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[Union Européenne] nos projets, son futur


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PARIS (AFP) - La France va poser rapidement la question de la levée de l'embargo européen sur les livraisons d'"armes défensives" à l'opposition syrienne, a annoncé jeudi le chef de la diplomatie Laurent Fabius, peu avant de recevoir quatre homologues européens.

Avant un Conseil européen Affaires étrangères prévu lundi à Bruxelles, Laurent Fabius réunit ce jeudi au ministère des Affaires étrangères les chefs de la diplomatie allemande, polonaise, espagnole et italienne, ainsi que leurs collègues de la Défense. Outre la Syrie, la crise malienne et la difficile création d'une Europe de la Défense sont au programme.

Les dix ministres "appelleront à une mobilisation plus forte sur les enjeux de sécurité actuels, en particulier au Mali, en Libye, en Syrie et dans les Balkans", selon le Quai d'Orsay.

Après avoir mardi reconnu comme seul interlocuteur syrien la nouvelle Coalition de l'opposition syrienne, François Hollande recevra samedi son chef, cheikh Ahmad Moaz Al-Khatib.

Interrogé sur la radio RTL, Laurent Fabius a affirmé que la question de la livraison d'armes à l'opposition syrienne, jusqu'ici soumise à un embargo européen, allait "sans doute se poser pour les armes défensives" et cela rapidement. Le ministre n'a pas donné plus de précisions. "C'est quelque chose qu'on ne peut faire qu'en coordination avec les Européens", a-t-il dit.

"La question va être soulevée puisque la Coalition (nationale syrienne) nous l'a demandé", a insisté M. Fabius, qui a rencontré cette semaine au Caire les nouveaux dirigeants de l'opposition syrienne.

La Grande-Bretagne ne participe pas à la réunion organisée à Paris. Elle n'est cependant pas absente du débat. Selon la BBC, le chef du gouvernement britannique David Cameron réunit ce jeudi plusieurs de ses ministres pour discuter de la Syrie, et notamment de l'éventualité de livrer des armes aux rebelles.

La réunion de jeudi au Quai d'Orsay abordera aussi la question d'une participation européenne à une éventuelle intervention au Mali. Quelque 200 à 400 militaires européens pourraient avoir une mission de formation de la future force ouest-africaine appelée à reconquérir le nord du Mali.

Avec cette "nouvelle initiative concrète", la France espère avec d'autres pays européens travailler à "la relance de l'Europe de la défense", selon le ministère français des Affaires étrangères.

Suite : http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20121115.AFP5021/syrie-paris-entend-saisir-l-ue-pour-armer-l-opposition.html

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Une tentative d'attentat inédite contre l'Etat pour des motivations nationalistes et xénophobes a été déjouée en Pologne, une première de cette envergure dans ce pays où l'on évoque des similitudes avec le massacre perpétré par Anders Breivik en Norvège.

L'Agence polonaise pour la sécurité d'Etat (renseignement) a annoncé mardi avoir fait avorter cette tentative d'attentat à l'explosif contre le Parlement et le gouvernement polonais, et arrêté trois personnes dont le cerveau du projet, un homme "fasciné par Breivik", selon le Premier ministre Donald Tusk.

"Cet homme envisageait de faire exploser quatre tonnes d'explosifs" dissimulés dans un véhicule piégé, a indiqué aux journalistes le procureur Mariusz Krason qui supervise l'enquête.

L'explosion devait avoir lieu au cours d'une réunion du Parlement en présence du Président Bronislaw Komorowski et du gouvernement, pendant laquelle un vote sur le budget de l'Etat était prévu.

Suite : http://fr.news.yahoo.com/tentative-dattentat-%C3%A0-breivik-d%C3%A9jou%C3%A9e-pologne-152953533.html

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Une tentative d'attentat inédite contre l'Etat pour des motivations nationalistes et xénophobes a été déjouée en Pologne, une première de cette envergure dans ce pays où l'on évoque des similitudes avec le massacre perpétré par Anders Breivik en Norvège.

L'Agence polonaise pour la sécurité d'Etat (renseignement) a annoncé mardi avoir fait avorter cette tentative d'attentat à l'explosif contre le Parlement et le gouvernement polonais, et arrêté trois personnes dont le cerveau du projet, un homme "fasciné par Breivik", selon le Premier ministre Donald Tusk.

"Cet homme envisageait de faire exploser quatre tonnes d'explosifs" dissimulés dans un véhicule piégé, a indiqué aux journalistes le procureur Mariusz Krason qui supervise l'enquête.

