Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
 Share

Messages recommandés

Des fonds d'investissement américains suspectés de fraude fiscale.

Plusieurs fonds d'investissement américains sont visés par une enquête des autorités de l'Etat de New York, qui les soupçonnent d'avoir mis en place une stratégie pour échapper à l'impôt, affirme le New York Times sur son site internet, citant des personnes ayant connaissance de l'enquête.

Le journal cite parmi les fonds concernés KKR, TPG Capital, Sun Capital, Appolo Global Management, Siler Lake Partners et Bain Capital, une société fondée et dirigée pendant quinze ans par le candidat républicain à la Maison blanche Mitt Romney.

Le procureur général new-yorkais, Eric Schneiderman, a assigné au total « plus d'une dizaine » de fonds, afin d'obtenir des documents révélant s'ils ont transformé certains frais de gestion payés par leurs investisseurs en « investissements », beaucoup moins taxés, détaille le journal.

Ils auraient ainsi évité des centaines de millions de dollars d'impôts, selon le New York Times, qui précise que la pratique est fréquente dans le secteur, mais que les experts sont divisés sur sa légalité.

Un porte-parole du procureur et des représentants des fonds d'investissement interrogés par le journal n'ont pas voulu confirmer.

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0202242746080-des-fonds-d-investissements-americains-suspectes-de-fraude-fiscale-357791.php
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 9,1k
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

Quelles autres banques françaises sont potentiellement en danger ?

On en parle dans ce - toujours divertissant - épisode de "Keiser Report".

Attention, la traduction est très approximative donc je conseille de l'écouter en anglais plutôt.

On commence par la compagne électorale US durant laquelle Obama fait la leçon aux Européens sur la crise (sous-entendez, ne venez pas m'emm....r pendant ma réélection avec votre crise Européenne qui a un impact sur mes électeurs) et Fabius lui répond "La crise que nous traversons est originaire des USA qui, depuis 2007, ont mis le monde entier dans la m..... (sous-entendez, assume tes responsabilités espèce de gros c... au lieu de rejeter la faute sur les autres).

IZ-wszfLF18

"Tyler" sur Zerohedge :

September Arrives, As Does The French "Dexia Moment" - France Nationalizes Its Second Largest Mortgage Lender

Submitted by Tyler Durden on 09/01/2012 - 16:32

September has arrived which means for Europe reality can, mercifully, return.

First on the agenda: moments ago the French government suddenly announced the nationalization of troubled mortgage lender Credit Immobilier de France, which is also the country's second lagrest mortgage specialist after an attempt to find a buyer for the company failed. "

To allow the CIF group to respect its overall commitments, the state decided to respond favourably to its request to grant it a guarantee," Finance Minister Pierre Moscovici said according to Reuters. What he really meant was that in order to avoid a bank run following the realization that the housing crisis has finally come home, his boss, socialist Hollande, has decided to renege on his core campaign promise, and bail out an "evil, evil" bank. Sadly, while the nationalization was predicted by us long ago, the reality is that the French government waited too long with the sale, which prompted the Moody's downgrade of CIF by 3 notches earlier this week, which in turn was the catalyst that made any delay in the nationalization inevitable.

The alternative: fears that one of the key players in the French mortgage house of cards was effectively insolvent would spread like wildfire, leading to disastrous consequences for the banking system. End result: congratulations France: your Fannie/Freddie-Dexia moment has finally arrived, and the score, naturally: bankers 1 - taxpayers 0.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Update : Claude Sadoun, l'ex. Président du Crédit Immobilier de France qui vient de se faire virer a touché un petit cadeau de départ - probablement pour le remercier d'avoir mis sa banque en faillite, heureusement que les crétins de contribuables vont raquer - un petit cadeau sous la forme d'un chèque de... 1 500 000 Euros (Un Million Cinq Cent Mille Euros).

Il n'y a plus un euro en caisse mais il a quand même touché son blé...  >:(

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/industrie-financiere/20120902trib000717357/l-ancien-patron-du-credit-immobilier-de-france-a-touche-15-million-d-indemnites.html

Sinon, Lagarde* vous l'avait dit : Les stress-tests l'ont démontré : Les banques Françaises sont solides !

* Grande Astrologue Française, connue mondialement pour ses prédictions de croissance à 3%.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour ceux qui veulent approfondir le cas du CIF et qui aiment tant les chiffres que l'anglais,  voici une présentation de janvier 2012 de cette banque:

http://www.3cif.com/c/document_library/get_file?uuid=2c10a86f-d8e3-43e9-9c4a-09762b764c49&groupId=1888277

Bien sûr, en janvier 2012, cette banque était particulièrement "low risky".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Aaaaah le hors bilan, cette hérésie. Les CDS sont hors bilan si mes souvenirs sont bons.

