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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Pour moi c'est un tigre de papier. Car les fondations de l'économie chinoise sont fragilent.

Elle a grandi trop vite, une fuite en avant. Une masse énorme de travailleurs exploité, pollution, corruption...

Problème d'eau, de population (âgée)...

Plus le futur changement de la direction du Parti Communiste.

Donc un beau bordel

Pour moi c'est le contraire.  L'économie chinoise bénéficie d'une armée de réserve inépuisable en nombre et corvéable à merci.  Les mêmes différences de coûts qui existent entre la Chine et ses clients existent au sein même de la Chine, ce qui crée une pression constante sur la masse salariée.

La Chine aujourd'hui c'est l'alliance " parfaite" de la dictature communiste et du libéralisme économique le plus sauvage.  la seule ombre au tableau que je vois c'est le problème démographique.  Sinon c'est parti pour durer un bon moment.

_________________________________________________________

je change de sujet et demande leur avis aux spécialistes du forum sur une question que je me pose depuis un moment:

la crise financière  des Etats européens aujourd'hui et la défiance des agences de notations viennent principalement de la méfiance sur la solvabilité des Etats.  Dans ce cas pourquoi ne pas revenir à un système où la BCE prêterait directement aux Etats au même taux auquel elle prête aux banques ? 

En fait pourquoi la BCE prête t-elle aux banques à 1% qui elles prêtent aux Etats à des taux quasi usuriers ?  C'est juste totalement hallucinant comme système et surtout de voir que tout le monde semble ignorer ce tour de passe-passe....

A mon avis le simple fait de permettre à la BCE de financer directement les Etats couperait l'herbe sous le pied des spéculateur en même temps de résoudre le problème de la dette..

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Il est sur que la Chine est dans une position fragile. Sa population est surexploitée, ses élites corrompues, une économie basée sur l’exportation alors le Monde est en crise, …

Par contre, on ne sait pas à quelle date il va y avoir des problèmes. Ce gouvernement dispose d’une bonne capacité d’intimidation…

Donc 2012,je ne suis pas sur que cela soit une date précise.

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Pour moi c'est le contraire.  L'économie chinoise bénéficie d'une armée de réserve inépuisable en nombre et corvéable à merci.   Les mêmes différences de coûts qui existent entre la Chine et ses clients existent au sein même de la Chine, ce qui crée une pression constante sur la masse salariée.

La Chine aujourd'hui c'est l'alliance " parfaite" de la dictature communiste et du libéralisme économique le plus sauvage.   la seule ombre au tableau que je vois c'est le problème démographique.  Sinon c'est parti pour durer un bon moment.

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je change de sujet et demande leur avis aux spécialistes du forum sur une question que je me pose depuis un moment:

la crise financière  des Etats européens aujourd'hui et la défiance des agences de notations viennent principalement de la méfiance sur la solvabilité des Etats.  Dans ce cas pourquoi ne pas revenir à un système où la BCE prêterait directement aux Etats au même taux auquel elle prête aux banques ?   

En fait pourquoi la BCE prête t-elle aux banques à 1% qui elles prêtent aux Etats à des taux quasi usuriers ?  C'est juste totalement hallucinant comme système et surtout de voir que tout le monde semble ignorer ce tour de passe-passe....

A mon avis le simple fait de permettre à la BCE de financer directement les Etats couperait l'herbe sous le pied des spéculateur en même temps de résoudre le problème de la dette..

ok mais si" les réserve inépuisable en nombre et corvéable à merci" se rebellent c'est la m....

Pour la BCE : réponse c'est à cause de Angela Merckel

Elle ne veut pas !!!  elle a peur d'une inflation galopante (souvenir douloureux)

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En fait pourquoi la BCE prête t-elle aux banques à 1% qui elles prêtent aux Etats à des taux quasi usuriers ?  C'est juste totalement hallucinant comme système et surtout de voir que tout le monde semble ignorer ce tour de passe-passe...

