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Cela risque également de précipiter une attaque sur l'Iran car ci le pays obtient l'arme nucléaire il sera automatiquement protégé

Oui mais une intervention US/OTAN est presque impossible vu le déploiement actuel des forces. On pas se retirer si vite d'A**Stan ou d'Irak sans en prendre sur la gueule.

Et il faut écrire le livre blanc II au niveau européen celui-là.

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Pour le nouveau match Azerbaïdjan/Arménie, ça devra se passer sur un autre sujet. Merci. A moins que je renomme le sujet... Faudra voir.

No prob, mais je voulais pas créer un nouveau topic pour quelque chose qui est peut-être accidentel et sans conséquences sur le futur...

aussi non , Le Caucase en feu... Les Russe attaquent le Caucase... Le caucase s'embrase enfin on verra

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Pas mauvais cet article, Philippe  ;)

Bien que disposant de moyens encore réduits, la Russie parvient progressivement à se repositionner sur l'échiquier international.

Sur les moyens réduits, tout est relatif ... par contre, au niveau des influences géopolitiques, c'est correct.

On peut, par ailleurs, s'interroger sur l'intransigeance des positions occidentales relatives à la révision, souhaitée par la Russie, du traité sur les forces conventionnelles en Europe. En suspendant sa participation au traité en raison des divergences d'interprétation apparues avec les pays de l'OTAN à l'endroit des dispositions contenues, la Russie n'était plus, tant politiquement que juridiquement, tenue d'informer ou d'échanger sur ses activités et déploiements militaires le long de ses frontières. Ce qui explique la fulgurance de l'intervention et son imprévisibilité.

C'est comme si dans une partie d'échec les russes avaient sacrifié un pion pour prendre le fou adverse ...

... ils ont toujours été les meilleurs aux échecs les russes, on ne devrait pas jouer à ça avec eux.

Le conflit russo-géorgien tend, enfin, à démontrer qu'une révision du côté européen des idées reçues sur l'état des forces russes est à considérer avec le plus grand sérieux. Les experts occidentaux ont trop rapidement jugé l'état de préparation des forces armées russes. 

ça va relancer le débat sur le nombre de Leclercs  :P, j'en connais un qui va en vouloir 1500 ...  :-[
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En tout cas, les russes ne lacheront pas sur un point : le statut des provinces séparatistes.

En effet, je vois mal comment des régions bombardées, détruites et massacrées par la Géorgie pourraient vouloir s'y rattacher. Bush peut aller se brosser, et les géorgiens faire une croix dessus. Je crois que malgrès leurs palabres, ils ne se font plus tellement d'illusions là dessus...

J'adore ce point "du statut des regions separatistes" et des "regions massacrées"! Tu veux dire que la Russie va finalement accepter que les tchechenes se sépare de la Russie, C'est ça?

Autre point que je ne comprends pas: comment l'armée Georgienne a reussi a massacré les ossétiens en 48 h, alors que ses milices separatites étaient armées et formées par les casques bleues russes depuis leur entrée dans cette province (bonjours le statut des casques bleus), raser sa capitale (suivant les dires du président russe),etc...Et ná pas réussit á resister a une armée russe qui a mis des mois a rasé Grosni, et des années a massacrer les tchechenes). Moi pas comprendre O0

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Un navire russe écarté par l'Otan

L'Otan a interdit à un navire russe de participer à une patrouille multinationale anti-terrorisme en Méditerranée, apparemment en guise de représaille à l'offensive militaire russe en Géorgie, a indiqué mercredi un diplomate de l'Otan. Le patrouilleur Ladny, de la flotte russe en Mer Noire, devait prendre part à l'opération "Active Endeavour" de l'Otan en août et septembre, qui prévoit des exercices de lutte anti-terroriste et de recherche et sauvetage en mer, avait annoncé la marine russe le mois dernier. Ariivé sur les lieux de l'opération au large de la Turquie, le navire a vu son autorisation retiré par le commandement de l'Otan.

>>>> http://www.lejdd.fr/cmc/scanner/international/200833/un-navire-russe-ecarte-par-l-otan_140720.html?popup

Comme ça, la prochaine fois qu'il y aura une action terroriste et que l'on se tournera vers les russes pour nous aider, ils pourrant répondre : "désolés, nous ne sommes pas entraînés pour ce genre d'intervention ..."

Y a des fois où on est vraiment crétins.

