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Par Conor Sweeney

MOSCOU (Reuters) - Armées d'agences de relations publiques, la Russie et la Géorgie se livrent une guerre des mots pour modeler les opinions publiques à coups de communiqués contradictoires sur le conflit en Ossétie du Sud.

Les hostilités ont débuté jeudi soir par une tentative de l'armée géorgienne de reprendre le contrôle de la petite région sécessionniste pro-russe. Moscou a réagi dans les heures suivantes en envoyant des troupes et des chars pour repousser les forces de Tbilissi.

Depuis, avec l'aide de spécialistes en relations publiques basés à Bruxelles, les deux camps organisent sans relâche des téléconférences avec la presse internationale, où de hauts responsables gouvernementaux se battent pour faire valoir leur version des événements.

La Russie s'emploie à convaincre la communauté internationale de son rôle d'honnête intermédiaire, intervenant malgré elle pour contenir un président géorgien incontrôlable, dont les forces ont entrepris un nettoyage ethnique contre le peuple ossète.

La Géorgie se présente comme un vaillant petit pays repoussant l'ogre impérialiste et subissant les foudres du Kremlin par sa volonté de devenir une démocratie occidentale et un allié de l'Otan.

Le président géorgien Mikhaïl Saakachvili a déclaré sur les ondes de la BBC ou de CNN que son pays était "en état de guerre" avec la Russie et réclamé l'appui des Occidentaux.

TERRAIN FLOU

Cet effort de communication acharné n'aide pas à clarifier les faits sur le terrain.

Chaque camp accuse l'autre d'avoir infligé de lourdes pertes à la population civile et les bilans du nombre de victimes varient d'une grosse centaine à plusieurs milliers.

Sur les chaînes de télévision russes, les gros titres des journaux dénoncent un "génocide" en Ossétie du Sud et les images de femmes en pleurs, de bâtiments bombardés et d'enfants effrayés se succèdent à un rythme effréné.

En Géorgie, une seule chaîne fonctionnait au début du conflit et tous les sites internet russes finissant par .ru ont été brièvement bloqués mais étaient à nouveau disponibles dimanche soir.

La capitale de la région séparatiste, Tskhinvali, est au coeur du conflit mais les journalistes indépendants n'ont pu y accéder ou sont contraints de rester à l'abri.

"La ville s'est transformée en enfer, beaucoup de gens sont piégés dans les décombres", peut-on lire sur un bandeau défilant sur la chaîne publique russe anglophone Russia Today.

La bataille des chiffres fait rage. Les responsables sud-ossètes ont parlé d'au moins 1.400 morts dans la première nuit de bombardements, mais n'ont pas apporté de preuves à l'appui. Les séparatistes ont de leur côté affirmé que 30.000 réfugiés avaient gagné la Russie, mais d'autres informations en provenance d'Ossétie du Nord évoquent un bilan bien moindre.

Conscient de l'importance stratégique de la Géorgie dans le transport des hydrocarbures, un ministre géorgien a accusé Moscou d'avoir tenté de bombarder l'oléoduc BTC, soutenu par les Occidentaux. La Russie dément viser des cibles non militaires et l'oléoduc n'était plus en état de marche depuis un sabotage commis dans l'est de la Turquie mardi soir.

La Géorgie affirme que son port de Poti, sur la mer Noire, fait l'objet d'un blocus de la marine russe, qui assure que seules les cargaisons d'armes seront bloquées à leur arrivée.

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Après le conflit, on essaira de placer quelques 80 Leclercs MBTs, 2 FREMM, 20 RAFALES pour commencer la reconstruction de l'armée georgienne (si elle a lieu...) :lol: :lol:

Oupss la sortiehttp://www.epi-net.fr/catalogue-sofop-taliaplast/panneaux-de-securite-et-secours/panneaux-rigides/evacuation-vers-sortie-droite-panneau-rigide.html/a_images/thumbnail

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Image IPB

Voila comment je vois les choses :

en rouge les mvts des russes et des abkhazes ,

en bleu les attaques aeriennes

les rectangles rouges la flotte russe

les rectangles oranges le bateau turk , et eventuellement en turquie des forces militaires

presentes pour la forme...

en vert les georgiens

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La France doit éviter de ce foutre dans ce conflit, elle en fait déjà beaucoup ailleurs.

C'est aux autre pays de prendre un peut le relais !

Sinon, Washington prend un peut trop les grand air, il ordonne, mais il ce prenne pour qui au juste  O0

T'en fais pas si conflit il y a, vous serez pas seuls...:)
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Bonsoir,

La Géorgie a connue deux indépendance : en 1918 et la Russie a reconnue sont indépendance deux ans plutard.

l'autre c'est en 1991.

