Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

[Union Européenne] nos projets, son futur


Messages recommandés

il y a 50 minutes, mehari a dit :

Non, la partie avec les maladies et les guerres et au final, le confinement en réserves.

 

Ou alors, ils sont déjà chrétiens et, du coup, on a plus le droit?

Ils sont plus ou moins chrétiens mais ne parlent pas la langue, donc c'est comme s'ils étaient indiens. Ce qui pourrait les sauver : ni pétrole, ni platine, plus trop d'or. On a nos chances.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

2 hours ago, Boule75 said:

Ils sont plus ou moins chrétiens mais ne parlent pas la langue, donc c'est comme s'ils étaient indiens. Ce qui pourrait les sauver : ni pétrole, ni platine, plus trop d'or. On a nos chances.

Ils parlent la langue. Cependant, ils bouillent tout et mettent du vinaigre sur leurs frittes donc côté civilisation, il y a du travail...

  • Haha (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le ‎29‎/‎06‎/‎2018 à 13:32, g4lly a dit :

C'est parce que pour vous intégration n'a pas le même sens dans le contexte en question ...

... l'intégration vu du monsieur c'est en fait une forme de normalisation de mode de vie, et autres fonctionnement entre tous les pays de l'union. De sortes que toute le monde fonctionne pareil ... comme l'était les société très intégrées d'Europe du nord notamment. C'est à comprendre comme l'aboutissement des divers convergences.

Mais il n'y a pas de fédéralisme la dessous ... plutôt une logique de suzeraineté dans un empire lâche, avec des régions gérant le quotidien ... et l'empire ne gérant pas grand chose du reste.

Effectivement, en te lisant, je pense après coup qu'Hans-Werner SINN ne proposait pas la création d'une fédération mais plutôt d'une organisation-platteforme. Ce qui expliquerait le qualificatif de "structure".

Si j'ai bien compris son idée, il veut une organisation supranationale qui remplit deux rôles:

a. Gérer le marché commun qui fait fonction de stock de capacité privée louable par les pouvoirs publics.

b. Servir de "platteforme de crowsourcing" par lesquels les instances européennes, les Etats et leur collectivité rechercher et louer les services d'un prestataire du type approprié en fonction du problème à traiter.

C'est dans la droite ligne d'une intégration libérale, avec des perspectives intéressantes pour les anarcho-capitalistes. C'est aussi une manière de transformer le Cadre institutionnel européen, lourd et bureaucratique, en organisation plus adapté au futur marché transatlantique post-trumpien.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 29/6/2018 à 13:17, Lame a dit :

Une interview l’économiste allemand Hans-Werner SINN au sujet de l’avenir de l’intégration européenne vient d’être publiée par le magazine Trends Tendances, dans son numéro du 28 juin 2018, page 38, intitulé : « Il n’y a pas d’alternative à l’intégration européenne ».

Il est assez cohérent avec ce qu'il disait il y a un an :

Le 24/5/2017 à 19:57, Wallaby a dit :

https://www.theguardian.com/business/2017/may/23/how-can-emmanuel-macron-unite-europe-start-with-the-armies (23 juin 2017)

Hans-Werner Sinn, économiste allemand assez connu, réplique à Emmanuel Macron :

Le projet français de ministère des finances de la zone euro prélevant l'impôt, revient à forcer les pays du Nord à injecter de l'argent dans les pays du Sud pour "protéger les marchés financiers et économiques français dans ces régions".

Il s'agit de soutenir l'économie française aux dépens "des autres" (les pays du Nord, les Allemands).

Cela créerait une coupure entre la zone euro et les pays hors zone euro (europe centrale, Danemark et Suède).

La Cour constitutionnelle allemande ne permettra pas qu'on enfreigne la souveraineté inaliénable du Bundestag en matière fiscale. Donc la seule solution est de faire un référendum pour changer la constitution allemande.

Tant qu'à faire un référendum, il faudrait mettre dedans la question d'une union militaire avec la suppression des armées nationales. Les Allemands et les Européens de l'Est l'approuveront probablement.

Donc Hans-Werner Sinn veut bien d'une union fiscale, mais à condition qu'elle soit précédée par une union politique avec suppression des armées nationales. Il dit que si l'on crée une union fiscale sans union politique, c'est mettre la charrue avant les boeufs : cela sera une source de discorde encore pire que tout ce qu'on a vu jusqu'à présent avec l'euro, qui empêchera à jamais la création d'une union politique.

