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Le 30/10/2019 à 22:44, Tancrède a dit :

Kathleen Kennedy a dit depuis sa prise de fonction à Lucasfilm qu'elle était une immense fan de SW et connaissait l'univers comme pas deux.... En portant un T-Shirt "the Force is female" :huh:. Elle avait été nommée par Lucas pour sa succession avant le rachat par Disney, et posée à ce poste comme condition pour le rachat, parce qu'elle lui avait promis de préserver son héritage et sa vision, censée qu'elle était de pousser le script qu'il avait écrit depuis longtemps pour la prochaine trilogie et sur lequel il insistait pour conclure la saga.... Et sitôt sous l'égide de Disney, elle a foutu le dit script aux chiottes et a constitué le groupe d'écriture définissant tout ce qui se ferait dans la franchise (trilogie, films one shots, futures trilogies, jeux vidéos, séries, animés....) avec presque uniquement des femmes, toutes activistes politiques, beaucoup n'ayant aucune expérience d'écriture, et un certain nombre n'ayant au mieux qu'une connaissance superficielle de SW (et sans doute beaucoup de mépris très académique pour la chose). Mais bon, tout le monde peut poser pour la photo en jouant les superfans hyper enthousiastes, balancer des tweets "I love SW", et jeter 2-3 références ici et là, surtout avec une presse aux ordres (et constituées de gens de même mentalité). La division avec le personnel "historique" de Lucasfilm (bref, les geeks, surtout des techniciens/informaticiens/créateurs....) a été immédiate et dure encore aujourd'hui, le wokisme envahissant a imposé des critères de recrutement n'imposant en aucun cas la qualification ou un attrait particulier pour la franchise, surtout dans les postes de direction/décision, et tout ce qui a un titre et une fonction nébuleuse ("production", "édition"...) ou trait à la GRH (domaine qui a connu une inflation énorme, sans relation avec la croissance du personnel productif). Bref, ça a recruté de l'activiste, du bien-pensant wokiste, avec couleur de peau, sexe et sexualité comme critères de recrutement valides, et ça doit les faire enrager que le personnel technique (celui qui fait la valeur dans cette boîte très technologique) continue à être essentiellement mâle, blanc et asiatique (parce que c'est l'essentiel de ce qui sort des cursus de formation concernés, surtout en Californie, là où est Lucasfilm).  

Mais je viens de réaliser...

Leia est combattante, résiste à la torture, ne baisse jamais les bras, ne panique jamais, n'est jamais une demoiselle en détresse,  entre le grand dadais et le bad boy arrogant...

LA TRILOGIE ORIGINELLE EST WOKISTE !

Modifié par Rob1
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On 11/3/2019 at 3:21 PM, Rob1 said:

Mais je viens de réaliser...

Leia est combattante, résiste à la torture, ne baisse jamais les bras, ne panique jamais, n'est jamais une demoiselle en détresse,  entre le grand dadais et le bad boy arrogant...

LA TRILOGIE ORIGINELLE EST WOKISTE !

Exagération, monsieur le persifleur :wink:! Outre le fait qu'elle est bien mieux écrite et que les aspects "personnage de fiction exagéré" sont de ce fait mieux camouflés, plus organiques au récit, elle a beaucoup de moments d'impuissance (où elle doit s'en remettre aux autres), de dépendance, de tristesse, de panique/désespoir, elle a des moments de demoiselle en détresse (pas caricaturalement cependant), à commencer par la situation dans laquelle les 2 autres la trouvent (ou quand elle est sauvée par un Ewok.... La honte? Ou se fait choper connement par Jabba?), et d'une manière générale, comme les 2 autres gars, et surtout, comme la plupart des êtres humains, elle passe beaucoup plus de temps dans les films à être à la merci des circonstances et des événements (genre.... Tout l'épisode V?) que le contraire, ayant, ô coîncidence(?), Miracle(? ), quelques moments seulement où elle peut agir (elle en rate certains, ou foire son action), et qui sont du coup.... CEUX DONT ON SE RAPPELLE et qui lui donnent son caractère et font la force de son personnage! Une poignée de moments où elle parvient à agir et à réussir quelque chose, perdus dans l'océan d'une avalanche de coups au corps et de faisceaux d'événements qui la ballottent, elle et ses compères, qui essaient de survivre tant bien que mal à ce qu'ils prennent, ou à fuir cette merdasse avec juste assez d'avance pour reprendre leur souffle (parfois littéralement). 