Personne ne l'ignore c'est d'ailleurs ce qu'il s'est passé hier. Les banques "privés" sont allé se refinancer gratos a la BCE sur 3 ans ... et vont repretté ce meme pognon a la BCE ou autre FESF MSF bidule machin, cher pour financer les états.

Sauf que c'est un échange de bon procédé, les états ayant quasiment imposé aux banques de financer les états européen y a quelques année et encore aujourd'hui, a fond perdu ou presque.

En gros c'est je te tiens tu me tiens par la barbichette, et surtout que personne ne pouffe de rire sinon on perd gros tous les deux...

A mon avis le simple fait de permettre à la BCE de financer directement les Etats couperait l'herbe sous le pied des spéculateur en même temps de résoudre le problème de la dette.

Le petit souci c'est qu'on a passer 35 ans a expliquer que c'était mal absolu, que c'était le diable, que ca aller mener a une nouvelle guerre mondiale ... Pire on est incapable aujourd'hui d'imposer au états des contre partie effective a ce financement. Dans les autre pays l'éxécutif qui va produire de la monnaie a la banque centrale est le meme qui met en oeuvre la politique économique, budgétaire, ET monnétaire du pays. En Europe non ... en gros ca risque de se transformer en tonneau des danaides, la BCE financant sans fin des gouvernement toujours autant négligeant sur la cohérence de leur politique économique, budgétaire et indirectement monétaire, dilluant donc toute responsabilité sur le dos de l'autre. C'est pas ma faute c'est la faute au allemand. C'est pas ma faute c'est la faute a la BCE, c'est pas ma faute c'est la faute a vos gouvernement corrompu ... etc.

L'Eurozone et l'UE en général est mal né ... on a voulu transformer par un coup de baguette magique une communauté économique , en une Communauté politique, monétaire, budgétaire, sociale, et encore tout un tas de truc. Il se trouve que ca ne marche pas comme ca... et que si ca ressemble vaguement a quelques chose quand il y a de la richesse et de la croissance a revendre, ca ne ressemble plus a rien des qu'il faut compter les euros.

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Personne ne l'ignore c'est d'ailleurs ce qu'il s'est passé hier. Les banques "privés" sont allé se refinancer gratos a la BCE sur 3 ans ... et vont repretté ce meme pognon a la BCE ou autre FESF MSF bidule machin, cher pour financer les états.

ou le placer sur les marchés.
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Billet de J.J. Rosa du 20 décembre:

In May this year I send a copy of my recent book “L’euro: comment s’en débarrasser” to Martin Feldstein, as soon as it was published. In it I showed how the “Eichengreen sophism”, the claim that it was impossible for a country to exit from the Euro system because it would lead to a major depreciation of the newly re-created national currency, and thus to a catastrophic increase of the burden of previously issued euro-denominated debts, could be bypassed.

A depreciation of the euro exchange rate to the dollar (or the yuan) preceding the re-creation of a national currency (a euro exit) would make a major depreciation of the new currency, a new Franc for instance, unnecessary. Accordingly, no increase in the Franc value of the euro denominated debts would be entailed by a euro exit, and the “Eichengreen burden” would vanish.

Now Martin Feldstein, who previously advocated a temporary sabbatical for Greece from the euro, in order for that country to regain some external competitiveness, only to return to the fold of the euro system later on, advocates another type of solution in an FT op-ed titled “A weak euro is the way forward” (December 19, 2011). Basically he reproduces the analysis that I develop in my book. Looking for “the action that can shrink the current deficits of Italy, Spain and France without austerity, internal devaluations, or German expansionary policies” he finds a solution “in a lower value of the euro leading to an improved trade balance with countries outside the eurozone”. “Declines of the euro’s trade-weignted value will cause the exports of all eurozone countries to rise and the imports from outside the region to decline.”

How far should such a decline proceed?

“It is not clear how much further the euro would have to fall to eliminate existing current account deficits but it might take a trade-weighted decline of 20 per cent or more. That could imply a euro-dollar exchange rate below its initial value of $1.18 per euro.”

