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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Donc, tu souhaite un graphique des différentes taxes sauf certaines ? Et c'est là ou l'on te demande quel est l'interêt.

Sinon, la fondement même de la remarque, je ne la comprend pas, tu envoie chier tout le monde aux interviews en demandant uniquement du net ?

c'est le contraire : un graphique censé prouver qu'on est pas matraqué doit prendre en compte toutes les charges. Notament, si il prend en compte les charges sociales, il doit aussi prendre en compte les charges sociales patronales qui viennent s'ajouter aux charges sociales salariales. Sinon il y a pas de cohérence (D'ailleurs la distinction entre charges sociales patronales et charges sociales salariales n'a pas le moindre fondement logique)

Cette erreure de methodologie, certainement voulue, suffit pour conclure que ce graphique ne prouve rien, c'est seulement de l'enfumage politique.

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Je ne veux rien imposer à personne ni me faire élire. Juste faire une différence qui me semble pertinente entre la solidarité et la mutualisation/assurance.

Ce qui est solidaire en France c'est le fait de mutualiser les dépenses sociales via un systéme d'assurances solidaires ( à la différence d'un système d'assurances où chacun devrait payer son assurance ) et obligatoires : ta différence qui porte sur le montant n'est pas pertinente vu que la solidarité est un principe dans le cas français

Par ailleurs et avec un salaire médian net d'environ 1700 euros par mois, personne ne pourrait se payer un systéme assurantiel individuel comme tu sembles le souhaiter

Pour être clair : la mutualisation des ressources et des dépenses, c'est celà la solidarité ( surtout pour les dépenses de santé d'ailleurs car le systéme de retraite est lui plus assurantiel avec des retraites basées en partie sur tes cotisations )  

faux : les charges patronales sont aussi du salaire indirecte. Si tu veux compter le salaire total, il faut compter le salaire net + les charges salariales + les charges patronales.

C'est pas ce que j'ai dit ?

j'ai rien compris  :-[

comment un graphique censé prouver que personne paye plus de 50% de ses revenus, et surtout pas les riches, n'entre il pas en contradiction avec le fait que des millions ont étés remboursés au titre du bouclier fiscal ?

Parce que les revenus pris en compte au titre du bouclier fiscal ne sont pas les revenus réels perçus mais ceux du revenu fiscal de référence figurant sur ta feuille d'imposition

Ces revenus ne prennent que partiellement en compte les revenus du patrimoine

Pour être clair : on te rembourse des sommes au titre du bouclier fiscal quand tu payes plus de 50% d'impôts par rapport à ton revenu fiscal de référence ( comprendre tes revenus du travail + une partie de tes revenus de ton patrimoine ( ex revenus fonciers )) même si les impôts en question ne dépassent pas 50% de tes revenus totaux ( comprendre la totalité de tes revenus du travail et de tes revenus tirés de ton patrimoine ) en sachant que pour les très hauts revenus, les revenus tirés du patrimoine représentent plus de 50% des revenus totaux  

Pour donner un exemple ( caricatural car les chiffres ne sont pas réels ) si un très riche ne voit que 50% de ses revenus pris en compte pour calculer le revenu fiscal de référence alors le bouclier fiscal intervient quand son taux d'imposition atteint 25% de ses revenus et non 50%.........

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c'est le contraire : un graphique censé prouver qu'on est pas matraqué doit prendre en compte toutes les charges. Notament, si il prend en compte les charges sociales, il doit aussi prendre en compte les charges sociales patronales qui viennent s'ajouter aux charges sociales salariales. Sinon il y a pas de cohérence (D'ailleurs la distinction entre charges sociales patronales et charges sociales salariales n'a pas le moindre fondement logique)

Cette erreure de methodologie, certainement voulue, suffit pour conclure que ce graphique ne prouve rien, c'est seulement de l'enfumage politique.

