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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Les ministres des Finances européens sont parvenus à un accord, jeudi à l'aube, à Bruxelles, sur les modalités du mécanisme de supervision bancaire par la Banque centrale européenne. Le marathon de discussions aura duré 14 heures. Français et Allemands ont réussi à trouver un terrain d'entente, alors que leurs divergences bloquaient depuis des semaines les négociations.

Quelles banques seront supervisées ?

Celles qui représentent plus de 30 milliards d'euros d'actifs, ou au moins les trois principaux établissements de chaque Etat participant au mécanisme. Un accord qui satisfait Français et Allemands. A l'origine, les premiers souhaitaient que toutes les banques soient concernées, les seconds ne voulaient pas que leurs petites banques régionales tombent sous la supervision. Les deux ont obtenu gain de cause: entre 150 et 200 banques seront concernées. La BCE pourra, au cas par cas, traiter tout établissement si elle le juge nécessaire.

Quels pays seront concernés ?

Dans un premier temps, l'accord concernera les banques des pays de la zone euro, qui devraient être rejointes par celles des autres pays de l'Union européenne. Seuls trois pays, le Royaume-Uni, la Suède et la République tchèque, ont indiqué ne pas vouloir participer dans l'immédiat.

Qui supervisera ?

Un conseil de supervision, nouvellement créé, sera logé au sein de la BCE. Il sera composé de représentants des 17 superviseurs nationaux, de quatre membres de la BCE, d'un président et d'un vice-président. Pour faciliter le fonctionnement de l'institution, les décisions opérationnelles seront prises par un comité de pilotage, resserré autour de quelques membres seulement qui seront soumis à rotation, donc officiellement sans siège permanent pour les grands pays.

Quand le mécanisme sera-t-il opérationnel ?

Le 1er mars 2014 et non progressivement au cours de l'année 2013, comme cela avait été imaginé à l'origine. D'ici là, la BCE pourra se voir confier, au cas par cas, la supervision d'une banque en difficulté.

Pourquoi ce mécanisme peut-il empêcher une nouvelle crise ?

Le mécanisme de supervision unique est une condition pour permettre la recapitalisation directe des banques en difficulté par le fonds de sauvetage de la zone euro, afin de couper le lien entre les banques et les dettes souveraines qui a plombé ces dernières années plusieurs pays européens.

(AFP)

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C'est une bonne chose cette supervision bancaire, à cette nuance prés que le big boss des banques européennes sera désormais super mario (draghi), à suivre.

Une autre bonne chose :

http://www.lemonde.fr/europe/article/2012/12/12/italie-berlusconi-se-dit-pret-a-se-retirer-en-cas-de-candidature-de-monti_1805292_3214.html

Alors qu'est ce que le guignol va obtenir en échange de son retrait?

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Avant de songer à diminuer les prestations sociales des plus pauvres d'entre nous, réduire les revenus injustifiés des plus riches, n'en déplaise à certains qui se reconnaîtront...

Injustifié, comme tu y va, indirectement c'est quand meme les propriétaires (les actionnaires) qui l'accordent ce salaire. Donc ça doit etre justifié pour eux et c'est ça qui compte. D'autant qui c'est toujours ça de moins dans leur poche. Pour un propriétaire, le salaire, et celui du PDG ne fait pas exception, la regle c'est "le minimum necessaire mais suffisant" (je met en gras "suffisant" pour les non matheux qui ne connaissent pas la formule)

Donc effectivement l'inflation du salaire des dirigeants ces 10-20 dernière année est assez etonnante. C'est mondial. C'est tous des Ibrahimovic du management ou quoi ? moi j'y crois pas, c'est pas rationnel il doit y avoir quelque chose qui cloche mais quoi ?

Y a il pénurie de dirigeants de qualité ? les actionnaires on ils peur de lancer des nouveaux et se sentent rassurés en embauchant des stars ?

Peut etre faudrait que le salaire ainsi que les extra et annexes (genre parachute doré...) des dirigeants soit décidé directement en assemblée générale des actionnaire et fasse systematiquement l'objet d'une motion qui devra etre approuvée.

