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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Je crois qu'il ne pointe pas que la repentance (bien qu'il le fasse et admette entre les lignes qu'il n'y a pas de dirigeant allemand encore capable d'assumer totalement ET ayant une certaine hauteur de vue) mais aussi la perception d'un leadership allemand assumé par les autres acteurs européens. "Bizarrement" ça passerait probablement très très mal. Rien que l'influence actuelle est la cible d'opinions clairement germanophobes de la part des opinions, ça ne serait que le début.

Le simple fait qu'un politique allemand se retranche derrière auschwitz, c'est juste pathologique...

Aprés je ne connais pas bien ce qu'est la gauche allemande..

Mon avis est qu'il ne peut pas y avoir de leadership allemand seul, il ne peut y avoir qu'un binôme ou un trinôme avec les allemands pour impulser une gouvernance à l'europe, forcément ce ne plaira pas à tous les membres de l'union, tant pis, même si l'europe doit se relancer à 5 ou 6..

Bon avec FH, je le sens mal ce scénario.. :oops:

A lire.

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je pense que FH au bout du compte fera comme tout le monde y compris les Allemands il se raccrochera à un truc qui marche (si comme dirait OD il en existe un excepté 10 ans de récession purgatoire) , lui et tout les autres ... si çà passe par une réduction de la zone euro et bien on en passera par là ...

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Le simple fait qu'un politique allemand se retranche derrière auschwitz, c'est juste pathologique...

Aprés je ne connais pas bien ce qu'est la gauche allemande..

Mon avis est qu'il ne peut pas y avoir de leadership allemand seul, il ne peut y avoir qu'un binôme ou un trinôme avec les allemands pour impulser une gouvernance à l'europe, forcément ce ne plaira pas à tous les membres de l'union, tant pis, même si l'europe doit se relancer à 5 ou 6..

Encore une fois je suis d'accord sur le caractère pathologique. Je ne faisais qu'essayer d'en analyser les mécanismes.

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Le Japon. L'heure de vérité.

Avis de tempête sur l'économie japonaise.

Nouvelle alerte au pays du soleil levant. Selon les chiffres publiés mercredi par le ministère des Finances, l'excédent de sa balance courante a dévissé de 45% au premier semestre 2012. Une chute considérable qui s'explique par l'aggravation de son déficit commercial, estimé actuellement à 2500 milliards de yens (25 milliards d'euros). Soit une somme cinq fois supérieure à celle de 2011. L'explosion des importations (+ 8%), peu compensée par les exportations (+ 2,8%), a grandement nuit à l'équilibre de la balance commerciale japonaise.

L'arrêt des 50 réacteurs nucléaires, en marge de l'accident de Fukushima de 2011, a entraîné une forte demande nippone en hydrocarbures. Une transition énergétique d'autant plus coûteuse que le cours du pétrole ne cesse de bondir. A la clôture de la bourse de New York mardi soir, le baril d'or noir s'échangeait à 93,40 dollars (75,56 euros). De même, le Japon dépend fortement de ses partenaires étrangers pour se fournir en gaz naturel.

L'arbre qui cache la forêt

Plus important encore, cet épisode conjoncturel dévoile les prémices du défi économique auquel est confronté le Japon. La troisième économie du monde ne semble plus être en mesure de conserver l'insolent excédent de ses comptes courants. Sans politiques fiscales d'envergure, certains analystes s'attendent même à ce que la balance courante passe au rouge d'ici 2013. En cause, la dette nippone qui fait l'objet de grandes spéculations. Après la dégradation de la note souveraine à A+ par Fitch en mai, le FMI a appelé voici cinq jours le Japon à faire plus pour réduire sa dette. Bien que détenue à 95% par les épargnants japonais, la dette nippone ne cesse d'augmenter et représente plus de 230% du PIB de l'archipel. A titre de comparaison, la dette de la Grèce équivaut à 130% de son PIB.

Avec le vieillissement de sa population et son faible taux de natalité, le gouvernement nippon craint une baisse de la demande nationale et souhaite étendre le marché de ses obligations aux investisseurs étrangers. C'est déjà chose faite : les prochaines émissions de bons japonais devraient être détenues à 55% par des créanciers internationaux. Avec une telle ouverture, le taux actuel de rendement, à 0,80% cet après midi, devrait exploser. En effet, les marchés financiers ne prêteront pas avec un retour sur investissement aussi faible.