2-3 vraies décisons "fortes" suivies de succès où son caractère peut jouer et se voir récompensé, mais aussi de mauvais choix qui ont des conséquences. Et l'attitude crâne manifestée à certains moments par Leia est bien souvent à voir (et ainsi présentée) comme une compensation de quelque chose d'autre (impuissance, frustration, panique) qui est ressenti à l'écran, pas de la ligne gratuite pour dire "girl power". Encore une fois, Star Wars n'est pas l'épitome d'un grand récit sophistiqué ou d'un storytelling pour adultes, mais ces éléments fondamentaux sont néanmoins là, et suffisamment mis en valeur pour être marquants et forts, et participer de la composition d'un caractère qui ressemble à un être humain dont le prénom n'est PAS Mary Sue. Et grâce à cela, ô surprise, il n'y a pas besoin de rabaisser comparativement d'autres personnages, de grosbilliser Leia, de lui donner une "armure narrative" visible à 10km, de la valider émotionnellement toutes les 5 minutes (ou même du tout), de la rendre imblairable par des lignes de dialogues prétentieuses/insultantes/condescendantes (au-delà d'une ou deux vannes)/égotistes (qui se souvient d'une Leia ramenant tout à elle-même?).... 

Nope: pas de wokisme/féminisme ou autre. Un perso de fiction grand public (cad faut pas chercher du Balzac là-dedans) écrit par des adultes qui savaient ce qu'ils faisaient et le faisaient à dessein (simplifier, faire de l'archétype, écrire avant tout pour des enfants, mais pas dégommer les fondamentaux ou sombrer dans la niaiserie). Un personnage n'est pas une liste d'ingrédients et d'attitudes sans cohérence, un personnage a autant de failles que d'atouts (et souvent les défauts de ses qualités, si on le compose bien), et un bon ne doit pas trancher dans le décor à un point tel qu'il/elle écrase improbablement les autres (sauf Docteur Manhattan, et même lui a ses failles) ou ne mérite pas de se voir renvoyer la balle autant qu'il/elle la balance. 

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6 hours ago, Kiriyama said:

Est-ce que quelqu'un a déjà regardé Painkiller Jane

 

Y'a longtemps: j'ai le souvenir de quelque chose de très soporifique passé l'intérêt des 2-3 premiers épisodes, d'intrigues sous-écrites et sans intérêt qui étaient étirées comme si les scénaristes tentaient de masquer le fait qu'ils n'avaient strictement rien à dire. 

 

Sinon, la 2ème saison de Jack Ryan semble témoigner du fait qu'ils ont pris les défauts de Tom Clancy et évacué toutes les qualités: du jingoisme soft sous forme condescendante (plus que dans la première) assorti de clichés wokistes, et toutes les tropes en vogue, le tout avec le défaut qui semble venir de plus en plus tôt dans les séries qui commençaient bien, à savoir tout exagérer. Ca a pris plus de temps dans Strike Back, mais la grosbillisation absolue des protagonistes est là et bien là dès le début: Jack Ryan est désormais un héros d'action surboosté (poursuite acrobatique sur les toits de Londres, dégomme à mains nues un assassin professionnel ex-FS qui l'avait attaqué par derrière, dézingue au flingue sans ciller....), on a droit à la nana/espionne/FS de 40kgs qui fonctionne comme un Terminator (de la bonne époque, où ça fonctionnait), des soldats de FS ricaines qui trucident du méchant soldat d'élite de dictateur par douzaines sans bouger ou se planquer... Bref, si j'ai cru, ou espéré, quelque chose d'un peu original et prenant, voire crédible, dans la 1ère saison (en étant volontairement bon public), c'est fini, maintenant. Même le perso devient plus générique encore, ne développe plus d'histoire personnelle, n'a plus rien de particulier qui le sortirait du lot, ou d'un moule générique: aucun effort de ce côté, même pour se rattacher vaguement à l'histoire perso pourtant pas gigantesquement originale (hors de ses actions/activités pro) du Jack Ryan des romans. 

On regarde, on peut aller pisser sans arrêter la vidéo et n'avoir aucun remords, ou aucune surprise en revenant, et on oublie très vite. L'attention ne sera pas accaparée, la mémoire pas impactée, et faut pas s'attendre à s'accrocher aux bras de son fauteuil. Un peu de curiosité, principalement suscitée par le fric sur l'écran (décors/lieux de tournage, grands angles) qui offre un peu de dépaysement, mais guère plus. L'émotion la plus forte qui me soit venue pendant le visionnage survint lorsque je me suis demandé ce que j'allais bouffer. 

 

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@Tancrède au passage Nerdrotic est en train de faire un live sur youtube là... Putain Gary a vraiment eu une vie "rock'n roll"... Beaucoup beaucoup de drogues, un mariage et une famille foutus en l'air, la misère, la prison, etc, j'aurais jamais cru. Son live est à propos de son temps chez les "AA" qui l'ont aidé à s'en sortir.

https://www.youtube.com/watch?v=hlB29ruq_b8

Modifié par Patrick
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Il y a 6 heures, Kiriyama a dit :

Est-ce que quelqu'un a déjà regardé Painkiller Jane

J'avais vu quelques épisodes et c'était sympa.