ça m'étonnerai que la Russie envahisse la Géorgie, et l'occupée.

maintenant a savoir si toutes ces rumeurs manœuvres, navire de guerre, soldats etc...sont la pour vraiment taper fort ou pour un effet psychologique seul l'avenir nous le dira.

et la Géorgie a été sous influences  ottoman et des perse il y a bien longtemps.

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Holà! y'en a qui se voient déjà à Moscou (c'est vrai que ça nrappellerait des souvenirs)! On a une idée réelle de la position et des mouvements de la flotte turque? Pour leur éléments terrestres sur la frontière, il y a déjà de toute façon de fortes garnisons permanentes; on peut supposer que des éléments aériens y sont allés et que des renforts légers y ont été envoyés.

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Holà! y'en a qui se voient déjà à Moscou (c'est vrai que ça nrappellerait des souvenirs)! On a une idée réelle de la position et des mouvements de la flotte turque? Pour leur éléments terrestres sur la frontière, il y a déjà de toute façon de fortes garnisons permanentes; on peut supposer que des éléments aériens y sont allés et que des renforts légers y ont été envoyés.

:lol: Non je plaisantais, rassures-toi. Non (en tout cas pour ma part) ils semblerait qu'ils ne déplacent pas trop sinon les russes auraient déjà crier par dessus les fenêtres...Concernant les éléments aériens, tout porte à croire, oui. Dans l'offensive contre le PKK, ils ont surement déployé des chasseurs à la frontière. Il y a 9 chances sur 10 qu'ils y sont encore

Qui te dit que la france va s'engager dans une coalition pour aller tirer dans le russkoff, impossible...

le livre blanc dit : pas de conflit majeur sur 15 ans :lol: :lol:

:lol: Si nous on y va vous venez, sinon je vous botte les fesses  :lol:
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Vifs échanges entre Russes et Américains au Conseil de sécurité

http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20080810/twl-georgie-russie-onu-bd5ae06.html

C'est sur que les américains n'ont aucune leçon à donner à la Russie, et ça les russes font bien de leur rappeler l'invasion injustifiée de l'Irak en 2003 et la création de l'Etat fantoche du Kosovo. Au fond, si les russes prenaient Tbilissi ça ne serait pas pire au niveau de la légitimité que quand les américains ont pris Bagdad.

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Oui mais (c'est triste à dire) les américains sont +/- aimé en occident,  à l'inverse des russes...

Vifs échanges entre Russes et Américains au Conseil de sécurité

Ah nan mais ça ils jouent, c'est le jeu de celui qui crie le plus  :lol: :lol:

Plus sérieusement, à nous ca peut nous paraitre bizarre mais eux sont habitué  :lol:

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Bah d'un côté ils vont pas l'envahir pour le plaisir :lol:  quoique... ^-^

Ou peut-être pour les deux...L'effet psychologique serait de montrer qu'ils "agissent sous le nez et à la barbe des impérialistes occidentaux"  >:(

PS: Bienvenue parmi nous ;)

merci pour l'accueil.

Tout ce bordel est la suite d'accrochage entre russe et géorgien, il y a eu des morts coté russe et il me semble que Poutine ou Medvedef a dit qu'il punirai ceux qui ont fait sa...alors j'imagine bien les russe aller chercher Sakagevili et le zigouiller?

je suis pas spécialiste en stratégie de guerre, alors si quelqu'un a des notions pour nous éclairer sur ces "pseudo" manœuvre?

a défaut d'avoir des journalistes compétent je me retrouve obliger d'aller chercher l'info moi meme et c'est fatigant  :'(

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La croix rouge estime qu'il y aurait environ 40 000 personnes qui fuiraient les combats (BFM TV). On peut donc supposer qu'il y a du vrai dans le chiffre de 30 000 réfugiés.

Ca me fait bien rire l'histoire de "force disproportionnée" de la part des Américains....c'est l'un des principes de la doctrine Powell

en cas de conflit, toutes les ressources et capacités disponibles doivent être utilisés de manière à submerger l'ennemi, afin de minimiser les pertes

.
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Je le dit de suite, je poste en double car pas assez de place pour un post (me tapez pas dessus  :O )

ORGANISATIONS INTERNATIONALES

Ban Ki-Moon, secrétaire général de l'ONU : "Le secrétaire général appelle toutes les parties à mettre un terme immédiat aux hostilités et à engager, sans délai, des négociations pour parvenir à un accord de paix".

"Le secrétaire général croit que pour que les négociations soient fructueuses, tous les contingents armés qui ne sont pas autorisés à être sur place par les accords respectifs sur l'Ossétie du Sud devraient quitter la zone de conflit"

(Communiqué, dimanche 10 août)

Giselle Davies, porte-parole du Comité international olympique : "Les hostilités en Ossétie du Sud sont contraires aux idéaux olympiques".