Mais bon c'est pas un drame non plus, ces salaires c'est peanuts pour l'entreprise, si ça plombait le résultat, vous inquietez pas, le PDG serait le premier a sauter.

Le plus choquant c'est pas le montant des salaires de ceux qui réussissent, c'est les parachute dorés de ceux qui échouent amha.

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Après neuf mois de récession et une dette publique à hauteur de 66% du PIB, le Royaume-Uni est sans aucun doute, des douze pays bénéficiant toujours de la note maximale chez les trois principales agences de notation, celui qui semble le plus en difficulté. Jeudi 13 décembre, Standard & Poor’s a modifié la perspective du AAA du Royaume-Uni de « stable » à « négative ». L’agence de notation estime que le pays a « une chance sur trois » de perdre la note maximale au cours des deux prochaines années « si les performances budgétaires et économiques du Royaume-Uni se dégradent au-delà de nos prévisions ».

Ce rappel à l’ordre fait suite au discours d'automne du ministre des Finances britannique George Osborne, prononcé le 5 décembre dernier. Forcé d’admettre que la cure d’austérité devrait durer un an de plus, jusqu’en 2018, parce qu’il ne sera pas en mesure de tenir son objectif de réduction du ratio dette/produit intérieur brut (PIB) à partir de 2015/2016, celui-ci était apparu comme résigné.

À peine sortie de la récession au troisième trimestre, l’économie britannique reste en effet fragile et pourrait même de nouveau se contracter au quatrième trimestre, estime la Banque d’Angleterre.

http://www.economiematin.fr/les-experts/item/2858-crise-europe-royaume-uni-dette

La France a sauvé vendredi son dernier "triple A", attribué par Fitch, mais elle reste en sursis, l'agence répétant qu'elle pourrait à son tour dégrader la note française si les réformes engagées s'avéraient décevantes.

Après avoir perdu son "AAA" auprès des deux autres grandes agences d'évaluation financière cette année, la France a réussi à conserver chez Fitch la distinction attribuée aux meilleurs élèves. Mais cette note est assortie d'une perspective négative, ce qui signifie que l'agence pourrait l'abaisser à moyen terme.

http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/Economie/La-France-sauve-son-dernier-triple-A-Fitch-maintient-l-executif-en-sursis-_NG_-2012-12-14-887979

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Avant de songer à diminuer les prestations sociales des plus pauvres d'entre nous, réduire les revenus injustifiés des plus riches, n'en déplaise à certains qui se reconnaîtront...

Juste quelques rappels de mise en perspective:

- les rémunérations sont ici de droit privé et non public. Cet argent ne provient par de nos impôts mais des proprietaires de ces boîtes.

- la hausse est entre 4 et 5%. Ce n'est donc pas surréaliste.

- la bourse est décorellée des résultats de la boite. Or les résultats doivent être vu au niveau mondial et non sur la seul place aqboursière de Paris. Donc, même si le CAC se plante, peut être que ces patrons réussissent bien face à une concurrence mondiale acharnée.

- ce rémunérations intégrés des cas très divers comme celui de Renaut qui est probablement structurellement anormal mais aussi des rattrapages de plusieurs annees comme pour Publicis.

- enfin, combien de cas au total?

En conclusion, baver et  pleurer à longueur de pages des journaux, c'est de la pignoufferie car pendant ce temps on ne parle pas des vrais problèmes. On a jamais dépensé autant dans les aides sociales en France et pourtant la pauvreté progresse. C'est la faute à 10 mec rémunérés chèrement!! Biensur, biensur...

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Juste quelques rappels de mise en perspective:

- les rémunérations sont ici de droit privé et non public. Cet argent ne provient par de nos impôts mais des proprietaires de ces boîtes.

- la hausse est entre 4 et 5%. Ce n'est donc pas surréaliste.

- la bourse est décorellée des résultats de la boite. Or les résultats doivent être vu au niveau mondial et non sur la seul place aqboursière de Paris. Donc, même si le CAC se plante, peut être que ces patrons réussissent bien face à une concurrence mondiale acharnée.

