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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Tu veux faire quoi d'autres ? Moi je refuserais de faire des enfants sans pouvoir leur garantir un avenir. C'est envoyer ses gosses au casse-pipe.

Ta femme dit la même chose?! parce c'est pas vraiment comme cela que fonctionne le désir d'enfant ;)

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Tu veux faire quoi d'autres ? Moi je refuserais de faire des enfants sans pouvoir leur garantir un avenir. C'est envoyer ses gosses au casse-pipe.

Étrange raisonnement, il me semble.

Faire des enfants, parfois il y a du hasard, surtout il y a de l'amour. Commencer à se dire: c'est un futur chômeur m'apparaît comme un raisonnement étrange.

En revanche, je croix beaucoup plus dans un lien avec le confort des parents au sens large. C'est à dire que cela ne doit pas être une gêne pour la carrière, cela coûte cher, en avoir plus d'un, c'est compliqué...

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@Serge

c'est d'ailleurs LA raison de la baisse de la natalité dans les pays ayant atteint un certain niveau de développement hormis les dispositions contraignantes genre "un enfant par femme" en Chine dans les années 60/70, programme qui se révèle être aujourd'hui une véritable catastrophe

-vieillissement accéléré de la population

-trop d'hommes (quitte à avoir un enfant on voulait un garçon notamment en zone rurale d'où énormément d'infanticides)

une amie qui a vécu en Chine me racontait à ce sujet que cette surreprésentation masculine était un réel pb en ce sens que pour le chinois lambda il est hors de question de se marier avec une étrangère, il y a aujourd'hui un vrai pb de fécondité en Chine

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On en sait un peu plus sur la mystérieuse banque publique d'investissement. Apparemment un banquier d'affaires se fera de l'argent dessus. Parmi ses cadres superieurs se trouve Rodrigo Rato, un des pires bouchers économiques qu'ai connu le FMI.

Ils se débrouillent pour qu'on ne les contourne jamais ces parasites. Mais c'est un banquier dit "de gauche" donc on est sauvés.  :lol:

http://fr.news.yahoo.com/pierre-moscovici-sous-le-feu-des-critiques-sur-164842163--sector.html

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On en sait un peu plus sur la mystérieuse banque publique d'investissement. Apparemment un banquier d'affaires se fera de l'argent dessus. Parmi ses cadres superieurs se trouve Rodrigo Rato, un des pires bouchers économiques qu'ai connu le FMI.

Ils se débrouillent pour qu'on ne les contourne jamais ces parasites. Mais c'est un banquier dit "de gauche" donc on est sauvés.  :lol:

http://fr.news.yahoo.com/pierre-moscovici-sous-le-feu-des-critiques-sur-164842163--sector.html

Pigasse est le N°2 de la banque d'affaires Lazard, possède les inrocks,a une participation dans le monde..bien placé dans la presse, et il a confié la direction des inrocks a Pulvar, la compagne de montebourg...small World quand même.

A côté de ca, les conseillers économiques spéciaux de FH sont des transfuges de la rothschild..le monde des banques d'affaires n'est pas si gros en france, les pointures du conseil de la SG ou de la BNP sont peu représentés car moins dans la maillage politique.

Les gusses qui trainent autour du gouvernement sont des réseauteurs de premier rang,copinage et compagnie. Aussi beau soit le Cv de ces types je m'interroge sur leur influence réelle dans la définition de la politique économique du pays, j'imagine plutôt une bande de lèches-boulles onéreux, qui donnent une vague caution d'expertise financière à des politichiens qui n'ont comme seul horizon les prochains sondages de popularité.

J'ai vu Moscovici sur Itelé s'en expliquait de cette affaire il avait quand même pas l'air à l'aise..politique, consanguinité et gros sous..

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Dans un pays aussi centralisé il peut arriver des coïncidences. Je pense qu'il n'y avait pas besoin de la Pulvar pour choisir la banque d'un proche du PS. Si les medias focalisent trop sur la Pulvar on évite la question sur la methode utilisée: On a pas assez de fonctionnaires à Bercy pour se passer de ces rapaces ?

