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[Union Européenne] nos projets, son futur


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Le dernier numéro d’Armées d’aujourd’hui fait la part belle aux armées de l’UE. Chacune de ces 28 armées est synthétiquement présentée ainsi que les opérations auxquelles elles participent au niveau international. Le tout accompagné d’un entretien avec le président du comité militaire de l’UE, le général de Rousiers.

 

http://fr.calameo.com/read/00033162782deb299eece

 

Une nouvelle conférence de génération doit se tenir ce jeudi (13 mars) au Conseil de l’UE pour compléter le dispositif de l’opération militaire EUFOR RCA. C’est la quatrième. Les autres conférences de génération n’ont pas abouti. Et la conférence logistique tenue en Grèce n’a pas non plus à réussi à combler tous « les trous ». L’opération souffre encore de difficultés en matière de transport stratégique (Europe-Bangui) et de différentes fonctions logistiques assez concrètes sur place.  =(

 

http://www.bruxelles2.eu/zones/asie-centrale-georgie-russie-europe-caucase/eufor-rca-enlisee-dans-des-questions-logistiques.html

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La Pologne, la Hongrie, la République tchèque et la Slovaquie ont signé ce jour un pacte visant à coordonner leur stratégie de défense et créer une unité de combat commune au sein de l'OTAN et de l'Union européenne. Ils comptent ainsi répondre à la crise ukrainienne.

«La situation actuelle en Europe illustre que malheureusement, un conflit militaire, impensable il y a peu, pourrait avoir lieu», a déclaré le ministre de la défense polonais Tomasz Siemoniak lors d'une conférence de presse à Visegrad, une ville à 40 kilomètres au nord de Budapest.
La crise en Ukraine a démontré l'importance «d'une coopération plus dynamique» entre les quatre pays de Visegrad (Pologne, Hongrie, République tchèque et Slovaquie ou V4) au sein de l'OTAN et de l'Union européenne (UE), a-t-il ajouté.
L'unité de combat «V4-UE», d'un effectif total de 3000 hommes, sera opérationnelle à partir de 2016. «Elle devrait fonctionner comme une unité régionale au sein des opérations de l'UE ou de l'OTAN», a précisé Csaba Hende, ministre hongrois de la défense.

(Tribune de Genève- Tdg.ch)

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Ce pacte n'a qu'un seul objectif, préparer une guerre hypothétique contre les russes. On peut pas dire qu'il soit vraiment utile pour autre chose, sauf peut-être pour un future déploiement en Ukraine. O0  On le verra faire régulièrement des exercices de manœuvre simulant une attaque des russes sous l'œil bienveillant et paternel des américains, et la base arrière que représente l’Allemagne pour les états-uniens prend encore plus d'importance pour leur politique d'influence en Europe.

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Quand on voit justement ce qui ce passe aux frontières de la Russie depuis 2008, mieux prévoir le prévoir le pire en espérant le meilleur. Vous oublié les pays baltes avec leur minorité russophones et la Moldavie avec ses régions séparatistes ou cette formation peut servir.

 

Faut voir aussi comment ces minorités russophones sont traitées dans les pays Baltes ... J'ai récemment vue un épisode de Wallander qui se déroule en Lettonie, ou un des personnages d'origine russe (mais née et grandi en Lettonie) explique au protagoniste qu'il n'a pas droit à la citoyenneté lettonienne. (Je sais c'est pas une référence  :-[  )

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Faut voir aussi comment ces minorités russophones sont traitées dans les pays Baltes ... J'ai récemment vue un épisode de Wallander qui se déroule en Lettonie, ou un des personnages d'origine russe (mais née et grandi en Lettonie) explique au protagoniste qu'il n'a pas droit à la citoyenneté lettonienne. (Je sais c'est pas une référence  :-[  )

 

marrant, j'en parlait ici :

 

Un peu HS mais pas tant que ça :

 

Les Pays Baltes, une grande histoire. Il faudra qu'ils règlent le problème des apatrides si jamais ils ne veulent pas un jour de problèmes dans le futur.

