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Les fermetures de bases !


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C'est du lourd !

http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/07/24/l-est-de-la-france-frappe-par-les-restructurations-militaires_1076607_3224.html#ens_id=1046241

Le premier ministre, François Fillon, et le ministre de la défense, Hervé Morin, a présenté, jeudi 24 juillet, le plan dit de "modernisation de la défense", qui se traduit par la fermeture de 82 unités, le transfert de 33 autres, ainsi que le "renforcement opérationnel", d'ici à 2014, de 65 régiments et bases, afin que ces derniers atteignent la masse critique souhaitable. C'est l'armée de terre qui est la plus touchée (20 régiments et bataillons disparaissent), l'armée de l'air perdant 11 bases aériennes (avec ou sans avions) et la marine une seule, la base aéronavale de Nîmes-Garons.

Géographiquement, c'est le nord-est de la France, en particulier les départements de la Moselle, de la Marne, de la Meurthe-et-Moselle et du Nord, qui abritent plusieurs garnisons de l'armée de terre, qui supporte l'essentiel de ces restructurations : ces implantations reflétaient un dispositif stratégique datant de la guerre froide, voire des lendemains de celle de 1870.

Cette réforme, attendue avec anxiété et parfois colère par les élus locaux et les populations des communes qui se savaient sur la sellette, aura de profondes répercussions économiques : dans certaines régions, la disparition d'un régiment signifie une lourde perte pour l'économie locale, et elle est souvent vécue, comme l'a souligné M. Fillon, comme une "séparation déchirante et un manque culturel et affectif".

L'annonce du plan avait été repoussée à plusieurs reprises : compte tenu du malaise qu'avait fait naître dans les armées la publication du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, il avait été jugé prudent de surseoir à toute annonce, avant le défilé du 14 juillet. Il fallait également éviter que la mauvaise humeur de certains élus se traduise par des votes négatifs au moment de l'adoption de la réforme de la Constitution par le Congrès de Versailles. Nicolas Sarkozy avait enfin souhaité des mesures supplémentaires en matière d'"accompagnement territorial".

Tout en soulignant que les restructurations actuelles se traduiront par la suppression de 54 000 postes contre 18 000 en 1996 (pour la professionnalisation des armées), le premier ministre a cependant assuré que la réforme en cours est "l'une des conditions sine qua non pour que l'armée française demeure l'une des plus performantes du monde". "Je préfère une armée resserrée mais parfaitement équipée et entraînée, qu'une armée nombreuse que l'on rationne", a-t-il insisté.

M. Fillon a justifié ces restructurations militaires par des raisons "opérationnelles et organisationnelles". La France étant désormais placée devant un arc de crise allant de l'Atlantique à l'océan Indien, a-t-il indiqué, la réforme obéit à l'évolution du paysage stratégique et des menaces : l'armée doit "agir de plus en plus fréquemment, vite, loin et fort".

La liste des dispositions qui rendues publiques jeudi, et dont la mise en œuvre s'échelonnera jusqu'à 2014, concerne les unités de plus de 50 personnes. Cela signifie que, dans son ensemble, la réforme touche un nombre important d'implantations militaires. Le total des suppressions de postes annoncées par le ministère de la défense est inférieur au chiffre de 54 000 militaires prévu par le Livre blanc, celui-ci incluant les économies générées par les dispositifs de rationalisation de certaines fonctions (le soutien en particulier), et la réduction du format des unités positionnées en Afrique.

Le sort des communes concernées est parfois fort différent, selon que des mesures de compensations en termes d'effectifs ont été ou non prévues. C'est, par exemple, le cas du 13e régiment de dragons parachutistes de Dieuze (Moselle), dont les élus ont menacé de démissionner. Le départ de ses 913 soldats (le régiment est transféré dans la banlieue de Bordeaux) devrait être partiellement compensé par l'arrivée de quelque 300 soldats du "groupement d'instruction des brigades", et par plusieurs centaines de stagiaires.

