du monde avec les électeurs ou les journalistes qui l’accompagnaient à bord de son autobus de campagne, le « straight talk express » (l’express du parler vrai). Manière de montrer, pour le candidat républicain, qu’il n’entendait pas rester prisonnier d’une idéologie et qu’il ne reculait pas devant les réponses nuancées.

Mais peut-on remporter une élection aux Etats-Unis en défendant de telles positions ? Changement radical d’approche et de méthode. Place désormais à la célèbre maxime « un jour, une idée », utilisée avec succès par les politiciens de tous bords. Face à un Barack Obama revenu d’une tournée triomphale au Proche-Orient et en Europe, l’équipe du sénateur républicain tente de reprendre l’offensive en rangs serrés. Avec une intention claire : transformer en faiblesses les points forts du rival, au premier rang desquels son incroyable popularité.

« C’est la plus grande célébrité du monde », assure ainsi la dernière publicité électorale de McCain, montrant un Obama entouré d’une foule qui scande son nom et dans laquelle s’intercalent des images de deux autres « célébrités » : Britney Spears et Paris Hilton. « Mais est-il prêt à gouverner ? », s’interroge le message en insistant sur la volonté supposée du démocrate d’accroître les impôts.

Cette manière de vouloir se montrer « à la fois drôle et brutal » (selon l’expression du Washington Times pour qui McCain ne parvient à être ni l’un ni l’autre) a fait grincer des dents, même dans l’entourage le plus proche du sénateur républicain. Tout comme Barack Obama, John McCain avait promis à d’innombrables reprises qu’il mènerait une campagne « propre », dénuée de stériles attaques personnelles. Aujourd’hui, pourtant, il y a péril en la demeure : pour une bonne partie de la planète, Obama est déjà pratiquement devenu le 44e président des Etats-Unis. Et même si le sort du scrutin continuera de se jouer dans les Etats indécis, comme le Colorado, le Michigan ou le Minnesota dans lesquels Obama est loin d’être assuré de gagner, McCain était apparu ces derniers temps particulièrement terne, voire carrément inexistant.

« John Mccain est-il stupide ? » en venait ainsi à se demander récemment un éditorialiste du très conservateur Wall Street Journal. Sur la question des impôts, mais aussi de l’énergie renouvelable et de la dépendance des Etats-Unis vis-à-vis du pétrole étranger, le sénateur républicain est accusé de multiplier les indécisions et les contradictions. C’est son « parler vrai » qui faisait jusqu’ici sa force. C’est sur son image d’homme politique indiscipliné qu’il avait bâti sa réputation. Mais il se comporte aujourd’hui comme s’« il ne faisait qu’attendre que son opposant perde tout seul », prévenait l’éditorialiste. Et si le candidat poursuit « sa campagne illogique », concluait-il, l’affaire est entendue : « Il va perdre. »

Malgré le récent changement de tactique, la tâche reste rude face à un adversaire qui continue de soulever les foules et d’occuper constamment le devant de la scène. L’équipe d’Obama semble compter sur le tapage médiatique qui accompagnera la Convention démocrate, fin août à Denver (Colorado), pour asséner le coup de grâce. Loin de se résoudre à un événement stéréotypé, les démocrates veulent en faire la culmination de la campagne hors norme qu’a menée jusqu’ici leur candidat. Il est prévu qu’Obama accepte la nomination de son parti au cours d’une cérémonie en plein air, devant une foule qui devrait avoisiner les 80.000 personnes. De quoi finir de donner l’image d’une candidature qui dépasse le cadre étroit des chapelles politiques, espèrent ses conseillers. De quoi terrasser une bonne fois pour toutes les ambitions de son adversaire.

D’ici là pourtant, l’équipe de campagne de McCain, qui vient d’être remodelée, n’entend pas rester sans réagir. Par son parcours personnel, Obama reste empreint au sein de l’Amérique profonde d’une image de candidat « exotique » qui soulève la méfiance et qui vient s’ajouter à la classique division gauche-droite qui coupe l’Amérique en deux. Pour les républicains, qui mettent en avant le caractère « présomptueux » de leur adversaire et qui en parlent avec moquerie comme de « l’élu », il s’agit de démontrer qu’Obama a perdu contact avec la réalité. « Nous comprenons qu’il soit indigne pour une célébrité mondiale de l’envergure d’Obama de rencontrer John McCain et de répondre aux questions des Américains », persiflait Brian Roges, un porte-parole du candidat républicain en faisant référence au refus d’Obama de croiser le fer avec son rival au-delà des trois débats télévisés qui sont prévus, et que McCain voulait prolonger de toute une série de rencontres dans les petites villes américaines.

Pour l’équipe de McCain, c’est le célèbre animateur de talk-show Jon Stewart qui a le mieux résumé la situation lorsque, commentant le voyage du démocrate en Israël, il raillait : « Obama est allé à Bethléem pour visiter la crèche où il est né. » Mais les conservateurs passent sous silence cet autre mot d’esprit du même Stewart qui, cette fois, s’en prenait à leur favori : « Votez McCain ! Je n’ai rien de spécial à offrir et je ferai probablement un très mauvais président. »

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Il ne faut pas oublier ce bon vieux Ben Laden et autres terroristes qui restent une carte importante dans la manche des républicains.

Certains propos alarmistes, ou des arrestations de pseudo membres d'Al Quaida sur le sol US pourront permettre de récupérer les voix d'un certain nombre d'indécis.

Oh, d'après nos service de renseignement la menace terroriste n'a jamais été aussi forte aux frontières des USA, oh regardez la nouvelle vidéo (que nous gardions en réserve)  de Oncle Ben qui menace notre beau pays, etc.

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Il ne faut pas oublier ce bon vieux Ben Laden et autres terroristes qui restent une carte importante dans la manche des républicains.

Certains propos alarmistes, ou des arrestations de pseudo membres d'Al Quaida sur le sol US pourront permettre de récupérer les voix d'un certain nombre d'indécis.

Oh, d'après nos service de renseignement la menace terroriste n'a jamais été aussi forte aux frontières des USA, oh regardez la nouvelle vidéo (que nous gardions en réserve) de Oncle Ben qui menace notre beau pays, etc.

C'est à double tranchant. Là ou Obama propose de retirer les troupes d'Irak et les injecter en Afghanistan et au Pakistan (la source d'Al-Quaida) McCain ne prévoit qu' une continuité de la politique de Bush

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Faux, relisez ses déclarations publiques, il propose un désengagement plus progressif, la ou Obama veut retirer 2 brigades, il veut en retirer une seule dans le même laps de temps.

A notez que les renforts du ''Surge'' envoyés sur place l'année derniére sont déja rentrer chez eux.

il me semble que c'est ce qui était prévu par l'administration Bush (remarque que tout comme Bush, il n'y a pas de calendrier de retrait ni de date d'un début de retrait). J'ai beau cherché, je ne trouve rien sur l'Afghanistan sur son site http://www.johnmccain.com.

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