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un oeil sur la planète, géopolitique Afghanistan.


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Ce soir, lundi 25 février 2008, sur le magazine géopolitique, à 23h10. France 2

Mourir à Kaboul ?

Pour son 20e numéro, Un œil sur la planète propose une émission exceptionnelle tournée dans un Afghanistan en guerre. Car sept ans après avoir été chassés de Kaboul, les talibans n’ont pas baissé les armes. Les combats continuent, de plus en plus meurtriers. 6 000 morts en 2007, dont 1500 civils. L’insécurité augmente, les attentats-suicides se multiplient comme les enlèvements d’étrangers. Et le trafic de drogue explose. Selon un rapport des Nations Unies, la production afghane d’opium représente désormais 93 % du marché mondial ! Au sein de la communauté internationale, on parle de “bourbier afghan”. La situation pourrait y devenir plus critique qu’en Irak.

Et c’est pourtant là que le président français n’exclut pas, désormais, un renforcement de notre présence militaire. Alors que le candidat Sarkozy déclarait en avril 2007 que la présence à long terme de militaires français en Afghanistan, ne lui semblait pas décisive, le président Sarkozy a déclaré en visite à Kaboul en décembre 2007 : “Il se joue ici une guerre contre le terrorisme, contre le fanatisme que nous ne pouvons et ne devons pas perdre”.

Pourquoi un tel revirement ? Peut-on vraiment gagner la guerre en Afghanistan, un pays qui n’a jamais été colonisé ? Si non, que veut-on vraiment y faire ? Quel est le sens de notre présence ici ? Faut-il “mourir pour Kaboul” ?

Reportages:

        Une reconstruction aux forceps

        Un reportage de Dorothée Cochard et Patrick Desmulie.

               

                  La communauté internationale mise sur la modernisation de

                  l’Afghanistan pour pacifier le pays. Des milliards d’euros ont déjà été

                  injectés dans l’économie locale. Ponts, routes, écoles, hôpitaux, faut

                  il repartir de zéro. Si le business repart, les progrès sont lents et la

                  corruption règne. Plus de la moitié des habitants vivent avec moins

                  d’un euro par jour. Et l’insécurité grandissante menace le fragile

                  équilibre. Enquête sur une reconstruction aux forceps.

                   

      Le Bourbier

      Un reportage de Christophe Weber et Franck Mazuet.

Les soldats de la force internationale étaient venus traquer Ben Laden et sécuriser la jeune démocratie afghane, ils se retrouvent à faire la guerre contre les talibans. De plus en plus sanglante. Et les dommages collatéraux sont inévitables. Les missions humanitaires comme les compensations financières ne calment pas la colère des victimes. Et il est difficile de reconstruire quand l’insécurité augmente. Plongée dans le bourbier afghan.

La France dans l’engrenage ?

Un reportage de Amaury Guibert et Emmanuel Beke.

2 000 soldats français servent en Afghanistan. Principalement à la formation de l’armée afghane qui seule peut assurer à long terme la sécurité nationale. D’ici là, les troupes afghanes doivent être encadrées sur le terrain. En appui, des avions de combat français bombardent déjà depuis Kandahar. L’armée française peut-elle éviter l’engrenage ?

Au pays des talibans

Un reportage de Eric de Lavarène et Nadia Bletry.

Il n’y a pas de solution militaire possible en Afghanistan sans tenir compte de la situation dans les zones tribales du Pakistan voisin. Les talibans y trouvent armes, financement et recrues. Les volontaires ne manquent pas pour combattre les forces occidentales. Et le mouvement fait tâche. On évoque désormais une talibanisation du Pakistan.

http://oeil-sur-la-planete.france2.fr/39834657-fr.php

Durée 1h34

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Il va y avoir un reportage sur le mem sujet dans "enquetes eclusives" dimanche prochain sur m6 vers 23 heures.

Serait ce parce que notre president envisage d'y envoyer des renforts pour que l'on assiste a une recrudescence de genre de reportages sur un des theatres d'operation ou est deployer l'armee francaise.

Par contre le reste du temps rien de rien.

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http://www.dailymotion.com/ScOrP93/video/x4ia11_un-oeil-sur-la-planete-le-bourbier_news

http://www.dailymotion.com/ScOrP93/video/x4ia7x_un-oeil-sur-la-planete-le-bourbier_news

Les Soldats de la Force Internationale étaient venus traquer Ben Laden et sécuriser la jeune démocratie afghane, ils se retrouvent à faire la guerre contre les talibans. De plus en plus sanglante. Et les dommages collatéraux sont inévitables. Les missions humanitaires comme les compensations financières ne calment pas la colère des victimes. Et il est difficile de reconstruire quand l’insécurité augmente. Plongée dans le bourbier afghan.

