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Le premier "Red Flag" du Rafale


jeanmi
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Ils étaient en l'air en même temps que d'autres appareils ayant pris part à Red Flag, mais sans affronter d'appareils étrangers il me semble. Après, je ne sais pas si c'est parce qu'ils étaient étaient dans la même équipe ou si c'est tout simplement parce qu'ils ne sortaient qu'avec d'autres appareils US.

Il faudrait que je retrouve le tableau avec le programme.

Les unites qui faisaient partie de Red Flag 08-4 sont indiquees ici

Les F-22 d'Otis n'avaient rien a voir avec les exercises, et ne prenaient pas l'air quand les participants de Red Flag etaient en vol.  Ce n'etait pas difficile de les eviter, les missions de Red Flag ne durent que 2 heures, et se passent deux fois par jour.

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L'AASM sous drone...

L'AASM peut être employé de plusieurs façons dans différents profils de missions dont certains ne sont pas encore ouverts.

-Les coordonnées de la cible sont rentrées au sol avant le décollage. Les coordonnées de la cible ne changent pas durant le vol.

Le guidage inertiel assorti ou non de l'imagerie infrarouge guidera l'AASM sur sa cible.

A priori rien ne s'oppose qu'un drone utilise l'engin dans cette configuration sauf que.

a)L'AASM est un engin qui dialogue avec le porteur. Notamment sur les conditions de vol et le positionnement pour le recalage de la centrale inertielle de l'engin. Il doit y avoir compatibilité entre les systèmes des deux vecteurs le drone et le missile.

b)L'alimentation électrique de l'engin semble être un point critique (expérimenté sous Rafale) qui nécessiterait de la part du drone la puissance électrique et les relais nécessaires...

-Dans le cas d'un tir d'opportunité (CAS A-stan) le drone par l'intermédiaire de son opérateur devra donner à l'AASM les coordonnées de la cible, souvent après identification visuelle.

Intéressant sujet de réflexion quant à la fiabilité des liaisons de données, alors que dans un Rafale c'est l'équipage qui va entrer de manière manuelle (encore) les coordonnées de la cible...

-Le profil le plus hard core pouvant être le SEAD par un binôme Reaper AASM...

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A priori rien ne s'oppose qu'un drone utilise l'engin dans cette configuration sauf que.

a)L'AASM est un engin qui dialogue avec le porteur. Notamment sur les conditions de vol et le positionnement pour le recalage de la centrale inertielle de l'engin. Il doit y avoir compatibilité entre les systèmes des deux vecteurs le drone et le missile.

Nope ... l'AASM recale sa centrale inertiel avec le GPS ...

b)L'alimentation électrique de l'engin semble être un point critique (expérimenté sous Rafale) qui nécessiterait de la part du drone la puissance électrique et les relais nécessaires...

Pourquoi alimenter l'engin? il a pas une alim autonome qui dure quelques minutes de plus que le temps de vol ?!!! il suffit d'une minute pour avoir un point GPS fiable la premiere fois.

-Dans le cas d'un tir d'opportunité (CAS A-stan) le drone par l'intermédiaire de son opérateur devra donner à l'AASM les coordonnées de la cible, souvent après identification visuelle.

Intéressant sujet de réflexion quant à la fiabilité des liaisons de données, alors que dans un Rafale c'est l'équipage qui va entrer de manière manuelle (encore) les coordonnées de la cible...

A priori avec Rover V, c'est l'operateur distant qui pourra tout faire ... pointage de la nacelle definition de la cible etc. l'équipage n'aura qu'a se mettre dans le panier et et appuyer sur le bouton.

Pour l'upload d'un cible dans un AASM sous drone ca doit pas etre bien sorcier... sur un drone prevu pour délivrer de l'armement.

-Le profil le plus hard core pouvant être le SEAD par un binôme Reaper AASM...

