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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Les investisseurs n'attaquent pas. Ils se désengagent des banques vis à vis desquelles ils n'ont pas confiance.

Je parlais pas des banque mais des créance et CDS/CDO ... quand le spread sur les emprunts d'états passe du simple au double pour  l'italie, c'est pas un hasard, c'est pas l'économie italienne qui s'ést évanouie du jour au lendemain! Cette volatilité est dopé par les fonds qui attaquent la ou il pensent qu'il vont etre suivi.

Que les action baissent ca ne change pas la vie des entreprises ... sauf les risque de se faire racheter. Ce sont les porteurs qui font la gueule ...

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Quand aux riches qui annoncent vouloir participer aux efforts, j'ai une bonne nouvelle pour eux: Ils n'ont même pas besoin de payer plus d’impôts.

Ils devraient retirer petit à petit leur argent des banques d'affaires qui pratiquent la prédation et réinvestir immédiatement dans l’économie réelle de leur pays. Car pour faire fructifier l'argent des rentiers, les banques d'affaires s'activent en faisant n'importe quoi vu que la croissance n'est pas suffisante: racheter des boites et les pousser à licencier ou délocaliser, racheter des immeubles bourgeois et diviser les appartements par quatre, acheter des matières premières et faire en sorte que leur prix explose etc...

La ces riches mettraient leurs actes en cohérence avec leurs paroles mieux qu'en nous donnant un susucre qui ira directement dans les interêts de la dette que leur banquier possede  :lol:.

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Le plus gros problème n'est pas la production de richesse mais son hyper-concentration et sa non-circulation dans l'économie proche (dépenses locales = classes populaires et moyennes; impact plus important pour l'économie réelle si on augmente de 1000€ les petits revenus que si on augmente de 1000€ les gros revenus).

Après le krach de 29 certains maires en Allemagne et en Autriche ont emis leur propre monnaie. Ca pouvait prendre la forme de "certificat de travail" échangeables. Il y'avait une date dessus et c'était fait pour perdre sa valeur en monnaie classique si on ne le depensait pas. Ces papiers ont alors circulé très vite dans l'économie de la ville et soulagé la population. Le chômage a fondu jusqu'a ce que l'Etat jaloux mette fin a ces experiences...

Ca reste un exemple de ce que peuvent faire des hommes politiques volontaires et ouverts a toute solution.

Tiens, depuis 2008 une ville anglaise imprime sa monnaie.

http://www.cyberpresse.ca/actualites/insolite/200809/19/01-670045-contre-la-crise-une-ville-anglaise-lance-sa-propre-monnaie.php

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La Banque centrale européenne a prêté 500 millions de dollars pour 7 jours à un seul établissement dont l'identité n'a pas été révélée.

AFP/Le Point :

La Banque centrale européenne (BCE) a, pour la première fois depuis février, accordé un prêt en dollars, d'un montant important et destiné à une seule banque, selon un communiqué sur son site internet, un indice de plus de la fébrilité des banques européennes. La BCE a prêté 500 millions de dollars pour 7 jours à une banque dont l'identité n'est pas révélée, a-t-elle annoncé dans la nuit de mercredi à jeudi.

C'est la première fois depuis février 2011 que cet instrument de politique monétaire, que la banque avait réactivé en mai 2010 en pleine crise sur la dette grecque, est utilisé. En février, la BCE n'avait prêté que 70 millions de dollars et les mois précédents, sporadiquement des sommes équivalentes.

And the winner is...

Le Crédit Lyonnais

(Trichet a vendu la mèche).

- Encore le Crédit Lyonnais !?! Je leur propose de se renommer le "Débit Lyonnais". Ce serait plus raccord avec cette banque.

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Le seul point positif dans cet océan de merde c'est que, pour celles que je connait et côtoie, les entreprises ne sont pas endettées, ne sont pas en sur-stock.

C'est bien une crise de confiance généralisée et la démonstration éclatante de l'incapacité des politiques à agir.

