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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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PARIS (Reuters) - Le gouvernement réfléchit à une taxe sur "les rémunérations extravagantes", supérieures à un million d'euros par an, a déclaré jeudi la porte-parole du gouvernement et ministre du Budget, Valérie Pécresse.

Alors que l'exécutif cherche les moyens de réduire les déficits dans la perspective du budget 2012, de grandes fortunes françaises comme le PDG de Virgin Mobile Geoffroy Roux de Bézieux, se sont déclarées prêtes à être taxées davantage.

"Il y aura de la justice dans ce budget, de l'équité, et donc seront plus taxés ceux qui peuvent être le plus mis à contribution, c'est-à-dire les foyers les plus aisés", a déclaré Valérie Pécresse à la radio BFM.

Gouvernement et parlementaires travaillent actuellement à une "contribution sur les rémunérations extravagantes, exorbitantes (...) au-dessus d'un million d'euros", a dit la ministre.

Deux pistes sont étudiées selon elle : taxer les entreprises qui donnent ces rémunérations ou taxer directement les ménages.

"Pour l'instant, rien n'est tranché (...) mais quand le groupe de travail a commencé à travailler, c'était ce type de rémunération qui était visée", a-t-elle précisé.

Dans cette perspective, de rares grandes fortunes françaises se sont déclarées prêtes à participer davantage à la solidarité nationale dans le sillage du milliardaire américain Warren Buffet, qui a demandé dans une tribune publiée dans le New York Times plus d'impôts pour les hauts revenus de son pays.

En France, Maurice Lévy, PDG de Publicis et président de l'Association française des entreprises privées (Afep), s'est dit favorable à une "contribution exceptionnelle des plus riches".

Un avis partagé par le PDG de Virgin Mobile Geoffroy Roux de Bézieux, pour qui "être riche donne des responsabilités".

"La première est de contribuer à la solidarité nationale, surtout dans cette période de crise", a-t-il dit au Parisien. "Je suis taxé à hauteur de 35% à 40%. Faut-il aller plus loin ? Je ne suis pas contre".

Le PDG de Virgin Mobile considère toutefois l'impôt de solidarité sur la fortune comme "un impôt idiot". "Il ne faut pas que cela exempte l'Etat des efforts à produire en matière de réduction des déficits", dit-il.

Concernant les feuilles de soins de la Sécurité Sociale : "Aujourd'hui, 84 % des échanges entre les professionnels de santé et l'Assurance Maladie sont dématérialisés. Principal avantage des feuilles de soins électroniques pour vous : en cas de tiers payant, vous êtes rémunéré plus rapidement et bénéficiez de la garantie de paiement. Quant aux assurés, ils reçoivent leurs remboursements plus vite et n'ont plus de papier à gérer. Tout le monde y gagne, même la collectivité ! La gestion d'une feuille de soins électronique coûte six fois moins cher que celle d'une feuille papier."

http://www.ameli.fr/professionnels-de-sante/chirurgiens-dentistes/votre-caisse-paris/vous-informer/feuilles-de-soins-electroniques-tous-gagnants_paris.php

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Depuis bien longtemps ou l'etat baisse les charges, concretement, est ce que ca a change grand chose a part mettre le budget en deficit ?

Effectivement mais ca n'avait pas ete fait, on ne peut etre sur que la situation aurait ete la meme.
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Le Venezuela nationalisera l'or et placera ses devises en Russie

12:42 18/08/2011

BUENOS-AIRES, 18 août - RIA Novosti

Le président vénézuélien Hugo Chavez a confirmé mercredi la volonté de son gouvernement de nationaliser l'or et de transférer les réserves monétaires internationales vers des pays amis, dont la Russie.

"Nous n'avons rien à cacher. Les économies en Europe et aux Etats-Unis s'effondrent, c'est pour cela que le moment est venu de tester la solidité des économies chinoise, russe et brésilienne", a déclaré le leader de l'Etat bolivarien dans une interview téléphonique accordée à la chaîne nationale VTV.

Selon lui, compte tenu du risque d'une crise financière pesant sur le monde, le transfert des devises vénézuéliennes vers les "pays amis" est sain pour les ressources de l'Etat.

Hugo Chavez a en outre indiqué que son Etat gardait des centaines de tonnes d'or dans les pays capitalistes sans toucher aucun profit.

"Jusqu'à quand continuerons-nous à financer le nord?", s'est-il exclamé.