Selon la logique territoriale consistant à dégraisser la région nord-est, les bases aériennes de Colmar-Meyenheim, Reims, Metz et Cambrai, sont fermées. L'armée de l'air voit aussi ses implantations touchées dans d'autres régions avec la suppression des bases 101 de Toulouse, 943 de Nice, 217 de Brétigny-sur-Orge et 921 de Taverny.

A l'inverse, 65 unités bénéficieront d'un "renforcement opérationnel". Ce processus est lié à la création d'ici à 2014 de 80 "bases de défense". Ces centres sont appelés à regrouper plusieurs unités dont les fonctions de soutien seront mutualisées. Ainsi, si bon nombre de régiments d'artillerie sont dissous, certains sont renforcés, et des unités de fantassins sont "densifiées" par des compagnies de combat.

La principale critique qui a été émise sur cette réforme concerne les difficultés que va rencontrer l'armée de terre pour "projeter"  30 000 hommes à l'extérieur avec de telles réductions d'effectifs. Son nouveau chef d'état-major, le général Elrick Irastorza, n'est pas loin de partager cet avis : dans une récente note interne, il souligne qu'un tel contrat opérationnel ne pourrait être rempli qu'à condition de faire revenir en France "dès les prémices d'une crise majeure", toutes les unités déployées sur les "théâtres en cours".

Laurent Zecchini

carte des implantations supprimées:

http://www.lemonde.fr/web/infog/0,47-0@2-823448,54-1076611@51-1046241,0.html

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Son nouveau chef d'état-major, le général Elrick Irastorza, n'est pas loin de partager cet avis : dans une récente note interne, il souligne qu'un tel contrat opérationnel ne pourrait être rempli qu'à condition de faire revenir en France "dès les prémices d'une crise majeure", toutes les unités déployées sur les "théâtres en cours".

:lol: et comment on les rapatrie ? on laisse les véhicules las-bas et on revient par avion

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Perso, cela me fait chier que le CEP d'Arceuil ferme en 2011. Je demanderai ia ma mut' au CEB ou Bretigny. Je sais, suis taré d'aller en IdF mais bon j'aime bien Paris.

Sinon tous les centres de recherche du SSA ferme en 2011 (381 personnes) pour en créer un big à Institut de recherche du service de santé des armées Bretigny (+246 soit 135 personnes à virer).

L'ERS de Chartres ferme, le maire va être content. Les Rmed vont fusionner.

L'ETAS ferme (362 personnes) . Cela va être rigolot de faire les qualif de matériel sur les pistes des industriels ou sur le champ de tir de l'ETBS (100 personnes en plus). Soit 262 personnes à virer

Liste des bases de défense en 2014

AGEN

ANGERS

ANGOULÊME

ANNECY

APT

AVORD

BAYONNE

BELFORT

BESANÇON

BORDEAUX

BOURGES

BREST

BRICY

BRIVE LA GAILLARDE

CALVI

CARCASSONNE

CASTRES

CAZAUX

CHAMBÉRY

CHARLEVILLE MÉZIÈRES

CHAUMONT

CHERBOURG

CLERMONT-FERRAND

COETQUIDAN

COGNAC

COLMAR

CREIL

DIJON

DRAGUIGNAN

ÉPINAL

ÉVREUX

GAP

GRENOBLE

HAGUENAU

ISTRES

LA VALBONNE

LAUDUN

LE MANS

LILLE

LORIENT

LUXEUIL

LYON

MAILLY LE CAMP

MARSEILLE

MÉRIGNAC

METZ

MONT DE MARSAN

MONT VERDUN

MONTAUBAN

MONTLHÉRY

MOURMELON

NANCY

NÎMES

ORANGE

ORLÉANS

PARIS

PAU

PHALSBOURG

POITIERS

RENNES

ROCHEFORT

SAINT DIZIER

SAINT GERMAIN EN LAYE

SAINT MAIXENT L’ÉCOLE

SALON DE PROVENCE

SAUMUR

SOLENZARA

STRASBOURG

TARBES

TOULON

TOULOUSE

TOURS

VALENCE

VANNES

VÉLIZY VILLACOUBLAY

VERDUN

VERSAILLES

VINCENNES

MARTINIQUE

GUADELOUPE

LA RÉUNION

MAYOTTE

GUYANE

NOUVELLE CALÉDONIE

POLYNÉSIE

Le Livre blanc engage la France dans un effort considérable de modernisation des forces

armées, qui s’articulera en deux phases sur la période 2009-2025.