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@G4lly

Tant que l'AASM est sous l'avion ce sont les systèmes avion qui lui donnent les infos, il y a dialogue entre les deux systèmes, la centrale inertielle/GPS de l'engin ne prend le relais que quand ce dernier est largué dès que ce dernier est largué ce qui implique un déploiement très rapide des gouvernes.

Autrement tout vient de l'avion (ceci explique en partie la complexité des pylones d'emport).

Il y a connexion électrique entre engin et avion necessitant même un gros câble que l'on peut voir sur les photos prises sous un certain angle...

Ces connexions ont selon ce que je sais (assez peu en ce domaine) pu causer qq "surprises" par le âssé

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@G4lly

Tant que l'AASM est sous l'avion ce sont les systèmes avion qui lui donnent les infos, il y a dialogue entre les deux systèmes, la centrale inertielle/GPS de l'engin ne prend le relais que quand ce dernier est largué dès que ce dernier est largué ce qui implique un déploiement très rapide des gouvernes.

Autrement tout vient de l'avion (ceci explique en partie la complexité des pylones d'emport).

Il y a connexion électrique entre engin et avion necessitant même un gros câble que l'on peut voir sur les photos prises sous un certain angle...

Ces connexions ont selon ce que je sais (assez peu en ce domaine) pu causer qq "surprises" par le âssé

La problématique c'est d'arriver a avoir un calage topo avant le tir.

- cas un si la bombe a un vu satellite suffisante. Elle peu par elle même faire son point GPS et caler sa centrale inertielle. Mais c'est pas forcement le cas.

- cas deux si la bombe a pas de vue satellite ... soit parce que la zone est mal couverte ... soit parce que le vecteur masque les satellite lorsque l'arme est sous son point d'emport. Dans ce cas il faut au minimum que le vecteur initialise la centrale inertiel avec ses propre donnée. En plus il peut initialiser le calculateur GPS avec les donnée GPS qu'il reçoit éphéméride toussa pour qu'une fois la bombe lancé elle puisse démarrer sont positionnement GPS après quelques secondes maxi.

Résultat des course un drone bête doit pouvoir larguer un AASM pour peu que la zone soit couverte GPS ... que la tête de l'AASM dépasse bien de l'aile :) - quoique le aile en composite ca doit pas poser probleme plus que ca - et qu'on allume le bidule suffisamment tôt avant le largage pour que le calculateur GPS ait le temps de se caler et de mettre a jour la centrale inertiel. Effectivement ça limite pas mal.

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Les unites qui faisaient partie de Red Flag 08-4 sont indiquees ici

Les F-22 d'Otis n'avaient rien a voir avec les exercises, et ne prenaient pas l'air quand les participants de Red Flag etaient en vol.  Ce n'etait pas difficile de les eviter, les missions de Red Flag ne durent que 2 heures, et se passent deux fois par jour.

Merci pour le tableau, je viens de voir d'où vient mon erreur: sur la doc que j'avais complié chez moi, j'avais inversé certains tableaux du dernier Red Flag avec ceux de Red Flag 08-02.1 et 02.2 de Janvier et Avril!

Oups! :P

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Tout d'abord,mes excuses pour le off topic.

On connait deja les participans pour le prochain Red Flag.

L'armee de l'air de Grece,prendra part pour la premiere fois a un Red Flag.Elle va deployer 5 F-16CG sur la base aerienne de Nellis dans le Nevada lors du prochain Red Flag qui aura liu au mois de octobre.

Les F16 greques acompliront uniquement de missions AA.

La force aerienne du Singapour prendre part elle aussi avec de F-16C,mais contrairement aux Hellenes,ils feront aussi de missions air-sol.

La force aerienne espagnole prendra part quand a elle ,avec de F-18M.C'est une partie L'Aile Nº15 de saragosse qui va se deployer dans le nevada,pour participer au RF.