Cependant, la porte-parole a estimé que le CIO ne pouvait rien faire sans aide. "La trêve est un idéal qui est au coeur des valeurs olympiques. Toutefois, c'est aux Nations Unies de faire quelque chose. De notre côté, nous faisons le maximum pour promouvoir la paix avec des programmes dans le monde entier", a-t-elle précisé.

"C'est une situation très complexe. Le CIO ne peut pas vraiment s'exprimer sur ce sujet", a-t-elle ajouté.

(Déclaration, samedi 9 août)

Karen Pierce, ambassadeur adjoint de Grande-Bretagne à l'ONU : "Nous regrettons qu'il n'ait pas été possible jusqu'à présent de trouver un accord sur une déclaration du Conseil de sécurité sur ce sujet".

(Réunion d'urgence de l'ONU, déclaration du vendredi 8 août)

Alexander Stubb, président de l'OSCE : "J'exhorte les Géorgiens, les Ossètes du Sud et les Russes à cesser le feu, à mettre fin aux opérations militaires et à arrêter toute nouvelle escalade".

"Les combats intenses dans la zone de conflit d'Ossétie du Sud risquent de dégénérer en guerre au plein sens du terme. Une guerre aurait un impact dévastateur pour l'ensemble de la région" du Caucase, jugeant que la situation était "à deux doigts d'une guerre au plein sens du terme."

(Communiqué à Vienne, vendredi 8 août)

Terry Davis, secrétaire général du Conseil de l'Europe : appelle à "un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel" en Ossétie.

(Communiqué à Strasbourg, vendredi 8 août)

Javier Solana, diplomate en chef de l'UE : "Nous sommes très préoccupés par l'évolution dramatique de la situation".

(Déclaration, vendredi 8 août)

Jaap de Hoop Scheffer, secrétaire général de l'OTAN : appelle à un "arrêt immédiat des affrontements armés" en Ossétie du Sud et à l'ouverture de "discussions directes" entre les parties en conflit.

"Le secrétaire général appelle toutes les parties à un arrêt immédiat des affrontements armés et à engager des discussions directes".

"Le secrétaire général de l'OTAN est très préoccupé par les événements qui sont en train de se dérouler dans la région géorgienne d'Ossétie du sud et l'Alliance suit de près l'évolution de la situation".

(Déclaration, vendredi 8 août)

Comité international de la Croix-Rouge (CICR) : "Nous sommes très inquiets sur la situation humanitaire (...). Les ambulances sont bloquées, les hôpitaux sont submergés et des opérations chirugicales sont menées dans des couloirs".

"Ce (vendredi) matin, un membre du personnel du HCR nous a informé que beaucoup de bâtiments et de maisons ont été détruites et que seuls des soldats étaient dans les rues".

"L'eau manque: c'est un problème chronique aggravé par les récents événements. La plupart des transports sont bloqués et les magasins commencent à manquer de nourriture à vendredi".

(Déclaration, vendredi 8 août)

ETATS

Franco Frattini, ministre italien des Affaires étrangères : "Cessez-le-feu immédiat, intégrité territoriale de la Géorgie mais aussi refus des armes pour défendre l'intégrité territoriale. Nous voulons que cela soit la position de l'Europe".

"Sarkozy a appelé Berlusconi à ce propos et il a le soutien entier de l'Italie".

"Nous voulons une position (de l'Europe) qui soit vraiment unitaire, équilibrée vis à vis de la Russie et de la Géorgie afin de garantir la réussite de l'Europe".

(Communiqué, dimanche 10 août)

Salomé Zourabichvili, ex-diplomate française et ancien chef de la diplomatie géorgienne : L'Abkhazie et l'Ossétie "sont comme l'Alsace et la Lorraine pour la France", enjeux de conflits par le passé avec l'Allemagne.

"Ce sont des parties intégrantes de l'histoire et de la géographie du pays".

"L'Union européenne a une carte très importante à jouer, et une quasi-obligation morale. Elle ne peut pas abandonner un petit Etat indépendant et le laisser en tête-à-tête avec la Russie".

La Russie "veut reprendre la main sur l'ensemble du Caucase, renverser la dynamique de démocratisation et d'émancipation des anciennes républiques soviétiques".

Moscou veut aussi "rétablir sa crédibilité militaire et affirmer sa puissance, ce qu'elle n'a pas fait depuis la chute de l'URSS".