La première phase de modernisation des forces : 2009-2015

Durant cette phase, l’accent sera porté, à court-moyen terme, sur les opérations suivantes :

- modernisation de l’outil de combat aéroterrestre avec une attention particulière portée

sur les programmes nécessaires à la protection des forces et leur cohérence

opérationnelle ;

- programmes prioritaires pour la fonction « connaissance et anticipation ». Dans le

domaine spatial, les satellites d’imagerie seront renouvelés et leurs performances

considérablement améliorées. Les programmes de satellites d’écoute électromagnétique

et de détection des lancements de missiles (alerte avancée) seront lancés ;

- modernisation progressive de l’outil de combat aérien, privilégiant les capacités de

pénétration et de frappe en soutien des forces terrestres ;

- modernisation de la capacité de maîtrise du milieu sous-marin (frégates anti sousmarines

et sous-marins nucléaires d’attaque) ;

- résorption du déficit capacitaire en transport aérien stratégique (avions de transport

Airbus A400M et ravitailleurs en vol MRTT) et de l’aéromobilité (hélicoptères de

manoeuvre) ;

- adaptation de la capacité amphibie :

- remise à niveau des stocks de munitions.

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citation : adaptation de la capacité amphibie

C'est pourquoi on mute l'EM de la 9eme à Poitiers. C'est bien connu des géographes, Poitiers est au bord de l'Ocean.... :lol:

Sérieusement, qu'entendent-ils par "adaptation de la capacité amphibie".....?

Apparament le 519 disparait. J'avais entendu dire, qu'une partie des moyens avait déjà été transfèré à Toulon. Faudra voir comment ils comptent organiser concretement le bordel ; "unité marine" ou "unité mixte"?  En tout cas, ça me parait une mesure logique....

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Grinch:

Il ne manque pas des bases dans ton énumération?

Je pense au notamment au camp du Vadahon accueillant 13eme régiment de génie?

Ou bien base de défense correspond à une définition particulière? Pourrais tu expliquer alors?

En fait, une base de défense peut englober plusieurs "sites" dans un rayon de 30 / 40 km ; Si j'ai bien compris...  Donc Valdahon => base de défense Besançon...

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Qu'en est-il des bases permanentes en Afrique ? Gabon, Côte d'Ivoire, Sénégal, Tchad, et Djibouti.

N'est-il pas question de quitter Djibouti, lorsque la base aux Emirats Arabes Unis sera ouverte, d'ici 2009 ? J'aimerais bien que l'on y reste pour le CECAP et aussi au Gabon pour le CEC FOGA et sa piste Malibé (soit-disant la piste commando la plus longue du monde et l'une des plus dure). Le Tchad pour que nos pilotes fassent les cons et nous rapportent de belles vidéos.  O0

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Qu'en est-il des bases permanentes en Afrique ? Gabon, Côte d'Ivoire, Sénégal, Tchad, et Djibouti.

N'est-il pas question de quitter Djibouti, lorsque la base aux Emirats Arabes Unis sera ouverte, d'ici 2009 ? J'aimerais bien que l'on y reste pour le CECAP et aussi au Gabon pour le CEC FOGA et sa piste Malibé (soit-disant la piste commando la plus longue du monde et l'une des plus dure). Le Tchad pour que nos pilotes fassent les cons et nous rapportent de belles vidéos.  O0

M. Hervé Morin a précisé que la réflexion sur les forces prépositionnées était en cours et devrait aboutir d’ici la fin de l’année. Le schéma général retenu devrait conduire au maintien d’une double implantation d’une part en Afrique, sur la façade atlantique, vraisemblablement au Sénégal, et d’autre part sur l’océan Indien, avec la base de Djibouti. Ces positions seront complétées par la création de la base d’Abou Dhabi et la prolongation du dispositif Épervier au Tchad. Le maintien d’une présence française au Gabon est encore à l’étude.