 

  • Merci (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le ‎29‎/‎06‎/‎2018 à 15:25, Skw a dit :

Le raccourci que j'ai pu opérer est tout de même un peu facile... car cette désunion entre tribus indiennes s'inscrit historiquement dans un jeu de puissances assez vaste, chaque nation européenne tentant de gagner les faveurs de tribus indiennes face aux autres nations européennes. Toutefois, l'idée de diviser pour mieux régner ou encore plus tard celle d'intégrer les amérindiens dans les troupes face à d'autres amérindiens, cela dans un objectif de désagrégation de l'ennemi plutôt que dans un réel but opérationnel, ont bel et bien existé. Bon... l'idée de diviser pour mieux régner est assez récurrente dans les entreprises coloniales et impériales. Mais je faisais un peu de provocation : Trump nous veut comme Amérindiens :happy:

Le raccourci fait également l'impasse sur les tentatives d'intégration améridienne en réponse à l'invasion anglosaxonne, notamment sous l'égide du chaman Tecumseh et de son frère. C'est l'un des principaux artisans de la victoire du Canada contre les armées révolutionnaires américaines. Mais, à ce détail près, ton parallèle est très juste.

Il y a 19 heures, Tancrède a dit :

Jusqu'à ce que le/les "Uber(s) des flingues et des tanks", peut-être allié(s) avec le/les "Uber(s) de la monnaie et des banques", décide que ce serait encore mieux si les instances de contrôle n'existaient pas et si on pouvait directement quadriller des territoires, considérés comme marchés réservés dont on vendrait l'accès à d'autres prestataires contre un péage.

Je pense que c'est ce qui est en cours de négociation dans la cadre du TISA / ACS.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 19 heures, Tancrède a dit :

Est-ce que ce schéma évoque quelque chose de réellement nouveau? Ou d'assez ancien, en fait? Comment s'appelleraient ces applis Uber-like? Féodalité 2.0? 

Je comprends ton sentiment:

-Le principe d'un Etat plate-forme, c'est la combinaison du concept d'Etat-contrôleur des libertariens minarchistes et des techniques de guicheterie électronique.

-Si toutes les fonctions régaliennes sont assurés par adjudication de marché à des prestataires privés à gages, on se rapproche de la logique de la krytarchie de Robert Southy. La dernière étape à remplir avant d'arriver à cette variante d'anarcapie est la privatisation de la plate-forme publique. Les territoires soumis à ce régime ressemblerait à la Terre du roman Les Mailles du Réseau de Bruce Sterling ou à l'Hyperempire théorisé par Jacques Attali dans Une Brève histoire de l'avenir.

-Dans Europe Mad max Demain, Bernard Wicht appelle cela "le nouveau Moyen-Age". Avec des activistes sur pick-up customisés à la place des chevaliers sur destriers d'où ses références à Mad Max.

-Le système "télétravail contre amazoncoin" testé par Amazon est une tentative de création d'un "coron numérique". Quelle différence entre la situation d'un serf et celle de son descendant ouvrier, forcé d'habiter un logement construit par son patron, de faire ses courses dans le magasin du coron, etc ? Il ne manque plus qu'un régime de kafala salariale et l'on verra réapparaître des statares.

  • J'aime (+1) 1
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 53 minutes, zx a dit :

 

Il faut voir le bon côté des choses : toutes ces pressions de Trump rendent l’Allemagne encore un peu plus vulnérable, elle qui a joué pendant très longtemps au bloc monolithique inamovible au sein de l’Europe avec des positions tranchées et totalement arbitraires pour y maintenir d’abord et avant tout sa position dominante et sa santé économique au détriment de pas mal d’autres pays (ceux qui pensent que la Grèce y verrait là un méchant retour de bâton façon Karma pleinement mérité, levez le doigt)

 

Elle va donc être incitée à se tourner encore plus vers les autres Etats européens pour se « défendre » de ces attaques et négocier des positions communes, ce qui l’amènera à lâcher du lest et à s’investir bien plus.

 

Bref, de 1ere puissance économique psycho-rigide au sein de l’Europe, elle redevient un membre avec qui l’on pourra discuter avec sans doute un peu plus de souplesse et de savoir-vivre sur pas mal d’autres sujets.

 

A noter qu’avant Trump, les décisions sur l’immigration l’avaient déjà obligé à infléchir cette position, le gouvernement étant alors en difficulté, mais sans qu’il y ait de réelles menaces pesant sur son secteur économique. Cette fois, les USA touchent à un point très sensible. La ligne dure de l’Allemagne consistant à tout faire pour que l’Europe mène d’abord et avant tout une politique d’austérité afin que la stabilité globale reste totalement en faveur de la santé économique de l’Allemagne et qu’elle reste la 1ere puissance économique vole comme par hasard en éclat, et comme par hasard elle se redécouvre des amis avec qui elle a vraiment envie de discuter.