Sinon une opinion de Martin Feldstein sur la Grèce et l'euro.

http://www.lalibre.be/economie/actualite/article/758290/martin-feldstein-therapie-de-choc-d-un-eurosceptique.html

En Belgique et plus particulièrement en Wallonie, on souligne qu'il existe beaucoup d'argent, sous contrôle public et d'autres fonds appartenant aux particuliers que certains semblent juger bon de capter.

http://www.lalibre.be/actu/politique-belge/article/758247/nollet-on-peut-capter-de-l-epargne-des-particuliers.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Précision sur le sauvetage/torpillage du CIF :

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/industrie-financiere/20120903trib000717544/faillite-du-cif-une-hecatombe-sociale-en-vue-.html

En contrepartie de la garantie accordée au Crédit Immobilier de France, l'État lui demande de maintenir uniquement ses activités de prêts en extinction. Cette requête risque d'avoir des conséquences sociales importantes.

L'arrêt de la production de crédits nouveaux "touchera en premier lieu les commerciaux, en particulier dans les régions, et toute la chaîne qu'il y a derrière", indique Gérald Parent. Ce, sachant que les commerciaux représentent environ deux tiers des 2500 salariés du CIF, selon Françoise Francini.

Le délégué syndical est d'autant plus surpris de la manière dont "les choses se sont précipitées", que selon lui, "la production de crédits début 2012 était supérieure à celle de début 2011, et les ratios bancaires demandés par la Banque de France étaient bons".

Il ne goûte en outre pas "la satisfaction générale des pouvoirs publics et des dirigeants" du CIF, alors qu'en "aucun cas le devenir des 2000 salariés est à l'ordre du jour". Le conseil d'administration du CIF s'est en effet fendu d'un communiqué, se montrant "reconnaissant" envers l'Etat de lui accorder cette garantie qui lui permettra "de respecter l'ensemble de ses engagements financiers". De son côté, l'Etat s'est pour l'instant contenté de dire que "l'argent des contribuables ne sera pas mis en cause".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

France : et si la croissance dormait au fonds des océans ?

On ne le sait que trop peu... La France dispose de la deuxième zone économique exclusive (ZEE) derrière les Etats-Unis avec 11 millions de kilomètres carrés, dont 90 % dans les départements et collectivités d'outre-mer (Dom-Com), souvent des îlots du bout du monde où la marine nationale patrouille de moins en moins faute de crédits.

Et alors ? C'est peut-être du fonds des océans (71 % de la planète) que la France va devenir une grande puissance pétrolière, gazière et minière, dont les fameuses terres rares, dans les dix à vingt prochaines années, à l'image des découvertes récentes de pétrole au large de la Guyane.

C'est peut être également des grands fonds océaniques que la France trouvera enfin une croissance durable. "Nous sommes très confiants dans l'avenir court terme de l'exploitation minière sous-marine par grande profondeur", avait expliqué au début de l'année lors d'un colloque organisé par le Centre d'études supérieures de la Marine le vice-président de Technip Subsea Innovation Management, Jean-Pascal Biaggi. D'autant que la France, grâce à des groupes tels que Technip ou des organismes comme l'Ifremer, dispose d'une réelle expertise scientifique et industrielle pour l'exploration des fonds sous-marins.

A Wallis-et-Futuna, une exploration prometteuse :

Déjà à Wallis-et-Futuna, perdue dans l'océan Pacifique, entre Tahiti et la Nouvelle-Calédonie, trois campagnes d'exploration menées en partenariat public-privé (Ifremer, Technip et Eramet, Areva ayant depuis abandonné le projet) en 2010, 2011 et 2012 se sont révélées prometteuses. "Des découvertes intéressantes ont été faites", avait-il précisé. Notamment des sulfures hydrothermaux, riches en cuivre, zinc, plomb, cobalt, argent et or, voire d'autres minéraux moins connus comme l'indium (utile notamment pour les écrans plats LCD et les cellules photovoltaïques) et le germanium (fibres optiques, l'optique dans le domaine de l'infrarouge, catalyseurs et électronique). "Potentiellement, le projet Wallis-et-Futuna pourrait devenir à horizon 2015-2016 le premier projet d'exploitation minière par grands fonds de la France", avait-il assuré. Pas si sûr mais car il faut en général une quinzaine d'année entre la première phase d'exploration et l'exploitation dans le domaine minier terrestre.

Richesse du fond des océans :

Que peut-on espérer ? Selon le directeur scientifique adjoint de l'Ifremer, Pierre Cochonat. Bien sûr du pétrole et gaz offshore. "Au cours de l'histoire de notre planète, des couches de sel se sont formées dans certaines parties de l'océan mondial, sous lesquelles se cachent des réserves importantes d'hydrocarbures", précise-t-il. Notamment dans "l'ultra profond". Soit dans les marges (zones de transition entre la croûte continentale et la croûte océanique), riches en accumulations d'hydrocarbures, les plaines abyssales ou les dorsales océaniques, riches en ressources minérales.

Déjà, la production en mer d'hydrocarbures représente aujourd'hui plus de 30 % de la production mondiale. Les Français peuvent espérer découvrir des hydrates de gaz, composés à 99 % de méthane. "On les trouve à partir de 400 mètres dans le fonds des mers, avait précisé Pierre Cochonat.

Dans des zones à taux de saturation élevé en gaz, des couches continues de gaz hydrates sont présentes sur les fonds marins, qui représentent des réserves très importantes de méthane".