In my book I explain that a return to that parity would be necessary and that a return to the 2001 value of $0.85 would be even better, considering that the annual average growth rate of the eurozone at that time was a solid 4 per cent.

Is that target unrealistic? I do not think so. The euro lost about 25 per cent of its value between 1999, when it was introduced, and its lower bound of 2001. What is required today, after its 12 per cent decline since the beginning of 2010, is a further decline from $1.30 to $1.00 for instance (a 23 per cent decline) or even better to $0.85 (a 34 per cent decline).

How to obtain such a decline of the euro? My argument is that beyond money creation by the ECB, which the German government opposes, the growing doubts about the euro’s future effectively work to weaken the European currency’s value. And the further the delay in finding a solution to the current crisis, the greater will be the fall in value of the euro. Feldstein also cryptically notes that: “the recent momentum alone might cause that to happen.”

In conclusion, it is a pleasure that such a distinguished colleague finally comes to the same analysis that I proposed a few months ago. Of course it would have been more rewarding had he quoted my work and recognized that I originally suggested such a solution. But I trust knowledgeable readers in the blogosphere to make the necessary attribution, even in the American-centered world of professional economists.

http://www.jjrosa.blogspot.com/2011/12/feldstein-now-endorses-my-euro-policy.html

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Ca galope vite un troupeau d'indien?  :lol:

Je suppose que tu voulais evoquer une natalite ou une demographie galopante  ;)

Oui exact. On s'est compris.  ;)

Autant la Chine aura une baisse de sa population dans les prochaines années, autant l'Inde n'a aucune perspective ni politique de baisse de la natalité.

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A propos d'un gouvernement économique mondiale:

Le blog philosophique Nicomaque publie une réponse de D. Theillier à un document du Conseil Pontifical Justice et Paix prônant la mise en place d'une gouvernence économique mondiale. Voici un extrait:

Faut-il une banque centrale mondiale ?

L’école autrichienne d’économie est l’une des rares écoles de pensée à avoir mis l’accent sur le rôle perturbateur des banques centrales. Ce sont des institutions monopolistiques, créées pour planifier le système monétaire. Selon Mises et Hayek, les banques centrales sont responsables du cycle d’expansion-récession par l’inflation de la masse monétaire. En fournissant du crédit facile, à des taux maintenus artificiellement bas, les banques centrales favorisent les bulles spéculatives et les mauvais investissements. Durant la phase de récession, les sociétés qui avaient réalisé de mauvais investissements, à condition qu’elles soient suffisamment puissantes, demandent au gouvernement d’utiliser son monopole sur la monnaie pour leur venir en aide. C’est le cas notamment des banques.

Dans cette perspective, ce n’est pas la déréglementation, mais bien la réglementation financière et la manipulation de la masse monétaire par la Réserve fédérale américaine qui est à l’origine du krach de 2008. Au cours de la dernière décennie, la Fed a multiplié les baisses des taux d'intérêt pour conjurer le ralentissement de 2000-2002, après l’éclatement de la bulle technologique et les attentats du 11 septembre.

Thomas Woods le déplore : « on nous a assuré que les économistes les meilleurs et les plus brillants dirigeaient la Fed. Ce sont des gens qui nous ont dit que la hausse des prix des logements était adossée à des fondamentaux solides. Alan Greenspan a dit aux gens d’acheter à taux variables. Ben Bernanke a déclaré en 2006 que les normes en matière de prêts étaient saines. Et ainsi de suite… Chaque fois que la hausse des taux pouvait décourager la folle spéculation immobilière, la Fed a maintenu des taux faibles. En d’autres termes, lorsque le marché essayait d’allumer les feux rouges, la Fed les mettait tous au vert ».