J'aimerais voir la série en entier. 

moi j'ai vu, juste pour l'actrice. Il y a une scène sympa, je te laisse trouver laquelle :rolleyes: Sinon c'est carrément oubliable, et à moins que le câble ait été coupé chez toi, je suis quasiment sûr que tu trouveras mieux à regarder...

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Kristanna Loken était terrible dans Terminator 3 (qui était encore un film potable au demeurant). 

Elle aura eu une carrière assez bizarre puisqu'elle avait joué dans Air Panic (petit thriller) puis fait ses grands débuts fracassants dans Terminator 3... et plus grand chose après. 

Elle a un peu pigé dans Burn Notice, puis Painkiller Jane (qui n'a connu qu'une saison), des direct-to-DVD et enfin Bounty Hunter

Kristanna Loken avait aussi rendu visite à l'écurie Jaguar de Formule 1, qui faisait la promo du film sur ses voitures. 

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il y a 50 minutes, Kiriyama a dit :

Elle aura eu une carrière assez bizarre puisqu'elle avait joué dans Air Panic (petit thriller) puis fait ses grands débuts fracassants dans Terminator 3... et plus grand chose après. 

Faire une sortie soudaine dans un blockbuster est souvent risqué, j'ai l'impression. Je n'ai plus entendu parler de la sirène de pirates des Caraïbes 4 ou de la bond girl frenchie de Skyfall depuis la sortie de ces fillms par exemple. Mark Hamill a fini par cachetonner dans des séries B, et Hayden Christensen carrément dans du direct-to-video...

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Le 03/11/2019 à 22:39, Fenrir a dit :

Je rejoins Tancrède, la saison 2 de Jack Ryan est une bouse infinie. Le scénario est aussi fin et subtil que du papier à cigarette. Le méchant est méchant mais sans charisme et con comme un balai!

Ne regardez pas cette daube!

Ou alors il faut être alité, bloqué par de violentes douleurs et sous un temps de pluie et là, on se retrouve à la mater.

Pour mémoire, c'est toi qui sur Twitter tu nous a annoncé la sortie 1 jour plus tôt, le 31/10 de la sortie de la série TV.

 

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Il y a 7 heures, Philippe Top-Force a dit :

Ou alors il faut être alité, bloqué par de violentes douleurs et sous un temps de pluie et là, on se retrouve à la mater.

Pour mémoire, c'est toi qui sur Twitter tu nous a annoncé la sortie 1 jour plus tôt, le 31/10 de la sortie de la série TV.

 

De mon côté, tout était disponible!

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Le 04/11/2019 à 19:03, Rob1 a dit :

... et Hayden Christensen carrément dans du direct-to-video...

Je viens de faire quelques recherches sur Hayden Christensen et, effectivement, la chute a été rude !

C'est dingue comme il suffit parfois d'une erreur de parcours (ici ça a été Jumper) pour qu'une carrière quitte la route. 

J'ai vu Jumper récemment, sans savoir que c'était Hayden Christensen qui jouait dedans, et c'était un film assez chaotique. 

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je ne pense pas qu'une erreur de film ( sauf foirade monstrueuse ) plombe une carrière.

C'est surtout que pour les femmes, il y a une concurrence énorme et il me semble difficile de se faire une place au soleil sur la durée. Il faut énormément jouer avec les médias pour rester visible dans le bon sens et c'est très difficile.

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Le 28/10/2019 à 17:15, collectionneur a dit :

Le retour des Dalek dans la nouvelle saison de Doctor Who, l'armée britannique n'y est pas plus efficace que les forces japonaises contre Godzilla :mechantc:

 

À force d'être attaqués par les Daleks, on se dit qu'ils auraient retenu la leçon plutôt que de se planter à 20 mètres en rang. Même sur la Marne, on savait se planquer, nous. Et on passera sur 'armée = rien entre le fusil d'assaut et la bombe H' si courant... même si Dr Who nous a donné de belles scènes avec Challenger 2 ou des SAM, dont l'opérateur est super content que pour une fois, leur équipement poutre les aliens.

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après ce moment de bonheur, pleurons ensemble mes frères pour la destruction de ce momnument de notre enfance, pleurons pour les jeunes générations qui n'auront vraiment eu que des séries de merde

Révélation

Le site The Wrap nous annonce en effet la mise en chantier d'une série toute neuve pour le compte de la chaine NBC et qui devrait se situer à notre époque. Et parce qu'il faut bien vivre avec son temps, Zorro serait cette fois une femme.