 

Je me suis baladé dans les 3, et dans l'Est de l'Estonie, il y a un paquet de «personnes ayant la citoyenneté indéterminée» (Est määratlemata kodakondsusega Isik, le nom estonien officiel d'après wiki). Ce sont principalement des personnes de l'ex union soviétique, dont beaucoup de russe, qui n'ont pas pu rentrer et à qui la nationalité n'a pas été accordée faute de remplir les critères définis à l'époque par les nationalistes (droit du sang par les ascendants estonien... de 1932). 

Plus d'info ici : http://blogs.mediapart.fr/edition/wwwe-stoniefr/article/260511/nationalite-neant ou http://fr.wikipedia.org/wiki/Non-citoyens_de_Lettonie

 

 

Cela ne nous a bien sûr pas dérangé lorsque nous avons intégré ce pays à l'UE, et pourtant tous les membres de l'UE sont signataires de la convention de 1954.

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Le président moldave, Nicolae Timofti, qui craint une répétition du scénario ukrainien en Moldavie, a pressé mercredi l’Union européenne d’accélérer la signature d’un accord d’association et d’offrir des perspectives claires d’adhésion à son pays. «J’espère que nous aurons le soutien de l’Union européenne pour signer le plus rapidement possible l’accord d’association. C’est important dans le contexte actuel dans la région», a déclaré Timofti après une rencontre avec son homologue roumain Traian Basescu à Iasi, dans le nord de la Roumanie et à la veille d’un sommet européen.

«Mon pays a demandé à l’Union de lui offrir une perspective claire d’adhésion», a-t-il ajouté.

 

La Moldavie est l’un des deux pays de l’ex-bloc soviétique, avec la Géorgie, à avoir paraphé un accord d’association lors du sommet du Partenariat oriental de l’UE à Vilnius en novembre, après le retrait soudain de l’Ukraine. Cet accord doit être encore finalisé juridiquement avant d’être formellement signé.

Depuis, le pays craint des pressions de la Russie et une répétition de ce qui s’est passé en Crimée dans la région séparatiste prorusse de Transnistrie. Cette région avait fait sécession, avec le soutien de Moscou, à l’issue d’une guerre en 1992, un an après la chute de l’URSS, mais son indépendance n’a été reconnue par aucun pays. La Russie y maintient depuis des soldats, contre la volonté du gouvernement moldave, et malgré l’engagement pris en 1999 de les retirer.

 

Suite : http://www.liberation.fr/monde/2014/03/19/la-moldavie-presse-l-ue-d-accelerer-ses-perspectives-d-integration_988311

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Les Européens ont bouclé in extremis jeudi leur projet d'union bancaire, permettant la mise en oeuvre en 2016 de ce dispositif complexe qui doit éviter aux contribuables de payer pour les banques en cas de nouvelle crise.

Les négociateurs du Parlement européen et des Etats de l'UE sont parvenus à un accord jeudi matin au terme d'une nuit de négociation marathon.

Ce compromis "nous permet de compléter l'architecture de l'union bancaire", il va "renforcer la confiance dans les marchés financiers et leur stabilité, et permettra de relancer les prêts à l'économie", s'est réjoui le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso.

"C'est un énorme succès", a renchéri Martin Schulz, le président du Parlement européen. Le président du Conseil, Herman Van Rompuy, a salué une "avancée cruciale" et le commissaire européen en charge des Services financiers, Michel Barnier, "un grand pas en avant pour casser le lien entre crise bancaire et crise souveraine".

 

Suite : http://www.boursorama.com/actualites/les-europeens-bouclent-in-extremis-leur-projet-d-union-bancaire-23316935bbb122619e9ee1f5b2144834

 

La Lituanie espère adhérer à l'euro début 2015 et prépare activement sa candidature, malgré les inquiétudes liées à ses relations commerciales avec la Russie, a fait savoir aujourd'hui son ministre des Finances, Rimantas Sadzius.