On n'est pas dans la merde.... :lol: :lol:

Petit rappel : élections en 2012 (nous), 2013 (Allemagne), 2014 (USA)....3 ans à rien faire ça risque de péter !

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Il parait que c'est revenu en allemgne. Un pote m'en a parlé, il y a deux ans et ce fut évoqué dans un débat. Mais je n'ai pas de détail. Il semble que cela soit plus courant qu'on ne le pense.

Des préfectures japonaises le font aussi je crois. Il me semble que ça ressemble à ça :

http://en.wikipedia.org/wiki/Mefo_bills

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hum qui a dit en 2010 que la crise était terminée  :lol: :lol:

Ceux qui ont dis ca sont les memes qui disait qe les subprimes etaient un investissement sur et certain.

honnetement, j'ai plus entendus "La vraie crise arrive bientot"

et ben mon cochon si ca continue encore comme ca pendant une semaine y'aura plus qu'a commencer à planter un jardin potager et stocker pour l'hiver

ca commence quand même furieusement à ressembler à du 1929 un peu lissé sur 10 jours

Bon, le coup du potager chez soit, je l'entends depuis le risque d'apocalypse informatique pour l'an 2000. Reste qu'en effet, la crise de 2008 qui aurait pus etre pire que celle de 29 nous reserve encore quelques surprises a priori.

La Banque centrale européenne a prêté 500 millions de dollars pour 7 jours à un seul établissement dont l'identité n'a pas été révélée.

Je comprend pas du tout cette information. C'est une bonne ou un mauvaise nouvelle ?
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Court extrait de l'entrevue de Paul Colonge à propos de Benoit-XVI:

Benoit XVI a-t-il un rôle à jouer dans la crise économique ?

Il ne peut guère intervenir. Je ne pense pas qu’il puisse peser sur les décisions mais il a tout de même l’oreille de certains dirigeants. Par exemple, les deux Présidents successifs russes, Vladimir Poutine et Dimitri Medvedev, sont venus le voir à Rome. Je n’irais pas jusqu’à dire qu’il influence les grands de ce monde mais en tout cas, on le consulte, ce n’est pas rien.

Au sujet de la crise, il a quand même déclaré qu’il n’était pas normal que la spéculation puisse dominer la vie économique et sociale. Sa troisième encyclique « Caritas in veritate », montre que la charité, l’amour du prochain, doit entrer en ligne de compte dans les décisions économiques.

http://www.atlantico.fr/decryptage/benoit-xvi-bilan-pape-catholicisme-165782.html

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Le seul point positif dans cet océan de merde c'est que, pour celles que je connait et côtoie, les entreprises ne sont pas endettées, ne sont pas en sur-stock.

!

euh ,,,,,?????

on connait pas les mêmes alors

apres 2 années difficiles , bon nombres d'entreprises, et pas des petiotes  sont "exangues " , tresor de guerre éffacé, plus rien dans la cagnotte

a tel point que la majo des cadres n'ont pas eu ou tres peu d'augmentation depuis 2008

ceratines , ont eu a emprunter des 300/400 MILLIONS d'euros pour financer l'avenir,on va dire...( je bosse dans l'une d'entre elles)

NON, aujourd'hui on ne peut que dire que le tissus éco français est convalescent et que tout ça ne présage rien de bon, pour autant que les infos qu'on nous bassine soient "avérées"

si ralentissement éco; on l'avait prévu...ok

SI recession.......là c'est pas la même !!!!!

pour ma part, je croise les doigts.....MAIS il est certain qu'il faut absoluement que les US repartent et rapidement...

apres pour le reste, on attend un tas de stats pour l'europe, semaine prochaine et on peut tout a fait imaginer quelques sceances mouvementées....

il y a encore un potentiel à la baisse sur les marchés...et ce n'est pas la rentrée qui inversera la tendance, en tout cas , je ne le crois pas..

déjà commençons par prier que la lever financiere italienne SE PASSE BIEN SEMAINE PROCHAINE et que la BCE ne durcisse pas d'avantage sa position..