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Dans un pays aussi centralisé il peut arriver des coïncidences. Je pense qu'il n'y avait pas besoin de la Pulvar pour choisir la banque d'un proche du PS. Si les medias focalisent trop sur la Pulvar on évite la question sur la methode utilisée: On a pas assez de fonctionnaires à Bercy pour se passer de ces rapaces ?

En effet Pulvar, c'est juste un bonus, Pigasse n'en avait pas besoin pour récupérer le mandat.

Il y a surement assez de matière grise à Bercy, encore faut-il que les politiques veuillent bien s'en servir.

En s'entourant de ces types, ils pensent s'entourer de ce qui se fait de mieux, et surtout ils sont surs de leur loyauté, du moins le temps de leur mandat de conseil.

Ça pointe le caractère clientéliste du pouvoir dans ce pays, on l'avait déjà constaté du temps de sarkozy, FH peut nous enfumer tout ce qu'il veut, mais il est aux commandes et c'est lui qui marque les grandes lignes. Alors ca pose la question de la Vème république, du role du président, du parlement, ou celui de la politique économique contrôlée à un niveau supra, genre europe héhé.

Le vrai problème, c'est l'absence de vision économique claire des politiques qui peut être le fruit de leur manque de culture générale en la matière..ou disons le manque de mise à jour de leurs connaissances, on peut postuler que ces énarques ont quand même reçu les enseignements des fondamentaux. Pour l'instant on a du pilotage à la petite semaine, pas bon avec les défis qui s’amoncellent à l'horizon.

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Pour ceux qui ont un peu d'économie et qui veulent s'offrir une résidence secondaire au soleil au bord la plage.

Il y a en ce moment les banques espagnols qui bradent tout leur parc immobilier saisie auprès de particulier et de promoteur immobilier qui ont fait faillite.

En fait les banques espagnols  comme toute le monde sait, sont elle aussi endettés jusqu'au cou et vendent tout leur actifs comme quoi la pierre n'est plus un placement aussi sur qu'avant.

C'est vraiment les soldes ! Réduction jusqu'à 60% ! :lol:

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/09/01/97002-20120901FILWWW00302-espagneimmobilier-des-rabais-de-60.php

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Parmi ses cadres superieurs se trouve Rodrigo Rato, un des pires bouchers économiques qu'ai connu le FMI.

Mais à quoi sont dû ces "bouchers économiques" ? Incompétence technique, malhonnêteté intellectuelle, conflits d'intérêt... Quels sont les "mécanismes" de leurs prestations lamentables ?

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Mais à quoi sont dû ces "bouchers économiques" ? Incompétence technique, malhonnêteté intellectuelle, conflits d'intérêt... Quels sont les "mécanismes" de leurs prestations lamentables ?

Pour situer RATO, c'est le prédécesseur de strauss khan, il a dirigé la BANKIA et a des problèmes  :lol: :

http://www.lemonde.fr/sujet/7c0b/rodrigo-rato.html

RATO a été recruté récemment par LAZARD.

Edit :

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0202241813464-bankia-annonce-une-perte-de-plus-de-4-milliards-d-euros-357730.php

Hormis les dettes immobilières, on notera :

La banque a précisé que les dépôts du secteur privé avaient diminué de 12,8 milliards d'euros à 109 milliards d'euros durant le semestre. La société holding BFA a publié elle une perte nette de 2,8 milliards d'euros.

Ya une sortie généralisée des capitaux des banques espagnoles.
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Trois mois après l'acquisition par ADP de 38% du groupe aéroportuaire turc TAV pour 874 millions de dollars, la Turquie a annoncé vouloir construire un nouvel aéroport gigantesque à Istanbul pour 2015. Si elle se concrétisait, cette décision imprévue remettrait sérieusement en cause le retour sur investissement d'ADP, pour qui cette aventure n'était autre que sa plus grosse opération capitalistique.

Sueurs froides chez les dirigeants d'Aéroports de Paris (ADP). Trois mois et demi après avoir déboursé la somme de 874 millions de dollars pour acheter 38% du capital du groupe turc TAV, propriétaire de plusieurs aéroports dont Ataturk à Istanbul en pleine croissance, la question est sur toutes les lèvres. ADP, en procédant à la plus grosse acquisition de son histoire, celle qui devait lui garantir des relais de croissance exceptionnels, s'est-il fait rouler dans la farine ?