De même, le PIB nippon, qui a su se relever après les catastrophes naturelles et nucléaires de 2011, devrait ralentir. Prévu à 2,4% en 2012, il ne devrait augmenter que de 1,5% en 2013, selon les projections du FMI. Signe que le Japon a du souci à se faire.

While All Eyes Are on Europe, Japan Circles a Black Hole

  (August 7, 2012)

While all eyes are on the absurdist tragicomedy playing out in Europe, Japan is quietly circling a financial black hole as its export economy is destroyed by its strong currency and the global recession.

There is a terrible irony in export-dependent nations being viewed as "safe havens." Their safe haven status pushes their currencies higher, which then crushes their export sector, which then weakens their entire economy and stability, undermining the very factors that created their safe haven status.

As long as Germany stays within the Eurozone, Japan is the primary example of this dynamic. Should Germany leave the euro and return to its own currency, it too will begin orbiting the financial black hole of declining exports driven by a strengthening currency in a global recession.

Economies that are less reliant on exports are much less exposed to the consequences of a strengthening currency.

We can lay out the dynamic of Japan's currency and export-dependent economy thusly:

1. Export-dependent economies such as Japan, China and Germany rely on strong exports to sustain their employment and growth.

2. This means they must maintain positive current accounts (trade surpluses).

3. As their currencies strengthen, their exports become less competitive globally.

4. Export-dependent economies must pursue strategies to keep their currencies aligned with their buyers, the importing nations.

5. Germany has done so via the eurozone, which aligned its largest import market, Europe, with its own currency.

6. China has done so by pegging the renminbi (yuan) to the U.S. dollar and restricting foreign exchange (i.e. not allowing a free-floating renminbi).

7. Japan has neither of these advantages, and must intervene in the FX markets by buying and selling yen and dollars.

8. Despite its well-known debt problems (see chart below), Japan retains a massive and diverse industrial base, a current-account surplus (or modest deficit with its nuclear power plants largely offline) and large overseas assets.

9. These assets, plus its homogeneous culture, makes Japan an island of stability in an increasingly unstable global economy.

10. For these reasons, the yen is considered a "safe haven" currency and yen-denominated bonds as "safe haven" liquid investments.

11. As demand for yen rises, the currency strengthens, weakening the competitiveness of Japanese exports.

12. The "safe haven" status of the yen ends up hurting the Japanese economy's primary engine, exports.

13. The stronger yen ends up weakening the very attributes that make the yen and Japanese bonds "safe havens."

14. As the global economy slides into recession, exports decline sharply under the double-whammy of falling demand and a rising currency.

15. Ironic, to say the least.

Image IPB

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Et le gusse qui me dit que l'arbalete est un bon moyen de subsistance et/ou de defense pour toute personne autre qu'un ninja, je lui conseille d'aller en voir une de pres et de se livrer a une petite analyse technologique de l'engin pour determiner quelle utilite/fiabilite/durabilite peut avoir ce genre d'engin en autonomie totale...

C'est quoi cette phobie de l'arbalète ?  :rolleyes: .....ça fonctionne très bien a la chasse en autonomie totale et en zones rudes pour le matériel  a condition de ne pas se munir d'une copie chinoise a deux balles.

ce que je trouve hallucinant dans ce blog c'est de conseiller de préférence  l'arc " utilisable par toute la famille " ; il n'y a personne dans ma famille capable de se servir de mes arcs avec la moindre chance de succès ; on ne s'improvise pas archer pas plus que l'on va prélever une bête rousse avec un arc en noisetier et des flèches a la rectitude toute marginale en sus de la légendaire pointe durcie au feu.

C'est bon pour lutter contre la récession ça le survivalisme.

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Le trading automatisé à haute fréquence (une plaie) en image.

Evolution du nombre d'opération entre 2007 et 2012

Image IPB

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2012/08/08/lexplosion-du-trading-a-haute-frequence-depuis-2007-en-une-image/#xtor=RSS-32280322

Eh bah faut croire que la crise pousse à la spéculation  :lol:

2007 avait refroidi les ardeurs de certains mais c'était le calme avant la tempête  :P

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@ Serge

Tout dépend de qui prend les manettes de l'UE pendant que la démocratie est abolie et, surtout, dans quel but. Si c'est pour réellement aider l'UE à s'en sortir et qu'on hérite d'une sorte de despote éclairé c'est un moindre mal, mais si c'est nos politiciens corrompus et incompétents qui oeuvrent pour leurs vrais employeurs (banques, compagnies pharmaceutiques...), ce serait le dernier clou au cercueil de l'Union.