"Les Russes s'avancent quand ils ont le sentiment qu'il y a une vulnérabilité à exploiter. La Géorgie a offert cette vulnérabilité aujourd'hui"

Angela Merkel, chancelière allemande : appelle à un "cessez-le-feu immédiat et inconditionnel" dans le Caucase. Elle a également appelé au retour de toutes les forces armées "aux positions occupées avant le déclenchement du conflit", insistant sur le besoin de "préserver l'intégrité territoriale de la Géorgie", selon le porte-parole Thomas Steg.

(Entretien téléphonique avec le président français Nicolas Sarkozy, dimanche 10 août)

Traian Basescu, président de la Roumanie : "La Roumanie réaffirme la nécessité de respecter la souveraineté et l'intégrité territoriale de la Géorgie".

"La Roumanie appelle toutes les parties à faire preuve de responsabilité et arrêter sans délai les hostilités afin de créer les conditions pour des négociations qui garantissent la paix et la stabilité dans la région"

(Déclaration, dimanche 10 août)

Frank-Walter Steinmeier, chef de la diplomatie allemande : "Ce n'est rien moins qu'une guerre qui menace (...) Nous nous trouvons devant le danger d'un incendie dangereux".

(Communiqué, samedi 9 août)

Dimitri Medvedev, président russe :  "La partie géorgienne a commis une agression contre des habitants pacifiques et des soldats russes chargés du maintien de la paix".

"Ces actions barbares planifiées et accomplies par la direction géorgienne ont fait de nombreuses victimes - il est question de milliers -, des dizaines de milliers de réfugiés, des destructions massives et ont bafoué le droit à la vie d'un peuple entier".

(Communiqué, samedi 9 août)

Carl Bildt, ministre suédois des Affaires étrangères : "Nous avons des raisons de nous rappeler comment Hitler, il y a un peu plus d'un demi-siècle, a utilisé une telle doctrine pour saper et attaquer des zones considérables d'Europe centrale". "L'offensive russe contre la Géorgie et en Géorgie est une agression incompatible avec le droit international et les principes de base de la sécurité et de la coopération en Europe".

"Les conséquences de cette attaque russe vont se faire sentir pour nous et pour la Russie pendant longtemps".

(Communiqué, samedi 9 août)

Radoslaw Sikorski, ministre polonais des affaires étrangères : demandé à la présidence française de l'UE de convoquer de façon urgente un sommet européen extraordinaire sur la Géorgie.

"Je me suis adressé à la présidence française pour que soit convoquée de façon urgente une réunion du Conseil européen au niveau des chefs de gouvernement".

"Le ministre français des affaires étrangères a reçu cette information et il me semble que cette réunion sera convoquée".

Selon lui, "des entretiens urgents" des chefs de la diplomatie des pays membres de l'UE sont également possibles dans "les prochains jours, et peut-être mêmes dans les prochaines heures".

(Communiqué, samedi 9 août)

Le pape Benoît XVI : appelle à la fin immédiate des opérations militaires" dans le conflit qui oppose la Géorgie à la Russie et à la reprise des négociations.

"Mon désir le plus vif est que les opérations militaires cessent et que l'on s'abstienne aussi, au nom de l'héritage chrétien commun (...), de représailles qui pourraient dégénérer dans un conflit encore plus important"

Le pâpe appelle à "la reprise résolue de la voie des négociations et du dialogue", invitant la Communauté internationale et "les pays les plus influents" à effectuer "tous les efforts" pour aboutir à "une solution pacifique et durable".

Les informations qui proviennent de Géorgie sont "source d'une profonde angoisse", a souligné le pape évoquant un conflit qui a déjà "fait de nombreuses victimes innocentes et contraint un grand nombre de civils à fuir leur maison".

Le pape qui n'a pas cité le nom de la Russie a appelé à "prier intensément" avec "nos frères orthodoxes" pour que cesse le conflit entre Tbilissi et Moscou.

(Prière de l'Angélus à Bressanone, dimanche 10 août)

Georges W. Bush, président des Etats-Unis : "La Géorgie est un pays souverain et son intégrité territoriale doit être respectée"

"Nous avons appelé instamment à un arrêt immédiat des violences"

"Nous appelons à un arrêt des bombardements russes et à un retour des parties concernées au statu quo du 6 août".

"Les Etats-Unis oeuvrent avec (leurs) partenaires européens pour lancer une médiation internationale et avec les parties concernées pour une reprise du dialogue".

"La Russie doit soutenir ces efforts afin que la paix soit rétablie le plus vite possible".

(Déclaration à Pékin, samedi 9 août)

Salomé Zourabichvili, ex-diplomate française et ex-ministre géorgienne des Affaires étrangères : "Il y a une responsabilité de la communauté internationale mais qui aujourd'hui s'incarne dans l'Union européenne parce que le Conseil de sécurité est bloqué".