A+

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Ca ferait un bel electro choc.

"Il faudrait nationaliser les banques pendant 3 ou 4 ans"

Pour le spécialiste des marchés financiers Marc Fiorentino, seule une restructuration générale des dettes souveraines permettrait de sortir de la crise.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/economie/20110818.OBS8772/il-faudrait-nationaliser-les-banques-pendant-3-ou-4-ans.html

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Aujourd’hui, les banques françaises sont attaquées par les traders de Wall Street. Ces derniers savent que les Français possèdent un trésor de 2000 milliards de dollars de dérivés toxiques. Et comment le savent-ils ? Tout simplement parce que c’est eux qui les leur ont vendus ! Max Keiser qui intervenait en direct sur Russia Today ne mâchait par ses mots. Pour lui, BNP, le Crédit Agricole et la SG sont tout simplement insolvables et les traders de Wall Street savent où sont cachés les cadavres.

Coté Europe, il y a quelques réunions au sommet comme la rencontre extraordinaire Merkel / Sarkozy. Le résultat des courses est que les ventes à découvert sont interdites pendant 2 semaines sur les titres des banques et des assurances. Aux USA, Ben Bernake chauffe ses troupes en promettant à Wall Street du cash facile pendant deux ans. Pour partir en guerre, ils auront des tonnes de dollars neufs à 0% d’intérêt que la Fed va imprimer dans le cadre du round QE3.

Aujourd’hui, la meilleure solution pour l’Etat Français serait de laisser crever les banques insolvables et jouer son rôle régalien et dédommager les épargnants et les entreprises sans limites. Ceci permettrait en fait de rembourser les parties qui ont mis du vrai argent à la banque. Pour les autres, la banque sera en faillite et ils seront créanciers (ils n'avaient qu'à faire plus attention à qui preter). Ces milliers de milliards de dette passeront par pertes et profits et on en parle plus. Ceci enverra un signal fort aux usuriers de par le monde qu’on ne peut plus prêter du papier pourri et espérer rançonner fiscalement des peuples entiers pour obtenir le remboursement. Ceci renforcera la position de la France et permettra l’émergence d’un système bancaire sain et solide. Ca permettra aussi l’exercice de la sélection naturelle qui éliminera les établissements qui sont gérés par des personnes incompétentes, ou peu scrupuleuses ou trop bêtes pour évoluer dans le monde complexe d’aujourd’hui. Par contre, les traders savent que l’Etat ne suivra pas cette route. Le gouvernement a déjà commencé à fausser les règles de marché pour amortir la chute des banques puis n’hésitera pas à engager l’argent du contribuable et s’endetter pour financer des actifs pourris et « sauver la banques ». Sauf que cette fois, elles vont l’entrainer dans la chute et la France perdra sont triple AAA. C’est exactement cela le but des traders de Wall Street.

http://aldo-sterone.blogspot.com/2011/08/la-france-depecee-par-wall-street.html

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L’or continue ce matin son ascension vers de nouveaux records historiques. Nous allons rapidement vers 1900 dollars, voir 2000 dollars l’once comme cela a été prévu de longue date. L’or à 10 milliards de dollars l’once ça vous dit ?

En fait, l’or ne bouge pas du tout. Il est la valeur de référence. C’est la monnaie plutôt qui fout le camp. La même somme en dollars achète de moins en moins d’or. A force d’imprimer le dollar à la rotative, on crée de la monnaie qui n’a aucune valeur. La monnaie papier est comme la monnaie du jeu de Monopoly. Elle n’a aucune valeur que celle qu’on veut bien lui donner. Le dollar est garanti par le gouvernent US qui, lui-même, est en situation de faillite. L’or est un indicateur précoce de la dévaluation de la monnaie US.

http://aldo-sterone.blogspot.com/search?updated-min=2011-01-01T00%3A00%3A00%2B01%3A00&updated-max=2012-01-01T00%3A00%3A00%2B01%3A00&max-results=50

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"Rions un peu".

