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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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rha la la... que de stress cette crise!

perso je dois avouer que j'ai un point de vue bien nombriliste là dedans, à savoir comment sauver mes miches (et celles de mes gosses et ma femme) au mieux.

pour l'instant j'ai adopté la stratégie de garder mes avoirs liquides (sur des comptes en banque). On n'a pas encore acheté de biens immo et on accumule. Ca me semblait le plus sur car l'immo est incertain en France, il peut baisser bientot, du coup du capital investi dans la pierre risque de prendre une baffe. Qui plus est, dans l'intervalle, il y a un prêt à rembourser... or si la situation se corse je peux perdre mon emploi... D'où ma rétience à la pierre. Maintenant dans un cas où la monnaie prend une pire claque, il me semble que la pierre serait plus sûre... même si elle prend aussi une claque entre temps...

qu'en dites vous ?  :P

devant l'enthousiasme généré par mon post, j'ai créé ce topic

Comment laisser le moins de plume dans la crise financière?

http://www.air-defense.net/forum/index.php?topic=16704.0

si ça intéresse qq'un...

++

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Pascal à 11 111 message... bonne chance pour rattraper g4LLY

mais c'est pas le sujet.

merci pour l'explication des provision de dette. Je ne connaissais pas ce mécanisme.

prend pas une corde mais un élastique comme ça ils atteindrons le plafond de la gloire  :lol:

et heu encore une question:

pourquoi est-ce si dur de faire une loi qui pour tout prêt sur un territoire donné force un pro-visionnement à un % donné?  (je vais pas donner de chiffres, je serais sur de me planter ^ ^)

Je crois que ca existe deja. Dans la zone euro c'est 2% deposé a la BCE. 

Et en 2008 les banques n'arrivaient meme plus a reconstituer cette minuscule reserve.

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Moi je ne ferais pas plus confiance à un Etat fort pour nous protéger, car qui dit Etat fort dit abus de pouvoir, tôt ou tard! Que l'Etat s'occupe de ses taches régaliennes (Justice, Armée, Police, Affaires Etrangères, Enseignement), et de l'impôt pour adoucir les inégalités, et qu'il foute la paix au monde économique. N'oublions pas que la crise des subprimes vient d'une initiative de l'Etat us qui a incité les banques à prêter à des gens insolvables, pour des raisons politiques.

L'Etat français n'est pas responsable des subprimes et pourtant estime toi heureux qu'il ait la puissance pour sauver les banques en 2008. Dans ces cas là on lui demande pas de fiche la paix aux banques !

L'Etat fait des erreurs mais on peut pas le condamner definitivement pour ça. D'ailleurs ses erreurs c'est de donner le privilege aux banques de prêter sans limite le voila l'abus.

Je crois pas que ce soit l'Etat qui ait obligé les banques a cacher leurs creances pourries a trafiquer leurs bilans pour continuer a preter n'importe comment.

Je dirait plutôt fichons la paix à l'economie réelle arretons de lui faire payer les pots cassés par la finance.

Tu preferes que ce soit un Etat democratique qui crée la monnaie pour faire des écoles et des hôpitaux ou bien des banques qui ne pensent qu'au profit quitte a faire des licenciements boursiers des speculations sur le blé ou autres produits de premiere necessité ?

La lutte entre l'economie financiere et l'economie réelle est la forme actuelle de la lutte entre le capital et le travail. L'Etat se trouve entre les deux et n'est ni bon ni mauvais, il penche vers l'un ou l'autre selon les pressions qu'il subit.

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Sur les dettes en Europe.

baisse des taux [des obligations], et taux de change unique ,  autorisés par la monnaie unique invitent- rationnellement lorsque l’on est déjà pas très bon - à ne pas s’améliorer, et à seulement s’enivrer   d’une « monnaie de réserve à l’américaine » : Grèce, Portugal, Espagne, mais aussi la France sont amenés – par le marché- à faire des choix délaissant plutôt l’industrie (il devient impossible comme naguère de se protéger par une dévaluation) et privilégiant plutôt l’immobilier (faiblesse des taux avec forte incitation bancaire attisée par les vertus de la planche à billets), et les services , notamment la Grande Distribution, grande bénéficiaire de la monnaie unique et de la mondialisation, et faiseuse du miracle/mirage d’une consommation populaire rapidement croissante. Un grec muni d’euros devient ainsi, l’équivalent d’un américain muni de dollars. De quoi implanter cet importateur pur qu’est Wall-Mart à Athènes.