Le graphique en question ( de Piketty ) prend en compte la totalité des charges sociales ( et des impôts )

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Piketty , Piketty,  ça serait par hasard l'économiste du PS, qui croit que le travail ça se partage?  =)

Il est effectivement proche du PS mais ça n'enlève rien à la qualité de ses travaux et surtout du constat effectué sur le systéme fiscal français ( plus que les solutions proposées qui font plus débat y compris au sein des économistes proches du PS comme E Cohen )

Le site de Piketty :

http://www.revolution-fiscale.fr/

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Ce qui est solidaire en France c'est le fait de mutualiser les dépenses sociales via un systéme d'assurances solidaires ( à la différence d'un système d'assurances où chacun devrait payer son assurance ) et obligatoires : ta différence qui porte sur le montant n'est pas pertinente vu que la solidarité est un principe dans le cas français

Mettons nous d'accord sur les mots : solidarité ça veux dire payer selon ses moyens, recevoir selon ses besoins. Hors si on prend le cas de la retraite, les besoins de n'importe quel retraité sont les memes. Donc ce n'est PAS de la solidarité mais de l'assurance/mutualisation.

J'emploi le mot solidarité dans son sens réel, pas administratif, juridique, politique ou je ne sais quoi d'autre.

C'est pas ce que j'ai dit ?

non.

Quand on dit "salaire brut" on entend net + charges sociales salariales. ça comprend donc le salaire direct mais moins de la moitié du salaire indirecte. Le calcul est donc faux car le salaire indirecte comprend aussi les charges patronales non comprises dans le salaire brut.

Parce que les revenus pris en compte au titre du bouclier fiscal ne sont pas les revenus réels perçus mais ceux du revenu fiscal de référence figurant sur ta feuille d'imposition

Ces revenus ne prennent que partiellement en compte les revenus du patrimoine

Pour être clair : on te rembourse des sommes au titre du bouclier fiscal quand tu payes plus de 50% d'impôts par rapport à ton revenu fiscal de référence ( comprendre tes revenus du travail + une partie de tes revenus de ton patrimoine ( ex revenus fonciers )) même si les impôts en question ne dépassent pas 50% de tes revenus totaux ( comprendre la totalité de tes revenus du travail et de tes revenus tirés de ton patrimoine ) en sachant que pour les très hauts revenus, les revenus tirés du patrimoine représentent plus de 50% des revenus totaux  

Pour donner un exemple ( caricatural car les chiffres ne sont pas réels ) si un très riche ne voit que 50% de ses revenus pris en compte pour calculer le revenu fiscal de référence alors le bouclier fiscal intervient quand son taux d'imposition atteint 25% de ses revenus et non 50%.........

pfff c'est qui qui a pondu c't'horreur  :rolleyes:

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Mettons nous d'accord sur les mots : solidarité ça veux dire payer selon ses moyens, recevoir selon ses besoins. Hors si on prend le cas de la retraite, les besoins de n'importe quel retraité sont les memes. Donc ce n'est PAS de la solidarité mais de l'assurance/mutualisation.

Si tu prends cette définition, on a alors un sytème mixte puiqu'une partie des charges sociales ( maladie par exemple ) correspondent à ta définition et le reste à un systéme assurantiel obligatoire

Mais bon je ne vois pas où tu veux en venir vu que de toute façon il faut bien prélever une partie du salaire ( la partie indirecte ) pour couvrir les besoins sociaux (maladie, famille, chomage, retraite) et ce quelque soit le systéme mis en place ( assurances privées, systéme obligatoire par redistribution ou capitalisation, impôt ).

Par ailleurs une partie du systéme social est maintenant payé par l'impôt ( CSG, contribution loi de finance 1999, prise en charges des baisses de charges sociales par l'impôt )

pfff c'est qui qui a pondu c't'horreur

Pas moi  :lol:

 

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(AFP) Jean-Marc Ayrault ignore les sombres prévisions du FMI.

Malgré les dernières prévisions du FMI concernant la France, le Premier ministre a affirmé qu'il maintenait son objectif de 0,8% de croissance et d'un déficit ramené à 3% du PIB en 2013

.

Le gouvernement maintient son double objectif de 0,8% de croissance et d'un déficit public ramené de 4,5% à 3% l'an prochain. Chiffres qui constituent le cadre du budget 2013. Pour le FMI, en revanche, les choses se présentent bien différement. L'institution dirigée par l'ancienne ministre de l'Economie française, Christine Lagarde, table sur 3,5% de déficit et une croissance qui ne dépasserait pas 0,4%, soit la moitié de la prévision gouvernementale.

De son côté, l'Insee prévoyait, vendredi 21 décembre, une croissance de 0,1% seulement sur les deux premiers trimestres de 2013. Une prévision finalement encore plus pessimiste que celle du FMI.

