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La Russie prête à intervenir militairement si nécessaire en Abkhazie


Invité barbaros pacha
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Invité barbaros pacha

La Russie prête à intervenir militairement si nécessaire en Abkhazie




MOSCOU - La Russie protègera par "tous les moyens", y compris "militaires", ses citoyens en Abkhazie et Ossétie du Sud, républiques séparatistes de Géorgie, si un conflit devait éclater avec Tbilissi, a annoncé vendredi un haut responsable de la diplomatie russe, Valeri Keniaïkine.

"Si un conflit militaire éclate, alors nous devrons réagir, y compris par des méthodes militaires", a déclaré le représentant spécial du ministère russe des Affaires étrangères pour les relations avec la CEI (pays de l'ex-URSS, sauf les Etats baltes) au cours d'un point de presse à Moscou.

"Nous défendrons les intérêts de nos concitoyens par tous les moyens dont nous disposons", a ajouté M. Keniaïkine.

Selon le responsable russe, "la partie géorgienne accentue sa présence militaire" aux portes de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud".

"Du matériel est acheminé pratiquement chaque jour, en partie de Turquie" :rolleyes: :O, a-t-il affirmé, décrivant les troupes déployées "capables d'entreprendre des actions militaires".

La Géorgie accuse la Russie de chercher à annexer les deux territoires en soutenant les "autorités" séparatistes et en encourageant les habitants à prendre la nationalité russe.

Les relations entre Tbilissi et Moscou se sont détériorées ces dernières semaines après l'annonce par le président russe Vladimir Poutine d'une coopération plus étroite entre la Russie et les deux régions séparatistes.

La Russie a "passé la ligne rouge" et commis un "acte dangereux et provocateur" qui pourrait "déstabiliser toute la région", avait dénoncé vendredi à Paris le vice-Premier ministre géorgien Georgui Baramidzé.

En réaction, l'Allemagne, les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne ont appelé mercredi la Russie à revenir sur cette décision.

La Finlande, qui préside actuellement l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), a envoyé un émissaire en Géorgie pour tenter de résoudre la crise.

Parallèlement, Russes et Géorgiens se sont affrontés dans une guerre des mots après qu'un drone géorgien, survolant l'Abkhazie, a été abattu en plein vol.

Les Géorgiens ont affirmé, images vidéos à l'appui, que le drone avait été abattu par un Mig-29 russe, alors que Moscou et Soukhoumi, la "capitale" abkhaze, assurent que ce sont les forces armées abkhazes qui ont tiré sur l'appareil.

L'Abkhazie et l'Ossétie du Sud ont proclamé leur indépendance unilatéralement au début des années 1990 et l'ont défendue par les armes contre les forces géorgiennes. Jusqu'ici, aucun pays n'a reconnu leur indépendance, pas même la Russie qui les soutient économiquement.

Swiss News
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Invité barbaros pacha

Deux nouveaux drones géorgiens abattus dans le ciel abkhaz





18:32 | 04/ 05/ 2008
MOSCOU, 4 mai - RIA Novosti. Les autorités abkhazes ont affirmé avoir abattu deux nouveaux drones géorgiens, portant ainsi à quatre le nombre d'appareils abattus en quelques semaines dans le ciel abkhaz.

"Les avions volaient à une altitude de 7.000 mètres et ont été abattus par notre DCA", a affirmé par téléphone à RIA Novosti Rouslan Kichmaria, représentant plénipotentiaire du président de la république non reconnue dans le district de Gali.

Plus tôt, le ministre abkhaz de la Défense Merab Kichmaria avait fait état d'un drone abattu dimanche dans le district d'Otchamtchira, aux alentours de 16h00. Il avait indiqué que cet appareil appartenait à la même catégorie que ceux déjà abattus en Abkhazie.

Selon le représentant plénipotentiaire du président abkhaz, le second appareil aurait été abattu entre les districts d'Otchamtchira et de Gali. Il a précisé que compte tenu de l'altitude à laquelle volaient les drones, des fragments des appareils étaient disséminés dans un rayon de huit à 12 kilomètres.

Il a noté qu'un groupe d'experts travaillait déjà sur les lieux du crash du premier appareil et qu'un groupe de recherche avait été dépêché sur les lieux du second incident.

L'information sur deux drones abattus en Abkhazie a été confirmée par le ministre abkhaz de la Défense.

Ces incidents portent donc à quatre le nombre de drones abattus en Abkhazie en quelques semaines. Le dernier incident remonte au 20 avril dernier. Il avait entraîné une détérioration des relations entre Moscou et Tbilissi. La Géorgie avait accusé la Russie d'avoir elle-même abattu le drone géorgien au moyen d'un MiG 29. Les forces de défense anti-aérienne russes ont formellement démenti les assertions géorgiennes.

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Invité barbaros pacha

les Géorgiens n'ont qu'à pas sortir leur drones...

Ces sont des territoires Géorgiens...donc je vois pas pourquoi ils sortirai pas leurs drones...