Un niveau d'incompétence pareil frise le grand art...  :lol:

http://www.boursorama.com/votreinvite/interview.phtml?num=51792332be07cf5fb540213ec9832260

mouais, moi je crois surtout que les congés ( periode ) ont révélé une crise/problemes d'une ampleur insoupçonnée auparavant et le catalyseur de tout ça :

la panique , la suspicion , la perte de confiance...= enfin la nervosité quoi !!!!

maintenant, faut voir la semaine prochaine , la direction du vent !!!

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L'ambiance est tellement pourrie au USA qu'un candidat répulicain, Rick Perry, a menace Bernanke de le traduire en justice pour haute trahison - donc peine de mort - ... c'est dire la violence des conflit politique interne, ce qui n'arrange pas la résolution de la crise.

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http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/08/19/agences-de-notation-des-anciens-temoignent_1561503_3234.html

"Des clowns !" a tranché le Prix Nobel d'économie 2008, l'américain Paul Krugman. Depuis la crise des subprimes – que les agences de notation n'ont pas vu venir – et après la dégradation de la note américaine par Standard & Poor's (S&P), les critiques pleuvent. Pouvoir illégitime, conflits d'intérêts, calculs erronés… Ces derniers mois, l'opinion publique a changé, et la place des agences est aujourd'hui sujet à interrogations, notamment quant à leur rôle dans le déclenchement de la crise. Mais qu'en pensent les principaux intéressés ? L'actualité récente a lié les langues. Seuls quelques anciens salariés acceptent de raconter leur expérience, pour la plupart sous le sceau de l'anonymat, preuve de la crainte qu'inspirent toujours S&P, Moody's et Fitch, les trois grandes agences qui se partagent le marché. Ils racontent l'évolution de ces nouvelles bêtes noires de la finance mondiale.

Laurent*, ancien employé de Moody's, diplômé d'économie, raconte qu'il a connu deux périodes au sein de l'agence fondée en 1909. "Au départ, il y avait un deal Moody's. Vous êtes moins payés qu'à Wall Street, mais on vous garantit votre indépendance, et on ne vous vire pas. Et puis, on avait le temps. Pour une visite souveraine, on partait six jours à cinq. On prenait le temps de rencontrer les acteurs économiques du pays afin de prendre le pouls. Le Moody's des dernières années, c'était une visite d'une journée ou deux à deux, juste le temps de rencontrer nos contacts dans le pays (agence de la dette, banque centrale, ministère des finances). Il fallait faire vite, car cela coûtait de l'argent. […] Pour autant, je n'ai jamais vu de malversations de la part d'un analyste. On ne pouvait pas par exemple accepter les cadeaux de plus de 5 dollars, on ne dînait jamais avec nos clients. Mais la pression pouvait être interne. Je me souviens qu'une fois, mon supérieur a sucré mon bonus car mes recommandations n'avaient pas été suivies lors du comité de notation. Je n'avais pas suivi la ligne du parti, mais pour lui cela signifiait que je n'étais pas un bon analyste."

Nicolas, qui a quitté Standard & Poor's, explique qu'"il y a eu un avant et un après 2008 [date de la crise des subprimes]. En règle générale, le process est très consensuel et la hiérarchie est très légère, le but étant que l'analyste reste souverain dans l'élaboration de sa recommandation. Mais récemment, les audits internes se sont multipliés de manière 'post-mortem' afin d'évaluer comment certains ratings [notations] défectueux avaient été gérés. Les réglementations des process se sont alourdies parce que les agences souhaitaient parer aux critiques. En conséquence, les comités de notation ont eu tendance à devenir des chambres d'enregistrement. Avec les années j'ai par ailleurs pu constater une carence d'investissement chronique en ressources humaines et matérielles. Aujourd'hui, c'est une profession moins attractive dans le monde de la finance, il y a un sentiment de frustration sur le contenu du travail et la rémunération est plutôt en baisse."