Concernant le chômage, le FMI estime que celui-ci s’élèvera à 10,2% de la population active en 2012, et jusqu’à 10,6% en 2013. Des chiffres qui peuvent sembler en apparence pessimistes mais qui, dans les faits, sont inférieurs aux projections de l’Insee. Cette dernière table, en effet, sur une montée du chômage à 10,9% dès la mi-2013, un record depuis 1997.

Selon le quotidien espagnol El Pais de samedi, la Commission européenne serait prête à accorder un délai d’un an à la France et d’une ou plusieurs années à l’Espagne pour ramener leur déficit à hauteur de 3% du PIB.

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Si tu prends cette définition, on a alors un sytème mixte puiqu'une partie des charges sociales ( maladie par exemple ) correspondent à ta définition et le reste à un systéme assurantiel obligatoire

tout a fait c'est pour ça qu'il serait bon de faire la différence et chiffrer les deux pour la raison suivante ..

Mais bon je ne vois pas où tu veux en venir..

là ou je veux en venir, et on revient au début, c'est que j'émet l'hypothese que pour un particulier, payer en fonction de ses revenus pour la solidarité est bien accepté, mais que payer en fonction de ses revenus pour ce qui ne releve PAS de la solidarité peut etre a juste titre consideré comme confiscatoire a partir du moment ou les sommes versées dépassent trop ce qu'il reçoit de la collectivité en retour.

.....

Petit cours de philosophie Républicaine :

L'hypothese ne vient pas de nulle part, je reprend ce que disaient les Lumières dans leurs travaux ayant mené aux principes de la République.

Ceux-ci distinguent deux devoir de l'état:

1- le devoir de Justice : régalien (+ éducation en France), consistant a defendre les Droits : Liberté, Sécurité, Propriété.

2- le devoir de Bienfaisance : tout le reste, les infrastructures et tout ce que les politiques jugerons bon pour rendre la vie des gens plus agréable.

La grande différence entre les deux, c'est que le devoir de Justice consistant à défendre des Droits, on peux attenter à un autre droit pour le financer : le droit de Propriété via l'impot.

Pour le devoir de Bienfaisance c'est beaucoup plus flou : vu qu'il ne s'agit pas de défendre des Droits, comment attenter au droit de Propriété pour le financer ?

Bon il se trouve que la Propriété est définie par : "le Droit de profiter des fruits de son travail". A l'époque dans une société agraire le cas du paysan avait son importance : labourer et semer est le travail du paysans, après ça pousse tout seul, c'est le travail de la nature, pas celui du paysan, on peut donc le taxer sur cette partie pour financer le devoir de bienfaisance. Plus actuel : idem pour les ressources naturelles : on distingue le travail d'extraction de la presence du minerait lui meme qui est le fruit de la nature. C'est pour ça qu'en France les mines sont seulement des concessions, PAS une Propriété. Enfin et c'est le plus important aujourd'hui, comme le disait Skw et c'est tout a fait exacte, la richesse d'un particulier n'est pas que le fruit de son travail, mais aussi le fruit d'un environnement, d'infrastructure, éducation, etc..

L'essentiel et c'est ce qu'il faut retenir, c'est que la proportion de prélèvement possible pour financer ce deuxieme devoir de l'état, le devoir de bienfaisance, est limité et doit correspondre a un service plus ou moins équivalent en retour contrairement au devoir de Justice.

Voilà ou je voulais en venir. Le régalien c'est de la solidarité : les besoins de Liberté et de Sécurité (et d'education jusqu'a un certain point du moins en France) de tout homme sont les memes.

Dans une société riche on peut y rajouter les besoins vitaux de base : maladie et autres besoins vitaux meme si au sens stricte, ne pas mourir de maladie, de froid ou de faim n'est pas un Droit.

Et ça je pense que c'est bien accepté, surtout si, pour la partie sociale, c'est pas pour entretenir des assistés et si la notion de "marche ou crève" est préservée. Un riche est pret a contribuer pour ça.

Mais tout le reste ? ben non. Faut un service équivalent en retour. C'est comme ça, c'est la nature humaine. l'oublier mene à l'oppression.

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là ou je veux en venir, et on revient au début, c'est que j'émet l'hypothese que pour un particulier, payer en fonction de ses revenus pour la solidarité est bien accepté, mais que payer en fonction de ses revenus pour ce qui ne releve PAS de la solidarité peut etre a juste titre consideré comme confiscatoire a partir du moment ou les sommes versées dépassent trop ce qu'il reçoit de la collectivité en retour.