L'explosion devait avoir lieu au cours d'une réunion du Parlement en présence du Président Bronislaw Komorowski et du gouvernement, pendant laquelle un vote sur le budget de l'Etat était prévu.

Suite : http://fr.news.yahoo.com/tentative-dattentat-%C3%A0-breivik-d%C3%A9jou%C3%A9e-pologne-152953533.html

  Il était surtout étonnant qu'il y ait pas eu des fans de ce fou furieux qui ne se soient pas manifestés + tôt ... Bon y a le problème qu'après une telle actualité comme en norvège : les sphères néo-nazi et cie ont du aussi se sentir sous surveillance accrue pendant un temps,  Les tentatives ont lieu maintenant que certains se sentent pas forcément sous pression de surveillance, croivent ne pas l'être ou pas l'avoir été, avec la latence de temps

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Cette semaine, le patronat britannique a défendu l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne, alors que son Premier ministre, David Cameron, multiplie les prises de position eurosceptiques pour draguer l'opinion.

http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20121123trib000732878/david-cameron-contredit-par-le-patronat-britannique-sur-l-ue.html

Budget européen : une bataille pour le pouvoir en Europe

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/11/23/20002-20121123ARTFIG00472-budget-europeen-une-bataille-pour-le-pouvoir-en-europe.php

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Conférence à Marseille sur les 20 ans du traité de Maastricht :

http://blogs.mediapart.fr/edition/carnets-deurope/article/211112/lunion-europeenne-20-ans-bilan-et-perpectives

L'Union européenne envisagerait de mettre en place un régime sans visa avec l'Ukraine avant même la signature de l'accord d'association, selon la sous-secrétaire d’État au ministère polonais des Affaires étrangères, Katarzyna Pelczynska-Nalecz.

Des propos relayés par Polskie Radio dans lesquels elle a expliqué que son pays est favorable à la signature de l'accord entre l'UE et l'Ukraine et à la création d'une zone de libre-échange sans ratification spécifique du document étape par étape.

Avec l'accord de libre-échange, ces 2 mesures représentent les 3 piliers importants de l'intégration de l'Ukraine à l'UE.

http://www.tourmag.com/Ukraine-l-UE-voudrait-deja-supprimer-les-visas-de-voyage-exiges_a55571.html

La Grande-Bretagne sera-t-elle encore membre de l’Union européenne en 2020, à l’expiration du « cadre financier pluriannuel » que les Vingt-sept vont essayer d’adopter d’ici ce week-end ?

http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2012/11/londres-n%C3%A9gocie-son-ch%C3%A8que-de-d%C3%A9part.html

Intégration européenne: majorité des Suisses toujours opposée à une adhésion

http://www.journaldujura.ch/nouvelles-en-ligne/suisse/integration-europeenne-majorite-des-suisses-opposee-une-adhesion

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La Pologne sera prête à adhérer à la zone euro d'ici 2015, a déclaré le président polonais Bronislaw Komorowski.

La Pologne n'est pas membre de la zone euro mais cherche à le devenir, a rappelé M. Komorowski, qui a souligné que la zone euro serait la zone la plus importante de l'intégration européenne renforcée, et que la Pologne souhaitait être au coeur de cette intégration.

"La Pologne prépare actuellement un plan d'action qui sera annoncé sous la forme d'un calendrier pour les préparatifs polonais d'entrée dans la zone euro au bon moment", a-t-il déclaré.

http://french.cri.cn/621/2012/11/21/483s303115.htm

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Pour un pays dont la compétitivité dépend notablement de l'adaptation des cours de la monnaie, avec de nombreux ajustements compétitifs qui lui permettent d'être l'atelier industriel de l'Europe et plus particulièrement de l'Allemagne, ils sont complètement tarés les décideurs polonais!!!

Si la Pologne rentre dans l'Euro, il y aura inflation salariale ET des prix, les polonais ne vivront donc pas mieux et la production partira un peu plus à l'Est...

Pauvres plombiers polonais! :-\

StRaph

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Boris Johnson, le maire conservateur de Londres, a appelé mardi à l'organisation d'un référendum en Grande-Bretagne sur le maintien de ce pays dans l'Union européenne, ajoutant souhaiter une nouvelle relation avec l'UE basée seulement sur les échanges commerciaux.