Dès lors, vouloir créer une banque centrale mondiale est à peu près aussi naïf que les objectifs de ceux qui ont favorisé la création de la Fed parce qu’ils s’imaginaient qu’elle pourrait contrôler l’expansion du crédit dans le système bancaire. « En fait, c’est pire que cela, selon Jeffrey Tucker du Mises Institute, car nous avons eu un siècle d’expérience pour savoir que la banque centrale ne conduit pas à la responsabilité, aux flux de crédit réglementés et à une monnaie saine, mais précisément au contraire. C’est comme un médecin qui recommanderait un poison pour soigner l’empoisonnement, qui administrerait de l’héroïne pour arrêter une addiction à la cocaïne ».

Si la centralisation de l’argent, du crédit et de l’autorité politique est la cause de ce problème, comment une centralisation supérieure pourra-t-elle le régler ? N’est-ce pas plutôt de subsidiarité dont nous aurions besoin ? Au lieu de donner toujours plus de pouvoir à de nouvelles élites mondialisées, ne devrions-nous pas rendre ce pouvoir à la société, à l’échelon local ?

Pour l'ensemble de la démonstration, voici le lien:

http://nicomaque.blogspot.com/2011/12/t-on-besoin-dun-gouvernement-mondial-de.html?m=1

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Attention, les indicateurs de l’économie brésilienne passent au rouge …

Les Brésiliens ont touché leur 13ème mois et les économistes prévoient que la moitié de celui-ci sera destiné au remboursement d’une partie de la dette des ménages.

L’Association brésilienne des commerçants des shoppings (Associação Brasileira de Lojistas de Shopping) a annoncé une croissance des ventes en fin d’année inférieure de moitié à celle de l’année dernière.

Les familles brésiliennes arrivent dans le rouge

La taxe des impayés des ménages à 90 jours a atteint le niveau record de 7,3% en novembre. Autre indicateur préoccupant : la dette des ménages représente en cette fin d’année 43% des revenus annuels contre 39% l’année dernière. On est loin des 171% du Royaume Uni mais il faut prendre en compte que le Brésil est rentré dans l’économie du crédit bancaire il y a peu.

Les indicateurs économiques sont à la baisse

Cet été, tout allait pour le mieux et le gouvernement brésilien craignait même une surchauffe trop rapide de l’économie brésilienne dopée par sa consommation interne, le boom immobilier, les chantiers olympiques et de la Coupe du Monde de Football.

Dorival Dourado, le Président du Serviço Central de Proteção ao Crédito (SCPC), avait annoncé au début du mois de décembre que « si la crise européenne n’affectait pas l’économie brésilienne, alors la situation n’était pas préoccupante ».

Mais aujourd’hui, l’économie brésilienne se refroidit brutalement et le miracle brésilien a disparu : la croissance du PIB prévue à 4% puis 3,5% est ramenée à 3% voir 2,8%, la production industrielle n’a cru que de 1,8% en 2011 contre 10,4% en 2010, l’inflation atteint 6,6%, le Real s’est dévalorisé de plus de 10% face au dollar, …

Comme le dit Flavio Castelo Branco, économiste en chef de l a Confederación Nacional de Industria (CNI), « la croissance du Brésil est revenue à un niveau inférieur à celui de la croissance mondiale et la croissance industrielle est inférieure à la croissance nationale ».

Une industrie en panne et des coûts sociaux records

Plus grave encore structurellement, l’industrie brésilienne de transformation est passée en 4 ans d’un excédent commercial de 25 milliards de $ à un déficit commercial de 43 milliards de $. Le ratio investissements/consommation est devenu l’un des pires au monde. Les coûts d’industrialisation élevés et une imposition record font que les produits brésiliens sont chers : la Corolla fabriquée au Brésil est la plus chère au monde, le Big Mac brésilien est aussi le plus cher au monde, les prix immobiliers atteignent des niveaux stratosphériques (et une bulle immobilière à l’espagnole est prête à éclater).

De plus, les coûts sociaux et sanitaires sont énormes : l’Allemagne a les mêmes coûts mais 19% de sa population est très âgée contre 8% au Brésil ; cet argent « social » a en fait été utilisé par « Lula » pour avoir 90% de popularité …

Et pour finir, un exemple simple de l’augmentation du coût de la vie au Brésil : le petit pain français très prisé par les Brésiliens (pão francês) est passé de 10 centimes en 1999 à 45 centimes en 2011 ...