Sauf qu'en France ton hypothèse n'est pas acceptée par le plus grand nombre qui préfère un systéme assurantiel semi-étatique ET obligatoire qui assure ( et pas que la maladie ) les besoins sociaux

Et c'est bien là l'essentiel d'ailleurs : la volonté commune ( qui s'impose à la volonté particulière ) ne souhaite pas un systéme en ce sens

Si ton hypothèse était exacte, elle trouverait un débouché politique avec des propositions politiques en ce sens

Par ailleurs les pensions reversées le sont en fonction de ce que tu as cotisé ( montant, durée etc ) donc ce que tu reçois est en grande partie lié à ce que tu as versé

L'essentiel et c'est ce qu'il faut retenir, c'est que la proportion de prélèvement possible pour financer ce deuxieme devoir de l'état, le devoir de bienfaisance, est limité et doit correspondre a un service plus ou moins équivalent en retour contrairement au devoir de Justice.

Voilà ou je voulais en venir. Le régalien c'est de la solidarité : les besoins de Liberté et de Sécurité (et d'education jusqu'a un certain point du moins en France) de tout homme sont les memes.

Dans une société riche on peut y rajouter les besoins vitaux de base : maladie et autres besoins vitaux meme si au sens stricte, ne pas mourir de maladie, de froid ou de faim n'est pas un Droit.

Et ça je pense que c'est bien accepté, surtout si, pour la partie sociale, c'est pas pour entretenir des assistés et si la notion de "marche ou crève" est préservée. Un riche est pret a contribuer pour ça.

Mais tout le reste ? ben non. Faut un service équivalent en retour. C'est comme ça, c'est la nature humaine. l'oublier mene à l'oppression.

Bref tu veux un systéme plus ou moins calqué sur le sytéme américain où l'Etat assure ( via par exemple les systémes medicare et medicaid ) un accès de base aux soins ( et à des pensions  ) et où le reste des prestations sociales se fait via un systéme assurantiel privé ( payé par l'employeur ou l'employé ).

Ce genre de systéme a le défaut d'être très couteux  ( voir par exemple ici : http://donnees.banquemondiale.org/indicateur/SH.XPD.PCAP  ou sur le site de l'INSEE pour des dépenses en % du PIB : http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=98&ref_id=CMPTEF06312  ) et peu équitable ( solidaire donc à mon sens )

Je ne vois pas quel gain macro-économique nous aurions à mettre en place un tel système ?

Enfin si on va dans ce sens ( et pour rejoindre aviapics ), autant choisir ce que chacun veut verser à la caisse commune ( l'Etat ) et où l'affecter : exemple, je n'ai pas d'enfants, pourquoi je devrais payer pour des dépenses d'éducation ? ( la réponse c'est parce que je me sens solidaire de mes concitoyens qui en ont  ;)  )

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Lutte contre la fraude fiscale : de nouveaux outils à disposition le 1er janvier 2013

La directive afférente à la coopération administrative dans le domaine fiscal entrera en vigueur le 1er janvier 2013.

La directive relative à la coopération administrative dans le domaine fiscal vise à améliorer les échanges d’informations pertinentes entre les autorités fiscales des pays de l’Union européenne (UE). Parmi les mesures pratiques adoptées, il convient de noter l’établissement de procédures et formulaires communs pour l’échange d’informations, ainsi que la suppression du secret bancaire.

En outre, la directive permet aux agents fiscaux de chacun des États de l’Union de participer aux enquêtes administratives menées dans un autre État membre. Ils pourront également demander que leurs décisions et documents fiscaux soient notifiés dans d’autres États membres de l’Union.

Ces dispositions s’appliqueront à l’ensemble des taxes et impôts, à l’exception de la TVA et des droits d’accise qui, rappelons-le, relèvent de dispositions législatives spécifiques de l’Union.

http://actualitesdudroit.lamy.fr/Accueil/Articles/tabid/88/articleType/ArticleView/articleId/121936/Lutte-contre-la-fraude-fiscale-de-nouveaux-outils-a-disposition-le-1supersup-janvier-2013.aspx

Les aides d’Etat accordées au secteur financier dans l’Union européenne se sont élevées au total à 1.600 milliards d’euros entre le début de la crise en octobre 2008 et fin décembre 2011 selon un document publié vendredi par la Commission européenne.