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une excellente annalyse de Marie hélène d'ENCAUSSE (sur le figaro.fr)

Par Hélène Carrère d'Encausse, secrétaire perpétuel de l'Académie française.

La guerre russo-géorgienne qui marquera l'été 2008 est certes un conflit traditionnel entre deux États autour d'un enjeu apparemment clair, le sort de l'Ossétie du Sud, mais elle découle, avant tout, de la volonté impitoyable des deux parties de remettre en cause les équilibres géopolitiques existants depuis près de vingt ans.

Pour comprendre l'événement, et ce qui pèsera sur les efforts de pacification, il n'est pas inutile d'en revenir aux origines - ou au prétexte - de la guerre. En investissant l'Ossétie du Sud, le président Saakachvili a revendiqué son droit à rétablir l'intégrité territoriale de son pays. Or celle-ci avait, dès 1990, volé en éclats. Les peuples minoritaires - ossètes, abkhazes, adjars, etc. - avaient reçu en 1922 de Lénine et Staline, soucieux de briser le sentiment national géorgien, un statut d'autonomie culturel et administratif au sein de la République.

Ce statut n'était pas une simple fiction et il leur a permis de développer leur langue et surtout d'affirmer leur identité culturelle. La fin de l'URSS a sonné le glas de cette Géorgie multiethnique. Les petits peuples ont entendu l'appel de Boris Eltsine à « prendre autant d'indépendance qu'ils en voulaient », et surtout ils ont été confrontés à la politique ultranationaliste du premier président de la Géorgie indépen­dante, Gamsakhourdia, qui récusait toute différence nationale sur le sol géorgien.

La réponse des Ossètes et des Abkhazes à cette volonté unificatrice a été la sécession et la guerre. Au terme de ces guerres, ces peuples se sont installés dans une indépendance contestée par la Géorgie, ignorée par la communauté internationale, mais que la Russie a progressivement confortée dans une nouvelle variante de l'entreprise lénino-stalinienne pour tenter de réduire l'hostilité géorgienne à son égard.

Depuis l'arrivée au pouvoir en 2003 de Saakachvili, la crise latente entre Moscou et Tbilissi est devenue une véritable confrontation. Le président géorgien a affiché une double ambition : restaurer l'autorité géorgienne sur la totalité du territoire, et surtout s'imposer aux États-Unis comme leur meilleur allié au Caucase, pour leur permettre d'en éliminer la Russie.

Cette seconde ambition est la toile de fond et la vraie cause du conflit armé d'août 2008. Le sort des Ossètes et des Abkhazes importe peu, en définitive, à la Russie, même si elle y a attisé le feu du séparatisme pour affaiblir Saakachvili et son zèle atlantiste. Mais il s'agit ici des leviers de l'action russe et non de la logique de son action. Ce qui est au cœur du conflit pour Moscou, c'est la puissance perdue il y a près de vingt ans, l'humiliation d'un pays privé d'Empire et qui a essayé vainement de construire avec ses anciennes possessions une communauté d'un type nouveau, tandis que ses partenaires potentiels se dressaient contre lui et se tournaient vers l'Occident, les États-Unis, avant tout.

De plus, il a été insupportable à la Russie que les États-Unis, qui dominaient seuls la scène internationale, s'emploient à l'éliminer de ses terrains traditionnels en Asie centrale et au Caucase. Pendant près de vingt ans, la ­Russie a dû faire face à ce déclin de puissance, à l'élargissement de l'Otan à ses frontières, à un jeu international où elle n'était plus entendue, même si elle conservait son statut de membre permanent du Conseil de sécurité. La popularité de Vladimir Poutine, au terme de deux mandats présidentiels, tient à ce qu'il incarne le sursaut russe et le refus du déclin.

Dans cette tentative d'écarter la Russie de la scène internatio­nale, la Géorgie a tenu une place particulière. C'est dans ce contexte que l'on doit situer le pari auquel le président Saakachvili vient de sacrifier fort légèrement les intérêts de son pays. Depuis 2003, il a joué la carte américaine contre la Russie, convaincu qu'il serait, en toute hypothèse, soutenu par les États-Unis et que la Russie ne réagirait pas ou trouverait en face d'elle un président Bush déterminé à défendre son petit allié. C'est dans cette certitude que ­Saakachvili est passé du discours sur la nécessité de restaurer l'autorité géorgienne sur l'Ossétie à l'épreuve de force.

