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[Surveillance persistante aéroportée]


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http://www.defenseindustrydaily.com/darpas-isis-project-seeks-slow-soaring-surveillance-superiority-updated-02189/

"DARPA’s ISIS program is developing a stratospheric airship with sensor antennas that will include a radar nearly as large as the airship. This would create a battlefield surveillance platform with extreme endurance, and equally extreme resolution for its air and battlefield scans via radar and other carried sensors."

Le projet ISIS entre dans la phase 3, celle de la fabrication d'un prototype.

http://www.darpa.mil/sto/space/pdf/ISIS.pdf

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http://www.defenseindustrydaily.com/darpas-isis-project-seeks-slow-soaring-surveillance-superiority-updated-02189/

"DARPA’s ISIS program is developing a stratospheric airship with sensor antennas that will include a radar nearly as large as the airship. This would create a battlefield surveillance platform with extreme endurance, and equally extreme resolution for its air and battlefield scans via radar and other carried sensors."

Le projet ISIS entre dans la phase 3, celle de la fabrication d'un prototype.

http://www.darpa.mil/sto/space/pdf/ISIS.pdf

Il y a déjà un fil a ce propos http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=11409.msg373822#msg373822

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  • 2 weeks later...

dans le dernier ASSAUT, on y apparend que les US utilise des avions légers C-23B/C-12 pour repérer les IED. Les RC-26 font le même boulot mais en sus ils sont capables d'écoute électronique.

Le Mi5 utilisent 3 britten-norman islander équipé de système d'écoute électronique pour chercher les taleb revenus en UK

Dans les années 90, les Américains avaient pas mal employé des P-3 Orion dans ce rôle. Avec boule FLIR et datalink pour transmettre les images au sol en temps réel. Utilisé un peu partout, Somalie (images au QG pendant "La chute du faucon noir"), Haïti, et au début de la guerre en Afghanistan.

Depuis les années 90 aussi, l'USAF a quelques Hercules modifiés pour ce même rôle, mais très dur d'avoir des détails dessus. C-130H Scathe View, 152th Airlift Wing, Nevada ANG, déploiements réguliers à Howard AFB au Panama pour des missions antidrogue (la Colombie c'est à côté...) appelés operations Pacer Coin et Flowing Pen. Peut-être récemment remplacés par un autre type appelé Keen Sage.

En Irak, la Task Force ODIN met en oeuvre des C-12 Huron modifiés, mais différents des RC-12 Guardrail, avec optronique et radar MTI. Les Guardrail doivent être soulagés par l'arrivée prochaine de MC-12 Liberty.

Les Islander/Defender britanniques, il y a trois unités différentes :

- 1 Flight du 5 Regiment Army Air Corps spécialisé sur l'Irlande du Nord

- les trois Islander basés à RAF Northolt Station qui bossent pour le MI5 et font diverses cachoteries (faux numéros d'immatriculation et 3e appareil absent sur le site de la RAF...)

- le 651 Squadron AAC attaché au Joint Special Forces Air Wing depuis plusieurs années maintenant, je crois que certains ont été envoyés en Irak

Et les Britanniques devraient aussi avoir des Beech 350 du même genre que les Irakiens.

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  • 1 month later...

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Moins cher, moins contraignant, moins polluant que l’avion, l’aéronef gonflé d’hélium renaît pour embarquer les paras à l’entraînement.

Le ballon captif Aero30para est gonflé à l’hélium. Le plus gros challenge technologique pour le constructeur, est de le garder gonflé 24h/24, 365j/365. Il ne perdrait que 10% de son volume de gaz par an.

La société française Aérophile SA balloons, construit depuis 15 ans des ballons captifs, c'est-à-dire retenus par un câble. Avec sa version Aero30para, elle réinvente l’aérostat militaire qui avait connu son heure de gloire durant la première guerre mondiale. Cette fois, il se destine à l’entraînement des parachutistes.