Un reportage de Christophe Weber et Franck Mazuet.

Assez intéréssant, qui me fait persister dans l'inutilité des bombardements aériens... des avions a 100 millions de dollars larquant des bombes de millions de dollars pour rien...

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je dirais qu'il faut bien preperer l'opinion publique à l'envoie de forces armées en Afghanistan, mais bon c'est pas gagné.D'ailleurs se sera interessant de voir la facon dont sera traiter le sujet sur m6 et sur france2...  :rolleyes:

La préparation de l'opinion, cela commence par des articles, le monde sort le sien.

Nicolas Sarkozy élabore avec ses conseillers une nouvelle politique française sur l'Afghanistan. Il serait question d'envoyer des troupes de combat au sol dans les régions orientales bordant le Pakistan, là où la Force internationale d'assistance à la sécurité (ISAF) commandée par l'OTAN combat des djihadistes de la mouvance Al-Qaida.

1900 soldats français en Afghanistan et à DouchanbéKaboul. La France assume le commandement de la région Centre, en alternance avec la Turquie et l'Italie. Elle dispose de 1 200 soldats au sein de la brigade multinationale de Kaboul.

Kandahar. Le groupe aérien français compte 180 hommes, chargés de mettre en œuvre six avions de combat : 3 Mirage 2000 et, depuis le 8 février, 3 Rafale; 200 autres soldats sont basés à Douchanbé (Tadjikistan).

OMLT. Les "Operational Mentoring Liaison Teams" sont des équipes d'instructeurs. La France en a quatre dans la région Est (chacune d'environ 50 hommes), une cinquième devant être créée cet été dans la province d'Oruzgan.

Une centaine d'autres soldats (notamment 30 appartenant aux commandos des forces spéciales) sont intégrés au sein de l'opération "Enduring Freedom" (OEF).

Paris réfléchit au déploiement de centaines de soldats supplémentaires hors de Kaboul, où est actuellement concentré le contingent français. Leur destination serait des zones de combat potentiellement intense, de préférence la région est de l'Afghanistan, face aux régions tribales pakistanaises, indique-t-on à Paris. La guérilla y est constituée de nombreux combattants apparentés à Al-Qaida, et Paris estime que la difficile question de la distinction à établir entre paysans pachtouns et rebelles talibans – une des gageures de cette guerre – se poserait avec moins d'acuité que dans la région sud.

L'Elysée semble déterminé à renvoyer en Afghanistan des commandos des forces spéciales françaises. Celles-ci avaient été partiellement retirées en janvier 2007 par Jacques Chirac (sur 200 hommes, seuls 50 étaient restés pour former les forces spéciales afghanes). Ces commandos français avaient, à partir de 2003, affronté les combattants d'Al-Qaida dans les montagnes proches du Pakistan, aux côtés des forces américaines de l'opération "Enduring Freedom".

C'est à l'occasion du prochain sommet de l'OTAN, en avril, à Bucarest, que Nicolas Sarkozy devrait faire des annonces sur une extension de l'engagement militaire français, qui s'élève actuellement à près de 1900 hommes si l'on compte les soldats basés au Tadjikistan voisin. Depuis son élection, M.Sarkozy a envoyé des avions de combat supplémentaires à Kandahar, et accru l'effort de formation de l'armée afghane.

L'approche du chef de l'Etat tient à la conviction que l'action des Occidentaux en Afghanistan relève de la défense des valeurs des démocraties face au terrorisme djihadiste. Il entend manifester une forte solidarité avec les Etats-Unis, qui ont demandé aux alliés d'accroître leurs contributions en troupes. L'entourage de M.Sarkozy décrit la France comme un pays pouvant "faire la différence" en Afghanistan en renforçant une opération internationale à un moment critique. Plus de six ans après la chute du régime taliban, c'est la crédibilité de l'Alliance atlantique qui est en jeu en Afghanistan.

"La France est le seul pays qui, s'il le décide, peut apporter l'élément-clé", commente-t-on à Paris en passant en revue les problèmes rencontrés par les autres Etats qui contribuent à l'ISAF.

Les Américains fournissent, de loin, le plus grand effectif de l'ISAF. Les Britanniques sont contraints par leur engagement en Irak. Les Canadiens posent des conditions au maintien de leur présence. Les Allemands entendent rester là où ils sont, dans le nord de l'Afghanistan.