Les pilotes espagnols devront realiser plusieurs missions comme Mission Comander et comme Package Commander.Ils devront realiser des missions air-air et air sol.

source:

http://www.maclittle.es/

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I had the opportunity to spend some time with Lcl Frabrice Grandclaudon talking about the French Air Force's experience at Nellis. Lcl Grandclaudon saw the experience as absolutely unique, providing a training environment that was unparalleled in his experience. And though there were significant language barriers, most of the job of being a combat pilot is relatively consistent across languages. It turns out that the French Air Force has participated in Red Flag many times, but this was the first time the Dassault Rafale has made an appearance making for a unique opportunity for US pilots to become familiar with the aircraft. However, Lcl Grandclaudon was surprised that very little academic effort was spent by the participants in familiarizing themselves more thoroughly with the aircraft of other air forces. Of course we discussed the practical reasons why this was not possible including concerns with intellectual property and issues of national security on the part of the US, France and India, but nevertheless, it was felt that more academic time might have been a valuable investment.

les photos

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L'Air & Couscous du jour nous donne la disponibilité des Rafale pendant leur périple estival aux USA :

- 75 % pour la 12F lors de son embarquement pour le JTFEX, seules une dizaine de missions ont été annulées, la plupart pour cause météo.

- 70 à 75 % pour les appareils de l'armée de l'Air engagés durant Red Flag, soit une disponibilité similaire à la métropole nous est-il dit.

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L'organisation de la logistique Rafale est semble-t-il bien différente de celle du 2000 (voir le dernier article de TTU). 90 % pour les 2000 en déploiement, c'est bien. Mais combien pour ceux qui restent à la maison ? Une majorité des matériels et des personnels étant déployés, il ne reste pas grand chose à la maison. La situation semble plus équilibrée avec le Rafale. Le déploiement ne grève pas le travail au quotidien de ceux qui sont en France.

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Je vous rappelle que le taux de dispo en 2007 2008 des 2000 D en France est < à 50 %... (26 sur 60 sont ops à moins de six heures)

70/75%  pour les Rafale de Nellis c'est ce qui est considéré comme un ratio optimal en métropole.

En OPEX les mécanos font les trois huits si nécessaire et on obtient des taux de 90% et +

Le Rafale est un avion neuf dont la chaîne logistique et l'organisation logistique sont totalement différentes.

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Dernière nouvelles du front:

Le taux de dispo du Rafale à RF 75%.

En fait notre envoyé spécial à Vegas nous part des observations suivantes:

Un des quatre avions n'a pas vraiment volé, il a servi de stock de pièces détachées aux autres. Pourquoi ?

Réponse le stock emporté par l'ADLA était mais important que pour une OPEX genre A-stan.

Les matériels ont souffert de la chaleur et donc il a fallu canibaliser un avion pour pouvoir dans l'urgence permettre aux trois autres de voler.

CECI DIT avant de lever les bras au ciel

Les trois autres ont eu la dispo nécessaire pour (très bien) faire les missions

Le Rafale est en escadron depuis deux ans et travailler ainsi en ambiance surchauffée est un bon RETEX.

A Luke les avions étaient garés sous des auvents à Nellis tout le monde est en plein cagnard...

Gageons que la prochaine fois sachant désormais ce qui chauffe plus que le reste le Royal Cambouis aura l'occasion d'amener la caisse à clous en conséquence...

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Et il est reparti comment le pauvre quatrième? On l'a abattu d'une balle entre les deux plans canards et abandonné dans un fossé? :lol:

Ca leur apprendra de faire des cockpit noirs... Ca fait peut être design et High tech mais ça chauffe tout ce qui est dedans comme un véritable four microonde. Il devait faire 60°C au moins dans les éléments du tableau de bord...

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Ca leur apprendra de faire des cockpit noirs... Ca fait peut être design et High tech mais ça chauffe tout ce qui est dedans comme un véritable four microonde. Il devait faire 60°C au moins dans les éléments du tableau de bord...

Euh y a des bache isoterme sur les cockpit a l'arret, y a la clim en marche ...

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