Source: http://www.lacrisedesannees2010.com/article-colloque-assemblee-nationale-14-septembre-2011-83935438-comments.html

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Je crois que je vais bannir Akhi 10 secondes pour la peine  :happy:

Chiche ;)

j'accepte même plus =)

j'assume ma gueulante pour la bonne et simple raison que j'ai la vague impression (tout en étant je pense bon citoyen, payant une bonne dose d'impots, probablement plus que 80 %- 90 %  des français,  sans niche fiscal donc plein pot, faisant mon travail correctement sans arnaquer l'etat sur mes heures voire plutot l'inverse) que je vais me faire enfler incessamment sous peu

Désolé si ca sonne individualiste mais j'ai moyen envie de payer pour les erreurs/errements/choix des autres

Payer des impots ce devrait etre rendre à l'etat ce qu'il donne via ses fonctions régaliennes et soci-educativo-médicales

Pas donner à l'état pour qu'il refile à des institutions privées à vocation trèèès lucratives

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Les BRICS proposent de venir au secours de l'Europe :lol:

brasilia - Les grands pays émergents du Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) discuteront la semaine prochaine de la possibilité de venir en aide à l'Union européenne engluée dans la crise de la dette, a indiqué mardi le ministre brésilien des Finances Guido Mantega.

Les Brics se réuniront la semaine prochaine à Washington et nous allons discuter pour savoir comment aider l'Union européenne à sortir de cette situation, a dit M. Mantega à la presse sans donner plus de détails.

Le ministre brésilien se rend la semaine prochaine à Washington pour participer à la réunion du Fonds monétaire international (FMI), a précisé à l'AFP une porte-parole du ministère des Finances. Une réunion des Brics est prévue le 22 septembre.

Les grands pays émergents tenteront de préparer une action conjointe pour aider l'économie mondiale et la stabilisation des marchés, a indiqué mardi le quotidien économique Valor sans citer de sources dans un article daté de Bâle (Suisse) où se réunissent actuellement les présidents des banques centrales des émergents.

Valor affirme que l'une des idées étudiées serait d'augmenter les réserves internationales des pays émergents en titres libellés en euros. Mais ces acquisitions seraient limitées aux titres des pays les plus solides comme l'Allemagne ou la Grande-Bretagne, selon le quotidien économique.

Nous allons attendre la suite des événements en Europe, a déclaré une autorité monétaire, non identifiée, à Valor.

Pour le moment il n'y a pas de décision sur l'achat de titres européens, a précisé cette source.

La perspective d'une faillite de la Grèce affole les marchés dans le monde entier et fait vaciller la zone euro, atteignant par ricochet les économies des grands pays émergents.

(©AFP / 13 septembre 2011 18h05)

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Source France 24:

Pourquoi la Chine n'a pas intérêt à ce que la zone euro s'effondre.

La rumeur avait contribué à calmer quelque peu les marchés financiers européens. Dans son édition du 13 septembre, le quotidien économique Financial Times affirmait que l’Italie avait demandé à la Chine de lui prêter de l’argent et d'investir dans son économie plombée par la dette. Le lendemain, Giulio Tremonti, le ministre italien des Finances, confirmait bien avoir rencontré une délégation chinoise la semaine précédente. Sans toutefois préciser la teneur des discussions. (...)

Besoin d’une Europe forte

"La diabolisation de la Chine a toujours été très exagérée", juge Marie-Françoise Renard, directrice de l’Institut de recherche sur l’économie chinoise (Idrec), interrogée par France24.com. "Elle n’a pas une approche agressive mais plutôt responsable et pragmatique à l’égard de la zone euro, se déclarant même plusieurs fois prête à l’aider en cas de problème", surenchérit Thomas Vendryès, chercheur en économie et collaborateur à l’ouvrage "Le système financier chinois à l’aube du XXIe siècle" (éd. Vuibert, 2006).

Pour ces économistes, il ne faut pas se méprendre sur les ambitions chinoises. "Il n’y a pas d’agenda caché et de désir de coloniser l’Europe, Pékin agira avant tout en fonction de ses propres intérêts", assure Marie-Françoise Renard. Actuellement, l’ex-empire du Milieu a besoin d’une Europe forte. "L’Union européenne est le premier marché d’exportations pour la Chine, devant les États-Unis, et l’industrie chinoise serait touchée par un effondrement de la demande européenne", explique à France24.com Françoise Lemoine, spécialiste de l’économie chinoise au Centre d’études prospectives et d’informations internationales (Cepii).