L'initiative doit venir "en particulier de la présidence française de l'Union européenne".

Quant aux Américains, "si tant est qu'il y ait eu des erreurs commises par la direction géorgienne, (ils) partageront cette responsabilité puisqu'ils ont été très proches de la direction géorgienne et n'ont sans doute pas assez encadré cette direction géorgienne".

(déclaration, samedi 9 août)

Petras Vaitekunas, ministre lituanien des Affaires étrangères : "Etant arrivé en Géorgie (...), je suis d'accord avec l'appréciation de la situation par la communauté internationale qui est que les forces armées russes ont franchi toutes les lignes rouges en pénétrant sur le territoire souverain de la Géorgie et en traversant une frontière reconnue internationalement".

"Il s'agit d'une action claire, avec des éléments visibles d'agression et de violation choquante de lois internationales avec de graves conséquences pour la stabilité et la sécurité régionale et euro-atlantique, de même que pour les relations euro atlantiques avec la Russie".

(Communiqué, samedi 9 août)

L'Internationale Socialiste (IS) grecque : appelle les parties en conflit en Ossétie du sud "à cesser immédiatement leurs combats".

"Je demande à toutes les parties d'ouvrir des négociations afin de trouver une solution pacifique pour sortir de la crise".

Regrettant "les pertes de vies humaines", il invite "le secrétaire général des Nations unies, les Nations unies et le Comité international olympique (CIO) à demander aux parties engagées dans le conflit de respecter la trêve olympique".

(Communiqué, samedi 9 août)

Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères russe : affirme que la Géorgie a violé un accord de paix qui aété convenu il y a un an et demi, et selon lequel la Géorgie s'engage à ne pas utiliser la force dans le conflit d'Ossétie du Sud.

"Nous ne pouvons permettre que l'accord de paix soit violé de cette façon (...) nous ferons tout ce qu'il faut pour ramener le status quo ante"

(Déclaration à la BBC, samedi 9 août)

Qin Gang, porte-parole du ministère des Affaires étrangères : "La Chine exprime sa préoccupation au sujet de l'escalade des tensions et des affrontements armés en Ossétie du Sud".

"La Chine appelle toutes les parties concernées à faire preuvre de retenue et à cesser le feu", ajoute-t-il, les encourageant à sortir de l'impasse par le dialogue.

(Communiqué, vendredi 8 août)

David Emerson, chef de la diplomatie canadienne : "Le Canada est très préoccupé par les récents actes de violence en Ossétie du Sud et déplore les nombreuses pertes qui ont résulté de ces actes".

"Nous enjoignons à toutes les parties de mettre immédiatement un terme aux hostilités, de faire preuve de retenue, tant en paroles qu'en actes, et de respecter les frontières nationales", a ajouté le ministre.

Ottawa s'est aussi dit prêt "à collaborer avec ses partenaires des Nations unies et de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe dans la recherche d'une résolution pacifique du conflit".

(Communiqué, vendredi 8 août)

Recep Tayyip Erdogan, Premier ministre turc : la Turquie "suit avec inquiétude le développement de la situation". Le Premier ministre a souligné "l'importance d'une résolution du conflit par des pourparlers directs".

"La Turquie réitère son soutien à l'intégrité territoriale de la Géorgie, pays voisin".

Recep Tayyip Erdogan a indiqué qu'il avait l'intention de téléphoner également à son homologue russe Vladimir Poutine.

Le ministère turc des Affaires étrangères a appelé "les parties à cesser les actions militaires et à négocier directement l'une avec l'autre".

Les "graves" développements en Ossétie du Sud constituent "un environnement de conflit qui pourrait menacer la paix et la sécurité régionales", a souligné le ministère.

(Communiqué, vendredi 8 août)

Condoleeza Rice, secrétaire d'Etat américaine : "Les Etats-Unis appellent à un cessez-le feu immédiat dans le conflit armé intervenu dans la région géorgienne d'Ossétie du Sud".

"Nous appelons la Russie à cesser ses attaques aériennes et ses tirs de missiles, à respecter l'intégrité territoriale de la Géorgie et à retirer ses troupes de combat du sol géorgien", a-t-elle ajouté.

"Les Etats-Unis coopèrent activement avec leurs partenaires européens pour lancer une médiation internationale", a poursuivi Condoleeza Rice.

"De hauts responsables américains et moi-même avons eu des entretiens avec les parties en présence et nous continuons à travailler avec eux pour faire cesser les hostilités", a-t-elle indiqué, sans préciser à qui elle avait parlé. "Nous avons un besoin urgent du soutien de la Russie à ces efforts".