"Il est grand temps que nous ayons un référendum qui porterait sur une question simple : voulez-vous rester dans le marché unique de l'Union européenne, oui ou non ?" a déclaré l'édile conservateur, connu pour ses excentricités et sa démesure, lors d'un discours devant des financiers.

"Nous pourrions construire une relation avec l'UE qui ressemblerait plus à celle de la Norvège ou de la Suisse, sauf que nous serions à l'intérieur du conseil du marché unique et donc capables d'influer sur les lois", a-t-il fait valoir, appelant à limiter la relation britannique avec l'UE "au marché unique" et à "supprimer le chapitre social et la législation sur la pêche". "Nous pourrions et devrions soumettre au vote du peuple britannique un traité renégocié, a-t-il ajouté. Si les gens ne pensent pas que cette nouvelle relation est une amélioration, alors ils exerceront leur droit souverain à quitter l'UE."

http://www.lepoint.fr/monde/le-maire-de-londres-preconise-un-referendum-sur-l-union-europeenne-04-12-2012-1539227_24.php

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La paralysie européenne

par Jacques Sapir

Le 21 décembre se tiendra le sommet entre la Russie et l’Union Européenne. Cette date, en un sens, ne pouvait être plus mal choisie. En effet, l’UE a subi, avec l’impasse sur la programmation budgétaire pour les années 2014-2020, de l’UE un triple échec : économique, politique et symbolique. Cette impasse, qui au mieux durera jusqu’au début de 2013, vient après les très difficiles négociations sur la question de l’aide à accorder à la Grèce du début de la semaine. Ces dernières n’ont abouti qu’à un accord partiel, largement dépendant de la capacité du pays à racheter sa propre dette. Elle survient aussi après des négociations extrêmement dures quant à la part respective des États au sein du groupe aéronautique EADS et une réduction importante des ambitions de l’Europe spatiale. Ces événements témoignent de l’épuisement définitif de l’Union européenne à incarner « l’idée européenne ».

Un échec économique

L‘échec sur le budget porte en fait sur 1,26% du PIB des différents pays. Pour 2013 ce sont 138 milliards d’euros qui sont prévus. C’est la faiblesse de cette somme qui pose problème. Alors que la zone Euro est en récession, la logique aurait voulu que l’on se mette d’accord pour un budget de relance, en favorisant la demande et en favorisant des politiques de l’offre et de la compétitivité dans certains pays. Ces politiques ont été quantifiées. Elles impliqueraient, rien que pour le rattrapage de compétitivité, que l’on dépense pour les quatre pays d’Europe du Sud (Espagne, Grèce, Italie et Portugal), environ 257 milliards d’euros par an pendant 10 ans. Si l’on veut être cohérent, il faudrait ajouter à cette somme au moins 100 milliards pour financer des grands projets permettant d’harmoniser la compétitivité des autres pays. Cette dépense supplémentaire de 357 milliards par an, pour un budget d’environ 138 milliards est importante. Elle impliquerait que le budget passe de 1,26% à 4,5%. C’est exactement le contraire qui s’est produit. On voit bien que chaque pays tire à hue et à soi, étant soumis aux règles de l’austérité budgétaire, par ailleurs institutionnalisées par le dernier traité de l’UE, ce qui n’est pas le moindre des paradoxes ! Les égoïsmes se révèlent de toute part.

Le problème est en fait plus compliqué. Les 138 milliards prévus pour le budget 2013 donnent lieu à des retours, plus ou moins importants, pour tous les pays de l’UE. Mais, sur les 357 milliards qu’il faudrait dépenser en plus, 257 milliards sont des transferts nets à destination des quatre pays du Sud déjà évoqués. L’Allemagne devrait à elle seule contribuer à hauteur de 8,5% et 9% de son PIB par an en transferts nets. Sur une période de dix ans cela aboutit à 3570 milliards d’euros de budget total. Quand on parle du « fédéralisme européen », c’est de cela dont on parle en réalité, car sans transferts importants point de fédéralisme.

Notons que les dirigeants européens n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur une somme de 978 milliards d’euros sur 7 ans (2014-2020) alors que sur la même période c’est 2499 milliards en plus qu’ils auraient dû financer. On mesure l’immensité de la tâche, et son impossibilité dans les circonstances actuelles. La réalité de l’UE est bien l’absence totale de solidarité en son sein, même et y compris quand cette solidarité serait de l’intérêt de tous. Ce que révèle cette situation c’est qu’il n’y a pas de « chose publique» (res publica) dans l’Union Européenne.

Cet échec est révélateur de l’épuisement de l’idée européenne.