Cette somme représente 13% du PIB de l’UE, selon le tableau de bord des aides d’Etat portant sur 2011. La grande majorité, soit 67%, était constituée de garanties publiques sur le financement des banques.

L’année 2011 a également été la dernière où la Commission a appliqué des règles temporaires en matière d’aides d’Etat pour aider l’économie réelle en période de crise. Ce type d’aide, accordé à l’ensemble de l’économie, a représenté 48 milliards d’euros en 2011, soit 0,037% du PIB de l’UE et une diminution de plus de 50% par rapport à l’année précédente.

Cela reflète, selon la Commission, à la fois un faible recours à ces aides par les entreprises et les contraintes budgétaires qui pèsent sur la plupart des Etats.

Le total des aides non liées à la crise à diminué, atteignant 64,3 milliards d’euros en 2011, soit 0,5% du PIB européen. Il s’agit “d’une tendance à la baisse sur le long terme”, a indiqué Antoine Colombani, porte-parole du commissaire européen à la Concurrence, Joaquin Almunia, soulignant que ces aides représentaient encore 2% du PIB de l’UE dans les années 1980.

Enfin, selon le tableau de bord, fin juin 2012, environ 85% du montant total des aides illégales, car contraires aux règles européennes de la concurrence, avait été reversé par leurs bénéficiaires aux autorités. Cela représente plus de 13,5 milliards d’euros.

http://www.news-banques.com/ue-1-600mds-deuros-daides-detat-versees-aux-banques-de-2008-a-2011/0121108065/

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En outre, la directive permet aux agents fiscaux de chacun des États de l’Union de participer aux enquêtes administratives menées dans un autre État membre. Ils pourront également demander que leurs décisions et documents fiscaux soient notifiés dans d’autres États membres de l’Union.

Ca existe déjà dans les directives européennes ( et même hors UE )

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Pour 2 raisons principales :

- une partie importante des revenus des classes les plus aisées proviennent de revenus de leur patrimoine/capital et non de revenus de leur travail hors les revenus du patrimoine/capital ne sont pas entièrement pris en compte dans la base taxable de l'IRPP, c'est ce qu'on appelle l'assiette en fiscalité

- les très hauts revenus ont les moyens d'avoir des avocats fiscalistes et des conseilers fiscaux ce qui leur permet ( notamment via les niches fiscales ) "d'optimiser" leur impôt ( de le faire baisser )   

Donc, comme je l'ai énoncé, pour faire ce graphique, des hypothèses (très discutables) on été prises.

On ne peut donc ce baser sur celui-ci pour tenir des conclusions à l'emporte pièce comme cela a été fait.

Je veux bien que les riches aient du foncier ou des valeurs mobilières et que les plus-values ne soient taxées qu'à 20%.

enfin, ce n'est pas tous les ans que les riches empochent des plus-values sur l'immobilier ...

Quand aux œuvres d'art dont les plus-values des ventes sont défiscalisées, c'est marrant, je n'entend aucun d'entre vous pousser les mêmes cri d'orfraies qu'avec les mesures Sarko.

Pourtant, là, on a un vrai scandale. Et n'allez pas me faire croire que la bonne santé du marché de l'art (qui profite plutôt aux collections privées) permet de répandre la culture dans notre société.  :P

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j'ai rien compris  :-[

L'assiette des impots et des revenu retenu pour le bouclier sont spécifiques. Sont exonéré du revenu les "gain" d'assurance vie multisupport, certains plus valus immobilière, les "gain" sur PEA.

On peut donc assez facilement modelé ses revenu pour faire baisser massivement le revenu de référence "bouclier" tout en conservant des impot - notamment ISF - élevé.

Avec un si faible revenu "bouclier" de référence, la part d’impôt sur revenu de référence explose, et on se retrouve avec un gros crédit d’impôt. Ce crédit ramène l’impôt total payé treeeeees en dessous des 50% sur revenu "réel".

comment un graphique censé prouver que personne paye plus de 50% de ses revenus, et surtout pas les riches, n'entre il pas en contradiction avec le fait que des millions ont étés remboursés au titre du bouclier fiscal?

Le diable se cache toujours dans les détails, les "revenu fiscal de référence", "revenu bouclier de référence", "revenu réel" peuvent être extrêmement différent si une grosse pas des revenu/patrimoine se situ dans un ou plusieurs "niche" qui vont bien. en jouant sur ces différence d'assiette on peut optimiser largement son revenu bouclier et ainsi plafonner très bas son "imposition totale"/"revenu réel". Ceci les salarié dont les revenu servent exclusivement a payer les dépense courante ne peuvent absolument pas le faire, ce qui explique que le haut de la classe moyenne et le bas des aisés se fassent massacrer en impôt par rapport aux "riches".