"Nous soulignons le soutien de la communauté internationale à la souveraineté et à l'intégrité territoriale de la Géorgie à l'intérieur de ses frontières internationalement reconnues, comme le stipulent plusieurs résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU, y compris la résolution 1808 d'avril 2008", a conclu la secrétaire d'Etat.

(Déclaration, vendredi 8 août)

L'Italie "exhorte toutes les parties à mettre fin immédiatement aux violences et à parvenir à une cessation durable des hostilités" et encourage "fortement la reprise des pourparlers pour une solution politique du problème dans le respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de la Géorgie".

(Communiqué du ministère des Affaires étrangères, vendredi 8 août)

Gonzalo Gallegos, porte-parole du département d'Etat américain : Les Etats-Unis "soutiennent l'intégrité territoriale de la Géorgie et nous appelons à un cessez-le-feu immédiat".

"Nous appelons toutes les parties, y compris les Géorgiens, les Ossètes du Sud et les Russes à calmer le jeu et à éviter un conflit", a-t-il ajouté.

"Nous travaillons à des efforts de médiation pour obtenir un cessez-le-feu. Nous envoyons aujourd'hui un émissaire dans la région pour discuter avec les parties engagées dans le conflit", a-t-il poursuivi.

"La secrétaire d'Etat (Condoleezza) Rice et d'autres hauts responsables ont parlé avec les parties et continuent à le faire pour tenter de parvenir à la fin des hostilités", a-t-il conclu.

Gonzalo Gallegos n'a pas précisé l'identité de cet émissaire, qui devrait se joindre à un groupe de médiateurs "alliés". "A ma connaissance, plusieurs représentants de nos alliés vont se retrouver et ils vont commencer à discuter des moyens de parvenir à un cessez-le-feu".

(Déclaration, vendredi 8 août)

Dana Perino, porte-parole de George W. Bush, président américain : "George W. Bush se tient régulièrement informé de la situation en Ossétie du Sud. "

Elle a rappelé que "le gouvernement américain soutient l'intégrité territoriale de la Géorgie et appelle à un cessez-le-feu immédiat."

"L'administration Bush presse aussi toutes les parties, la Géorgie, l'Ossétie du Sud et la Russie, de faire baisser la tension et d'éviter le conflit" a-t-elle dit.

"La secrétaire d'Etat Condoleezza Rice et d'autres responsables américains oeuvrent actuellement à un cessez-le-feu et nous pressons les parties de reprendre le dialogue".

(Déclaration à la presse, vendredi 8 août)

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Refaire un tribunal a l'américaine, avec un sacajvili qui se fait pendre par des ossetes et t'entendra en fond des bruits comme: vladimir vladimir vladimir...( en référence a moktada moktata...)

non plus sérieusement, ce qui me préoccupe c'est le fait de ne pas avoir d informations claire et sans ambiguïté. a l'heure ou la communication et les outils qui permettent a celle ci d'être diffusée, sont omniprésent on arrive pas a avoir des renseignement claire et précis.

sa laisse place au pire propagande.

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non plus sérieusement, ce qui me préoccupe c'est le fait de ne pas avoir d informations claire et sans ambiguïté. a l'heure ou la communication et les outils qui permettent a celle ci d'être diffusée, sont omniprésent on arrive pas a avoir des renseignement claire et précis.

sa laisse place au pire propagande.

C'est un peu normal car :

1) C'est une zone de guerre, les journalistes doivent pas se prendre une balle

2) Il y a un contrôle sur les reporters sur le terrains par les parties (russes, géorgiennes)

3) Ces deux pays (géorgie et russie) sont des maîtres de la désinformation, un évenement simple, ils te le feront devenir compliqué :lol:

4) Forcement tout cela mis ensemble et les reporters ne peuvent pas faire leurs boulots

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C'est un peu normal car :

1) C'est une zone de guerre, les journalistes doivent pas se prendre une balle

2) Il y a un contrôle sur les reporters sur le terrains par les parties (russes, géorgiennes)

3) Ces deux pays (géorgie et russie) sont des maîtres de la désinformation, un évenement simple, ils te le feront devenir compliqué :lol:

4) Forcement tout cela mis ensemble et les reporters ne peuvent pas faire leurs boulots

vu de cet angle la je comprend un peu mieu, mais bon!

Le 15 Aout il devait y avoir des pourparlers de paix de Berlin entre les autorités Abkhazie, Géorgie usa Allemagne et Russie, j'imagine que c'est annulé?

