FAFA Posté(e) le 17 janvier Share Posté(e) le 17 janvier Il me semble qu'il y a une grande différence entre la RDA et la Corée du Nord. Les Allemands de l'Est mangeaient à leur faim alors qu'en Corée du Nord ce n'est pas le cas et ceci depuis longtemps. Donc en cas de réunification (actuellement très peu probable) les habitants du nord auraient probablement beaucoup à y gagner. https://www.letemps.ch/monde/asie-oceanie/coree-nord-serait-proie-graves-penuries-alimentaires-selon-seoul https://fr.wikipedia.org/wiki/Famine_en_Corée_du_Nord 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 26 janvier Share Posté(e) le 26 janvier Les US lancent un avertissement concernant les velléités guerrière des coréens du nord : 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février (modifié) 7 février 2024 08:54 Pascal Dayez-Burgeon : Les conservateurs [sud-coréens] ont toujours intérêt à créer des tensions avec le Nord pour gagner les élections. 11:32 Juliette Morillot : Il faut remonter notamment à l'échec du sommet de Hanoï en février 2019 [1], parce qu'à ce moment là, la Corée du Nord avait véritablement fait des efforts. Elle avait même offert aux États-Unis le démantèlement complet de Yongbyon [le centre de recherche nucléaire]. Et même Siegfried S. Hecker, qui est le grand savant nucléaire américain qui accompagnait la délégation était très étonné, et un petit peu glacé par une des réactions de Choe Son-hui, qui est la négociatrice nucléaire [Nord-coréenne], qui a dit : « puisque ça ne fonctionne pas - la Corée du Nord voulait la levée des sanctions - eh bien elle a dit : cela ne se reproduira pas . 12:35 Juliette Morillot : Kim Jong-un a brusquement réalisé qu'on ne pouvait plus négocier avec les Américains. 16:29 Barthélémy Courmont : Et puis on a bien évidemment du côté japonais aussi, les modifications dans l'article 9 de la constitution avec une posture beaucoup plus martiale de la part du Japon sous le mandat du premier ministre actuel monsieur Kishida. 18:45 Juliette Morillot : La Corée du Nord a toujours eu plus confiance en Moscou qu'en Pékin. La Corée du Nord n'a jamais obéi à Pékin. 19:26 Juliette Morillot : Ce qu'ils ne sont pas capables de faire sur le plan balistique ou nucléaire, je pense qu'ils auront cette aide de la part de la Russie. 22:54 Barthélémy Courmont : Quelques jours avant cette rencontre entre Poutine et Kim Jong-un, il y a eu la visite du ministre de la défense sud-coréen en Pologne, pour passer de nouveaux contrats d'armement avec la Pologne, dont on sait bien évidemment l'implication dans la guerre en Ukraine. Le président [sud-coréen] Yoon Suk Yeol, lui-même, à la même époque, en novembre dernier, avait suggéré la possibilité de fournir des armes à l'Ukraine. D'ailleurs, il avait reçu une protestation très vive de Sergueï Lavrov. Il a rétropédalé. [Les liens de la Russie avec Kim Jong-un] cela permet de faire pression sur la Corée du Sud qui se montrait de plus en plus volontaire dans cette guerre en Ukraine, comme l'a d'ailleurs été le Japon à une certaine époque. 28:44 Barthélémy Courmont : Le vice-ministre des affaires étrangères russe, Andreï Rudenko, spécialiste des questions Asie-Pacifique, s'est rendu à Séoul à la fin de la semaine dernière, pour s'expliquer sur les propos tenus par Moscou et puis pour avoir un échange qu'on imagine assez tendu, même si nous n'avons pas d'informations précises à ce sujet. 38:47 Pascal Dayez-Burgeon : La Corée du Nord est une colonie économique de la Chine. [1] https://en.wikipedia.org/wiki/2019_North_Korea–United_States_Hanoi_Summit Modifié le 8 février par Wallaby 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février https://www.asahi.com/ajw/articles/15155824 (8 février 2024) Lassés des salaires impayés et des confinements persistants dus à la pandémie, quelque 3 000 travailleurs nord-coréens en Chine ont organisé des manifestations le mois dernier, selon deux chercheurs affiliés au gouvernement sud-coréen, dont un ancien diplomate nord-coréen. Une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies de 2017, soutenue par la Chine, exigeait que les pays rapatrient tous les travailleurs nord-coréens d'ici décembre 2019, au motif que leur travail était exploité pour obtenir des devises étrangères destinées aux programmes nucléaire et balistique interdits de la Corée du Nord. À l'époque, Pékin avait déclaré avoir rapatrié plus de la moitié des travailleurs nord-coréens, mais n'avait pas précisé de chiffre. Selon le département d'État américain, entre 20 000 et 100 000 Nord-Coréens travailleraient en Chine, principalement dans des restaurants et des usines. Le ministère sud-coréen de l'unification a déclaré dans un rapport publié l'année dernière que la Chine et la Russie accueillaient des travailleurs nord-coréens malgré les sanctions. Le gouvernement russe a déclaré que les restrictions imposées par le COVID rendaient les rapatriements difficiles. "Le mécontentement de ces travailleurs couvait", a déclaré M. Cho. "Maintenant que la frontière est rouverte, ces travailleurs veulent rentrer chez eux. Ce n'est pas facile maintenant, étant donné que le régime nord-coréen veut les garder en Chine pour lever des fonds pour le gouvernement." 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FAFA Posté(e) le 11 mars Share Posté(e) le 11 mars " L’alliance helvético-suédoise à la frontière coréenne questionne la neutralité de la Commission en charge de l’armistice, après l’entrée de la Suède dans l’OTAN. L’entrée de la Suède dans l’OTAN a également un impact indirect sur l’engagement suisse à l’étranger. Des soldats suisses patrouillent avec leurs homologues suédois, désormais membres de l’Alliance atlantique, pour surveiller l’armistice entre les deux Corées. Légalement, la Suède peut toujours faire partie de la Commission de supervision des nations neutres en Corée (CSNN), même si elle fait partie d’une alliance militaire. L’armistice de 1953, après plusieurs années d’affrontements entre Corée du Nord et Corée du Sud, reconnaît comme «neutre» tout pays qui n’avait pas activement participé alors à la force internationale pilotée par les États-Unis. Le détachement suisse de cinq officiers constitue le plus ancien engagement de l’armée à une mission à l’étranger. La Suède avait laissé entendre qu’elle souhaitait poursuivre le sien, doté du même nombre de militaires, malgré son entrée dans l’OTAN. Mandat suédois incompatible Politiquement toutefois, la question pourrait être mal appréciée par la Corée du Nord et son allié chinois, au moment où les tensions entre Pyongyang et Séoul sont actuellement au plus haut depuis des années. Plusieurs observateurs estiment que le mandat suédois est incompatible avec cette situation entre les deux rivaux. La Suisse s’était elle dit prête à trouver d’autres partenaires en cas de retrait suédois de la CSNN. Chaque semaine, les deux chefs de détachement se voient pour se relayer les indications récoltées. Mais des missions d’observation en commun ont également lieu. Ces soldats sont actifs au sud de la ligne de démarcation. Leur rôle est de vérifier les postes d’observation, les postes de garde et les positions d’armes, d’observer les exercices militaires dans la partie sud ou encore de mener des investigations sur les violations présumées de l’armistice entre les deux Corées." https://www.24heures.ch/otan-soldats-suisses-aux-cotes-des-suedois-en-coree-421781338728 1 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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