Les accords de défense sont actuellement renégociés en tenant compte des trois principaux axes de travail fixés par le Président de la République : suppression de toute clause secrète, information du Parlement et disparition des dispositions portant sur des opérations de maintien de l’ordre.

En ce qui concerne le « coût énergétique » des bases de défense, il a reconnu que l’étendue de leurs implantations pourrait entraîner une consommation un peu plus importante de carburant mais a insisté sur le caractère indispensable pour la réorganisation du ministère de la mutualisation des soutiens

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Je crois que sur cette questions des "bases" il faut distinguer deux aspects....

1° -Interet stratégique d'avoir un point d'appui à tel ou tel endroit...

2° -Interet de pré-positionner des forces (et lesquelles)

Pré-positionner des forces comme on le fait actuellement, ça conduit à la dispersion des moyens et à "rigidifier" nôtre dispositif. Militairement -stratégiquement parlant ça ne parait pas optimum...

On peut comprendre cette démarche (pré-positionnement) quand on avait une armée à gros effectifs et pas chers (contingent) Il me semble que dans la situation actuelle, il faut priviliègier la "souplesse d'emploi" des effectifs, en les concentrant...

Evidemment, cela suppose que l'on puisse renforcer plus ou moins rapidement les DOM-TOM et/ou les points d'appui ; pour ce faire, il faut miser sur la capacité de transport stratégique (que ce soit par voie maritime ou aérienne)

Je reviens sur les points d'appui, c'est l'heure du repas....

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Merci Philippe, porte-parole personnel de M. Hervé "Tagada" Morin pour AirDef.  ;)

En dehors de Djibouti et du Tchad (on a un "pacte" de défense, non ?) les autres bases sont "secondaires".

Le Sénégal est si important ? Actuellement c'est la base permanente la moins peuplé.

La Côte d'Ivoire c'est terminé alors ? Les ressortissants français qui ont été évacués en Novembre 2004, n'y sont jamais retournés ?

Fusilier, pour les DOM-TOM un simple détachement tournant (~150 hommes) est suffisant pour Mayotte et Tahiti. Mais pour la Guadeloupe et la Martinique, il y a pas mal de drogue qui circule, venant de l'Amérique du Sud, un renfort de gendarmes serait peut-être plus utile que des militaires. Par contre pour la Réunion et la Nouvelle Calédonie, je crois qu'il est nécessaire de ne pas trop baisser notre présence là-bas. La Guyane, entre la drogue, la chasse aux orpailleurs et les pêcheurs illégaux, il y a du boulot. :/

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Merci Philippe, porte-parole personnel de M. Hervé "Tagada" Morin pour AirDef.  ;)

En dehors de Djibouti et du Tchad (on a un "pacte" de défense, non ?) les autres bases sont "secondaires".

Le Sénégal est si important ? Actuellement c'est la base permanente la moins peuplé.

La Côte d'Ivoire c'est terminé alors ? Les ressortissants français qui ont été évacués en Novembre 2004, n'y sont jamais retournés ?

Fusilier, pour les DOM-TOM un simple détachement tournant (~150 hommes) est suffisant pour Mayotte et Tahiti. Mais pour la Guadeloupe et la Martinique, il y a pas mal de drogue qui circule, venant de l'Amérique du Sud, un renfort de gendarmes serait peut-être plus utile que des militaires. Par contre pour la Réunion et la Nouvelle Calédonie, je crois qu'il est nécessaire de ne pas trop baisser notre présence là-bas. La Guyane, entre la drogue, la chasse aux orpailleurs et les pêcheurs illégaux, il y a du boulot. :/