Sinon on parle beaucoup du vieillissement de l'Allemagne mais :

- dans l'ensemble l'Europe occidentale est un continent de vieux (Italie, France, Belgique...)

- à quoi bon avoir une population jeune comme en Espagne si c'est pour en mettre la moitié au chômage ?

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@ Serge

Tout dépend de qui prend les manettes de l'UE pendant que la démocratie est abolie et, surtout, dans quel but. Si c'est pour réellement aider l'UE à s'en sortir et qu'on hérite d'une sorte de despote éclairé c'est un moindre mal, mais si c'est nos politiciens corrompus et incompétents qui oeuvrent pour leurs vrais employeurs (banques, compagnies pharmaceutiques...), ce serait le dernier clou au cercueil de l'Union.

Sinon on parle beaucoup du vieillissement de l'Allemagne mais :

- dans l'ensemble l'Europe occidentale est un continent de vieux (Italie, France, Belgique...)

- à quoi bon avoir une population jeune comme en Espagne si c'est pour en mettre la moitié au chômage ?

Le chômage ça va ça vient selon un tempo assez rapide, redresser une courbe de natalité, cela demande beaucoup plus de temps. La jeunesse c'est la garantie qu'on va avoir des entrepreneurs, car on crée peu d'entreprises à 60 ans, et d'autre part l'expérience prouve que les chercheurs en sciences trouvent plutôt quand ils sont jeunes, etc. etc.
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Abolir quelle démocratie?

Si on garantit un confort de vie (revenu minimum garanti), une presse diversifiée, des procédures de justice cohérentes et un peu de liberté pour les hobby et les divertissements, est-on si attaché à l'alternance politique et aux multi-partismes?

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Le chômage systémique des jeunes ça fait 30 ans que la France est dedans !

C'était déjà dur dans les années 80-90, j'ai moi même vécu cette période, c'est incroyablement destructeur pour un jeune qu'il soit diplôme ou pas,

a cet age on désespère de comprendre ce qui ne va pas, j'imagine même pas aujourd'hui.  j'en ai de mauvais souvenir.

Si il y avait quelque chose à faire sur le chômage pour ouvrir des portes ça serait en priorité pour eux.

Aujourd'hui, les RH se basent sur des profils  et des critères uniformisés dans leur sélection pour une présentation à leur futur employeurs.  

Dans les années 80, on pouvait avoir sa chance si on avait un minimum de connaissance et un max de motivation sans forcément avoir de diplôme,

un employeur pouvait miser sur la valeur humaine,  il fallait pas rater sa chance, maintenant par manque de temps on minimise les risques via

des sociétés de recrutement spécialisés qui ne prennent que le meilleur du meilleur selon leur critères.

Si je devais refaire mon parcours aujourd'hui, ca deviendrait terriblement difficile alors qu'il y a tellement de moyens pour apprendre. Je n'aurais pas la même stratégie.

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l'expérience prouve que les chercheurs en sciences trouvent plutôt quand ils sont jeunes, etc. etc.

C'est surtout qu'un chercheur vieux n'a plus le temps de chercher, vu qu'il est le nez dans la paperasse administrative  :lol:

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Le chômage ça va ça vient selon un tempo assez rapide, redresser une courbe de natalité, cela demande beaucoup plus de temps. La jeunesse c'est la garantie qu'on va avoir des entrepreneurs, car on crée peu d'entreprises à 60 ans, et d'autre part l'expérience prouve que les chercheurs en sciences trouvent plutôt quand ils sont jeunes, etc. etc.

Ya un taux de chômage quasiment incompressible depuis 1973...

Bien dit pour les RH.

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Pour le marché du travail j'ai de plus en plus l'impression que tout (même les postes peu qualifiés) se fait au piston. La plupart des jeunes de mon âge que je connais et qui ont un travail relativement stable l'ont eu parce qu'ils connaisaient quelqu'un dans la boîte.

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Pour le marché du travail j'ai de plus en plus l'impression que tout (même les postes peu qualifiés) se fait au piston. La plupart des jeunes de mon âge que je connais et qui ont un travail relativement stable l'ont eu parce qu'ils connaisaient quelqu'un dans la boîte.