Après l'adhésion de l'Estonie et de la Lettonie, la Lituanie oeuvre pour devenir à partir du 1er janvier 2015 le 19e membre de l'Union monétaire, après une première tentative ratée en 2006-2007. L'objectif est d'avoir tout bouclé "fin juillet", a déclaré Rimantas Sadziusaujourd'hui lors d'une rencontre avec la presse à Bruxelles.
La Commission européenne doit rendre un rapport courant juin, puis ce sera aux Etats représentés au sein du Conseil européen de se prononcer, puis au Parlement européen, ce qu'il fera en juillet.

 

Suite : http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/03/18/97002-20140318FILWWW00299-la-lituanie-en-campagne-pour-adherer-a-l-euro.php

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Pologne : le gouverneur de la Banque centrale voit l'adhésion à la monnaie unique comme une protection.

 

Le sujet divise en Pologne. Voisine occidentale de l'Ukraine et soutien indéfectible du gouvernement provisoire à Kiev, la Pologne est aux premières loges de la crise actuelle. Si Varsovie compte d'abord sur Washington pour assurer sa sécurité - les États-Unis viennent d'annoncer l'envoi de chasseurs F16 en Pologne - le parapluie économique européen a retrouvé de son attrait auprès des responsables polonais.

«La crise (ukrainienne) montre que cela vaut le coup de faire un investissement supplémentaire dans l'Union européenne. Il conviendrait peut-être de reconsidérer l'enjeu de notre adhésion à l'euro», a déclaré le 3 mars dernier le gouverneur de la banque centrale polonaise, Marek Belka. Le surlendemain, il précisait ses propos en disant que rejoindre le club de l'euro protégerait mieux la Pologne contre des troubles extérieurs.

 

Suite :

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/03/18/20002-20140318ARTFIG00012-ukraine-la-crise-relance-l-euro-en-pologne.php

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Les Vénitiens massivement favorables à leur indépendance.

 

Si la région de Venise devait décider de son indépendance, ses habitants y seraient très majoritairement favorables. Une consultation, organisée depuis le début de la semaine par un comité baptisé Plebiscito.eu et qui a pris fin vendredi 21 mars, a mobilisé près de 73 % du corps électoral. A 89 %, les votants se sont dits favorables à la séparation de la Vénitie d'avec le reste de la pénisule italienne.

Ce résultat n'aura aucune conséquence juridique ou politique, mais il servira à soutenir un appel à référendum pour l'indépendance de la Vénétie.

 

Suite : http://fr.news.yahoo.com/v%C3%A9nitiens-massivement-favorables-%C3%A0-ind%C3%A9pendance-205033659.html

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Malgré son système imparfait et ses institutions si critiquables, l'Europe finit toujours par résoudre ses problèmes.

 

http://www.slate.fr/story/84871/europe-repart

 

Le ministre polonais de la Défense, Tomasz Siemoniak, a plaidé samedi pour un renforcement de la présence militaire des Etats-Unis en Pologne et dans d'autres pays d'Europe centrale et orientale membres de l'Otan à la suite des événements en Ukraine. Selon lui, Washington est favorable à cette idée mais aucune discussion n'a encore été engagée sur le sujet.

Le vice-président américain, Joe Biden, s'est rendu mardi en Pologne et il a confirmé à cette occasion que les Etats-Unis allaient y déployer d'ici 2018 des éléments d'un bouclier antimissile. "Les Etats-Unis doivent accroître leur présence en Europe centrale et de l'Est, y compris en Pologne", a déclaré Tomasz Siemoniak à la radio RMF FM. "Nous allons discuter des détails et je suis heureux que les représentants des Etats-Unis, que le vice-président américain soient ouverts à l'idée d'ouvrir de tels échanges", a-t-il ajouté.