Si j'ai bien compris la Guyanne va devenir le "point d'appui" pour intervenir dans la zone Amérique du Sud Caraibes  ; idem  pour la Réunion / Sud Ocean Indien (de toutes manières il faut du monde pour la permanence dans les Eparses et toussa..) Pour le Pacifique, si j'ai bien compris on "concentre" les moyens en Nouvelle Caledonie. Par rapport à la drogue et toussa, ce n'est pas un problème militaire... A terre c'est affaire de police et en mer il y a les Douanes et la Gendarmerie Maritime.... Que la Marine détache des navires pour filer un coup de main ; une escouade de Fus ou des Coys pour faire la visite des navires quand c'est un peu hard, ça ne mange pas de pain... (nb si l'on était un pays normalment constitué on détacherait une compagnie de Fusiliers capables de faire le boulot en mer et à terre selon les bésoins, enfin... O0)

Pour l'Afrique, je rappelle que le Tchad n'est pas une base....  Au Tchad il y a une OPEX (à géométrie variable) dite Epervier  et maintenant une 2eme dite EUFOR - DARFUR.

Pour les bases africaines.  Je ne vois pas comment on peut laisser tomber Djibouti qui permet le contrôler la sortie / entrée de la Mer Rouge et donc la voie de communication  liée au Canal de Suez. C'est aussi une plateforme d'intervention dans une zone instable (sud Peninsule Arabique, Somalie, etc...)  C'est 100 fois plus utile que la base à Abu Dabhi, dont l'interet je dois avouer m'échappe. Il me parait essentiellement local et éventuellement en termes de transit aéro vers l'Afghanistan... Ou alors ils racontent n'importe quoi quand ils écrivent "pas de conflit avant 15 ans"...

Pour la base du Cap Vert (Senegal) c'est pareil. Du point de vue Marine, çà permet d'avoir un point d'appui pour le controle du Golfe de Guinée et de la route maritime qui longue l'Ouest Africain. C'est également utile d'avoir une "porte d'entrée" - dépôt de matériel - base aéro, pour les interventions à l'intérieur de l'Afrique (centrale / sahalienne)...  Personnellement, je suis d'avis de garder un point d'appui au Sud du Golfe (Gabon) => Afrique Equatoriale -zones pétrolifères - Sud Africain... Après, il faut calibrer les effectifs et tenir compte de la réalité de nos moyens de mobilité stratégique...

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J'ai vu ça hier et j'étais pantois devant les 3 bisounours nous dire comment tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, comment il n'y a plus aucune menace aérienne (USA 9/11, CI Bouaké 2004) et donc comment le 57ème RA était obselète et l'artillerie dans son ensemble. Mais aussi comment cette réforme était parfaite, comment toutes les bases étaient fermées dans une logique bien française, que les Leclerc c'est que du "caca" sur chenille et beaucoup d'autre choses que j'ai oublié dans mon sommeil.

Il n'y a que M. Merchet qui était plus sceptique et réaliste sur le bon et le mauvais de cette réforme tout en étant modéré quand même, hein.

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certains navires de surface indiens ont de la gueule telles les grandes frégates classe Delhi

l'influence anglaise puis russe dans les navires de surface est marquée dans la marine indienne

ils ont des soucis avec les sous marins mais celà va changer avec le temps

ce sont des gens patients

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  • 1 year later...

La liste définitive de la soixantaine de bases de défense (BDD) sera connue au printemps, apprend-on dans le troisième rapport relatif à la révision générale des politiques publiques, paru en février. Étonnamment, la lettre de la modernisation du ministère, datée du mois d'avril, évoque, elle, "l'été".

On connaît déjà 18 BDD, les 18 sites pilotes, auxquels on peut d'ores et déjà ajouter Bordeaux, Cazaux, Carcassonne, Dijon, Haguenau (l'Alsace décrocherait deux autres BDD), Pau, Tarbes.

Actuellement et selon nos recoupements, c'est Pau qui aligne le meilleur ratio d'efficacité, avec un groupement de soutien de BDD (GSBDD) représentant 9% du total de l'effectif, alors que la moyenne nationale s'établit en général à 14%.

...

http://lemamouth.blogspot.com/2010/04/rgpp-3e-rapport.html

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