En pratique on est très loin de l'exemple du paysan rétais au RSA et assommé par l'ISF ;)

Et effectivement pour certain le bouclier était infiniment plus rentable que la suppression pur et simple de l'ISF contre un tranche d'IRPP additionnelle :lol:


Au menu de noel de la crise ... pas de dinde ... mais du fiscal cliff. Il reste une petit semaine avant que l'automate budgétaire se mette en branle et ne fixe macaniquement des hausse de recette - via des hausse d'impo - et des baisse de dépense pour contenir la dette sous le plafond.

La bonne nouvel c'est que tout le monde a pris congé pour les fete de noel. La session parlementaire est suspendue...

WASHINGTON - Efforts to save the nation from going over a year-end "fiscal cliff" were in disarray as lawmakers fled the Capitol for their Christmas break. "God only knows" how a deal can be reached now, House Speaker John Boehner declared.

President Barack Obama, on his way out of town himself, insisted a bargain could still be struck before Dec. 31. "Call me a hopeless optimist," he said.

A look at why it's so hard for Republicans and Democrats to compromise on urgent matters of taxes and spending, and what happens if they fail to meet their deadline:

NEW YEAR'S HEADACHE

Partly by fate, partly by design, some scary fiscal forces come together at the start of 2013 unless Congress and Obama act to stop them. They include:

- Some $536 billion in tax increases, touching nearly all Americans, because various federal tax cuts and breaks expire at year's end.

- About $110 billion in spending cuts divided equally between the military and most other federal departments. That's about 8 percent of their annual budgets, 9 percent for the Pentagon.

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Hitting the national economy with that double whammy of tax increases and spending cuts is what's called going over the "fiscal cliff." If allowed to unfold over 2013, it would lead to recession, a big jump in unemployment and financial market turmoil, economists predict.

WHAT IF THEY MISS THE DEADLINE?

If New Year's Day arrives without a deal, the nation shouldn't plunge onto the shoals of recession immediately. There still might be time to engineer a soft landing.

So long as lawmakers and the president appear to be working toward agreement, the tax hikes and spending cuts could mostly be held at bay for a few weeks. Then they could be retroactively repealed once a deal was reached.

The big wild card is the stock market and the nation's financial confidence: Would traders start to panic if Washington appeared unable to reach accord? Would worried consumers and businesses sharply reduce their spending? In what could be a preview, stock prices around the world dropped Friday after House Republican leaders' plan for addressing the fiscal cliff collapsed.

Federal Reserve Chairman Ben Bernanke has warned lawmakers that the economy is already suffering from the uncertainty and they shouldn't risk making it worse by blowing past their deadline.

WHAT IF THEY NEVER AGREE?

If negotiations between Obama and Congress collapse completely, 2013 looks like a rocky year.

Taxes would jump $2,400 on average for families with incomes of $50,000 to $75,000, according to a study by the non-partisan Tax Policy Center. Because consumers would get less of their paychecks to spend, businesses and jobs would suffer.

At the same time, Americans would feel cuts in government services; some federal workers would be furloughed or laid off, and companies would lose government business. The nation would lose up to 3.4 million jobs, the Congressional Budget Office predicts.

"The consequences of that would be felt by everybody," Bernanke says.

THE TAXES

Much of the disagreement surrounds the George W. Bush-era income tax cuts, and whether those rates should be allowed to rise for the nation's wealthiest taxpayers. Both political parties say they want to protect the middle-class from tax increases.

Several tax breaks begun in 2009 to stimulate the economy by aiding low- and middle-income families are also set to expire Jan. 1. The alternative minimum tax would expand to catch 28 million more taxpayers, with an average increase of $3,700 a year. Taxes on investments would rise, too. More deaths would be covered by the federal estate tax, and the rate climbs from 35 percent to 55 percent. Some corporate tax breaks would end.

The temporary Social Security payroll tax cut also is due to expire. That tax break for most Americans seems likely to end even if a fiscal cliff deal is reached, now that Obama has backed down from his call to prolong it as an economic stimulus.