Pascal a quitté une grande agence de notation en 2010. Diplômé d'une grande école de commerce, il a fait de l'analyse pendant six ans. "Le rythme était délirant, raconte-t-il. Surtout après la crise des subprimes en 2008. La recherche de rentabilité s'est accrue et les méthodes de travail ont changé. On a demandé aux analystes de moins réfléchir et d'appliquer plus mécaniquement les ratios. Par ailleurs, l'indépendance des analystes, pierre angulaire de la fonction, a été remise en question. Lors des comités de notation, il arrivait, contrairement aux règles en vigueur, que les seniors émettent un avis avant les juniors. Une manière de les influencer dans leur prise de parole à suivre et donc leur recommandation sur la notation. Les pressions pouvaient aussi prendre la forme d'un coup de fil, peu avant le comité. Ajoutez à cela des sous-effectifs importants, et vous avez les raisons de mon départ."

François Veverka, ancien responsable des activités européennes de rating chez Standard & Poor's : "Je n'ai jamais eu de mal à recruter des analystes. Ce n'est pas forcément prestigieux, mais il y a le glamour de l'influence. En rentrant à S&P, j'estimais qu'avoir des organismes spécialisés qui donnent des notes alors que les marchés se développent était une bonne chose et aujourd'hui je continue à penser que sans les agences de notation les marchés seraient beaucoup plus volatils. En fait c'est le marché de la notation qui a explosé, comme par exemple sur de nouveaux secteurs tels que les marchés structurés. Les agences ont eu du mal à suivre, en particulier sur la titrisation, et par conséquent ont pu rencontrer des difficultés à comprendre tous les risques. Mais ce sont les régulateurs qui ont fait la fortune des agences de notation en introduisant de plus en plus de références au ratings. Au départ, c'est un peu comme la presse, les agences donnent un avis sur la base d'une analyse. Libre aux marchés de le suivre ou pas. Le système est organisé pour préserver la notation. Les comités sont ad hoc et souverains, les rémunérations des analystes ne sont pas liées aux votes. Vous noterez par exemple qu'il n'y a pas de vedettes chez les analystes comme il peut y en avoir chez les brokers [courtiers en Bourse]."

Helen, ancienne de chez Moody's à New York, ne regrette pas son expérience : "Ça a été une très bonne expérience, j'ai appris beaucoup et j'ai contribué beaucoup ! Mais avec la crise des subprimes, les agences ont perdu en crédibilité, et l'année 2009 a été pour moi le bon moment pour partir. Le problème est plus la place qu'ont donné les régulateurs aux agences. Aujourd'hui je travaille de l'autre côté, c'est-à-dire sur les marchés. Je regarde les notes fournies par les agences, mais je ne les utilise pas toutes."

* A la demande des interlocuteurs, certains noms ont été modifiés.

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L'ambiance est tellement pourrie au USA qu'un candidat répulicain, Rick Perry, a menace Bernanke de le traduire en justice pour haute trahison - donc peine de mort - ... c'est dire la violence des conflit politique interne, ce qui n'arrange pas la résolution de la crise.

oui, c'est même pire que ça , les republicains veulent la tête d'OBAMA, a 15 MOIS DES ELECTIONS

ils ne léverons pas le petit doigt pour donner un coup de main à la résolution de la crise, quitte à faire plonger l'amerique dans un marasme pire encore...

DU JAMAIS VU......à la française quoi.... nous qui les pensions au de dessus de ça ....

PAUVRES de nous................ :O

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http://bercy.blog.lemonde.fr/2011/08/19/croissance-14-en-2012-selon-le-consensus-des-economistes/

La croissance de l'économie française pourrait être inférieure à + 1,4% en 2012 selon un consensus d'économistes interrogés par l'agence Reuters. Leur prévision, publiée vendredi 19 août, est en moyenne de + 1,37 %.