La bulle immobilière éclatera après la Coupe du Monde et les JO. Le Real est aussi sur-évalué donc la dévaluation sera peut-être pour eux le moyen de se sortir de la crise.

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Dix ans après son arrivée, l'euro est devenu «un bouc émissaire facile» de la hausse des prix, selon une enquête du magazine consumériste Que choisir, qui pointe que l'inflation, réelle, provient aussi d'autres facteurs, tandis que certains prix ont baissé.

http://www.20minutes.fr/economie/848449-euro-a-t-il-fait-flamber-prix-depuis-10-ans

http://www.rtl.be/info/economie/monde/846227/l-euro-nous-a-rendu-plus-pauvres-l-avis-de-presque-tous-les-europeens

http://www.lavoixdunord.fr/France_Monde/actualite/Secteur_France_Monde/2011/12/26/article_l-euro-a-bien-passe-noel.shtml#utm_source=rss&utm_medium=rss_France_Monde&utm_campaign=flux_rss

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La Chine et le Japon ont conclu lundi une série d'accords financiers pour développer l'usage de leurs monnaies respectives, le yuan et le yen, dans leurs échanges bilatéraux, à l'occasion d'une visite officielle en Chine du Premier ministre nippon Yoshihiko Noda.

L'un de ces accords vise à faciliter l'usage direct du yuan et du yen dans les transactions commerciales et les investissements entre les deux pays, au lieu d'utiliser le dollar comme il est d'usage jusqu'à présent (60% des échanges sino-japonais utilisent le billet vert).

Utiliser directement leurs monnaies respectives permettra aux entreprises chinoises et japonaises de réduire leurs coûts et de se prémunir des aléas monétaires liés aux fluctuations de la devise américaine.

Un organisme d'Etat japonais sera en outre habilité à vendre en Chine des obligations japonaises libellées en yuans.

Ces accords entre les deuxième et troisième économies mondiales "renforceront les capacités de la région à prévenir les risques et à faire face aux difficultés, et auront un effet positif sur le maintien de la stabilité financière de l'Asie de l'est", a affirmé lundi un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Hong Lei, cité par Dow Jones Newswires.

Les accords ont été conclus au cours d'une visite officielle de deux jours en Chine du Premier ministre japonais, qui a rencontré lundi son homologue Wen Jiabao après le président Hu Jintao la veille.

Un porte-parole du ministère japonais des Affaires étrangères a par ailleurs indiqué, sans donner de détails, que des discussions entre la Chine, le Japon et la Corée du Sud en vue de conclure un traité de libre-échange devraient probablement commencer au début de l'an prochain.

http://www.lepoint.fr/bourse/chine-et-japon-veulent-developper-leurs-echanges-directs-en-yens-et-en-yuans-26-12-2011-1412603_81.php

:rolleyes:

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Zone euro: nouveau record des dépôts au jour le jour des banques à la BCE (dév.)

Francfort (awp/afp) - Les dépôts au jour la jour des banques de la zone euro auprès de la Banque centrale européenne (BCE) ont atteint un nouveau record, selon des chiffres publiés mardi, signe que les dysfonctionnements persistent sur le marché inter-bancaire.

Les banques ont déposé 411,81 milliards d'euros auprès de la BCE entre lundi et mardi, soit un montant jamais atteint jusqu'ici et qui est le signe que les banques en excès de liquidités préfèrent les parquer auprès de la BCE, qui ne leur offre pourtant qu'un taux de rémunération de 0,25% que de les prêter à d'autres établissements financiers.

Le précédent record remonte à juin 2010, avec 384,3 milliards d'euros de dépôts. Les dépôts avaient ensuite progressivement diminué avant de connaître de nouveaux pics depuis l'été et l'aggravation de la crise de la dette en zone euro.