L'intention de placer ses réserves monétaires vénézuéliennes dans les pays cités au détriment de l'Europe et des Etats-Unis a été annoncée pour la première fois mardi soir par le député vénézuélien, Julio Montoya.

http://fr.rian.ru/world/20110818/190538006.html

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(AFP) Le président vénézuélien Hugo Chavez a annoncé mercredi qu'il préparait une loi visant à nationaliser "l'exploration et l'exportation de l'or" dans le pays afin de lutter contre "les mafias et la contrebande" qui selon lui sèment "l'anarchie" dans le secteur.

Dans le sud du pays, "nous avons l'une des réserves d'or les plus importantes du monde et je vous informe que je vais bientôt approuver une loi nous permettant de prendre en main la gestion de la région aurifère parce que les mafias et la contrebande y font régner l'anarchie", a déclaré M. Chavez lors d'un entretien téléphonique à la télévision d'Etat VTV.

"Une loi est déjà prête pour réserver à l'Etat les activités d'exploration et d'exploitation de l'or et toutes les activités connexes. Nous allons nationaliser l'or", a-t-il ajouté, en référence aux pouvoirs exceptionnels qui lui permettent de légiférer par décrets sans passer par le Parlement depuis décembre 2010.

Y-a pas à dire, les pleins pouvoirs, ça rends tout plus facile !

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si on prend que la saisie et toutes choses étant égales par ailleurs (j'aime bien l'expression "toutes choses étant égales par ailleurs" aujourd'hui)  il y a un gain c'est évident.

Bien sur qu'il y a un gain sur certaines fonctions mais le gain lui même a été employée à développer d'autres fonctions et notamment la relation à l'usager

Est ce que t'as pas le vague soupçon que dans les trésories il y en a qui se font les ongles des pieds au lieu de vous donner un coup de main ?

Je bosse en trésorerie et je peux te dire que la télé-déclaration n'a presque rien changée pour les trésoreries : la plupart des gains viennent de la mise en place d'un intranet et du developpement de logiciels permettant à chaque agent de faire des recherches par lui même au lieu de passer par un enquêteur

Le gain est ici d'avoir les infos plus rapidement et de se passer d'un enquêteur : c'est à dire un gain d'une personne sur un effectif de 15/20 personnes si tu veux chiffrer

En contre-partie, on doit assurer une relation à l'usager bien plus développée qu'avant et le trie des infos prends plus de temps

Bref non je ne passe pas mon temps à me faire les ongles des pieds  :lol:

Après à titre individuel,  des fainiants ça existe partout

Et certaines structures sont en sureffectif alors que d'autres sont en sous-effectifs

PS : un point, l'amélioration du service est apparente en partie car on a fortement développé la relation aux usagers mais il y a des contre-parties que le gens ne voient pas.  

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Pour savoir où se trouveront nos futurs clients :

PARIS (Reuters) - La population mondiale, qui aura franchi le cap de sept milliards d'habitants d'ici à la fin de l'année, devrait continuer à croître jusqu'à la fin du siècle pour culminer autour de 10 milliards, estime l'Institut national d'études démographiques (Ined) dans une étude publiée jeudi.

La croissance de la population mondiale ralentit déjà, montre cette étude biannuelle intitulée "Tous les pays du monde": alors qu'il aura fallu 12 ans pour passer de six à sept milliards de Terriens, il en faudra 14 pour passer de sept à huit milliards, un seuil qui devrait être franchi en 2025.

L'Onu a fixé au 31 octobre la date symbolique du franchissement du cap des sept milliards de Terriens, sur la base des données et tendances disponibles au début de l'année. Mais ses experts jugent peu probable une stabilisation de la population globale à moyen ou long terme.

La croissance démographique a atteint son niveau maximum (2% par an) il y a déjà 50 ans, précise l'Ined, et elle a été divisée par deux depuis pour tomber à 1,1% en 2011.

"Elle devrait continuer de baisser jusqu'à la quasi-stabilisation de la population mondiale dans un siècle autour de neuf à 10 milliards d'habitants", poursuit l'Ined.

Cette décélération s'explique par la diminution de la fécondité moyenne, revenue à 2,5 enfants par femme aujourd'hui contre le double en 1950.