- ce rémunérations intégrés des cas très divers comme celui de Renaut qui est probablement structurellement anormal mais aussi des rattrapages de plusieurs annees comme pour Publicis.

- enfin, combien de cas au total?

En conclusion, baver et  pleurer à longueur de pages des journaux, c'est de la pignoufferie car pendant ce temps on ne parle pas des vrais problèmes. On a jamais dépensé autant dans les aides sociales en France et pourtant la pauvreté progresse. C'est la faute à 10 mec rémunérés chèrement!! Biensur, biensur...

Tu connais l'abus de bien social? Tu sais comment est décidé le salaire de ces patrons? C'est une mafia, ou quelques-uns détiennent a tort tout le pouvoir décisionnel dans ces boites, sans que les propriétaires/actionnaire ne puissent y faire grand chose. Il y a un vrai problème de gouvernance dans les grosses boites françaises, problème auquel peu de monde souhaite trouver une solution. Ces problèmes de gouvernance nuisent aussi a l'investissement ... par défaut de confiance.

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Tu connais l'abus de bien social? Tu sais comment est décidé le salaire de ces patrons? C'est une mafia, ou quelques-uns détiennent a tort tout le pouvoir décisionnel dans ces boites, sans que les propriétaires/actionnaire ne puissent y faire grand chose. Il y a un vrai problème de gouvernance dans les grosses boites françaises, problème auquel peu de monde souhaite trouver une solution. Ces problèmes de gouvernance nuisent aussi a l'investissement ... par défaut de confiance.

Oui et alors?

Quel est le problème? C'est ton argent? Non. Donc il n'y a pas de problème. S'il y a un problème, il vont se planter et ce sera réglé.

Abus de bien social. Je vais pleurer. J'en ai rien à faire car ils sont propriétaires de leur boîte. Si cela ne plaît pas aux actionnaires, qu'ils partent.

La seule chose qui compte c'est qu'en cas de problème, mes impôts ne leur profitent pas. Ça c'est inadmissible. Tout le reste n'est que pleurnicherie et manœuvre de communication dilatoire pour ne pas parler des problèmes.

Le président de la république vient de déclarer "Beaucoup de pays ont pris... des décisions courageuses, ont fait des efforts et nous ..... nos..... responsabilités." Ça, c'est autrement plus grave car cela signifie que l'on ne fait rien. Alors pour ceux qui pleurent sur les pauvres, je peux déjà prédire que leur nombre va exploser. Et c'est pas de l'abus de bien social.

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La seule chose qui compte c'est qu'en cas de problème, mes impôts ne leur profitent pas. Ça c'est inadmissible.

Oui, et bien tu vas devoir admettre l'inadmissible, parce que c'est largement le cas. Et pas seulement en France, mais dans tous les pays, y compris dans ceux qui se disent libéraux :lol:
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Par le plus grand des hasards, je viens de retrouver une démonstration sur l'effet des baisses d'impôts.

Elle explique la perception faussée que l'on a en croyant que les réductions d'impôts ne profitent qu'aux riches.

Dix amis d'enfance, s'étant retrouvés, décidèrent de prendre l'apéritif ensemble ts les vendredi. Certains étant moins riches que d'autres, il fut décidé de faire payer chacun en fonction de ses revenus.

Ainsi les quatre premiers ne payèrent rien, le 5° paya un euro, le 6° trois euros, le 7° sept euros, le 8° douze euros, le 9° dix-huit euros et le 10° cinquante-neuf euros, soit au total cent euros.La formule marcha ainsi un an.

Notre cafetier leur dit un jour : "Vous êtes de très bons clients et aussi je vais vous faire une ristourne de vingt euros".Nos dix compères le remercièrent et se questionnèrent sur la façon de répartir cette remise. L'un d'eux ayant un sens aigu de l'équité, suggéra de la répartir comme le payement en fonction des revenus, ce qui fut accepté par tous.