Et il a négligé, au passage, deux données : l'engagement croissant de la Russie dans les régions séparatistes, par la distribution notamment de passeports russes à leurs habitants, et la reconnaissance par les États-Unis et quelques pays européens de l'indépendance du Kosovo, au mépris des protestations russes, ce que la Russie n'avait pas manqué d'invoquer comme précédent possible à une future reconnaissance de l'Ossétie et de l'Abkhazie. Saakachvili a enfin et surtout surestimé le poids de la Géorgie dans la situation géopolitique mondiale, oubliant qu'à l'heure des comptes elle pourrait peser moins dans les calculs américains que le nécessaire soutien russe face à l'Iran.

À ce pari imprudent d'un président qui y risque sa légitimité, la réponse russe a été, sans aucun doute, disproportionnée. Une guerre punitive contre un petit État est aussi un pari dangereux pour celui qui l'engage.

Mais la Russie a mis à profit l'occasion que lui offrait Saakachvili pour arrêter l'érosion de ses positions et lancer un signal clair au monde, indiquer qu'il existait des limites aux entreprises destinées à l'affaiblir, au Caucase ­surtout.

Ce signal s'adresse, avant tout, aux pays que la Russie tient pour proches d'elle. Et il est significatif que l'Ukraine qui, avec la Géorgie, tente de forcer les portes de l'Otan, soit restée plutôt silencieuse dans ces jours de crise. Elle n'est pas moins hostile à la Russie que la Géorgie, mais ses responsables semblent avoir entendu la leçon.

C'est à l'heure de la négociation qu'il importe de prendre en compte l'arrière-plan de la guerre que le conflit a, d'une certaine façon, dissimulé, et qui va peser sur le résultat final. Si le président Medvedev, opportunément revenu sur le devant de la scène, a annoncé tout de go qu'il mettait fin aux hostilités, s'il s'est dit prêt à accepter le plan de paix qui lui était proposé, c'est que son accord porte sur la réalité existante et non sur les apparences, c'est-à-dire sur la fiction de l'intégrité territoriale géorgienne.

La vision russe part de ce qui est acquis : la Géorgie à genoux, ses troupes chassées des territoires séparatistes, la perspective d'un débat international sur l'avenir de ces deux petits États non reconnus mais dont le désastre géorgien pourrait accélérer la reconnaissance.

On peut parler à loisir de retour au statu quo, la Russie y consent parce que cela signifie seulement le retour à la situation militaire antérieure à l'équipée de Saakachvili, c'est-à-dire à l'absence de troupes géorgiennes en Ossétie et en Abkhazie. La Russie accepte sans mal de s'engager à respecter la souveraineté géorgienne, car l'époque des annexions est révolue, mais il en va tout autrement d'un engagement sur l'intégrité du territoire géorgien car ce problème est plus ou moins dépassé.

Les Ossètes et les Abkhazes refuseront, plus que jamais, de s'incorporer à la Géorgie. La guerre qui, officiellement, ne visait que l'Ossétie a eu, pour effet, d'ouvrir la question abkhaze. Enfin, en dépit des protestations de la Géorgie, le sort de ces deux mini-États, même si cela n'est pas clairement dit, ne relève plus de sa seule souveraineté. Si, moralement, la Russie a quelque peu perdu à déployer sa force, politiquement elle a gagné sur deux tableaux.

À terme, elle a montré que son appui pouvait aider des peuples à disposer de leur destin, alors qu'il y a quelques mois, à peine, la reconnaissance de l'indépen­dance du Kosovo contre sa volonté semblait démontrer le contraire. Elle a aussi affaibli la Géorgie, non seulement militairement mais sur le plan international, diminué ses chances d'entrer rapidement dans l'Otan, et par là, mis un frein à l'éviction russe programmée du Caucase du Sud. Ce qui n'était pas la moindre de ses préoccupations.

Cette guerre confirme, en définitive, le retour de la Russie sur la scène internationale, une Russie sûre d'elle-même, affichant ses intérêts nationaux sans complexe et, c'est nouveau, l'acceptation par la communauté des nations de traiter avec cette Russie-là et non avec un État diminué.

Saakachvili, dans son projet fou de défier la Russie, lui aura rendu probablement le plus grand des services qu'elle ait connus au cours de ces dernières années.