Cette moyenne cache cependant d'importantes disparités note l'Ined, soulignant que l'essentiel de la croissance démographique d'ici la fin du siècle sera concentrée sur l'Afrique subsaharienne, la péninsule arabique et les régions allant de l'Afghanistan au nord de l'Inde.

L'étude montre aussi que l'Inde devrait ravir à la Chine le premier rang du classement des pays les plus peuplés, avec près de 1,7 milliard d'habitants prévus en 2050 contre 1,31 milliard pour la République populaire. La population chinoise devrait ainsi décroître légèrement au cours des 40 années à venir.

Derrière ces deux géants, le haut du classement des pays les plus peuplés en 2011 réunit les Etats-Unis, l'Indonésie, le Brésil, le Pakistan et le Nigeria. Ces sept pays représentent plus de la moitié de la population mondiale.

Avec 63,3 millions d'habitants, la France métropolitaine se classe en 2011 au 21e rang mondial, entre la République démocratique du Congo et le Royaume-Uni. Elle devrait rétrograder au 26e rang d'ici à 2050 selon les projections de l'Ined, avec une population prévue à 72 millions de personnes.

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Fermetures de comptes en masse chez Société Générale.  :-[

Selon mon conseiller, des gens se barrent pour aller à la Poste (Banque), la seule vraie banque nationalisée. 

Et demain :

"Les Sorcières".

Les 3éme vendredis de chaque mois nous avons un phénomène boursier: les sorcières.

En fait les séances du 3éme vendredi de chaque mois se caractérisent par l'expiration de différentes options et contrats à terme, par exemple les futures sur l'indices CAC40 du mois de février sont clôturés le 3éme vendredi de Février et remplacés par les futures de Mars.

Ce changement d'horizon est simultané pour un grand nombre de futures et de contrats à terme sur les indices et les actions comme les certificats ou les warrants, cela déstabilise les marchés qui doivent projeter les futures au mois suivant.

Pour les fins de trimestre nous parlons de vendredi des 4 sorcières, car il y a d'avantages de futures et de contrats à terme qui arrivent à échéance ce jour-là.

Il faut donc rester prudent le 3éme jeudi et vendredi de chaque mois, mais plus particulièrement pour les mois de fin de trimestre, ces journées sont souvent baissières voir même extrêmement baissières.

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Fermetures de comptes en masse chez Société Générale.  :-[

Selon mon conseiller, des gens se barrent pour aller à la Poste (Banque), la seule vraie banque nationalisée. 

combien gagnerait-on à privatiser la poste, justement ?  =D

2012, un gouvernement de gauche aura la fenêtre de tir pour le faire (jospin spirit  :P)

Avec ça on à la 1ére banque mondiale dans le classement des grandes entreprises  :lol:

:lol:

Pas si leur capitalisation continue de chuter à -10%/jour  :-[

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Fermetures de comptes en masse chez Société Générale.  :-[

Selon mon conseiller, des gens se barrent pour aller à la Poste (Banque), la seule vraie banque nationalisée.

Il existe aussi des banque mutuelle qui sont quasi-immunisé contre le risque de dettes souveraines ...

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Publiée il y a 48h, voici une proposition pour sortir de la crise:

Dévaluer l'euro pour éviter le pire

Gérard LAFAY, Jean-Jacques ROSA ET Philippe VILLIN

Les « marchés » n'ourdissent aucun complot. Face aux risques de défaut, les investisseurs sonnent le tocsin, vendant par crainte d'une chute encore plus forte. Sachant qu'ils ont un intérêt direct à deviner juste, il vaut mieux prendre au sérieux leur diagnostic alarmiste que de le prétendre sans fondement. Ils doutent de la solvabilité des Etats européens du « Sud » et désormais du « Centre ». Si le défaut se confirme, le risque pour les banques de la zone euro devient grave et c'est toute l'économie qui risque le collapsus.

Que proposent les gouvernements ? La BCE est incitée à racheter des obligations publiques d'Europe du Sud, ce qui présente l'avantage d'injecter des liquidités mais l'inconvénient de créer un risque de bilan. Le FESF est invité à augmenter ses prêts, ce qui fournit des moyens supplémentaires à ces gouvernements, mais aggrave leur problème à terme. On veut de plus généraliser et intensifier les politiques d'austérité, ce qui constitue un total contresens : une politique déflationniste appliquée à des pays qui courent à la récession.