 

http://www.europe1.fr/International/La-Pologne-souhaite-l-envoi-de-troupes-americaines-en-Europe-1921433/

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Alexandre, avec votre avatar, et vos différents messages, j'en ai déduit que vous êtes un pro européens acharnés...mais vous avez l'air d'être aussi un grand fan  des Usa, à un moment, faut choisir son camps. J'ai du mal à comprendre la logique, pourriez vous m'expliquer? pour moi, les usa sont le principal concurrent économique à l'Europe, avec la zone asie.

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J'ai choisi mon camp et ce n'est pas celui des USA.

Les USA profitent des divisions de l'europe avec la complicité de ceux qui sont hostiles au fédéralisme, à l'extrême droite comme à l'extrême gauche.

Affaiblir l'europe ce n'est pas renforcer chaque pays, c'est ouvrir la porte aux USA et réduire la capacité d'action politique, économique et militaire de 28 pays au moment où les autres puissances (outre les USA/alena et la Chine) se constituent en blocs économiques : Union Eurasiatique, Unassur, Union africaine, etc..

La Pologne se tournant vers les USA pour obtenir une protection militaire que le reste de l'europe est incapable de lui fournir est un échec de plus.

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« Nous sommes européens et nous avons notre place dans l'Union européenne, affirme Elena Manoil. Nous en avons assez du communisme, de la corruption et d'une vie sans perspectives. »

 

Et bien qu'ils se bougent les fesses alors comme les islandais l'ont fait...Nous en en a assez du dumping social de la précarisation et d'une vie sans perspective pour les jeunes.

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J'ai choisi mon camp et ce n'est pas celui des USA.

Les USA profitent des divisions de l'europe avec la complicité de ceux qui sont hostiles au fédéralisme, à l'extrême droite comme à l'extrême gauche.

Affaiblir l'europe ce n'est pas renforcer chaque pays, c'est ouvrir la porte aux USA et réduire la capacité d'action politique, économique et militaire de 28 pays au moment où les autres puissances (outre les USA/alena et la Chine) se constituent en blocs économiques : Union Eurasiatique, Unassur, Union africaine, etc..

La Pologne se tournant vers les USA pour obtenir une protection militaire que le reste de l'europe est incapable de lui fournir est un échec de plus.

effectivement sur se point je suis d'accord avec toi .

 

quand je m'en prend à l'Europe ,se n'est pas celle que tu rêves (et la mienne par la même occasion vu l'angle que tu présentes ) mais à se désastre qu'on connait aujourd'hui .

 

au final est ce que la Russie est un problème pour l'Europe ?

 

nous avons nos frontières délimité ,mais on a l'OTAN et donc les USA pour nous coupé les "pattes" ...donc sa ne vient pas des Russes les PB dans les grande ligne .

 

avec des pays qui sont resté dans le giron US ,avec la GB et d'autres ...

 

dommage ,se que tu rêve ,je le rêve aussi mais j'en suis arrivé à un tel niveau de blase que sa en devient frustrant .

 

voir mon post sur le file de l'Europe de la défense au niveau d'une vrai armée Européenne .

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Les Vénitiens massivement favorables à leur indépendance.

 

Si la région de Venise devait décider de son indépendance, ses habitants y seraient très majoritairement favorables. Une consultation, organisée depuis le début de la semaine par un comité baptisé Plebiscito.eu et qui a pris fin vendredi 21 mars, a mobilisé près de 73 % du corps électoral. A 89 %, les votants se sont dits favorables à la séparation de la Vénitie d'avec le reste de la pénisule italienne.

Ce résultat n'aura aucune conséquence juridique ou politique, mais il servira à soutenir un appel à référendum pour l'indépendance de la Vénétie.

 

Suite : http://fr.news.yahoo.com/v%C3%A9nitiens-massivement-favorables-%C3%A0-ind%C3%A9pendance-205033659.html

 

- Ecosse

- Catalogne

- ...et maintenant la Vénétie ?