Un échec politique

L’échec est ensuite politique et il a été mis en lumière lors du Conseil Européen de la nuit du 22 au 23 novembre. On a parlé d’une « alliance » entre la chancelière allemande, Mme Angela Merkel et le Premier ministre britannique David Cameron, qui aurait abouti à l’isolement de la France. Mais cette « alliance » est en réalité purement conjoncturelle. La Grande-Bretagne poursuit son vieil objectif de réduire l’UE à un espace de libre-échange et à un cadre réglementaire le plus léger possible. L’Allemagne, pour sa part, rejointe sur ce point par des pays comme la Finlande, les Pays-Bas et l’Autriche, s’oppose absolument à ce que les transferts prennent plus d’importance. On sait l’opposition absolue des dirigeants allemands, tous partis confondus, à des transferts massifs, en particulier au sein de la zone Euro. Cela n’implique pas qu’elle partage les vues de la Grande-Bretagne quant à la philosophie de l’UE. Les dirigeants allemands comprennent que cette dernière doit être autre chose qu’une simple zone de libre-échange. Mais, leurs intérêts se rejoignent avec les Britanniques pour s’opposer à l’engagement de sommes supplémentaires, dans la mesure où ils comprennent parfaitement qu’ils seraient, par nécessité, les principaux contributeurs. C’est sur cette alliance que s’est cassée la position française.

L’Allemagne souhaite par dessus tout le statu-quo (qui lui permet de réaliser ses énormes excédents commerciaux au détriment des autres pays de la zone Euro) (1). Mais, elle n’est pas prête à aller au-delà d’une contribution annuelle d’environ 2% de son PIB (soit environ 50 milliards d’Euros). Si l’on met l’Allemagne au défi de payer les sommes évoquées plus haut, soit 8% à 9% de son PIB afin de rendre viable la zone Euro, elle préfèrera la fin de la zone Euro. Là ou nos dirigeant voient le début d’un processus, qui pourrait être étendu, il y a en réalité un engagement strictement limité de l’Allemagne.

Un échec symbolique

Les échecs tant économiques que politiques de la semaine passée sont, bien entendu, révélateurs d’un échec symbolique majeur. Aujourd’hui, qui croit encore en l’Union Européenne ?

Jamais en fait l’Euroscepticisme ne s’est aussi bien porté, non seulement en Grande-Bretagne, mais aussi en France et même en Allemagne. C’est la crédibilité générale de l’UE qui est en cause, et l’on voit bien ici que les stratégies discursives utilisées par les européistes seront de moins en moins efficaces. Ces stratégies reposent sur une délégitimation des opinions négatives, qui sont associées à des catégories dites « peu éduquées » et par cela incapables de comprendre ce qu’apporte l’UE et sur une explication de ces résultats par les simples difficultés matérielles engendrées par la crise. Sur le premier point, il y aurait beaucoup à dire. On voit immédiatement la parenté entre cet argument et les arguments du XIXe siècle en faveur du vote censitaire. Le second argument contient une parcelle de vérité. Il est clair que l’impact de la crise a modifié les préférences des individus. Mais cet argument se retourne contre ses auteurs : pourquoi l’UE a-t-elle été incapable de protéger les personnes des effets de la crise ?

L’UE, par sa politique actuelle nourrit en fait le retour des haines recuites, que ce soit entre pays (Grèce et Allemagne, mais aussi Portugal ou Espagne et Allemagne) ou à l’intérieur de ceux-ci (Espagne, avec le Pays Basque et la Catalogne et Belgique).

Si les échecs économiques et politiques montrent que l’UE est à bout de souffle, l’échec symbolique, illustré dans les derniers sondages, ouvre la voie à des radicalisations des opinions publiques à relativement court terme.

Tirer les leçons de l’épuisement d’un projet européen

On voit bien que certains pays hors du cadre de l’UE ont un intérêt à l’existence d’une Europe forte et prospère. Le cas de la Russie et de la Chine saute aux yeux. La Russie, de plus, est elle aussi un pays européen, même si elle n’est pas uniquement européenne. Il est donc possible de penser un projet européen intégrant toute l’Europe, y compris les pays qui aujourd’hui ne sont pas membres de l’UE et n’aspirent pas à le devenir. Mais à la condition de faire des nations européennes, ces « vieilles nations » qui restent aujourd’hui le cadre privilégié de la démocratie, la base de ce projet. Ce projet devra être construit autour d’initiatives industrielles, scientifiques et culturelles dont le noyau initial pourra être variable, mais qui exigent pour exister que soient remises en cause un certain nombre de normes et des règlements de l’UE. Plus que tout, il faudra procéder à une dissolution de l’Euro. Cette dissolution, si elle est concertée par tous les pays membres de la zone Euro sera en elle-même un acte européen, et pourra donner immédiatement lieu à des mécanismes de concertation et de coordination qui feront en sorte que les parités de change des monnaies nationales retrouvées ne fluctuent pas de manière erratique mais en fonction des paramètres fondamentaux des économies.