Pour Paris, le dossier afghan s'insère en outre dans une séquence diplomatique plus large, qui met en jeu l'ambition affichée par M.Sarkozy de relancer l'Europe de la défense à l'occasion de la présidence française de l'Union européenne, au second semestre 2008, de même que l'idée, lancée en août 2007, que la France puisse "reprendre toute sa place" au sein d'une Alliance atlantique "rénovée". Ce dernier point pourrait, indiquent des diplomates, faire l'objet d'annonces au printemps 2009, lorsque sera célébré le 60e anniversaire de l'OTAN.

Par un affichage fort sur l'Afghanistan, en rehaussant le profil de la contribution française à l'ISAF – faible, en comparaison avec celle d'autres pays européens, et en proportion des capacités de projection françaises –, Paris veut améliorer sa position de négociation face aux Alliés sur les grands chantiers de la sécurité et de la coopération transatlantique.

Pour l'instant, les officiels français ne confirment pas officiellement l'envoi d'un nouveau contingent en Afghanistan : ils se disent juste "prêts" à le faire, soulignant qu'"aucune décision" n'est prise. Outre le souci de ménager un effet d'annonce de M.Sarkozy à Bucarest, Paris veut conserver un levier important dans la discussion sur une réévaluation de la stratégie d'ensemble et des moyens déployés par la communauté internationale auprès de l'Afghanistan. "En Afghanistan, on est à un moment clef. On n'a ni perdu, ni gagné", affirme-t-on côté français. "Mais l'approche générale doit être révisée, sinon la force étrangère sera considérée non pas comme une force de libération, mais comme une force d'occupation."

Meilleure coordination des acteurs internationaux, ainsi qu'entre le civil et le militaire, plus forte responsabilisation de l'armée et de la police afghanes ? Les modalités exactes de cet aggiornamento restent vagues, alors que le cauchemar est identifié : "On n'a pas envie d'être les parrains otaniens d'un narco-Etat talibanisé !", résume un diplomate. Pour l'heure, la communauté internationale apparaît absorbée par la recherche d'un "oiseau rare" pour le poste d'émissaire de l'ONU en Afghanistan, après le rejet du diplomate britannique Paddy Ashdown par le président afghan, Hamid Karzaï.

Paris se prépare à accueillir, en juin, une conférence internationale sur l'Afghanistan, décrite à l'Elysée comme un geste de soutien à M. Karzaï, qui en avait formulé la demande lors de la visite à Kaboul de M.Sarkozy, le 22 décembre 2007. L'option d'un déploiement français dans l'Est de l'Afghanistan aurait, selon Paris, l'avantage de faciliter la cohésion du dispositif militaire français, puisque c'est dans ces régions que sont déjà déployées quatre équipes françaises d'instructeurs militaires (Operational Mentoring Liaison Teams, OMLT), chacune comportant 50 soldats insérés dans des unités de l'armée afghane.

Cette préférence donne lieu à des discussion vives avec le Canada, qui a conditionné la poursuite, au-delà de 2009, de son effort militaire dans le sud, à Kandahar, à l'envoi de 1000 soldats étrangers en renfort. Toutefois l'arrivée dans l'Est de soldats français pourrait permettre à des troupes américaines actives dans le secteur de basculer au sud pour y prêter main-forte aux Canadiens.

La composante anti-Al-Qaida de l'effort militaire français en Afghanistan semble importante pour M. Sarkozy. Les services de renseignement ont détecté que les réseaux djihadistes ancrés dans le Waziristan pakistanais et actifs en Afghanistan ont établi des liens avec les groupes se réclamant d'Al-Qaida en Afrique du Nord, qui constituent une menace pour l'Europe.

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Assez intéréssant, qui me fait persister dans l'inutilité des bombardements aériens... des avions a 100 millions de dollars larquant des bombes de millions de dollars pour rien...

Combien de bombes de la seconde guerre mondiale ont-elles été mal utilisées? Et je ne pense pas que les prix étaient différents... Cela restera toujours la même chose tu sais...

Sinon, merci beaucoup pour cette vidéo

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http://www.dailymotion.com/ScOrP93/video/x4ia11_un-oeil-sur-la-planete-le-bourbier_news

http://www.dailymotion.com/ScOrP93/video/x4ia7x_un-oeil-sur-la-planete-le-bourbier_news

Assez intéréssant, qui me fait persister dans l'inutilité des bombardements aériens... des avions a 100 millions de dollars larquant des bombes de millions de dollars pour rien...

On en parle ici

http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=10361.0

Tout est relatif mais comme il se dit dans les chancelleries et ambassades du monde, l'occident n'a pas à vocation à entretenir et financer un narco-état-talibanisé.