(je mets à part la Crimée qui est un cas différent à plusieurs égards)

 

Cela fait de plus en plus d'exemples de régions certes parfois particularistes mais qui l'avaient jusqu'ici vécu sur un mode plus ou moins mineur... et qui poussent pour être séparées du reste de leur pays.

 

Ca commence à ressembler à une tendance.

 

Mais prépare-t-on l'avenir en cassant ce qui existe ? Quel besoin d'aller amputer Espagne, Italie, Grande-Bretagne... est-ce que être espagnol, italien ou britannique serait une honte ? Et en quoi être catalan, vénitien ou écossais serait-il plus honorable ?

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Les américains ne profitent de rien car il n'y a déjà pas d'union comme le désire la vision franco-française ... Injuste de chercher de mettre tout sur le dos des américains lorsque les problèmes sont avant tout européen, c'est le même réflexe qu'ont les racistes qui vilipendent les immigrés car  "ils volent notre travail!". Alors qu'au concrètement l'U-E est une chance pour les Etats-Unis, dont la création a largement bénéficié du soutien et approbation de ces derniers. Ils y trouvent un marché stable et prospère, ainsi que des alliés fiables et compétents dans des domaines qui arrangent bien la politique mondiale américaines. Ils favorisent même l'extension de l'union pour agrandir leur réseaux économiques, culturels et militaires avec l'accord de tout les membres de l'union européenne.

 

On ne peut unir des nations qui ne partage absolument pas la même vision du monde, car la vision franco-française du monde n'est pas du tout partagée par les autres membres de la communauté européenne. Croire que les allemands vont abandonner leur politique anti-nucléaire et pacifistes pour les beaux yeux de la France, se fourrent le doigt dans l'œil. Car les allemands est un peuple souverain qui connait bien mieux leur besoin et ambition que les français. Et que comme les allemands, les autres nations d'Europe sont des pays souverains qui n'ont rien n'a foutre de la France ainsi que son idéale européen. Que les valeurs qui aspirent les français que se soit d'une point de vue sociétale, culturel et organisationnel ne sont pas les mêmes que tout les européens.

Modifié par Rochambeau
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L'Europe encerclée par les zones de conflits : 

 

L’Europe apparait aujourd’hui comme un havre de paix avec des voisins menaçants ou menacés. La « ceinture » d’instabilité qui partait d’Afghanistan et allait jusqu’au Golfe de Guinée en passant par le Yemen, la Somalie, le Soudan, le Mali etc. – dans le début des années 2010 ! – s’est aujourd’hui doublée, d’une autre ceinture beaucoup plus proche, beaucoup plus soudaine et tout aussi risquée.

 

Tout d’abord, les zones de conflit ouvert = véritable guerre (Syrie), puis les instabilités fortement conflictuelles (Libye, Irak, Gaza) et les instabilités politiques (Egypte, Palestine et peut-être demain Algérie). Vous verrez que la frontière « sud » n’est pas des plus rassurantes. D’autant que l’on n’a pas mentionné la Tunisie (avec un risque de terrorisme avéré), le Liban (secoué de temps à autre par un attentat, et affecté par le conflit proche de Syrie). Rajoutez-y les conflits gelés – où la Russie est un acteur chevronné : Transnistrie, Abkhazie, Ossétie du Sud, Haut Karabagh et Crimée aujourd’hui… Et on pourrait aussi mentionner « notre » conflit gelé européen avec Chypre et la Turquie....

 

Suite : http://www.bruxelles2.eu/defense-ue/defense-ue-droit-doctrine-politique/au-voisinage-de-leurope-le-calme-plat.html

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La présidente lituanienne, Dalia Grybauskaite, a appelé le gouvernement, le 27 mars, à plus que doubler le budget de la défense d’ici 2019, afin d’atteindre la norme de 2% du PIB fixée par l’Otan. « En cinq ans, nous pouvons atteindre cet objectif », a-t-elle estimé lors d’un discours prononcé au Parlement.