(1) Patrick Artus, La solidarité avec les autres pays de la zone euro est-elle incompatible avec la stratégie fondamentale de l’Allemagne : rester compétitive au niveau mondial ? La réponse est oui, FLASH Économie, NATIXIS, n°508, 17 juillet 2012

L’opinion exprimee dans cet article ne coïncide pas forcement avec la position de la redaction, l'auteur étant extérieur à RIA Novosti.

http://fr.rian.ru/tribune/20121204/196802190.html

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PODGORICA (Monténégro) - Le Premier ministre du Monténégro Milo Djukanovic a été investi mardi soir par le Parlement et s'est engagé à oeuvrer pour l'intégration dans l'UE et l'Otan, pour relancer une économie sinistrée et enrayer la corruption dans son pays.

L'intégration dans l'Union européenne est l'objectif principal. Le gouvernement est prêt à continuer de manière responsable le travail de négociations d'adhésion, a dit M. Djukanovic dans un discours avant le vote d'investiture.

Chaque pas vers l'UE signifiera l'amélioration du niveau de vie et de meilleures conditions pour le développement économique, a-t-il assuré.

Il a également estimé que l'intégration dans l'Otan serait la garantie d'une stabilité durable pour un petit pays des Balkans comme le Monténégro.

La Commission européenne a exigé dans son rapport annuel sur le Monténégro des résultats surtout dans la lutte contre le crime organisé et la corruption.

Le Monténégro a enregistré un taux de croissance de 2,7% en 2011, mais les projections pour cette année prévoient une croissance de seulement 0,5%.

(AFP)

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Le département du Rhône va disparaître pour laisser la place à une grande métropole lyonnaise.

Les présidents du conseil général du Rhône et du Grand Lyon se sont mis d’accord sur un projet de création de métropole européenne à Lyon en 2014. Parallèlement, le département sera amputé du territoire et de la population du Grand Lyon. Un projet qui donnera lieu à une loi en juin 2013.

(...) Le nouveau texte devrait entériner la scission –ou disparition sous sa forme actuelle- du département du Rhône et la création d’une nouvelle collectivité territoriale, la communauté métropolitaine ou euro-métropole lyonnaise. Cette « super métropole » sera constituée du territoire actuel du Grand Lyon (58 communes, plus Quincieux à rattacher prochainement) et intégrerait toutes les compétences dévolues au conseil général jusqu’alors (solidarité, logement social, collèges, etc).

(...) Dans l’immédiat, les deux collectivités vont créer un groupe d’étude commun pour travailler dans le détail la répartition des charges et des actifs, ainsi que le transfert des personnels du département à la métropole. Et également régler quelques cas aux conséquences financières délicates, tels que le futur musée des Confluences ou les prêts toxiques du département.

Suite : http://www.lagazettedescommunes.com/142057/le-departement-du-rhone-va-disparaitre-pour-laisser-la-place-a-une-grande-metropole-lyonnaise/

http://www.lyoncapitale.fr/Journal/univers/Politique/Grand-lyon/Collomb-et-Mercier-creent-un-super-Grand-Lyon

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Un croisement entre les États-Unis et la République fédérale allemande, voilà à quoi devrait ressembler la future fédération de la zone euro selon la Commission européenne  :O :

2018 : la fédération de la zone euro voit le jour

http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2012/12/2018-la-f%C3%A9d%C3%A9ration-de-la-zone-euro-voit-le-jour.html

Vu que l'on n'est pas arrivé sur le budget, ce projet est vraisemblable ou non ?

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Un croisement entre les États-Unis et la République fédérale allemande, voilà à quoi devrait ressembler la future fédération de la zone euro selon la Commission européenne  :

2018 : la fédération de la zone euro voit le jour

http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2012/12/2018-la-f%C3%A9d%C3%A9ration-de-la-zone-euro-voit-le-jour.html

Vu que l'on n'est pas arrivé sur le budget, ce projet est vraisemblable ou non ?