Pékin n’a aucune envie de revivre une crise comme en 2008. "À l’époque, la chute de la demande mondiale avait entraîné la perte de millions d’emplois dans les entreprises exportatrices", rappelle Thomas Vendryès.

Bonnes affaires

Une dépendance qui n’est pas seulement liée au commerce. La Chine a déjà acheté de la dette grecque, portugaise, espagnole, irlandaise. La stabilité de la zone euro lui tient donc à cœur. "On ne connaît pas précisément la composition des réserves de la Chine, mais on estime qu’elle détient environ 700 milliards d’euros, soit 10 % de la dette européenne", confirme Françoise Lemoine.

Cela ne signifie pas pour autant que Pékin va se priver de faire de bonnes affaires. "La Chine se place actuellement en Europe, ses investissements directs en Europe sont encore très faibles et elle compte les augmenter", confirme Marie-Françoise Renard. En 2009 et 2010, elle avait déjà investi dans le port du Pirée en Grèce. Les autorités chinoises se tournent maintenant vers l’Italie. Selon François Lemoine, elles ont envoyé il y a deux semaines des représentants de son principal fonds pour les investissements à l’étranger, la China Investment Corporation, à Rome pour étudier les possibilités de placer de l’argent dans les entreprises publiques italiennes.

Cette main tendue en direction du Vieux Continent est également une opération de communication. En se présentant comme un recours potentiel "la Chine conforte aux yeux du monde son statut de puissance mondiale de premier plan et pas seulement au niveau économique", estime Marie-Françoise Renard. Une manière de rappeler à l’Europe qu’il n’y a pas que les États-Unis qui comptent.

Voilà voilà...  ;)

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La Grèce n'a donc pas intérêt à sortir de l'euro?:

Atlantico: Peut-on imaginer que la Grèce soit exclue de la zone Euro ?

Pierre-Cyrille Hautcoeur : Cela me parait quasiment impossible. Sortir de l'Euro impliquerait de convertir toutes les dettes et actifs financiers « grecs » dans une nouvelle monnaie. On peut supposer que le gouvernement grec puisse convertir les créances et les dettes entre résidents grecs dans une nouvelle Drachme sans qu'il y ait trop de protestations. En revanche, pour ce qui est des créances et des dettes envers les non-résidents, il y aura des conflits infinis pour savoir si elles doivent être transformées en Drachmes ou maintenues en Euros. Puisque cela représente à peu près 200% du PIB de la Grèce, les enjeux sont énormes et les conflits potentiels considérables. Cela devrait suffire à rendre impossible l'opération : la sortie de l’euro conduirait sans doute à une dépréciation considérable de la nouvelle Drachme, ce qui ruinerait les gens ayant des créances dans cette monnaie et enrichirait ceux qui ont des créances en Euros (et inversement pour les débiteurs).

S'il souhaite une sortie de l'Euro efficace, le gouvernement grec devrait ainsi convertir en Drachmes les dettes envers l’étranger (de manière à les voir se réduire). Les agents étrangers s’y opposeraient car ils préfèreraient que leurs créances restent en Euros, et souhaiteraient plutôt (comme les Grecs) que leurs dettes soient converties en Drachmes. Au lieu d’avoir comme aujourd’hui un conflit entre débiteurs et créanciers réduit à la seule dette publique grecque (déjà énorme) ce serait donc la totalité de la dette privée grecque vis-à-vis du reste du monde qui poserait des problèmes.

Or un nombre incalculable d’agents privés issus de tous les pays européens prêtent à des agents économiques grecs à travers le commerce, le tourisme ou les banques. Tous ces montants-là deviendraient donc effroyablement incertains. Il y aurait des paniques en termes de liquidité : les banques verraient fuir leurs déposants ainsi que leurs correspondants et pourraient être fortement affectées. Bref, ce que l’on connait actuellement serait multiplié par trois en termes de complexité, voire de montants, et provoquerait un tel tourbillon que toutes les incertitudes actuelles apparaîtraient en comparaison comme une aimable plaisanterie.

Qui pourrait avoir intérêt à voir la Grèce sortir de la zone euro ?

Ce ne serait l’intérêt ni du gouvernement grec, ni des créanciers de la Grèce, ni de qui que ce soit. Dans le cas d’un scenario catastrophe où tout s’effondre, il y aurait à coup sûr des conséquences économiques graves en Grèce. Mais aussi ailleurs, avec sans doute des conséquences sociales et politiques dramatiques.