Ça ne lui ôtera pas toute sa morgue, mais au moins elle redescend un peu sur terre en ce moment.

 

(Une déclaration à faire ces temps-ci, M. Schäuble ?)

Modifié par TarpTent
  • J'aime (+1) 1
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 10 heures, TarpTent a dit :

 

Il faut voir le bon côté des choses : toutes ces pressions de Trump rendent l’Allemagne encore un peu plus vulnérable, elle qui a joué pendant très longtemps au bloc monolithique inamovible au sein de l’Europe avec des positions tranchées et totalement arbitraires pour y maintenir d’abord et avant tout sa position dominante et sa santé économique au détriment de pas mal d’autres pays (ceux qui pensent que la Grèce y verrait là un méchant retour de bâton façon Karma pleinement mérité, levez le doigt)

Je dirais que le problème vient surtout de l'abscence de système de répartition des aides sociales est pluraliste et décentralisé : le Cadre institutionnel européen donnerait une enveloppe fixe prélevée sur le budget européen aux différents Etats membres.L'Allemagne n'est la seule fautive de cette carence...

Une alternative, plus simple mais sans doute moins performante, serait l'instauration d'un dividende social européen financé par:

- Un fond souverain européen,

- l'ensemble des recettes des impôts répressifs (amendes, taxe pour non conformité au norme, etc...),

- l'ensemble des recettes douanières levés par les Etats membres (ou des Etats associés) sur le commerce intermembre.

Il est possible de trouver un compromis

 

Il y a 10 heures, TarpTent a dit :

Elle va donc être incitée à se tourner encore plus vers les autres Etats européens pour se « défendre » de ces attaques et négocier des positions communes, ce qui l’amènera à lâcher du lest et à s’investir bien plus.

Ou à se tourner d'avantage vers la Russie. Ce qui plairait aux Allemands qui regrette la situation commerciale antérieure à la Crise de Crimée. Où encore à une partie de l'électorat d'extrême-droite qui admire la Russie.

Il y a 10 heures, TarpTent a dit :

Bref, de 1ere puissance économique psycho-rigide au sein de l’Europe, elle redevient un membre avec qui l’on pourra discuter avec sans doute un peu plus de souplesse et de savoir-vivre sur pas mal d’autres sujets.

Certainement. Mais tous les problèmes économiques ne viennent pas des Allemands: pensons au pays de l'Est partisans du système des travailleurs détachés.

Il faut également garder à l'esprit qu'une partie de l'électorat allemand est favorable à une sortie de la Zone euro: Monter une sorte de guerre économique contre les Allemands n'est peut-être pas la meilleure chose à faire...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 10 heures, TarpTent a dit :

La ligne dure de l’Allemagne consistant à tout faire pour que l’Europe mène d’abord et avant tout une politique d’austérité afin que la stabilité globale reste totalement en faveur de la santé économique de l’Allemagne et qu’elle reste la 1ere puissance économique vole comme par hasard en éclat, et comme par hasard elle se redécouvre des amis avec qui elle a vraiment envie de discuter.

A vrai dire, beaucoup d'Etats membres se sont lancés dans des politiques d'austérité sans y être contraints. Pourquoi?

Un: Les dirigeants ne savaient pas quoi faire d'autre et c'est la solution apparente la plus simple à comprendre et mettre en oeuvre.

Deux: Les dirigeants avaient encore en tête l'exemple du Canada. Mais peut-être ont-ils eu un vision trop simpliste de la stratégie des libéraux canadiens. L'exemple portuguais tentent à démontrer que tout ne se résume pas à un "contracting out".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 13 minutes, Lame a dit :

Il faut également garder à l'esprit qu'une partie de l'électorat allemand est favorable à une sortie de la Zone euro: Monter une sorte de guerre économique contre les Allemands n'est peut-être pas la meilleure chose à faire...

Ah mais je ne parle pas de monter une sorte de guerre économique au sein de l’Europe vis-à-vis de l’Allemagne, je dis simplement que les menaces des sanctions économiques projetées par les USA vont comme pas hasard la rendre beaucoup plus à l'écoute et bien disposée à l’égard de ses partenaires européens.

On aurait tort de ne pas remarquer cette bienheureuse et inattendue évolution (comme pour l’Europe de la Défense et d’autres sujets où depuis Trump on commence enfin à arrêter de se cacher derrière notre petit doigt) 

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 1 minute, Lame a dit :

A vrai dire, beaucoup d'Etats membres se sont lancés dans des politiques d'austérité sans y être contraints. Pourquoi?