En ce qui concerne le budget 2014, on arrivera à un accord en début d'année 2013, on a le temps même si encore une fois c'est principalement la Grande Bretagne qui pourrit les négociations : ils veulent le beurre, l'argent du beurre et le c** de la crémière. Ils sont pire que des mendiants à la sortie d'une gare. Il va surement falloir qu'on leur donne un peu de fric pour qu'ils enlèvent leur veto.

Concernant une fédération de la zone euro, le plan est trop ambitieux pour 2018 et on peut être sûr que la Grande Bretagne fera tout pour saboter les négociations comme ils le font aujourd'hui pour l'union bancaire :

http://www.lemonde.fr/a-la-une/article/2012/12/05/a-londres-la-city-bataille-contre-paris_1800213_3208.html 

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Un croisement entre les États-Unis et la République fédérale allemande, voilà à quoi devrait ressembler la future fédération de la zone euro selon la Commission européenne  :O :

2018 : la fédération de la zone euro voit le jour

http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2012/12/2018-la-f%C3%A9d%C3%A9ration-de-la-zone-euro-voit-le-jour.html

Vu que l'on n'est pas arrivé sur le budget, ce projet est vraisemblable ou non ?

J'achète, j'aurai vu une construction bien plus rapide moi, mais c'est une bonne base.

Faut juste que je réadapte mon échelle temps. ;)

On glisse vers un fédéralisme économique, seule alternative possible pour faire survivre le projet européen. Bien les boules pour ceux qui sont hors zone EUR..suivez mon regard par dessus la bonne ville de calais..

Ya des ondes positives cette semaine, de la sortie de NOYER sur la city, au commentaire de Merkel sur la dette grecque.

A suivre!

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D'après l'article, il y a déjà quelques mois que c'est dans les tuyaux à Bruxelles mais les documents déjà sortie ont ''échappé'' à la sagacité de nos grands médias  :P

La Zone Euro en bleue, plus peut être la Pologne avant 2018 ainsi que la Croatie et la Tchéquie comme rappelé ci dessous :

Image IPB

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Bonjour ,

effectivement cette evolution vers une europe federale  parait etre attirante sur le papier ,  mais est ce que la  Croatie qui doit integrer l union en 2013 et adopter l euro peu apres et la republique tcheque qui doit voter l euro par referendum avant 2016 seront ils laissés sur le bord de la route ?

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L'intégration s'est toujours faite sur l'acceptation des règles existantes, la croatie et la république tchèque sont informés comme les autres des projets de lois et ils sont libre d'adhérer ou non, sur la base de ces informations.

S'ils acceptent et respectent les règles européennes, il n'y a aucune raison de les empêcher d'adhérer à l'UE et à la zone euro.

Les traités européens précisent les conditions d'adhésion et de retrait de l'UE.

 

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L'UE, qui va recevoir lundi le Nobel de la paix, sortira renforcée de la crise actuelle pour redevenir un "symbole d'espoir", a déclaré son président Herman Van Rompuy dimanche, à la veille de la cérémonie du Nobel à Oslo.

"Nous voulons que l'Europe redevienne un symbole d'espoir", a-t-il dit, lors d'une conférence de presse à l'Institut Nobel.

"L'UE traverse une période difficile " a ajouté Herman Van Rompuy. "Je suis sûr que nous réussirons. Nous sortirons de l'incertitude et de la récession plus forts qu'avant".

Une petite vingtaine de dirigeants européens, dont le président français François Hollande et la chancelière allemande Angela Merkel, sont attendus lundi à Oslo pour la cérémonie de remise du Nobel à laquelle il y aura toutefois des absences de marque dont le Britannique David Cameron qui a décliné l'invitation.

http://fr.news.yahoo.com/nobel-lue-sortira-renforc%C3%A9e-crise-redevenir-symbole-despoir-124631591.html

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L'ouverture des négociations d'adhésion de la Macédoine est bloquée du fait de son conflit avec la Grèce, un front du refus qu'a rejoint la Bulgarie.

Les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne ont refusé, le 11 décembre, de fixer une date d'ouverture des négociations d'adhésion avec la Macédoine, notamment à cause du refus d'Athènes de reconnaître cette ex-République yougoslave sous ce nom, dont elle revendique les origines géographiques et culturelles. Mais c'est l'opposition de la Bulgarie qui a mis le feu aux poudres à Skopje, où les médias ont accusé Sofia de faire «le sale boulot des Grecs».