Quant à l'émission envisagée d'« eurobonds », cela revient à dire que l'Allemagne et la France vont s'endetter pour financer à court terme les pays les plus atteints, car sinon que peut valoir une obligation émise par un quarteron de pays en faillite ou quasi-faillite destinée à... obtenir des fonds pour les sauver de la faillite ?

Enfin, l'idée de Jean-Claude Trichet d'un ministre européen des Finances, chargé de dicter aux autres pays la loi des prêteurs est aussi irréaliste qu'inacceptable : elle incarne la démarche d'un fédéralisme furtif, antidémocratique, qui révoltera les pays concernés.

La seule mesure qui peut éviter le pire, parce qu'elle s'attaquerait au facteur majeur d'aggravation de notre conjoncture, c'est une dépréciation massive et rapide de l'euro, très surévalué depuis 2003. En rétablissant de la compétitivité dans toutes les économies de notre zone, elle ouvrirait une perspective de croissance qui, seule, peut réduire le ratio dette/PIB, et donc rétablir la solvabilité, en contrant la spirale de récession qui nous menace. Comment ? Par une baisse des taux d'intérêt de la BCE au voisinage de zéro qui aurait un impact direct sur les flux internationaux de capitaux et donc immédiat sur la valeur de l'euro.

L'Allemagne s'y opposerait sans doute, mais la plupart des autres pays, qui ont souffert de l'euro cher, feraient pression sur le seul pays qui en a bénéficié, au détriment de ses voisins. Et s'il faut que le conflit éclate, eh bien il faut l'accepter.

Il faudra néanmoins une dévaluation spécifique supplémentaire pour les pays d'Europe du Sud dont l'économie a perdu toute compétitivité. Ce qui nous amène au démontage inéluctable de l'euro. Il y a peu de chances qu'il puisse se faire de façon consensuelle. Il est probable aussi qu'un « euro-mark » puisse survivre, car la zone mark a une réalité antérieure même à l'euro. Cela représentera alors LE risque majeur pour la France : nous enfermer dans une monnaie allemande encore plus forte qui coulerait notre économie. La France devra donc saisir cette opportunité pour sortir de l'euro.

Les économies de l'Europe du Sud devront aussi faire défaut partiel sur leurs obligations pour compenser la majoration de leur dette extérieure, consécutive aux dévaluations. Ce défaut sera largement supporté par les banques inconséquentes, qui ont engrangé des gains considérables en profitant du refinancement à bon compte par la BCE des obligations à haut risque et à haut rendement des pays du Sud, tout en comptant être protégées de tout risque de perte par les pouvoirs publics parce qu'elles sont « too big to fail ».

Il faudra aussi leur sauver une deuxième fois la mise, pour éviter la disparition des dépôts et du crédit. Mais il faudra soumettre ces banques, une fois rétablies, à des remboursements assortis de pénalités et d'impositions massives (à la différence de 2008). A l'avenir, le mélange de gestion de dépôts et d'activités de placement risquées pour leur propre compte devra être interdit.

Nous sommes aujourd'hui à la croisée des chemins. La voie d'un fédéralisme technocratique aggravé conduit au chaos économique par surfiscalisation et révolte politique. La politique actuelle aboutit à augmenter l'ensemble des dettes de la zone et à la surenchère dans l'austérité, pour maintenir la chape de plomb de la surévaluation du change pour tenter en vain de sauver l'euro. Pour en sortir, la seule possibilité réaliste consiste à appliquer la solution classique de relance par la dévaluation. Elle conduit directement à son tour au démontage de l'euro. Nous ne pouvons pas faire l'économie de cette réorientation politique sinon la glissade continuera vers un collapsus général qui pourrait aller beaucoup plus loin et beaucoup plus vite qu'on ne le croit.

Gérard Lafay est professeur émérite à l'université Panthéon-Assas Paris-II.

Jean-Jacques Rosa est professeur émérite à l'Institut d'études politiques de Paris.

Philippe Villin est conseiller stratégique et financier, ancien directeur du « Figaro ».

http://www.lesechos.fr/opinions/points_vue/0201570259075-devaluer-l-euro-pour-eviter-le-pire-206960.php
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La France semble prendre le parti de l'Allemagne. Alors qu'en tant que pays latin, elle pourrait se mettre du coté des pays peripheriques et ainsi imposer a l'Allemagne une reforme de la BCE pour pouvoir dévaluer. Par la même occasion elle renouera avec son passé de protecteur des petits pays européens contre les germaniques (Allemagne et Autriche).