Je pense qu’un certain nombre de personnes n’ont pas cru à son origine dans la création d’une union monétaire et pensent que c’est le moment de montrer qu’ils avaient raison. Ils s’appuient sur une macroéconomie purement non-financière pour expliquer que la sortie de la Grèce de la zone euro serait une solution. En effet, depuis Keynes, on sait qu’il est moins coûteux pour procéder à un ajustement de la compétitivité d’un pays ( baisser ses prix réels par rapport à ceux du reste du monde) de dévaluer que de faire baisser les prix et les salaires nominaux. En négligeant les effets financiers, les apôtres d’un tel ajustement négligent le problème essentiel de la transition.

La seule cassure possible dans l’union monétaire européenne correspondrait à la sortie d’un pays excédentaire. Mais si un pays excédentaire sort (surtout si c’est un gros pays) cela se déroulera de manière plus douce. Dans ces cas-là, il y a peu de chances pour que tout le monde anticipe un effondrement du taux de change entre ce gros pays et l’ensemble de l’Union. Reste que je vois mal comment l’Allemagne, qui est le seul pays à pouvoir faire cela, puisse souhaiter le faire, tant son économie dépend de celle de la zone euro, et tant son rôle politique dans l’Union en souffrirait. Il est préférable pour elle de prêter davantage, de relancer sa propre économie pour tirer les autres vers le haut, et d’exiger des contreparties politiques des pays européens périphériques.

Existe-t-il des précédents historiques d’une sortie remarquée d’une union monétaire quelconque ?

Il y a des précédents mais avec des circonstances différentes. L’origine se trouve en général, non dans une crise économique et financière, mais dans une rupture politique. La destruction de l’URSS a conduit à l’émergence d’un certain nombre de pays indépendants qui ont chacun adopté leur monnaie. Il faut dire que dans des économies dirigées, les interdépendances financières sont limitées.

L’empire Austro-Hongrois qui, à la fin de la première guerre mondiale, a éclaté en morceaux constitue un meilleur exemple, dans la mesure où il s’agissait d’une économie libérale et financiarisée. L’ensemble des dettes qui existaient entre les membres de cet empire se sont maintenues mais il est probable que cette rupture n’ait pas été sans influence sur les épisodes d’hyperinflation qui ont eu lieu vers 1923-1924 dans toute cette région (même si la cause principale a été la guerre et son cortège de dettes). Il est donc difficile de souhaiter imiter cet exemple.

Pierre-Cyrille Hautcoeur est directeur d’études à l’EHESS et professeur associé à l’Ecole d’économie de Paris.

Spécialiste de l'histoire des crises économiques, il est l'auteur de La crise de 1929 (La Découverte, 2009).

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euh ..................................tout est dit là, non ????????????

Trimix, pas la peine de me citer PARTIELLEMENT (et donc partialement ...) je n'ai jamais dis que BNP @ 25€ ce n'était pas possible ; j'avais adossé cela à une baisse plus conséquente du CAC, qui a eu lieu, mais début Août, on était encore à 35% de cet objectif valeur et il s'est passé pas mal de chose depuis. En fait, politiquement, il ne s'est strictement rien passé ...  :P  :-[

j'assume ma gueulante pour la bonne et simple raison que j'ai la vague impression (tout en étant je pense bon citoyen, payant une bonne dose d'impots, probablement plus que 80 %- 90 %  des français,  sans niche fiscal donc plein pot, faisant mon travail correctement sans arnaquer l'etat sur mes heures voire plutot l'inverse) que je vais me faire enfler incessamment sous peu

Note : Akhi était au Crédit Lyonnais, se faire enfler, il connait ...  :lol:

Sur les niches fiscales, ça arrive vite. Si tu as des enfants, tu bénéficies de la plus grande niche fiscale française  ;)

Sans compter les 10% d’abattement si tu n'es pas aux frais réels.

Si tu paies plus que 80% (- 90%  :O) des français, même sans bénéficier de niches (hors les deux classiques pré-citées), tu dois donc être imposé entre 30 à 50% en taux marginal (au-delà, niche ...), donc t'es riche  =D

On va donc t'imposer plus pour gagner plus  :rolleyes:, enfin rembourser la dette ...