La France peut également espérer de ressources minérales profondes, notamment les métaux rares comme le neodium qui sert à faire des aimants pour les éoliennes. Mais pas seulement. Au fond des océans, on trouve des nodules polymétalliques, riches en nickel, cuivre, zinc et manganèse. La France a d'ailleurs déposé des permis dans le Pacifique. Et elle est également très intéressée par les encroûtements cobaltifères (cobalt, nickel, platine et manganèse), dont les plus riches dans la ZEE française sont localisées en Polynésie. On y trouve également des métaux critiques (terres rares). Outre l'indium et le germanium, la France pourrait exploiter des gisements de cadmium, antimoine, mercure, sélénium, molybdène et bismuth.

Une course vers les métaux rares dans les grands fonds :

Mais la France n'est pas la seule à lorgner ces richesses sous-marines. Il existe un engouement très fort pour la recherche et l'exploration des océans de la part de certains pays, dont la Chine mais aussi la Corée, la Russie, le Japon, l'Inde et le Brésil... Ainsi, la société canadienne Nautilus n'est plus très loin d'exploiter au large de la Papouasie Nouvelle-Guinée des amas sulfurés. "Ce projet sera opérationnel en juin 2014", expliquait le vice-président de Technip Subsea Innovation Management, qui fournit l'ensemble du système de la liaison fond-surface. Ce site devrait produire 1,3 à 1,4 million de tonnes par an d'or et de cuivre.

"La course vers les métaux rares recouvre des enjeux économiques et géopolitiques", confirme Pierre Cochonat. Et d'estimer que "c'est un enjeu très important pour le positionnement international des équipes scientifiques et des groupes miniers français, avec des enjeux juridiques derrière les demandes de permis dans les zones économiques ou dans les eaux internationales. Ces métaux rares sont stratégiques". Car ils sont utilisés dans de nombreuses nouvelles technologies, y compris les énergies renouvelables. C'est ce que confirmait le chef d'état-major de la marine, l'amiral Bernard Rogel : "c'est une richesse qu'il nous faut exploiter mais aussi protéger car on ne peut plus aujourd'hui se désintéresser de ce potentiel immense".

Quelle protection ?

Problème, la marine, qui gère la pénurie - elle est en mode de juste suffisance - n'a plus les capacités de protéger en permanence tous ces îlots.

"Si nous ne surveillons pas notre ZEE et ne montrons pas notre pavillon, nous serons pillés", a récemment assuré l'amiral Rogel.

Déjà, la France est confrontée à une contestation de sa souveraineté sur certains de ses îlots du bout du monde tel que l'île de Clipperton aux confins de l'océan Pacifique, située à 1.280 kilomètres d'Acapulco au Mexique, les îles Eparses dans l'océan Indien situées autour de Madagascar, ou, enfin, Matthew et Hunter, deux petites îles inhabitées du Sud Pacifique, à 300 km à l'est de la Nouvelle-Calédonie. Pour protéger cette très vaste ZEE, la France dispose en tout et pour tout... de six frégates de surveillance et de 20 patrouilleurs. "On est loin de couvrir en permanence toute la superficie de la ZEE", indique le chef d'état-major de la marine.

Sans compter que la France tout comme d'autres pays, notamment la Chine, dépose des permis d'exploration dans des eaux profondes internationales...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Intéressant :

Le gouvernement indien devrait imposer une taxe sur les importations d'or, la troisième cette année, pour dissuader des achats qui participent à creuser le déficit commercial à des niveaux records.

C'est Prithviraj Kothari, le président de l'Association des professionnels de l'or de Bombay qui l'affirme à l'agence Bloomberg : « Le gouvernement est en train d'étudier une hausse des taxes de 7,5% (sur les importations d'or) », croit-il savoir.

En mars, le gouvernement avait doublé cette taxe pour la porter à 4%, après l'importation d'un volume record de 969 tonnes en 2011. Selon le Conseil international de l'or, les importations indiennes ont fondu au premier semestre cette année, de 42% à 340 tonnes.

Pour les importateurs indiens de métal jaune, cette taxation risque de tomber au plus mauvais moment car ils doivent déjà composer avec un prix élevé du métal jaune qui pénalise les achats (1.680 dollars l'once), alors que va débuter la saison des festivités, période propice aux achats de bijoux en or à travers le pays.

Mais pour le gouvernement indien, c'est une nécessité. Le déficit commercial a représenté 4,2% du PIB sur l'année fiscale (avril-mars) 2011-2012, alors qu'il s'affichait à 2,7% sur l'année précédente.

Avec une roupie qui s'est dépréciée fortement sur le marché des devises, l'Inde doit payer au prix fort nombre de produits importés en dollars dont la demande est peu élastique parmi lesquels le pétrole et ses produits raffinés, ou des métaux comme l'argent et l'or.

En Inde, l'or sous la forme de bijoux représente traditionnellement une forme d'épargne.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
 Share

  • Statistiques des membres

    5 964
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Aquaromaine
    Membre le plus récent
    Aquaromaine
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...