Il y a plusieurs façons dans ma boite,  le mode standard par offre/cv/rdv, puis la case stagiaire, si il est bon,

il est pris pour pas cher, il y a ensuite le mode prestataire via les boites à viande, si il est repéré par le client,

ils se mettent d'accord pour le transfert, la boite à prestataire récupère une série de nouvelles missions à titre

de dédommagement. ca été mon cas par deux fois.  

edit: j'oubliai les réseaux sociaux pour les professionnels tel que linkedin

Le piston, mais ca ne marche pas toujours, il faut connaitre quelqu'un d'influent.  ce sont des cas particuliers.

Ca peut être aussi une simple mise en relation avec le RH via un collègue pour un stage ou une offre pouvant correspondre, sans forcément

qu'il y ai piston,ca y ressemble, le RH se charge d'éplucher le candidat. chez nous on appelle cela la cooptation. c'est un mail qu'on nous envoi

pour requérir à la cooptation, il y a même une prime pour le coopteur si le candidat est recruté.  Mais ca fait deux ans que je n'en vois plus,

vu la crise actuelle,  les recrutements sont gelés..

http://blog.netpme.fr/2007/06/12/la-cooptation-pour-recruter-bien-et-a-moindre-cout/

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Pour le marché du travail j'ai de plus en plus l'impression que tout (même les postes peu qualifiés) se fait au piston. La plupart des jeunes de mon âge que je connais et qui ont un travail relativement stable l'ont eu parce qu'ils connaisaient quelqu'un dans la boîte.

Ce n'est pas du piston c'est du réseau relationnel.
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Ce n'est pas du piston c'est du réseau relationnel.

Oui donc du piston quoi, en terme moins politiquement correct ou plus courant  :lol:

Tout le monde y a recours dans la limites de ses possibilités, moi même ça m'arrive, même si je vomis ce systéme, on est bien obliger d'y prendre part si on veut quelque chose dans ce pays corporatiste/élitiste/peigne-cul à mort  :P

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A l'occasion de l'adoption de la "regle d'or" (en debut de récession histoire de se fermer une porte de plus... :-\ ) voila un texte sur le "mythe" de la contrainte budgétaire.

http://contreinfo.info/article.php3?id_article=3167

pendant la crise, la Fed (ainsi que d’autres banques centrales, dont la Banque d’Angleterre et la Banque du Japon) ont appliqué le second principe de Lerner : fournir plus de réserves aux banques suffit à maintenir le taux d’intérêt interbancaire à un taux quasi nul. Elle l’a fait en acquérant des actifs financiers auprès des banques (une politique dite de « quantitative easing », ou assouplissement quantitatif), à un niveau record (1 750 milliards de dollars durant la première phase, avec un montant prévu de 600 milliards supplémentaires pour la deuxième phase). Ben Bernanke, le gouverneur de la Fed, a été pressé de questions par le Congrès qui voulait savoir comment il avait obtenu tout cet « argent » pour acheter ces obligations. Il a (correctement) répondu que la Fed l’avait simplement créé en créditant les réserves des banques, et ce en frappant sur les touches d’un clavier d’ordinateur. La Fed ne peut jamais manquer d’ « argent », elle peut se permettre d’acquérir tous les titres financiers que les banques sont prêtes à vendre. Et pourtant, nous avons un président (ainsi que de nombreux économistes de profession, tout comme la plupart des politiques au Congrès) qui croient que le gouvernement « manque d’argent » !

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PARIS (Reuters) - L'adoption en droit français du traité budgétaire européen peut se faire sans révision de la Constitution, a décidé jeudi le conseil constitutionnel, évitant au gouvernement socialiste d'avoir à compter sur les voix de la droite pour le ratifier.

http://fr.news.yahoo.com/pas-r%C3%A9vision-la-constitution-pour-le-trait%C3%A9-lue-175503874.html

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Le Sénat américain vient d'abandonner les poursuites contre la banque d'affaire Goldman Sachs qui était poursuivie pour son rôle dans la crise des subprimes de 2007 qui fut le point de départ de la crise financière mondiale.

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TOKYO (Reuters) - Le projet du gouvernement japonais de doubler la TVA en trois ans a été adopté vendredi au Parlement après la promesse du Premier ministre, Yoshihiko Noda, d'organiser rapidement des élections qui pourraient mettre fin à son mandat.

Le vote de ce projet de loi à la Chambre des conseillers (la chambre haute de la Diète), pourtant contrôlée par l'opposition, est le fruit d'un rare compromis alors que le Japon est en proie à la paralysie politique depuis des années.

Le vote de la loi, qui relève la TVA de 5% à 10% d'ici 2015, a été perçu comme un test de la capacité du Japon à s'attaquer à sa dette publique colossale.

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