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Ce territoire est aussi géorgien que le Kosovo est yougoslave... Aux dernières nouvelles le Kosovo est un état indépendant reconnu par un certain nombre de pays dont des représentants du CS...

Cette région réclame son indépendance et les manœuvres géorgiennes ne font que laisser à penser qu'ils veulent en venir aux mains ou tout du moins pourrir la situation.

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Invité barbaros pacha

Il y'a une base US en georgie?? ça pourrait etre un moyen d'embeter les Russes non.?

Et serait 'il possible d'imaginer des maniplation ou aide georgienne aux different separatistes du caucase en riposte?

Non, sa sera peut etre en Azerbaïdjan pour proteger le BTC...

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L’affaire est plus étendue,

La Russie veut récupérer d’une façon ou autre le  caucase (y compris Azerbaïdjan), et l’histoire de prendre sa revanche sur les USA et punir les européens en mettant à l’échec le projet gazier européen Nabucco en faveur de son projet South Stream.

Le reste est facile à imaginer

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Invité barbaros pacha

L’affaire est plus étendue,

La Russie veut récupérer d’une façon ou autre le  caucase (y compris Azerbaïdjan), et l’histoire de prendre sa revanche sur les USA et punir les européens en mettant à l’échec le projet gazier européen Nabucco en faveur de son projet South Stream.

Le reste est facile à imaginer

Azerbaïdjan? Je pense pas, la Turquie sera trés trés hostile a cela...vue que les Russes aident les Arméeniens, sa pourrait déraper dans la région, je pense a deux axes...

l'axe "occidentale" Washington-Ankara-Tbilissi-Baku

L'axe "Rouge" Moscou-Teheran-Erevan

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Invité barbaros pacha

comment sont les relation en Azéri d'Azerbaïdjan et ceux d'Iran ?????

Bon les Azeris sont plus nationalistes que les Azeri d'Azerbaïdjan, car les Rouges n'ont pas pas laver (avec leur ideologie barbare) la tête des Azéris d'Iran...

Il y aurait 30 millions de turcophone en Iran sur une population de 70 millions d'habitants, sa fait beaucoup... ;)

Image IPB

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Bon les Azeris sont plus nationalistes que les Azeri d'Azerbaïdjan, car les Rouges n'ont pas pas laver (avec leur ideologie barbare) la tête des Azéris d'Iran...

Il y aurait 30 millions de turcophone en Iran sur une population de 70 millions d'habitants, sa fait beaucoup... ;)

D’où tiens tu ce chiffre du 30 millions de turcophone, l’estimation faite entre 20 à 24% de turcophone soit entre 14 à 16 millions, d’autre part 90% d’azéri en Iran sont des chiites y compris en Rep. d’Azerbaïdjan.(qui faisait parti d’Iran jusqu’à 1928  http://fr.wikipedia.org/wiki/Trait%C3%A9_de_Turkmanchai)

La langue turque qu’ils parlent est différente que les turcs de la Turquie, de même l’écriture, les turcs utilisent les alphabets cylindriques et ceux d’Iran de Farsi.   

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Invité barbaros pacha

D’où tiens tu ce chiffre du 30 millions de turcophone, l’estimation faite entre 20 à 24% de turcophone soit entre 14 à 16 millions, d’autre part 90% d’azéri en Iran sont des chiites y compris en Rep. d’Azerbaïdjan.(qui faisait parti d’Iran jusqu’à 1928 1828   http://fr.wikipedia.org/wiki/Trait%C3%A9_de_Turkmanchai)

La langue turque qu’ils parlent est différente que les turcs de la Turquie, de même l’écriture, les turcs utilisent les alphabets cylindriques et ceux d’Iran de Farsi.   

Je compte pas que les Azéris, mais aussi les Turkmen et les Qashqai...qui sont tous Turcophones sans exception...

Oui je me suis tromper entre le pourcentage et le nombre d'habitants..

Entre 25% et 30% de la population Iranienne est Turcophone pour une population de 70 millions d'habitants...donc en gros sa fait 20 millions d'Iraniens...

Il n'y aucune difference entre le Turc d'Iran et celui de Turquie, c'est la meme langue (sauf l'alphabet), quand je me suis rendu en Iran, ils parlaient bien le Turc, et puis si tu veut parlé d'alphabet, il n'y a pas d'alphabet Persane mais l'Iran utilise l'alphabet Arabe... ;)

Les autorités Iraniennes ont commencé à prendre des mesures pour combattre le nationalisme croissant des Azéris. Ceux qui parlent des droits des Azéris sont étiquetés par les représentants du gouvernement et les médias accusés d'être «séparatistes» ou d'être des «espions turcs». De nombreux «espions turcs» sont régulièrement arrêtés et jetés en prison sans procès.

Et puis sa veut rien dire qui soient chiites, une fois qu'ils seront nationalistes, la on verra bien si ils ecoutent les Mollahs de Téhéran...

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Je compte pas que les Azéris, mais aussi les Turkmen et les Qashqai...qui sont tous Turcophones sans exception...

Oui je me suis tromper entre le pourcentage et le nombre d'habitants..