Un: Les dirigeants ne savaient pas quoi faire d'autre et c'est la solution apparente la plus simple à comprendre et mettre en oeuvre.

Deux: Les dirigeants avaient encore en tête l'exemple du Canada. Mais peut-être ont-ils eu un vision trop simpliste de la stratégie des libéraux canadiens. L'exemple portuguais tentent à démontrer que tout ne se résume pas à un "contracting out".

Bien sûr. C’est exactement ce qui s’est passé en Grèce...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 2 minutes, TarpTent a dit :

Bien sûr. C’est exactement ce qui s’est passé en Grèce...

Si l'on veut. Pour moi, l'exemple de la Grèce met en lumière le manque de solidarité dans le projet européen.

Après tout, quels ont été les réponses à la crise grecque:

-  Une austérité imposée en échange de subventions,

- l'instauration d'une tutelle budgétaire dans le cadre du pacte budgétaire.

 

Pillage et blocage, en somme. Pour des résultats mitigés: Non seulement on peut douter que la Grèce se soit redressé conformément aux annonces récentes mais une partie des subventions ont été employées à l'achat d'un imposant parc de blindés parallèllement à un rapprochement russo-grec.

 

A la place, on aurait pu mettre en oeuvre un fond d'investissement en faveur des entrepreneurs grecs, une partie des dividendes étant employé au remboursement de la dette et l'autre reversé aux Grecs sous forme de dividende social. Et aussi en profiter pour créer une monnaie de l'Union européenne (l'ECU par exemple) avec une clause de retrait: Les Etats membres auraient alors le choix entre adopter cette monnaie sans condition et revenir ultérieurement à leur monnaie nationale. Les Etats exclus de la Zone euro pour une raison ou une autre ont alors la possibilité d'adopter la monnaie de l'UE. L'Allemagne a son euro(mark) en remplacement du mark. Les Etats nécessiteux ont une monnaie commune de secours même si elle tendrait à être un rouble européen.

Evidemment, cela suppose une autre état d'esprit que celui que promeut le Marché unique,  le "Colisée" des travailleurs européens.

  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 57 minutes, Lame a dit :

à un rapprochement russo-grec.

Le rapprochement russo-grec est tout relatif et il me semble que l'achat de blinde remonte bien avant la crise quand la Grèce ne s’inquiétait pas de sa dette.

il y a 58 minutes, Lame a dit :

A la place, on aurait pu mettre en oeuvre un fond d'investissement en faveur des entrepreneurs grecs, une partie des dividendes étant employé au remboursement de la dette et l'autre reversé aux Grecs sous forme de dividende social.

Ça n'aurait fait qu’aggraver le problème en faisant passer le message qu'il n'avaient pas a résoudre leurs problèmes de dette. Le système appliqué a été bête et méchant mais la situation était loin d’être simple.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je profite du fait que c'est sur le tapis pour rappeler que le problème grec a été plus ou moins mis en stase, mais sans véritable règlement ou même juste atténuation.

Le pire est probablement le comportement des  principaux créanciers que sont les institutions européennes et leurs responsables.  Ils reconnaissent volontiers quand on leur demande, que ce pays n'est pas sur une trajectoire soutenable pour rembourser sa dette, ce qui ne les empêchent pourtant pas de se gausser du solde primaire positif du budget grec ; et franchement ce cynisme est vraiment des plus infect.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

1 hour ago, Shorr kan said:

Je profite du fait que c'est sur le tapis pour rappeler que le problème grec a été plus ou moins mis en stase, mais sans véritable règlement ou même juste atténuation. 

Le pire est probablement le comportement des  principaux créanciers que sont les institutions européennes et leurs responsables.  Ils reconnaissent volontiers quand on leur demande, que ce pays n'est pas sur une trajectoire soutenable pour rembourser sa dette, ce qui ne les empêchent pourtant pas de se gausser du solde primaire positif du budget grec ; et franchement ce cynisme est vraiment des plus infect. 

Avec un immense avantage ... faire baisser l'euro ... et favoriser les exportation allemande :bloblaugh:

... Qui ont comme ca pu compenser leur perte commercial intra-européenne lié a la crise de la zone euro.

... autre chose plus amusante encore ... les grecs les plus qualifiés dont la Grèce a financé la formation a grand renfort de dette ... servent "gratuitement" aujourd'hui d'outil de production a l’Allemagne :chirolp_iei:c'est pas beau ça ...

En gros le seul moyen de régulation - migration de la force de travail - de la zone euro ... s'accompagne d'une forme de spoliation de l'investissement sur la jeunesse.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 967
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Stevendes
    Membre le plus récent
    Stevendes
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...