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Autre point que je ne comprends pas: comment l'armée Georgienne a reussi a massacré les ossétiens en 48 h, alors que ses milices separatites étaient armées et formées par les casques bleues russes depuis leur entrée dans cette province (bonjours le statut des casques bleus), raser sa capitale (suivant les dires du président russe),etc...Et ná pas réussit á resister a une armée russe qui a mis des mois a rasé Grosni, et des années a massacrer les tchechenes). Moi pas comprendre O0

artillerie sur des immeubles d'habitations pendant la nuit....

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Invité barbaros pacha

Comme ça, la prochaine fois qu'il y aura une action terroriste et que l'on se tournera vers les russes pour nous aider, ils pourrant répondre : "désolés, nous ne sommes pas entraînés pour ce genre d'intervention ..."

Y a des fois où on est vraiment crétins.

L'Otan n'a guere besoin de la Russie, je serais contre une intervention Russe lors d'une action terro, sinon sa finira comme a Beslan (Ils ont utiliser des chars, blindes, des missiles des helico de combat pour sauver massacrer des enfants) pour sauver les pauvres touristes, la ils utiliseront cette fois-ci des missiles mer-mer...pauvres touristes, pauvres terro.. :P :P

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Comme ça, la prochaine fois qu'il y aura une action terroriste et que l'on se tournera vers les russes pour nous aider, ils pourrant répondre : "désolés, nous ne sommes pas entraînés pour ce genre d'intervention ..."

Y a des fois où on est vraiment crétins.

Ce n'est que temporaire, l'OTAN et l'occident de manière générale veut voir si les russes tiendront leurs promesses...

+1 Barbaros

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L'Otan n'a guere besoin de la Russie, je serais contre une intervention Russe lors d'une action terro, sinon sa finira comme a Beslan (Ils ont utiliser des chars, blindes, des missiles des helico de combat pour sauver massacrer des enfants) pour sauver les pauvres touristes, la ils utiliseront cette fois-ci des missiles mer-mer...pauvres touristes, pauvres terro.. :P :P

Ouép,enfin c'était autre qu'une prise d'otage,et à cette échelle j'aimerais savoir si les Forces Turques auraient fait beaucoup mieux.

Et il me semble que c'est tout l'exercice qui a été annulé,ceci expliquant l'exclusion Russe..

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Vissiblement l'affaire risque de trainer en longueur sauf bien sur si l'executif americain qui sera bientôt renouvellé aux usa change sa position ( peu sur).

Ce qui est invresemblable dans cette affaire est a quel point la communauté internationale c'est planté dans l'affaire du kosovo. 

POurquoi , je l'avais deja cité plus haut le kosovo est une region qui historiquement appartient a la Serbie ou Jugoslavie (avant) la creation de cet etat a effectivement crée un precedent dangereux. En ce qui concerne les republiques secessionistes ossetes et abkhases la question est inverese car historiquement ces pays n'ont jamais appartenu a la georgie.

Je crois que l'occident c'est trompé , helas il a fallu que la russie ce fasse entendre a coups de canon. Cette guerre montre a quel point l'occident c'est noyé dans ses prejugés sur la democratie et les droits de l'homme , qui a force de trop en vouloir fini par devenir une dictature du politiquement correct....

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Invité barbaros pacha

Voila ce que voulait les Usa, le piege Americain vient de fonctionner...

Le conflit avec la Géorgie entraînera une augmentation du budget de l'armée russe

MOSCOU, 14 août - RIA Novosti. Le commandement russe promet de tirer les leçons du bilan des opérations militaires et de commander de nouveaux armements, ce qui nécessitera des crédits de plusieurs milliards de roubles, lit-on jeudi dans le quotidien Vedomosti.

Le ministère des Finances a déclaré avoir retardé la présentation au gouvernement du plan financier jusqu'en 2023, car des ministères, entre autres, les départements de force, avaient demandé des crédits supplémentaires. Selon un employé du ministère de la Défense, des demandes supplémentaires avaient déjà été formulées antérieurement, sans tenir compte du bilan des opérations militaires en Ossétie du Sud, par conséquent, il n'est pas exclu qu'elles soient maintenant corrigées.