A la sortie du bar, chacun fit son compte: Les quatre premiers n'avaient bien sûr toujours rien payé, le 5° avait bénéficié d'une remise de un euros et n'avait donc rien payé, le 6° avait bénéficié de un euro et avait payé deux euros, le 7° avait bénéficié de deux euros et payé cinq euros, le 8° avait bénéficié de trois euros et payé neuf euros, le 9° avait bénéficié de quatre euros et payé quatorze euros et le 10° avait bénéficié de neuf euros et payé cinquante euros. Les quatre premiers dirent nous n'avons rien eu du tout. Cette mesure ne profite qu'aux riches ! Le système exploite les pauvres !  Le 5° dit qu'il n'avait eu qu'un seul euro d'économie et que de plus à cause de cette mesure injuste, il avait vu sa situation se détériorer et, maintenant, était parmi les pauvres. Le système crée des pauvres ! le 6°, le 7°, le 8° et le 9° dirent pourquoi le 10°, le plus riche, a-t-il bénéficié de neuf euros, alors que nous, classe moyenne, toujours pressurée, nous n'avons eu que un, deux, trois et quatre euros. Le système écrase la classe moyenne. Les neuf hommes cernèrent le dixième et l'insultèrent.

Le vendredi suivant le 10° homme, le plus riche, ne vint pas. Il se sentait détesté, menacé et alla boire dans un autre bar beaucoup plus chic où il ne paya que quinze euros (contre cinquante-neuf auparavant). Les neuf autres s'assirent et burent leur verre en fustigeant ce riche qui n'avait même pas le courage d'assumer son ignominie. Quand vint le moment de se séparer et de payer leur note, ils découvrirent, avec stupeur qu'ils n'avaient pas assez d'argent pour payer ne serait-ce que la moitié de l'addition.

Cela, mes chers amis, est le strict reflet de notre système fiscal. Les gens qui payent le plus d'impôts tirent le plus de bénéfice d'une réduction de taxe, d'un plafonnement de contribution...Mais taxez les plus forts, accusez les d'être riches et ils risquent de ne plus se montrer désormais. En fait, ils pourraient commencer à boire ailleurs, à l'étranger peut être ..

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L'histoire ne résume surtout en rien la situation fiscale réelle d'un pays. A une échelle nationale, qui joue le rôle du gentil Monsieur cafetier ? Qui est assez généreux pour faire la ristourne de 20 euros (ou de X milliards d'euros) ? En outre, à l'échelle étatique, on peut espérer voir les "20 euros" d'allègement fiscal faciliter la croissance/compétitivité et finalement entraîner une gain fiscal pour l'Etat les années suivantes. On peut, au contraire, espérer voir les "20 euros" finalement payés par les contribuables/contributeurs servir largement la collectivité et rapporter bien plus de "20 euros", les entreprises profitant, par exemple, de cet investissement dans un premier temps et les pouvoirs publics s'y retrouvant par la fiscalité, par exemple, dans un deuxième temps. On pourrait aller beaucoup plus loin encore pour démonter cette histoire et montrer sa non pertinence à une échelle étatique... mais je ne crois pas que ce soit nécessaire.

L'auteur de cette histoire nous arnaque complètement sur la comparaison micro-économie/macro-économie.

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Ce n'est pas de la malhonnêteté.

C'est la présentation de l'effet d'une baisse de la pression fiscale qui, hors flat taxe, ne touche pas les contribuables de la même façon. En cela, elle est pertinente car modélisable par tous. Maintenant, tu peux chercher la complexité mais dans ce cas tu restera inaudible pour tout un chacun. Au risque même de rester dans le pointillisme est, en économie, d'être incapable de déterminer un choix, prendre une décision par effet de saturation.

Est-ce nécessaire de prendre en compte les effets de la baisse des impôts ici? Pas sûr.

Enfin, si tu ne vois pas qui est le gouvernement...