Entre 25% et 30% de la population Iranienne est Turcophone pour une population de 70 millions d'habitants...donc en gros sa fait 20 millions d'Iraniens...

Il n'y aucune difference entre le Turc d'Iran et celui de Turquie, c'est la meme langue (sauf l'alphabet), quand je me suis rendu en Iran, ils parlaient bien le Turc, et puis si tu veut parlé d'alphabet, il n'y a pas d'alphabet Persane mais l'Iran utilise l'alphabet Arabe... ;)

Les autorités Iraniennes ont commencé à prendre des mesures pour combattre le nationalisme croissant des Azéris. Ceux qui parlent des droits des Azéris sont étiquetés par les représentants du gouvernement et les médias accusés d'être «séparatistes» ou d'être des «espions turcs». De nombreux «espions turcs» sont régulièrement arrêtés et jetés en prison sans procès.

Et puis sa veut rien dire qui soient chiites, une fois qu'ils seront nationalistes, la on verra bien si ils ecoutent les Mollahs de Téhéran...

Qu’ils soient 20, 30, 50 millions peu import, ils sont iraniens,

Dans tous les pays du monde les séparatistes sont puni, y compris en Turquie (voir les Kurdes).

Pendant qu’Ahmed I (1603-1617) se complaît au harem, le vrai danger apparaît à l’est : les Séfévides se réveillent avec le shah Abbas, ils envahissent les territoires ottomans, et culbutent sévèrement une armée ottomane au lac Urmiya en septembre 1605. Si le grand vizir Mourad pacha Kuyucu rétablit quelque peu la situation, le traité signé en novembre 1612 sur la base de celui de 1555 est défavorable à l’empire : il signifie en effet la perte des conquêtes de 1590, l’empire recule déjà de ce côté là !

Et depuis calme total sur les frontières deux pays.Désolé de casser ton rêve d’empire d’ottoman Fin HS.

on revient au sujet

le mouvement russe vers la gerogie est un avertissement pour instant .

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Ben les filles qui sont majeures à 9 ans et donc susceptible dès cet âge d'être mariée et condamnée à mort.

Sinon les lapidations, etc.

Tu te trompe, pour les filles se passent en Afghanistan et Yémen.

Pour lapidations, se fait en Provence sans accord de pouvoir judiciaire d’état, mais je l’admet elle doit arrêter. Tu sais L'Ayatollah Khomeiny a interdit cette procédure condamnable, mais arrivés au pouvoir les talibans en Afghanistan a réveillé certaine démon chez les disons ultra (pour moi les ultras obscurantistes),

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Une guerre en Abkhazie évitée grâce à Kouchner

O.W. (lefigaro.fr) avec AFP

14/05/2008

Selon un responsable géorgien, le ministre français des Affaires étrangères est intervenu auprès de Moscou pour empêcher un conflit à propos de ce territoire pro-russe situé en Géorgie.

«Si nous vivons aujourd'hui en paix et si rien ne se passe, c'est grâce à lui». «Lui» n'est autre que Bernard Kouchner. Selon Temour Iakobachvili, ministre géorgien de la Réintégration, une «guerre» a été évitée en Abkhazie grâce à un coup de téléphone du ministre français des Affaires étrangères à son homologue russe Sergueï Lavrov. L'Abkhazie, territoire situé dans le nord-ouest de la Géorgie mais pro-russe est objet de discorde entre Moscou et Tbilissi.

«Récemment, alors que la situation était extrêmement tendue et connaissait une escalade, Kouchner est personnellement intervenu en appelant son homologue russe Lavrov», a raconté mercredi Temour Iakobachvili, sur la chaîne de télévision géorgienne Roustavi-2. Et de poursuivre : «le résultat de cette conversation : il n'y a pas de guerre aujourd'hui en Géorgie», dans la région séparatiste d'Abkhazie. Il n'a pas donné de précisions sur la teneur et la date de cette conversation.

Tensions à propos de ce territoire séparatiste

Le 6 mai à Bruxelles, Iakobachvili, ministre chargé des questions liées à l'Abkhazie et à l'Ossétie du Sud, avait accusé le voisin russe de pousser la Géorgie à la guerre en Abkhazie,exprimant sa «grande inquiétude». Deux jours plus tard, le président géorgien pro-occidental Mikheïl Saakachvili avait aussi estimé que son pays avait été «proche» d'une «guerre» avec la Russie à cause de l'Abkhazie.

Deux événements ont dégradé les relations déjà tendues entre les deux pays.Tbilissi a ainsi accusé Moscou d'avoir abattu un de ses drones, le 20 avril, au-dessus de l'Abkhazie. La Géorgie a également vécu comme une provocation le déploiement de soldats supplémentaires par la Russie. Moscou, qui compte encore en Abkhazie une force de maintien de la paix - en vertu d'un accord de cessez-le-feu conclu sous l'égide des Nations unies en 1994-, a en effet commencé à renforcer ce contingent pour parer à une éventuelle attaque de Tbilissi. Sa présence militaire atteint désormais 2 500 hommes.

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