Désolé si ca sonne individualiste mais j'ai moyen envie de payer pour les erreurs/errements/choix des autres

Payer des impots ce devrait etre rendre à l'etat ce qu'il donne via ses fonctions régaliennes et soci-educativo-médicales

Pas donner à l'état pour qu'il refile à des institutions privées à vocation trèèès lucratives

Honnêtement, au vue de la gabégie des finances publiques d'ordinaire, ça ne va pas changer énormément. Comme si d'ordinaire payer pour les réceptions de l'ambassadeur ou la hausse de 250% du salaire du chef de l'état alors qu'il a sous-performé durant 4 ans (tel un vrai chef d'entreprise privé s'augmentant même pendant la crise ...) était "normal" ou "acceptable", surtout que dans le même temps il plaide pour la prime au mérite, la politique du chiffre, etc ...

On paiera bien un jour la dette que le pays a accumulé. On va bouffer des patates à l'eau pendant un moment ...  :-[

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Concernant la crise grec, selon moi c’est un problème quasiment insoluble pour la simple est bonne raison que pour que la situation grec se redresse il faudrait injecter de l'argent a profusion pendant plusieurs années (10 ans environ) et exiger en même temps que l'état grec prenne des mesures drastiques concernant les dépenses de l'état. Sauf que dans tout ça il y a un "tout" petit souci c'est que nous sommes incapable de financer cela aussi longtemps vu la situation économique des autres pays de l'union européenne. Et puis il faudrait faire ça dans le cadre d'une vision à long terme ce qui n'est pas du tout la mode depuis quelques décennies.

Ciao ciao

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Le problème c'est que si la Grèce veut emprunter en ce moment pour relancer son économie (donc relancer la croissance) elle va emprunter à des taux exorbitant ce qui va encore plus la précipité au fond du gouffre. C'est pas non plus une solution viable. D'autant plus que si les mesures que tu prends ne marche pas (on peut jamais etre sur que ca aura l'effet désiré), la tu met la clef sous la porte définitivement et bye bye la grèce et beaucoup d'autre pays qui s'effondreront avec....

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La Grèce le problème c'est que personne ne paient ses impôts.

Plutôt que de faire des plans d'austérité à la noix, qui plombent touts le monde ils auraient dû commencer par faire payer les impôts aux grecques.

Ils choppaient quelques contrevenant et les envoyaient en taule avec de super amendes pour l'exemple (quitte à les faire sortir à la fin de la crise), avec diffusion dans tous les médias plus les politiques qui montent ça en épingle, puis ils envoient des lettres à tous les gens juger suspects et c'est la panique général et tous le monde régularise...

Le problème est là, on prêté à l'état grecque seulement il n'arrive pas à faire rentrer d'argent d'un autre coté !

Un petit coup pareil pour la France je suis sûr que ce ne serait pas mauvais.

Bon bien sûr il faut en parler aux partenaires européens, sinon les plus malins/salauds vont vite partir ailleurs.

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La Grèce le problème c'est que personne ne paient ses impôts.

Le problème de la Grèce c'est qu'elle n'a pas d'économie hors du tourisme.

Un petit coup pareil pour la France je suis sûr que ce ne serait pas mauvais.

La France est un (le ?) des pays au monde qui fait le mieux rentrer ses impôts. 1000 ans de savoir faire dans ce domaine.  ^-^

Le problème de la France ce sont les niches fiscales, l'insécurité juridique fiscale, et les lobbys complètement fumés qui veulent le beurre, l'argent du beurre et les actions de la crèmerie en maintenant un niveau de prélèvement fiscal élevé sur les classes moyennes et, relativement, faible sur les catégories supérieures.

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Note : Akhi était au Crédit Lyonnais, se faire enfler, il connait ...  cheesy

Tout à fait  :lol:

Sans compter les 10% d’abattement si tu n'es pas aux frais réels.

c'est considéré comme une niche fiscale  ??

Y'a qu'a faire sauter  :lol:

Si tu as des enfants, tu bénéficies de la plus grande niche fiscale française  Wink

J'en ai pas

De toute façon ca coute plus cher que ce que ca rapporte (sauf à vendre les reins, le foie et la cornée) O0

Si tu paies plus que 80%

la tranche des 80-90% c'est 15-20% si je ne m'abuse. Moi c'est 15% et ca me suffit

pour rappel qui montre que la situation economique des foyers français est pas géniale :

45% de non imposables

80% des foyers qui déclarent moins de 25 000 euros par an

90% moins de 35 000 par ans

à 35 000 pour un foyer j'appelle pas ca être riche sur 2 salaires par exemple

or c'est 90% de la population française qui touche ca ou plutot moins

http://france-inflation.com/revenu_moy03.php

c'etait l'instant remise en perspective de l'economie de notre beau pays

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La Grèce n'a donc pas intérêt à sortir de l'euro?:

C'est difficile à considérer, en tout cas c'est dangereux, après son intérêt immédiat c'est de se mettre en défaut et de rincer ses créanciers.