 

Les forces armées lituaniennes ont un format très modeste, avec environ 8.000 militaires et 2.000 civils employés par la Défense (le pays compte près de 3 millions d’habitants), auxquels l’on peut ajouter 4.300 réservistes. Le service militaire a été suspendu en 2008. Côté équipements, les plus récents (avions de transport Alenia C-27J Spartan par exemple) côtoient des antiquités, comme des appareils d’entraînement Antonov-2 « Colt »).

 

http://www.opex360.com/2014/03/28/la-lituanie-veut-doubler-son-budget-de-la-defense-dici-5-ans/

 

Bilan 2013 de la politique de voisinage de l'Union Européenne : 

 

http://europa.eu/rapid/press-release_IP-14-315_fr.htm

 

Les autres news : http://europa.eu/newsroom/highlights/index_fr.htm

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réinvestir dans la défense en ces périodes de vaches maigres est il une bonne chose ou pas ?

Je me souviens d'avoir lu un article disant que lorsque l'état dépensait dans la défense, ça faisait majoritairement travailler des boites françaises, sur le sol français, et que donc plus de rentrées fiscales et moins de chômage. Mais à côté de cela ne sommes nous pas tenu par la règle européenne sur les déficits, ou bien même par les marchés qui pourraient estimer que de l'argent investit dans la défense n'est pas un déficit sain (contrairement à la construction d'une route, d'un hopital ou d'une école qui sont des investissements d'avenirs tangibles) ?

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Ca commence à ressembler à une tendance.

 

Mais prépare-t-on l'avenir en cassant ce qui existe ? Quel besoin d'aller amputer Espagne, Italie, Grande-Bretagne... est-ce que être espagnol, italien ou britannique serait une honte ? Et en quoi être catalan, vénitien ou écossais serait-il plus honorable ?

 

En tous cas ca doit bien arranger les europeistes. Les vielles nations peuvent sortir de l'UE sans gros bobos, parfois moins qu'en y restant (cf. Grèce Espagne...) car ils disposent encore de la force, l'armée les douaniers...Alors qu'avec les régions nos doux rêveurs europeistes peuvent dormir tranquilles.

Faudra expliquer à nos régionalistes que sortir de la nation ne réglera pas leurs problèmes, les centres de pouvoir essentiels, sauf l'armée, se sont déplacés ailleurs. Ils ont une guerre de retard quoi....

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L'Europe encerclée par les zones de conflits : 

 

L’Europe apparait aujourd’hui comme un havre de paix avec des voisins menaçants ou menacés. La « ceinture » d’instabilité qui partait d’Afghanistan et allait jusqu’au Golfe de Guinée en passant par le Yemen, la Somalie, le Soudan, le Mali etc. – dans le début des années 2010 ! – s’est aujourd’hui doublée, d’une autre ceinture beaucoup plus proche, beaucoup plus soudaine et tout aussi risquée.

 

Tout d’abord, les zones de conflit ouvert = véritable guerre (Syrie), puis les instabilités fortement conflictuelles (Libye, Irak, Gaza) et les instabilités politiques (Egypte, Palestine et peut-être demain Algérie). Vous verrez que la frontière « sud » n’est pas des plus rassurantes. D’autant que l’on n’a pas mentionné la Tunisie (avec un risque de terrorisme avéré), le Liban (secoué de temps à autre par un attentat, et affecté par le conflit proche de Syrie). Rajoutez-y les conflits gelés – où la Russie est un acteur chevronné : Transnistrie, Abkhazie, Ossétie du Sud, Haut Karabagh et Crimée aujourd’hui… Et on pourrait aussi mentionner « notre » conflit gelé européen avec Chypre et la Turquie....

 

Suite : http://www.bruxelles2.eu/defense-ue/defense-ue-droit-doctrine-politique/au-voisinage-de-leurope-le-calme-plat.html

 

Et quand on intégrera la Turquie va t'on se plaindre que l'U.E soit bordée par les kurdes, les djihadistes, les tchétchènes, le hezbollah et tout un tas de bisounours de ce genre ?

Modifié par MontGros
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