Ce chiffre des dépôts sur 24 heures intervient alors que la BCE a réalisé mercredi sa première opération de prêts sur trois ans, qui était censée apaiser les inquiétudes des banques et des marchés concernant les liquidités à leur disposition et éviter une pénurie du crédit en faveur des ménages et entreprises.

L'opération a attiré une demande record de 489 milliards d'euros par 523 instituts de crédit. Ce qui peut aussi expliquer les montants records parqués auprès de l'institution monétaire de Francfort depuis vendredi, selon les analystes.

Pour Michael Schubert, économiste de Commerzbank, les banques, après s'être abreuvées auprès de la BCE, ont pu déposer cet argent débloqué à la veille du week-end de Noël en attendant le passage des fêtes, une sorte de "solution d'attente".

Les banques de la zone euro doivent faire face à des échéances de remboursement importantes en 2012, dont environ 230 milliards d'euros dès le premier trimestre, et elles préfèrent manifestement garder les liquidités à leur disposition pour y répondre malgré les tentatives de la BCE, inquiète du mauvais fonctionnement du marché interbancaire qui pourrait se traduire par une restriction du crédit pénalisant ainsi la croissance, de les rassurer sur sa disposition à les aider.

L'institution monétaire de Francfort a déjà prévu une nouvelle opération de prêts sur trois ans le 29 février, en sus de ses prêts hebdomadaires et mensuels.

jq

(AWP / 27.12.2011 18h49)

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Pour des raisons économique, pas de 30 décembre aux îles Samoa cette année.

Hé oui... pour un problème de relations commerciale avec les pays voisins dont l'Australie et la Nouvelle-Zélande et de fuseau horaire !

On explique : Samoa se trouve à la limite du fuseau horaire avec ses partenaires commerciaux et lors du passage à la nouvelle année on est encore dimanche aux Samoa, alors que la semaine a commencé dans les autres pays. Cela représente du coup un gros manque à gagner économique.

Alors Samoa a décidé de passer de l'est à l'ouest de la ligne frontière et le 30 décembre 2011 a donc été purement et simplement supprimé du calendrier.

En tout cas, cela ne va pas être sans conséquences : 700 personnes seront privées d'anniversaire et aucun enfant ne naîtra à cette date, précise 20minutes.ch..

Soulagement quand même pour certains car les travailleurs samoans ne perdront pas pour autant une journée de salaire: ils seront payés comme s'ils avaient travaillé normalement la journée du 30 décembre rapporte 7sur7.

Allez, une autre décision qui  ne sera pas non plus sans conséquence... on roulera désormais à gauche afin d'utiliser plus facilement les voitures importées d'Australie

Drôle de fin d'année aux îles Samoa !

http://fr.news.yahoo.com/îles-samoa-suppriment-30-décembre-cest-retour-futur-164515856.html

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Les Etats-Unis demandent à la Chine et au Japon de cesser d'affaiblir leur monnaie.

Les Etats-Unis ont indiqué, mardi 27 décembre, qu'ils souhaitaient voir la Chine et le Japon cesser d'agir pour affaiblir leur monnaie. Le département du Trésor a déclaré, dans son rapport semestriel sur les taux de change, que le yuan restait 'considérablement sous-évalué' malgré son appréciation des derniers mois, et que les interventions pour faire baisser le cours du yen ne lui paraissaient plus légitimes.

http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2011/12/28/les-etats-unis-demandent-a-la-chine-et-au-japon-de-cesser-d-affaiblir-leur-monnaie_1623238_3216.html#xtor=AL-32280515

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***INTERLUDE***

Ayons une pensée pour notre comique national ayant annoncé la fin de l'Euro pour Noël.

"La France est un hôtel !"

Elkabach : "Hein !?!"  =)

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=mzzRTq5TJMQ

:O

C'est un florilège..et ça fait peur..

François Asselineau - 21/12/2011

Bah foutaises, histoire de donner du grain à moudre aux germanophobes et autres anti-européens.

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