De ce que l'on en sait, la série suivrait les aventures de Z, descendante du hors-la-loi, qui prend conscience de son héritage et décide de porter le masque et d'affûter son épée pour protéger sa communauté. Si la nouvelle risque de faire grincer quelques dents, nous n'en savons pas plus pour le moment puisqu'aucun casting n'a été révélé, tout comme une date de tournage, un format et encore moins une date de diffusion. Donc vous avez encore largement le temps pour vous plaindre.

 

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Zorro, et il faut s'attendre aussi au Rocketeer (en film cependant) pour un reboot avec une femme dans le rôle titre. Preuve, s'il en fallait plus, qu'Hollywood n'a absolument aucune idée et a remplacé la créativité par un mélange d'idéologie et de gimmicks commerciaux dont certains ont du se persuader qu'ils marchaient, malgré au mieux très peu d'éléments confirmant la chose. Dans le cas du Rocketeer, la fanbase est déjà petite (mais fidèle) et renvoie à un film d'il y a presque 30 ans qui avait déjà fait un flop modéré. Ils veulent diviser le peu qu'il y a et perdre du fric? Mais dans le langage dela "diversité", Zorro veut dire "latina".... Et le reboot du Rocketeer sera avec une femme noire au début de la guerre froide (donc plein de membres du KKK pour faire de la para-histoire fantasmée). C'est à se demander qui prend de telles décisions. Il faut noter cependant que assez souvent, elles sont prises quand la propriété des droits d'une franchise est en passe de s'achever et de revenir au vendeur (rarement un vendeur "définitif").

Et il faut aussi souligner le rôle de l'écosystème hollywoodien, qui vit très bien de la multiplication des flops: au final, même quand un truc floppe, beaucoup d'argent a changé de mains, beaucoup de gens ont eu du taf, beaucoup d'équipes ont été entretenues pour un temps.... Dans une économie au business model de toute façon temporaire et au taux de réussite assumé d'emblée comme faible, il y a de l'habitude bâtie dans le système, et, on le constate, assez peu de punition pour l'échec, un grand nombre de gens étant "autorisés" à "failing upwards" (grimper en échouant).... Souvent jusqu'à ce que l'incompétence et les mauvais choix soient beaucoup trop manifestes pour être niés, et/ou que quelqu'un de réellement puissant soit embarrassé, ou encore, miracle, ait des comptes à rendre. Les seuls à être marrons sont les investisseurs.

Mais tant qu'il y a beaucoup de "dumb money" pour s'investir dans cette économie de casino, ce business model de type "ruée vers l'or" (beaucoup de rêves, une portion minuscule de succès) où l'on crée par ailleurs une énorme attractivité par des facteurs non rationnels (le glamour, les soirées, la célébrité, être "dans le grand jeu" d'Hollywood, le networking sans lendemains....), la charade risque de continuer comme dans toute bulle financière: jusqu'au crash. Les streaming wars actuelles, qui voient des montants sans précédents s'investir dans ce qui pourrait être un gigantesque miroir aux alouettes (l'enjeu, ce sont les abonnements à de telles chaînes à l'échelle mondiale, mais le coût est dantesque, la compétition énorme -combien de services rien qu'aux US, maintenant?-; il semble qu'il y ait beaucoup plus investi que de revenu à retirer dans cette phase de "guerre"), sont l'âge d'or de la production et donc de cette économie particulière  qui gaspille énormément, surpaye très facilement, a, de façon choquante, souvent un très faible processus de validation de choix en matière de projets (si les conditions et individus "qu'il faut" sont réunis). 

 

 

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Le 06/11/2019 à 10:08, jean-françois a dit :

je ne pense pas qu'une erreur de film ( sauf foirade monstrueuse ) plombe une carrière.

C'est surtout que pour les femmes, il y a une concurrence énorme et il me semble difficile de se faire une place au soleil sur la durée. Il faut énormément jouer avec les médias pour rester visible dans le bon sens et c'est très difficile.

C'est un problème récurrent pour les actrices.

Les acteurs masculins qui gèrent bien leur carrière peuvent cartonner tout le long car ils trouveront presque toujours des rôles adaptés au cinéma, et en outre plus aisément des premiers rôles.

Une femme par contre a toutes les chances de connaître un passage à vide quoi qu'elle fasse une fois la trentaine passée avant de ravoir ses chances vers 40-50 ans.

Bref, soit jeune, soit mûre.

Ça plus le fait difficile à établir mais qu'on imaginera assez bien que refuser certains...arrangements avec tout qui fait office de "rain maker" dans le milieu ne doit pas aider la carrière...

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