La Bulgarie, qui fut le premier pays à reconnaître la Macédoine en 1992, a justifié son refus par un regain de «rhétorique nationaliste» à Skopje. Les relations entre les deux pays connaissent régulièrement des pics de tension. Selon Sofia, cela est principalement dû à la politique du gouvernement de Nikola Gruev­ski, qui s'est lancé dans de nombreux chantiers grandiloquents visant à prouver les «origines antiques» de la Macédoine, s'appropriant des pans entiers de l'histoire de ses voisins, notamment la paternité du cyrillique.

Des monuments ont été érigés à la va-vite (d'Alexandre le Grand, de l'empereur Justinien, du roi Samuel de Bulgarie ) et des bâtiments au style néoclassique ont poussé comme des champignons dans le cadre du vaste - et coûteux - chantier «Skopje 2014». «C'est un pillage, s'emporte Bojidar Dimitrov, le directeur du Musée national d'histoire de Sofia. Ils se sont servis de l'Antiquité grecque et de toute l'histoire bulgare après le VIIe siècle pour bâtir leur fable.»

Le sort de la Macédoine sera de nouveau examiné au printemps prochain, selon Bruxelles. Avec désormais au menu, outre l'imbroglio sur le nom, la question du «bon voisinage» avec la Bulgarie.

http://fr.news.yahoo.com/sofia-bloque-ambitions-europ%C3%A9ennes-skopje-173900950.html

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Les participants à la conférence-débat sur le thème «L'Union européenne peut-elle servir d'exemple à l'intégration du Maghreb?», qui a eu lieu lundi à l'Ecole nationale supérieure du journalisme et des sciences de l'information, ont estimé que l'Union du Maghreb arabe (UMA) peut s'inspirer du modèle de l'Union européenne (UE) pour bâtir son système économique et réussir l'union des pays nord-africains.

http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/35906

Union européenne. Le budget 2013 voté, une rallonge pour Erasmus.

Le Parlement européen a donné mercredi son feu vert au projet de budget de l'UE pour l'année 2013 sous condition que les Etats membres s'engagent à garantir le paiement des arriérés de l'année 2012, a annoncé son président Martin Schulz. Une rallonge de six milliards permettra notamment de payer les bourses des étudiants Erasmus.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/europe/union-europeenne-le-budget-2013-vote-une-rallonge-pour-erasmus-12-12-2012-1940305.php

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Les “27″ se sont donné du temps pour décider des dates des futurs élargissements aux pays des Balkans.

Réunis mardi (11 décembre), ils ont souhaité ne pas décevoir les candidats : les perspectives d’adhésion restent ouvertes mais ils se sont bien gardés – comme les pays demandeurs l’espéraient  - de fixer une date pour le début des négociations avec la Serbie et avec l’Ancienne République Yougoslave de Macédoine (FYROM/ARYM).

Idem pour l’ouverture des négociations d’un accord d’association et de stabilisation (ASA) avec le Kosovo. Il faudra attendre, pour ces deux là, une nouvelle évaluation des acquis européens, notamment dans le domaine des Droits fondamentaux, de la justice et de la liberté, faite par la Commission et une nouvelle proposition d’ouverture des négociations pour se prononcer. Rendez-vous est donc pris au sommet de printemps 2013, pour réexaminer toutes ces conditions.

Pour les autres (Albanie, Bosnie-Herzégovine), la situation n’est pas désespérée, mais le patient est encore bien atteint, comme on dirait dans le milieu médical ; les conditions sont loin d’être remplies disent les diplomates…

Suite : http://www.bruxelles2.eu/politique-etrangere/elargissement-europe-centrale/aucune-decision-sur-les-balkans-les-problemes-persistent-en-macedoine-et-en-serbie.html

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Les compétences de l’Agence européenne de sécurité maritime vont être étendues.

Le nouveau règlement, approuvé mardi par le Parlement européen, a élargi le rôle de l’organe central de la sécurité maritime dans l’Union européenne. L’Agence pourra désormais s'occuper de la pollution causée par les plateformes pétrolières et gazières, à condition que les Etats membres concernés lui en aient fait la demande. Jusqu'ici, l'Agence ne pouvait faire intervenir ses navires anti-pollution que dans les cas où la pollution émanait de bateaux. Ce règlement permettra également à l'Agence de participer à la lutte contre la piraterie en fournissant les données en sa possession. Elle jouera aussi un rôle dans la réduction de la bureaucratie pour les navires, en informant les autorités nationales des douanes des déplacements de bateaux grâce à SafeSeaNat, son système de surveillance du trafic maritime. Enfin, elle favorisera les échanges de bonnes pratiques entre marins, améliorant ainsi leur formation.