En plus je vois pas ce que l'Allemagne y perdrait, sa croissance s'est terminée car on ne peut plus lui servir de vaches a lait, on a plus de sous.

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@ G4lly:

Pas tout à fait. La BCE ne cherche pas la baisse de l'Euro mais la faible hausse de l'inflation. C'est tout et ça n'est pas la même chose.

Ta remarque me fait penser à l'intervention du fils Giscard d'Estaing, président de la commission des finances de l'assemblée. Il déclarait que l'Euro n'était pas attaqué car il est fort. Il a raison. Ce sont les capacités de banques qui sont mises en doute. Il oublie que le Quantitative Easing 2 contribue au $ faible donc à l'Euro fort.

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hum qui a dit en 2010 que la crise était terminée  :lol: :lol:

et ben mon cochon si ca continue encore comme ca pendant une semaine y'aura plus qu'a commencer à planter un jardin potager et stocker pour l'hiver

ca commence quand même furieusement à ressembler à du 1929 un peu lissé sur 10 jours

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La France semble prendre le parti de l'Allemagne. Alors qu'en tant que pays latin, elle pourrait se mettre du coté des pays peripheriques et ainsi imposer a l'Allemagne une reforme de la BCE pour pouvoir dévaluer. Par la même occasion elle renouera avec son passé de protecteur des petits pays européens contre les germaniques (Allemagne et Autriche).

En plus je vois pas ce que l'Allemagne y perdrait car on ne peut plus lui servir de vaches a lait, on a plus de sous.

Le probleme c'est pas l'allemagne ce sont les élection. Merkel est en danger électoral et son parti avec ... la politique interne joue bien plus que le reste ici, d'autant que les chefs d'état n'ont pas beaucoup de moyen d'action en pratique.

Pour la France, NS est lui aussi entre le marteau et l'enclume. Il doit défendre son bilan et entretenir un minimum l'espoir avant les élection ... pas de hausse d'impot, pas de faillite ... c'est serré mais tout va bien bla bla bla.

Le souci c'est qu'au fil des moins l'économie réel elle meme est rentrée en ralentissement durable et pour nos économie qui sont conditionnée pour ne bien vivre qu'en croissance soutenue, c'est difficilement gérable.

Pour ce qui est de doper la croissance ... on ne sait juste pas faire. Injecter du pognon par les banque ca ne marche pas, injecter du pognon dans la consommation ca ne sert qu'aux Chinois ou a l'épargne. Le seul truc qui puisse etre intéressant c'est d'injecter massivement du pognon dans du logement bon marché ... c'est assez créateur d'emploi, locaux, et ca permettrait a court terme de libérer les francais d'un poids des cout d'habitation.

On sait que trop tailler dans les dépenses ca plombe la croissance qui n'a pas besoin de ca ...

@ G4lly:

Pas tout à fait. La BCE ne cherche pas la baisse de l'Euro mais la faible hausse de l'inflation. C'est tout et ça n'est pas la même chose.

La faible inflation c'est une de ses missions. Mais tu n'es pas sans remarqué que la BCE est quasi la seul orgnaisation active en ce moment dans le rachat de créance pourrie, alors que ce n'est meme pas dans ses attribution. Racheter des créance pourrie contre du cash ... c'est augmenter la masse monaitaire, donc "dévaluer" ... une sorte de QE déguisé si tu preferes. Sauf que les USA le font encore plus fort que nous et donc que leur monnaie baisse plus vite, relativement a la notre elle reste donc plus basse. D'ou l'interet de comparé avec d'autre valeur, comme les matiere premiere ou d'autre monnaie pour voir si l'euro s'enchérie ou pas. Contre franc suisse il baisse, contre or il baisse, contre oil il baisse ... donc il baisse, moins vite que le dollar, mais il baisse quand meme ;)

Ta remarque me fait penser à l'intervention du fils Giscard d'Estaing, président de la commission des finances de l'assemblée. Il déclarait que l'Euro n'était pas attaqué car il est fort. Il a raison. Ce sont les capacités de banques qui sont mises en doute. Il oublie que le Quantitative Easing 2 contribue au $ faible donc à l'Euro fort.

Attaqué l'euro directement est au dessus des moyens des fonds qui profitent de la situation, mais attaqué la dette des pays libellé en euro ca se fait assez bien.

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