L'étape 1 sera une restructuration de sa dette, et une réduction de celle-ci (donc une perte pour les créanciers) entre 20 et 50%

Le problème de la Grèce c'est qu'elle n'a pas d'économie hors du tourisme.

Ses armateurs sont parmi les plus importants au monde, le patrimoine de l'église est considérable, c'est un peu plus qu'un musée la Grèce il y a des choses à faire.

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en réalité , je pense qu'il faut maintenant dépasser la crise financière pour aborder le Coeur du sujet !

refonder notre pays sur des valeurs. on voit que la finance à joué et finalement perdu beaucoup sur sa propre implosion. en réalité la plupart des Français regardent çà avec incrédulité !

cette assise européenne qui devait nous consolidé était un montage bidon ou des pays comme la Grèce ou d'autres était à la merci des banques ! l'euro idem !

la prévision d'abandon de remboursement de la dette Grec n'est plus qu'un question de présentation...les banques Françaises , la France seront directement impactés par cette connerie d'Europe des marchés. 2 banques sont marquées à la culotte par les agences de notation !

le plan de sauvetage de la Grèce était tout aussi bidon , notre cher Président nous ment car la soit disant union sacré n'est que sur le papier ! plusieurs pays ne vont pas participer à renflouer la Grèce et ils prennent bien leur temps.

donc maintenant, il faudrait prendre une décision Française à défaut d'Européenne. et cette décision et de refonder les monnaies sur la réalité des économies et des pays ! personnellement de donner l'Euro à un pays faible était une bêtise monumentale. comme confier un airbus à un pilote de planeur..sans formation , sans contrainte préalable..

ce qui doit préoccuper la France c'est son économie ! car sinon à vouloir être dans les critères bidons de l'europe de 2013 , 2017,2033 etc on n'existera plus que comme immense tas de ruine !

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Ce qu'il faut c'est passer à une étape supérieure de la construction européenne.

_Réunir les pays éligibles à la zone EUR (ce qui implique de mettre à l'écart les autres ou ceux qui ne sont pas encore éligibles) selon des critères stricts.

_Y instaurer une banque centrale commune avec des moyens propres voire la capacité d'émettre ses propres obligations,.

_Instituer un embryon de gouvernement économique.

_Dont la première tache sera de lancer l'harmonisation fiscale et réglementaire indispensable à une politique économique commune.

_La définition de budgets européens communs comme la défense, l'énergie et autres secteurs stratégiques pour un ensemble naissant, le but étant la rationalisation des dépenses à l'échelle de l'ensemble, les gisements d'économies sont nombreux.

_Bien sur, inutile de se voiler la face, cela conduit à une sorte dé fédéralisme, mais nous n'avons plus le temps de faire plus original.

Mais pour celà il faut du courage et du bon sens, deux qualités rares parmi la classe politique européenne.

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faut pas se formaliser, cette phrase ne reflete aucunement une tendance politique lourde (sinon je ne serais pas sur ce forum mais plutot sur anar.com)

Juste une exaspération devant le cynisme des hauts dirigeants (pardon rendons à Cesar ........ de certains hauts dirigeants de banques et organismes financiers qu'ils soient européens ou américains)

J'avais bien compris, ne t'inquiete pas.

Sarkozy avait parle de moraliser le capitalisme, ca, je suis d'accord. Mais si les politiques ne veulent ou ne peuvent pas le faire, il  faudras bien le faire par d'autre moyens.

Ce qu'il faut c'est passer à une étape supérieure de la construction européenne.

Mais pour celà il faut du courage et du bon sens, deux qualités rares parmi la classe politique européenne.

Si on prend un poil plus de recul, on peut se dire qu'il en faut plus, et si ca n'est pas possible, il en faudras moins.

Mais surtout, il faut des decisions politiques et ca, c'est bien le probleme.

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les Français sont opposés au Fédéralisme et préfère le système de Nations d'Europe.c'était le but du vote autour du traité européen auquel les Français ont dit "NON".

sinon, le son de cloche France / Allemagne n'est pas le même qu'a l'institution européenne où les langues se délient !

http://www.20minutes.fr/ledirect/787018/grece-risque-contagion-enorme-selon-commission-europeenne

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