Opérationnelle depuis 2003, l'Agence européenne pour la sécurité maritime a été mise en place suite aux marées noires provoquées par le naufrage des pétroliers Erika en 1999 et Prestige en 2002. Elle est avant tout chargée d'apporter son assistance à la Commission européenne et aux Etats membres dans le domaine de la sécurité maritime.

http://www.meretmarine.com/fr/content/de-nouvelles-competences-pour-lagence-europeenne-de-securite-maritime

Les inventeurs de l'UE vont disposer bientôt d'un brevet unitaire.

Après plus de 30 ans de pourparlers, le nouveau régime va réduire jusqu'à 80 % des coûts d'un brevet dans l'UE et le rendre plus compétitif face aux États-Unis et au Japon. Les députés ont réduit les coûts pour les petites entreprises et adapté le système à leur besoins, dans un compromis conclu avec le Conseil et approuvé par le Parlement ce mercredi.

Par trois séries de votes séparés, les députés ont soutenu le "paquet brevet de l'UE" (brevet unitaire, régime linguistique et juridiction unifiée du brevet).

"La propriété intellectuelle ne doit pas s'arrêter aux frontières. La mise en place du brevet de l'UE a été longue et difficile, mais finalement cela en a valu la peine", a déclaré Bernhard Rapkay (S&D, DE), député européen responsable de la législation sur la mise enplace d'un système de protection par brevet unitaire. "Le vote d'aujourd'hui est une bonne nouvelle pour l'économie européenne et en particulier pour les petites et moyennes entreprises (PME) européennes", a-t-il ajouté.

http://www.europarl.europa.eu/news/fr/pressroom/content/20121210IPR04506/html/Le-Parlement-approuve-la-r%C3%A9glementation-sur-le-brevet-unitaire

Autres infos : http://europa.eu/newsroom/highlights/index_fr.htm

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Il y avait un ensemble de règles communes pour les brevets mais pas de brevet unitaire. C'est justement parce que la situation actuelle était imparfaite et couteuse surtout pour les PME qu'un dépot unique pour toute l'europe était nécessaire.

Concernant le téléphone, la concurrence doit être libre mais l'europe limite les abus :

http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2012/07/la-t%C3%A9l%C3%A9phonie-mobile-sous-la-toise-de-lunion-europ%C3%A9enne.html

http://www.zdnet.fr/actualites/la-commission-europeenne-traque-les-abus-des-operateurs-mobiles-2105287.htm

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La Lettonie a fait un nouveau pas jeudi 13 décembre en direction de son entrée dans la zone euro avec le vote d'une loi précisant les modalités du passage à la monnaie unique.

Les 100 membres du parlement ont voté en première lecture en faveur de la loi de préparation à l'euro, à 53 contre 35. Le vote est intervenu après que l'un des partis de la coalition au pouvoir, qui avait précédemment exprimé des doutes sur l'adoption de l'euro, s'est rallié au projet du Premier ministre Valdis Dombrovskis.

Les responsables politiques sont convaincus que le pays satisfera aux critères imposés pour devenir le 18e Etat membre de la zone euro. L'Etat balte devrait demander à l'Union européenne d'en décider au début de l'an prochain.

http://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Lettonie-Premier-pas-legislatif-vers-une-entree-dans-l-euro--15593507/

L’Irlande prend la présidence du Conseil de l’Union européenne à partir du 1er janvier 2013. Sous la houlette de la troïka (FMI, UE, BCE), le pays s’est vu prêter 85 milliards d’euros en 2011, mais espère être le premier Etat européen à sortir du programme d’aide international.

« Un pays en convalescence va mener un programme pour une Europe en convalescence », estime le premier ministre irlandais Enda Kenny.

Suite : http://www.euractiv.fr/institutions/budget-union-bancaire-et-zone-euro-au-menu-de-la-presidence-irlandaise-de-lue-17582.html#

Des experts américains envisagent trois scénarios pour l’UE en 2030

Un rapport américain envisage trois scénarios possibles pour l’Union, selon son futur degré d’intégration économique et monétaire : le déclin, l’effondrement ou la renaissance.

http://www.euractiv.fr/institutions/trois-scenarios-pour-lue-en-2030-17522.html#

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