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/services/transport-logistique/20120901trib000717288/aeroports-de-paris-s-est-il-fait-rouler-dans-la-farine-en-turquie-.html

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La fonction publique territoriale pointée du doigt: Ta carrière est fi-nie !

http://www.lefigaro.fr/livres/2012/08/31/03005-20120831ARTFIG00500-la-fonction-publique-a-vif.php

J'ajoute que j'ai connu durant un an la fonction publique civile nationale et que de ce côté je n'ai jamais vu une telle gabegie, telle que décrite dans ce livre qui porte lui sur la territoriale, où les abus de pouvoir et passe-droits sont probablement bien plus fréquents, maires et élus pouvant jouer les petits chefs.

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@ Jojo67,

Quand vous parlez de FPE, c'est celles des ministères et assemblée parlementaire?

Oui tout à fait, celle des ministères. Et là je dois dire que j'ai quand même été bluffé par la rigueur et le respect des règles que j'y ai vu. Ne pas passer un marché public pour choisir une entreprise privée pour des travaux était proprement impensable! Le recrutement se fait par concours d'Etat et les places sont fournies en fonction du classement de sortie. Recruter quelqu'un hors concours est impossible sauf peut-être pour une mission ponctuelle de chargé de mission. On est là dans de lourdes machines, aux rouages policés, très loin du laisser-aller de la fonction publique territoriale qui semble dominée par des roitelets locaux.
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Une occasion de voir les nouveaux à l'œuvre:

Le Crédit Immobilier de France au bord du gouffre : vers une nationalisation ?

Publié le 30/08/2012

Le Crédit Immobilier de France est incapable de payer sa dette d’octobre. Il est virtuellement mort. Que va faire le gouvernement ?

Par Thibault Doidy de Kerguelen.

Les 10 et 21 mai dernier, nous vous annoncions que le Crédit Immobilier de France n’était plus viable et qu’il ne pourrait pas se sauver sans l’aide extérieure d’une structure solide.

Aujourd’hui, une dépêche AFP annonce que Moody’s aurait abaissé la note de CIF de trois crans. Il s’agit en fait d’une confirmation. Cette confirmation, comme nous l’écrivions déjà en mai dernier, vient sanctionner la situation de la Banque sur les marchés. Nous sommes au pied du mur. La banque n’a plus accès depuis plusieurs mois aux marchés pour se refinancer et doit régler une dette de 1,75Md€ début octobre. Elle n’a pas le premier fifrelin pour payer. Défaut ? Que va faire le gouvernement ? Nationaliser ? [1]

Le scénario d’une nationalisation du CIF n’a jamais été formellement démenti par les autorités françaises. Un sauvetage serait en tout état de cause un sérieux coup dur pour le système bancaire français et un test grandeur nature pour le nouveau gouvernement. En effet, le président Hollande a promis pendant sa campagne électorale de rendre le système bancaire plus sûr pour éviter aux contribuables de devoir payer la facture en cas de sauvetage d’une banque. Voici la première occasion de montrer à quoi il pensait. C’est d’autant plus intéressant qu’il n’est pas impossible que ce genre de situation ne se représente pour d’autres établissements. Et la manière dont l’affaire CIF (finalement un petit enjeu au regard de ce qui risque de tomber dans le courant de l’année prochaine) déterminera, tant aux yeux des banques qu’aux yeux des usagers des banques et aux yeux des contribuables la manière dont réagira l’État. Une nationalisation, et c’est le feu vert à tous les excès, les banques se croyant garanties par la fameuse loi « à moi les profits, à l’État les pertes ». Un plantage et c’est le spectre de la crise systémique. Pas tout de suite, les CDS sur la dette de CIF ne doivent représenter grand chose, mais si le signal gouvernemental serait « laisser faire » (politique hautement libérale dans son esprit) et les professionnels sachant ce que valent [2] les banques françaises, le cours des CDS vont s’envoler, et la crise va s’amorcer plus vite que prévu avec des conséquences sur tout le système bancaire européen.