Tout d'abord, les militaires ont besoin d'acheter de nouveaux équipements pour les soldats, ceux de l'armée géorgienne sont bien meilleurs, fait remarquer Igor Korotchenko, membre du Conseil public auprès du ministère de la Défense. D'après lui, il convient également d'équiper l'armée russe d'appareils de vision nocturne, et de moyens tactiques de liaison et de reconnaissance, y compris de drones. L'embuscade dans laquelle a été blessé le général Anatoli Khroulev, commandant de la 58e armée, n'aurait probablement pas pu être dressée si l'armée avait disposé de drones, affirme l'expert.

D'après ses évaluations, les premières mesures à prendre en vue d'équiper les troupes stationnées dans le Caucase reviendraient à au moins 50 milliards de roubles (1,382 milliard d'euros). En outre, il faudrait augmenter les achats de missiles stratégiques Topol M en portant leur nombre de 10 à 25-30 unités, car c'est l'unique moyen d'éviter des pressions militaires de la part de l'Occident.

Tous les types de forces armées et leurs lobbies feront de très nombreuses demandes, prévoit Konstantin Makienko, du Centre d'analyse des stratégies et des technologies, mais si des priorités ne sont pas rapidement établies, certaines sommes pourraient disparaître sans laisser de traces. Un fonctionnaire travaillant dans l'un des départements de force reconnaît que la réforme des achats d'armements accuse effectivement un certain retard. L'Agence pour les livraisons d'armements fondée en 2007 et à la tête de laquelle a été nommé Viktor Tcherkessov, ex-directeur du Service fédéral de contrôle des stupéfiants, n'a toujours pas de locaux, c'est pourquoi on ne sait même pas où lui envoyer le courrier, déplore le fonctionnaire.

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J'adore ce point "du statut des regions separatistes" et des "regions massacrées"! Tu veux dire que la Russie va finalement accepter que les tchechenes se sépare de la Russie, C'est ça?

Autre point que je ne comprends pas: comment l'armée Georgienne a reussi a massacré les ossétiens en 48 h, alors que ses milices separatites étaient armées et formées par les casques bleues russes depuis leur entrée dans cette province (bonjours le statut des casques bleus), raser sa capitale (suivant les dires du président russe),etc...Et ná pas réussit á resister a une armée russe qui a mis des mois a rasé Grosni, et des années a massacrer les tchechenes). Moi pas comprendre O0

Le premier jour de la guerre, les géorgiens ont bombardé très intensément la capitale ossete. C'est surtout comme ça que la ville a été détruite, plus que par les combats en eux mêmes. Sinon, pour ce qui est du droit des peuples à disposer d'eux même, c'est vrai que ça dépend souvent de qui est du bon côté du fusil. En tout cas, si les occidentaux veulent la jouer "démocratique", ça ne peut que profiter à la Russie.

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L'Otan n'a guere besoin de la Russie, je serais contre une intervention Russe lors d'une action terro, sinon sa finira comme a Beslan (Ils ont utiliser des chars, blindes, des missiles des helico de combat pour sauver massacrer des enfants) pour sauver les pauvres touristes, la ils utiliseront cette fois-ci des missiles mer-mer...pauvres touristes, pauvres terro.. :P :P

Avant de lacher une mer** pareille, priere d'utiliser la matiere grise un peu (si y en a) et montrer ainsi un peu d'inteligence et non pas la cretinerie car en ce moment tu t'emballes un peu trop je trouve.

Apparement le conflit a reuci à pencher la balance sur le question du deploiment des missiles intércepteurs. C'est signé visiblement pour l'installation de 10 missiles.

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Il est vrai que les interventions médiatisé des forces russes durant les prises d'otages n'est pas à leur honneur, en France, le boss du GIGN aurait fini par dresser des PV dans le Cantal  >:(

Pour les ''2000'' victimes, chiffre qui tournera des années sur les forums, doit on signaler qu'il est déjà tombé à 1600 selon le ministère RUSSE des Affaires Etrangères et que les ONG dans la ''capitale'' Ossète disent que l'hôpital n'a reçu ''que'' quelques centaines de victimes, tués et blessés, en majorité des combattants : http://www.humanrightswatch.org/english/docs/2008/08/13/russia19620.htm :P

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L'Otan n'a guere besoin de la Russie, je serais contre une intervention Russe lors d'une action terro, sinon sa finira comme a Beslan (Ils ont utiliser des chars, blindes, des missiles des helico de combat pour sauver massacrer des enfants) pour sauver les pauvres touristes, la ils utiliseront cette fois-ci des missiles mer-mer...pauvres touristes, pauvres terro.. :P :P

Barbaros,

Suites à des précédentes actions terroristes, les américains auraient bien aimé avoir les russes à leur côté pour leurs représailles en A-Stan (terrain qu'ils connaissent) et en Irak (où l'impact qu'ils ont sur la Syrie et l'Iran aurait changer la donne) !