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Oui, apparemment et ça m'étonnerai qu'avec les derniers événements, la rencontre le 15 aout soit au programme. Pour le moment, ce sont des coups de téléphone, heureusement pour eux qu'ils ne payent pas la facture... :lol: 

Tskhinvali, capitale en ruines après les combats en Ossétie

REUTERS | 10.08.2008 | 22:43

Par Denis Sinyakov

TSKHINVALI, Géorgie (Reuters) - Terrés pendant trois jours de combats, les habitants de Tskhinvali se sont aventurés au dehors pour la première fois dimanche, dans les rues d'une ville en ruines.

Dans le silence, perturbé seulement par le grondement de tirs d'artillerie lointains, ils voient les bâtiments dévastés de la capitale d'Ossétie du Sud.

Beaucoup ne peuvent qu'exprimer leur consternation devant les rues jonchées de gravats et de débris tombés des façades, à la vue des cadavres qui n'ont pas encore été ramassés.

Certains assurent que de nombreux corps restent enterrés sous des tonnes de béton et de métal.

"C'est terrible, on ne sait pas ce qui se passe", déclare une vieille femme à un journaliste de Reuters arrivé dans la ville avec les troupes russes. "Je n'ai jamais rien vu de semblable de toute ma vie."

De nombreux habitants ont fui dès les premières heures de bataille et beaucoup d'immeubles, les murs criblés d'impacts de balles, semblent déserts. Des dizaines d'arbres ont été abattus par des bombardements répétés.

Pour ceux qui sont sortis de leurs abris souterrains, la priorité est de trouver de l'eau et de la nourriture.

Violeta Koukoïeva, accompagnant un parent âgé, explique qu'elle a passé les trois derniers jours cachée dans une cave.

"On n'avait rien à manger, juste un peu de pain, un peu d'eau", a-t-elle dit à une chaîne de télévision dont les images ont été montrées à Reuters.

L'HÔPITAL A COURT DE VIVRES

Lors des combats, les médecins d'un hôpital local ont transféré les patients dans une cave faiblement éclairée, les bombes ayant creusé de larges trous dans les étages supérieurs.

Ils indiquent qu'ils n'ont ni eau ni fournitures médicales pour venir en aide à 200 blessés.

"Nous n'avons rien pour les nourrir. Nous avons donné le peu de pain que nous avons aux plus âgés. Ce sont eux qui en ont le plus besoin", dit un médecin, Valentina Koutoukhova.

Moscou affirme que les affrontements ont tué 2.000 civils et déplacé des milliers d'autres.

La Géorgie a offert un cessez-le-feu et assuré dimanche avoir retiré ses forces de la capitale séparatiste.

Mais les rumeurs continuent d'aller bon train, les coups de feu et les tirs d'artillerie résonnent toujours à la périphérie et les habitants se disent persuadés que les troupes géorgiennes sont encore aux portes de la ville. Certains évoquent des snipers qui se cacheraient dans les ruines.

Le correspondant de Reuters a pu voir les cadavres de six soldats géorgiens gisant sur des tas de gravats près d'un véhicule de transport militaire calciné.

"Tout est détruit, rien ne fonctionne, même à la morgue", déclare un médecin. "Les tirs se poursuivent, il ne nous reste plus rien."

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Voici un état de l'armée georgienne avant les évenements :

The Georgian Armed ForcesThe mission and functions of the Georgian Armed Forces (GAF) are based on the Constitution of Georgia, Georgia’s Law on Defense and National Military Strategy, and international agreements to which Georgia is signatory. They are performed under the guidance and authority of the Ministry of Defense. The current authorized strength of the GAF structures is 28,666 personnel. The current Defence Minister is Davit Kezerashvili, and Chief of Joint Staff is Colonel Zaza Gogava.

Land Forces

The strength of Land Forces is 21,739 from which 2,215 are officers, 19,508 NCOs (contracting) and 16 civilians

Land Forces constitute the bulk of the GAF. Land Forces of Georgia consists of the following units:

1st Infantry Brigade, located in Gori

2nd Infantry Brigade, located in Senaki

3rd Infantry Brigade, located in Kutaisi

4th Infantry Brigade, located in Vaziani

5th Infantry Brigade, located in Khelvachauri (temporary distribution place) and Khoni