Une attitude qui ressemblerait bien à notre Président serait de faire sans faire tout en disant qu’il ne fait pas mais qu’il a néanmoins résolu le problème. À quoi cela pourrait il ressembler ? À un ordre donné à une banque dépendant de l’État de reprendre CIF. Ah oui, cela permettrait de dire que l’État, à proprement parlé, n’a pas sorti un cent mais qu’il est intervenu pour sauver un établissement jouant un rôle prépondérant dans le logement social. Le problème, c’est que visiblement, il va falloir le donner, cet ordre. Parce que depuis le temps que la piste Banque Postale est évoquée, on ne peut pas dire que cette dernière se soit précipitée de joie à l’idée de jouer les bons Samaritains. BPCE a jeté l’éponge dès le départ de l’affaire (trop occupée avec Natixis ?), Crédit Agricole a deux ou trois autres problèmes à régler et cherche plus à se débarrasser de ses canards boiteux qu’à en récupérer… « On » dit dans les milieux qui se disent (ou se croient) bien informés que HSBC, qui avait été mandatée pour trouver un repreneur, a jeté l’éponge, estimant qu’il n’y a plus d’autre solution raisonnable que la nationalisation.

Alors, Banque Postale ou nationalisation ? la Banque Postale est déjà obligée d’avaler la couleuvre Dexia, au moins pour sa partie financement des collectivités locales. Le dossier est bouclé, il ne manque plus que l’aval de Bruxelles. Reprendre dans la foulée le Crédit Immobilier de France est « limite raisonnable ». Bien sûr, une équipe étudie la chose, mais sans grande conviction. On dit, pudiquement, que le dossier « Dexia » mobilise déjà les énergies. Politiquement, il est à peu près certain que le gouvernement va donner l’ordre à Banque Postale de reprendre CIF. Avec le risque de fragiliser le repreneur. Nous risquons donc de voir se jouer une partie de poker menteur dans laquelle le but de la direction de la banque sera probablement de noircir un maximum le tableau (plus qu’il n’est, cela risque de devenir un « trou » noir, et non plus un tableau) afin de négocier des compensations…. Les semaines qui viennent seront intéressantes !

----

du 30/08/2012, 16h30 :

En pleine confirmation de ce que nous vous annoncions ce matin (ci-dessus), le match entre la direction de la Banque Postale et le gouvernement est lancé. Ce matin, devant le conseil d'administration de La Poste, Philippe Wahl, le président du directoire de La Banque Postale, a redit son opposition au sauvetage du Crédit Immobilier de France. Il a déclaré ce matin : «Pour l'instant, les conditions ne sont pas réunies»,  «Pour autant les discussions ne sont pas closes». Outre les raisons évoquées dans notre article plus haut, Philippe Wahl a cité l'affaire Appollonia dans laquelle le Crédit Immobilier est englué et dont le périmètre d'avoirs douteux tourne autour de 340M€ comme étant une raison supplémentaire de ne pas s'encombrer de la banque en difficulté. Il a terminé son exposé sur le sujet en attirant l'attention du CA de la Poste sur le fait qu'à la lecture des comptes semestriels publiés de ce matin, La Banque Postale démontrait qu'elle n'avait besoin de personne pour faire du crédit immobilier, puisque ses encours en la matière ont progressé de plus de 8% sur le premier semestre de l'année !

Le Président du Directoire de La Banque Postale a mis la barre haut, le match est lancé.

[...]

En vrai, regardez la vidéo d'Olivier Delamarche du 28 Août, sur le site Ma Vie Mon Argent

https://www.contrepoints.org/2012/08/30/95641-le-credit-immobilier-de-france-au-bord-du-gouffre-vers-une-nationalisation

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Mais est-ce que la nationalisation serait définitive ? Imaginons que l'Etat français renfloue, nationalise et dès que le CIF refait des bénéfices ne le renvende une bouchée de pain à un autre étéblissement privé ? Le classique "quand vous perdez c'est pour nous, quand vous gagnez c'est pour vous." J'ai peur que l'Etat français ne serve qu'à couvrir les dettes sans profiter des bénéfices que pourrait refaire le CIF une fois remis à flots.

:-[

Quelles autres banques françaises sont potentiellement en danger ?

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