A bon entendeur ...

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D'après RadioCanada, les soldats russes font sauter les dépots de munitions et toutes infrastructures de défense ou policières dans la ville de Gori et ont empéché l'entrée de policiers géorgiens malgré les accords entre les protagonistes.

D'après RadioStockholm, les chars russes ont pris Tbilissi et un drapeau rouge avec un marteau et une faucille flottent sur le palais présidentiel.

Le président a été direct égorgé et toutes les femmes de la ville violées sur le champs ..

L'armée a allumé un grand feu et y jette les habitants en rigolant.

La désinformation et le parti-pris (principalement anti-russe du côté des occidentaux) existent et perdurent depuis le début de ce conflit, avec des déclarations plus débiles les unes que les autres, que ce soit du président américain ou d'officiels européens. C'est à se dégouter de faire l'UE ... surtout qu'en étant objectif, les russes ont appliqué le précept : une main de fer dans un gant de velour, ils sont restés assez soft dans leur intervention et cela a suffit.

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un peu histoire

1. L’attitude américaine a de quoi inquiéter Moscou. « Malgré leur orientation largement prorusse, les deux dernières administrations américaines n’ont arrêté aucune des initiatives politiques majeures qui ont heurté la Russie - le Kosovo, la constitution d’une zone d’influence dans l’"étranger proche , l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan, l’élargissement de l’OTAN, les bases militaires en Asie centrale », explique Charles Fairbanks, fin connaisseur de la Russie et professeur à l’Ecole d’études internationales avancées de Washington.

2.Moscou accusa Tbilissi de protéger des combattants tchétchènes dans la région des gorges de Pankisi, une zone de Géorgie peuplée d’une minorité tchétchène et accueillant des réfugiés de Tchétchénie.

3.en octobre 2001, des forces tchétchènes menées par le commandant Ruslan Gelayev attaquèrent des positions abkhazes à l’est de Soukhoumi. Or, sans une aide géorgienne, ces troupes n’auraient eu ni la motivation ni les capacités logistiques nécessaires pour se déplacer des gorges de Pankisi, dans le nord-est de la Géorgie, jusqu’à Svanetie, une région au nord-ouest, afin d’y lancer leurs attaques. Les responsables géorgiens refusent toute intervention de l’armée russe sur leur territoire. Ils tentent, en outre, d’utiliser le problème tchétchène comme un moyen de pression pour modifier la position de Moscou sur un certain nombre de différends, en particulier les conflits en Abkhazie et en Ossétie du Sud. Pourtant Tbilissi a finalement modifié ses positions et accepté que les Etats-Unis envoient 200 spécialistes militaires dans les gorges de Pankisi afin d’y combattre les restes d’Al-Qaida.

http://www.monde-diplomatique.fr/2003/02/CHETERIAN/9935

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D'après RadioStockholm, les chars russes ont pris Tbilissi et un drapeau rouge avec un marteau et une faucille flottent sur le palais présidentiel.

Le président a été direct égorgé et toutes les femmes de la ville violées sur le champs ..

L'armée a allumé un grand feu et y jette les habitants en rigolant.

La désinformation et le parti-pris (principalement anti-russe du côté des occidentaux) existent et perdurent depuis le début de ce conflit, avec des déclarations plus débiles les unes que les autres, que ce soit du président américain ou d'officiels européens. C'est à se dégouter de faire l'UE ... surtout qu'en étant objectif, les russes ont appliqué le précept : une main de fer dans un gant de velour, ils sont restés assez soft dans leur intervention et cela a suffit.

Ecoute, je répète juste ce que j'ai entendu mais enfin ce n'est pas de l'ordre de l'impossible et pour moi ça serait compréhensible. Quand les français se sont fait attaquer à Bouaké, ils ont détruits les forces aérienns ivoiriennes pourquoi les russes ne feraient pas pété quelques dépôts de munitions. En outre, le journaliste a parlé de plusieurs explosions dans la ville. Bref, il s'y passe qq chose.
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