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La première limite, dans cette histoire, c'est que les 20 euros sont un cadeau pur et simple. Il serait pour n'importe quel client idiot de les refuser s'il agit sur de strictes considérations économiques. A une échelle étatique, c'est bien plus complexe. Quand on enlève "20 euros" d'un côté, il y a forcément un service/équipement/investissement qui disparaît de l'autre côté. On supprime quoi ? Les routes par exemple ? Si l'on enlève les routes, les actionnaires et employés de Renault et PSA (plus les sous-traitants et autres personnes dépendantes du secteur) ne vont-ils pas protester ? Pour info, dans les années 30 et 40, ce sont les grands constructeurs automobiles qui ont fait du lobbyisme aux USA pour que le gouvernement fédéral et les gouvernement fédérés injectent des milliards (le chiffre est tout bonnement hallucinant) à tour de bras dans les autoroutes... Bizarrement, les PDG, actionnaires et employés de ces boîtes du secteur automobile étaient très heureux que l'ensemble des Américains paient des impôts à cette époque. Bref, c'est un peu facile de faire disparaître 20 euros dans la nature sans savoir quelle en sera la contrepartie. Car, en fonction de la contrepartie, les différents contributeurs n'auront pas la même réaction. Certains seront heureux... d'autres beaucoup moins.

Enfin, non, je ne vois nulle part où est le gouvernement dans l'histoire précédente, je ne vois nulle part un acteur qui puisse être considéré comme ayant un comportement "gouvernemental".

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La première limite, dans cette histoire, c'est que les 20 euros sont un cadeau pur et simple. Il serait pour n'importe quel client idiot de les refuser s'il agit sur de strictes considérations économiques. A une échelle étatique, c'est bien plus complexe. Quand on enlève "20 euros" d'un côté, il y a forcément un service/équipement/investissement qui disparaît de l'autre côté. On supprime quoi ? Les routes par exemple ? Si l'on enlève les routes, les actionnaires et employés de Renault et PSA (plus les sous-traitants et autres personnes dépendantes du secteur) ne vont-ils pas protester ? Pour info, dans les années 30 et 40, ce sont les grands constructeurs automobiles qui ont fait du lobbyisme aux USA pour que le gouvernement fédéral et les gouvernement fédérés injectent des milliards (le chiffre est tout bonnement hallucinant) à tour de bras dans les autoroutes... Bizarrement, les PDG, actionnaires et employés de ces boîtes du secteur automobile étaient très heureux que l'ensemble des Américains paient des impôts à cette époque. Bref, c'est un peu facile de faire disparaître 20 euros dans la nature sans savoir quelle en sera la contrepartie. Car, en fonction de la contrepartie, les différents contributeurs n'auront pas la même réaction. Certains seront heureux... d'autres beaucoup moins.

Enfin, non, je ne vois nulle part où est le gouvernement dans l'histoire précédente, je ne vois nulle part un acteur qui puisse être considéré comme ayant un comportement "gouvernemental".

C'est sûr qu'en France, la notion d'économie n'existe pas.

Et juste un petit rappel: 1 fonctionnaire, c'est la destruction d'entre 1,33 à 1,5 emploi dans le privé.

Je te propose une chose: à chaque fois que tu expliquera quelques chose en économie, tu développera la toralité des implications. Mais comme après trois pages de rédaction indigeste, t'en aura mare, tu ne proposera plus grand chose alors.

Donc je répète: quand il faut démontrer la perception d'injustice lors de baisse d'impôts d'un système progressif, cette présentation est opportune. Évidemment, en France, cela ne sert à rien, les impôts ne risquent pas de baisser. Comme le dit à juste titre notre président:"Les pays européens font des efforts ... euh ... ont pris des mesures courageuses ... euh ... et nous.....euh ... nos responsabilités."

Edith: en plus, cette version est encor plus intéressante car quand on fait partir les riches, on voit ce qui se passe. Ce sont les pauvres qui "raquent".

Pour info, il y a depuis août 2000 demandes de visas d'entrepreneurs français pour s'installer à Miami. Miami seulement, je ne parle pas du reste des EUA.

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Ce genre de connerie c'est ce que l'on enseigne en France à tout étudiant en économie depuis 1960 où les premières études ont été faites sur ce sujet.

Ça a juste été rappelé la semaine dernière sur BFM par E. Lechypre qui est un clown comme chacun sait. Mais il est évident qu'on en parle pas trop au quotidien. C'est étrange.

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