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Combien de bombes de la seconde guerre mondiale ont-elles été mal utilisées? Et je ne pense pas que les prix étaient différents... Cela restera toujours la même chose tu sais...

Sinon, merci beaucoup pour cette vidéo

Je ne crois pas que l'on puisse comparer les affrontements et bombardements en Afganistan et celle de la seconde guerre mondiale, où dans cette dernière des armées dignes de ce nom se sont affrontées. Le deployement en terme de matériels et d'hommes, la mobilisation des états qui ont parcticipé à ce conflit, on était bien plus important à l'époque.  ;)

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Combien de bombes de la seconde guerre mondiale ont-elles été mal utilisées? Et je ne pense pas que les prix étaient différents... Cela restera toujours la même chose tu sais...

Sinon, merci beaucoup pour cette vidéo

Je trouve juste pathétique, quant on connait le prix d'un avion, le prix de son déploiement, de la formation du pilote, de la bombe en elle-même... pourqu'au final la première bombe tue 6 soldats Afgants, et la seconde rate sa cible...

Et d'après ce que j'ai pu lire sur les bombardements aériens en général, c'est pas térrible, pour qu'une bombe tombe réélement sur un groupe énemis il avoir bien plus que de la chance..., et souvent, c'est une maison civil qui trinque.

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La prodigieuse inefficacité des bombardements aériens et les effets catastrophiques sur la population civile ont été largement constaté depuis la seconde guerre mondiale, en Corée et au Vietnam l'usage massif des bombardements eu les mêmes effets, tuer des millions de civils pour des résultats dérisoires.

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Les bombardements dits "tactiques" ont faits des millions de morts civils quand la "tactique" consistait à raser toutes les villes pour ne pas que l'ennemi s'y cache, ce qui a été largement pratiqué, surtout au Vietnam.

La Normandie a été entierement détruite par ces bombardements "tactiques".

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La prodigieuse inefficacité des bombardements aériens et les effets catastrophiques sur la population civile ont été largement constaté depuis la seconde guerre mondiale, en Corée et au Vietnam l'usage massif des bombardements eu les mêmes effets, tuer des millions de civils pour des résultats dérisoires.

Ouais, en même temps à l'époque le bombardement c'était du Grosso-Merdo, aujourd'hui, 200 Satellites Espions + GPS + Laser + Guidage au sol... pour tuer ses propres alliés, faut quant même le faire... mais là n'est pas le pire. Ce que je ne comprend pas, c'est pourquoi tous les pays modernes s'entêtent à croire en cette sorte doctrine qui consite à dire "Supériorté Aérienne = Supériorité tout court"... Voir Liban...

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Les bombardements dits "tactiques" ont faits des millions de morts civils quand la "tactique" consistait à raser toutes les villes pour ne pas que l'ennemi s'y cache, ce qui a été largement pratiqué, surtout au Vietnam.

La Normandie a été entierement détruite par ces bombardements "tactiques".

Bombardement tactique=bombardement tactique vise à obtenir un avantage immédiat de nature à favoriser le déroulement des opérations

Bombardement stratégique=Le bombardement stratégique a pour but de passer la ligne de front ennemie et d'attaquer plutôt les structures de commandement politique et militaire, son complexe militaro-industriel et l'économie du pays en détruisant ses mines, ses usines, ses infrastructures voire ses villes.

Ne pas confondre les 2.

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Parsqu'il y'a tout d'abord une pression tres forte des militaires des armées de l'air, puis les pressions du complexe militaroindustriel qui a ses propres interets qui different souvent de objectifs purement militaires.

Par exemple le choix par les USA de l'avion comme vecteur de la bombe atomique dans les années 50 alors qu'ils avaient Werner von Braun et sa technologie des missiles et pouvaient la moderniser à souhait est un choix qui ne relève pas de la décisions purement logique et efficace, mais plutôt des interets de l'air force, de Boeing et d'autres constructeurs d'avions.

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les pays modernes s'entêtent à croire en cette sorte doctrine qui consite à dire "Supériorté Aérienne = Supériorité tout court"... Voir Liban...

C'est un sentiment hériter de la 2ème GM car dans un conflit conventionel avoir la superiorité aérienne c'est techniquement gagner la guerre.

Dans un conflit asymétrique c'est la superiorité au sol qui prime mais ça reste quand meme un gros moyen de pression surtout sur le plan politique.

Pour zamorana.

Je vais paraitre cynique mais faut savoir faire la différence entre Une formation de b52 qui réduiront la moitié d'hanoi en centre en faisant des millier de mort et un skyraider qui en feras 10  dans un petit village.

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