Artillery Brigade, located in Gori and Khoni

Military Engineering Brigade, located in Gori

Separate Light Infantry Battalion, located in Adlia

Separate Tank Battalion, located in Gori

Separate Air Defense Battalion, located in Kutaisi

Communication Battalion, located in Saguramo

Technical Reconnaissance Battalion, located in Kobuleti

Military Police Battalion, located in Tbilisi

Medical Battalion, located in Saguramo

Main battle tanks

T-72B1 - 59 units

T-72M - 75 units

T-72AB - 71 units

T-55AM - 40 units

AIFVs/APCs

BMP-1 - 80 units

BMP-2 - 120 units

BTR-80 - 75 units

MT-LB - 64 units

BRDM-2 - 17 units

Otokar Cobra - 100 units

Towed artillery

2A36 Giatsint-B - 12 units

2A65 Msta-B - 18 units

2A18 (D-30) - 120 units

Self-propelled artillery

2S7 Pion - 12 units

2S19 Msta-S - 3 units

2S3 Akatsiya - 26 units

VZ 77 Dana - 47 units

Multiple Launch Rocket Systems

M-87 Orkan - 4 units

RM-70 - 48 units

BM-21 Grad - 120 units

LAR-160- 15 units

M-63 Plamen – 12 units

Mortars

2B11 120 mm - 240 units

M-38/43 120 mm - 365 units

M75 120 mm – 250 units

Georgian Air Force

The Georgian Air Force consists of the air force and the air defense.

The main missions of the air forces are: to control and defend air space of Georgia; conduct air intelligence and surveillance; provide support to the Armed Forces other Services; conduct air evacuation and search and rescue operations; air movement of personnel and military cargo transportation. The strength of Air Forces is 1,813 military and civilian personnel.

Aircraft

22 Su-25KM

13 Su-25UB

12 MiG-25

4 Su-24

18 MiG-21

11 L-39

2 L-29

Helicopters

1 Mi-35

19 Mi-24P

21 Mi-24V

18 Mi-14

16 Mi-8

6 Bell 212

40 UH-1H

2 Mi-2

Air Defence

15 SA-11

38 SA-3

18 SA-8

35 ZSU-23-4

15 S-60

40 MT-LB with towed ZU-23-2

Georgian Navy

Georgia Navy is responsible for maintenance of the sovereignty of the country and for protection of internal territorial waters and economic zones. Georgian Navy is responsible to participate in collective protection of region of the Black Sea under multilateral agreements and commitments.

The primary functions of Navy:

- Watch over the interests of Georgia in the Black Sea region, maintenance of the sovereignty of the country, security of the navigation and operations controlling in the Georgia’s Responsibility Zone (GEOREP).

The primary goals of Navy

Demonstration of the national Flag in sea waters. - Provide of daily activities for combat readiness and preparation of the Naval Forces. - Protection of territorial integrity from an attack and other threats together with other Authority Bodies. - Achieve progress in the harmonization process with NATO and International requirements and standards in coordination with other government bodies. - Protection of national and international economical activities in the Georgia’s Responsibility Zone. - Interactions, cooperation and coordination with other ministries in environmental measures as well as in elimination of poaching, drug transit, trafficking and other illegal actions. - Planning and carrying out trainings, exercises and other preparation measures together with other types of the armed Forces. - Implementation of rescuing and searching operations, in the case of natural disasters aiding domestic population independently or in close cooperation with other authority bodies or neighbor countries relative structures. - Providing fire support during joint operations. - Ensure shipping transactions. - Lead counter-terrorism measures independently or with partner countries. - Providing special operations against objects located in enemy’s zone. - Fulfillment of international commitments.

The strength of Navy is 892 from which 178 are Officers, 405 NCOs, 119 Conscripts and 42 Civilians. Navy Headquarter and Main Naval Base are located in Poti. Mail Logistic Support base is located in Poti. Naval base is located in Batumi. Naval Squadron is located in Poti.

La Combattante II

armed with 2 OTO-Melara 76 mm/L62 guns, modified anti-aircraft guns, and Exocet missiles

- 7 in use, bought from the French Navy.

P 269 Lindos

armed with 2 C802 anti-ship missile batteries and AK-630M defensive guns

- 11 in use, another 2 ordered from Ukraine.

Georgian National Guard

Georgian National Guard was established on December 20, 1990 and was manned by volunteers. It represents the first Georgian armed formation, which became the base of the foundation for modern Georgian Armed Forces. The Guard actively participated in the conflicts existed on the Georgian territory (Samachablo, Abkhazia).

The National Guard consists of 20 554 personnel; the main missions of National Guard are:

Support civil government in crisis situations (natural, technological, ecological);

Register mobilization recourses, study and deliver;

Convene, select and man of citizens on the basis of the agreement, for the units, subunits and bases of the Armed Forces;

Provide ceremony activities.

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Allez une petite vidéo d'un bombardement russe :

http://www.liveleak.com/view?i=e72_1218295422

Et la une vidéo d'hier :

C'est le pilote d'hélicoptère abattue par les Géorgiens.

http://www.liveleak.com/view?i=cdc_1218284846

Attention, même si en voit pas la personne, cela reste un peut mature, donc à vous de voir

Au finale, je me demande si la Russie à dorénavant une once d'envie d'arrêter les combats...

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