THE SPENDING

If the nation goes over the fiscal cliff, budget cuts of 8 or 9 percent would hit most of the federal government, touching all sorts of things from agriculture to law enforcement and the military to weather forecasting. A few areas, such as Social Security benefits, Veterans Affairs and some programs for the poor, are exempt.

THERE'S MORE AT STAKE

All sorts of stuff could get wrapped up in the fiscal cliff deal-making. A sampling:

- Some 2 million jobless Americans may lose their federal unemployment aid. Obama wants to continue the benefits extension as part of the deal; Republicans say it's too costly.

- Social Security recipients might see their checks grow more slowly. As part of a possible deal, Obama and Republican leaders want to change the way cost-of-living adjustments are calculated, which would mean smaller checks over the years for retirees who get Social Security, veterans' benefits or government pensions.

- The price of milk could double. If Congress doesn't provide a fix for expiring dairy price supports before Jan. 1, milk-drinking families could feel the pinch. One scenario is to attach a farm bill extension to the fiscal cliff legislation , if a compromise is reached in time.

- Millions of taxpayers who want to file their 2012 returns before mid-March will be held up while they wait to see if Congress comes through with a deal to stop the alternative minimum tax from hitting more people.

CALL THE WHOLE THING OFF?

In theory, Congress and Obama could just say no to the fiscal cliff, by extending all the tax cuts and overturning the automatic spending reductions in current law. But both Republicans and Democrats agree it's time to take steps to put the nation on a path away from a future of crippling debt.

Indeed, the automatic spending cuts set for January were created as a last-ditch effort to force Congress to deal with the debt problem.

If Washington bypassed the fiscal cliff, the next crisis would be just around the corner, in late February or early March, when the government reaches a $16.4 trillion ceiling on the amount of money it can borrow.

Boehner says Republicans won't go along with raising the limit on government borrowing unless the increase is matched by spending cuts to help attack the long-term debt problem. Failing to raise the debt ceiling could lead to a first-ever U.S. default that would roil the financial markets and shake worldwide confidence in the United States.

To avoid that scenario, Obama and Boehner are trying to wrap a debt limit agreement into the fiscal cliff negotiations.

SO WHAT'S THE HOLDUP?

They're at loggerheads over some big questions.

Obama says any deal must include higher taxes for the wealthiest Americans. Many House Republicans oppose raising anyone's tax rates. Boehner tried to get the House to vote for higher taxes only on incomes above $1 million but dropped the effort when it became clear he didn't have the votes.

Republicans also insist on deeper spending cuts than Democrats want to make. And they want to bring the nation's long-term debt under control by significantly curtailing the growth of Medicare, Medicaid and Social Security , changes that many Democrats oppose.

Obama, meanwhile, wants more temporary economic "stimulus" spending to help speed up a sluggish recovery. Republicans say the nation can't afford it.

IT'S NOT JUST WASHINGTON

Seems like they could just make nice, shake hands and split their differences, right?

But there's a reason neither side wants to give ground. The two parties represent a divided and inconsistent America. True, Obama just won re-election. But voters also chose a Republican majority in the House.

Republican and Democrats alike say they are doing what the voters back home want.

Neither side has a clear advantage in public opinion. In an Associated Press-GfK poll, 43 percent said they trust the Democrats more to manage the federal budget deficit and 40 percent preferred the Republicans. There's a similar split on who's more trusted with taxes.

About half of Americans support higher taxes for the wealthy, the poll says, and about 10 percent want tax increases all around. Still, almost half say cutting government services, not raising taxes, should be the main focus of lawmakers as they try to balance the budget.

When asked about specific budget cuts being discussed in Washington, few Americans express support for them.

THE COUNTDOWN

Time for deal-making is short, thanks to the holiday and congressional calendars. Some key dates for averting the fiscal cliff:

- Lawmakers aren't expected to return to the Capitol until after Christmas, leaving less than a week to vote on a compromise before year's end.

- Obama and his family also were leaving town for a Christmas vacation in Hawaii. The president said because the fiscal cliff was still unresolved, he would return to Washington next week.

- If lawmakers reach Dec. 31 without a deal, some economists worry that the financial markets might swoon.

- The current Congress is in session only through noon Eastern time on Jan. 3. After that, a newly elected Congress with 13 new senators and 82 new House members would inherit the problem.

Associated Press writers Jim Kuhnhenn, Alan Fram and Andrew Taylor and Director of Polling Jennifer Agiesta contributed to this report.

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