Le mois dernier, une précédente enquête de Reuters donnait un consensus de + 1,7 %.

Le gouvernement a, quant à lui, jusqu'à présent retenu une hypothèse de + 2,25 % pour construire le projet de budget 2012.

Mais l'annonce par l'Insee, la semaine dernière, que le produit intérieur brut (PIB) a enregistré une croissance nulle (0 %) au deuxième trimestre cette année, va le conduire à revoir cette hypothèse à la baisse.

Mesures budgétaires supplémentaires

C'est notamment pour cette raison que des mesures budgétaires supplémentaires vont être nécessaires afin de respecter la trajectoire de réduction du déficit public. Le gouvernement doit les dévoiler mercredi 24 août.

L'engagement français est de ramener le déficit public de 7 % du PIB fin 2010 à 5,7 % cette année, puis 4,6 % en 2012 et 3 % en 2013.

Or, 0,1 point de croissance en moins représente 1 milliard d'euros de recettes fiscales en moins qui entrent dans les caisses de l'Etat.

Si le gouvernement ramenait sa prévision de croissance à 1,4 % il lui faudrait trouver pas moins de 8 milliards d'euros de recettes nouvelles pour tenir l'objectif de diminution du déficit.

A noter toutefois que les recettes pourraient être un peu plus fortes que prévu du côté des cotisations sociales.

Hausse plus forte que prévu de la masse salariale

L'Acoss, qui centralise la collecte des cotisations sociales en France, a confirmé vendredi prévoir une croissance de 3,4 % de la masse salariale cette année.

Le gouvernement de son côté tablait jusqu'à présent sur une croissance moyenne de 3,2 %.

L'Acoss explique la hausse de la masse salariale par la progression du salaire moyen par tête au deuxième trimestre "moins modérée que prévu".

"La masse salariale a en outre été soutenue par une hausse de l'emploi salarié, certes modérée, mais relativement continue tout au long du premier semestre", ajoute l'Agence.

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Et ?

Avec les témoignages "d'anciens", il y a toujours la présomption qu'ils veulent régler des comptes.

Par ailleurs, dans les "témoignages" (vu que l'on fait le procès des agences de notation ...  :P), on peut remplacer les agences de notation par n'importe quelle grande entreprise voulant appliquer des méthodes de "management" (Apple, microsoft, starbuck, france telecom, société générale, ....), les témoignages seront les mêmes.

Faudrait arrêter de taper sur les agences de notation, ce ne sont pas elles qui ont créées une dette de 1700 milliards d'€ et un déficit de 80 à 150 milliards par an. Je ne parle même pas des US où l'on peut quasiment multiplier ces chiffres par 10 en dollars.

Quand va-t-on parler des vrais problèmes (caisses sociales) au lieu de faire des diversions sur les niches fiscales, la taxation des "riches", la taxation des échanges financiers ou les méchantes agences de notation ?

Quand va-t-on arrêter de tourner autour du pot avec des mesurettes et mettre sur la table la construction d'une vrai Europe (et pas seulement financière ou fiscale ... , celle des peuples, de la défense, ...) ?

Faut-il attendre d'avoir de vrais politiques (on peut attendre longtemps ...) ou d'être au fond du trou ?

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L'Euro pourrait survivre si une gouvernance économique de la zone se contentait seulement d’empêcher les excédents et par conséquent, les déficits commerciaux des pays membres entre eux. De façon automatique non technocratique. Pas besoin d'arbitraire, et sans recul de la democratie !

Les pays en excédents sur un autre pays de la zone devront acheter a ce pays pour équilibrer. Les Allemands pourraient très bien installer des fournisseurs en Grèce pour cela, on est censés être solidaire n'est ce pas ?

Quitte a avoir des délocalisations autant que ce soit dans notre zone. La dette a récemment explosé dans les pays de l'Euro qui ont creusé leur deficit commercial par rapport à l'Allemagne.

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