Ses concepteurs sont partis d’un constat : contrairement à l’avion, le ballon peut être mis en œuvre à volonté, de jour comme de nuit et n’exerce aucune nuisance sonore sur les populations voisines. Monté à plus de 300 mètres d’altitude avec à bord 20 parachutistes équipés, et redescendu par un treuille, « la dépense énergétique équivaut celle d’un ascenseur », assure Jérôme Giacomoni, co-fondateur de la société. « Le coût d’un saut en ballon est donc 50 fois moindre qu’avec un Transall ». Ses applications peuvent dépasser celles des seuls sauts en parachute, « puisqu’à 20 mètres du sol, les forces spéciales peuvent très bien s’entrainer à la descente sur corde lisse ».

La nacelle a la capacité d’emporter 30 personnes sans matériels, ou 20 parachutistes tout équipés.

Autre argument mis en avant, les contraintes de vol du ballon « qui sont inférieures à celles des paras à l’entraînement », précise M. Giacomoni ; « il supporte 20 km/h de vent moyen, 35 km/h en rafale. Pour ajuster la zone d’atterrissage en fonction de la direction et la force du vent, la base du ballon captif est une structure mobile motorisée qui se déplace à volonté.

Cet aéronef version écolo aurait une durée de vie de 10 à 15 ans pour un coût clé en main de 1,2 millions d’euros. Développée depuis un an, cette version militaire du ballon captif a trouvé un premier acquéreur en 2009 : l’armée yéménite.

Yann Brand

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N'y à-t-il pas une différence entre sauter d'un appareil en mouvement et d'une position fixe en altitude ?

Tout dépend ce qu'on veut travailler. Mais pour l'essentiel c'est pareil, a part le vent relatif a la sortie... mais bon ca c'est pas super grave et je doute que nos para fasse des sortie opérationnel a haute vitesse ... a part peut etre quelques uns de spéciaux qui doivent pas compter sur le ballon pour leur entrainement :lol:

Selon l'article ils s'agit surtout de saut en mode automatique a basse altitude ... donc que du tres classique dans lequel le vent relatif importe pas beaucoup ... a par que ca ballote moins a l'ouverture.

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Pour en revenir au sujet des avions de surveillance persistante, j'ai oublié de citer le WB-57F Canberra de la NASA qui a été stationné à Kandahar vers 2006-2007... La NASA décrit qu'il faisait de l'observation multispectrale et de la recherche géologique du pays pour aider à la reconstruction. Insistons donc sur ce point : les rumeurs disant qu'il faisait du renseignement d'utilité militaire sont fausses, complètement fausses.

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C'est sans doute pour ca qu'ils ont effacé les gros marquages NASA de la dérive ainsi que le numéro de série avant de l'envoyer là-bas... :lol:

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  • 2 weeks later...

http://www.wired.com/dangerroom/2009/06/navy-seeks-unblinking-eye-for-battlefield-surveillance/

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Imagine you had the ultimate surveillance system: A network of sensors on the ground and hovering overhead. All that spying power is useless, however, if you don’t know where to point your cameras.

That seems to be the idea behind Persistent Surveillance Automation, an effort by the Office of Naval Research to automate sensor networks to give commanders a better understanding of a battlespace. ONR last week issued a broad area announcement seeking concepts for the system, which would task surveillance assets so they focus autonomously on areas of interest.

The idea of “persistent stare” is not new: Think of the JLENS (pictured here), a sophisticated camera system that can be perched on towers or on blimps to provide wide area surveillance. But as unmanned surveillance systems proliferate, commanders will be faced with an overwhelming amount of data. A more autonomous sensor network would — in theory — help provide a more integrated and coherent picture.

It would also do more with less. According to the ONR solicitation, this system would use a combination of hardware and software to “optimize the information within a region constrained by mission and resources, automatically analyze sensor data and associate this data to entities for further classification. It is desired that the system communicate using a simple and specific tasking language allowing the integration of multiple disparate sensors and platforms.”

At stake is an initial $750,000 in research funds for Fiscal Year 2010; ONR may issue up to two awards. Concept papers are due on August 7.

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Update du madazine Assaut à propos de la Task Force ODIN et du Project Liberty :

L’actualité de la Task Force ODIN

Suite à l’article sur la Task Force ODIN publié dans le numéro 42

© Jean-Jacques CECILE, 03 juillet 2009

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Le premier MC-12 résultant du Project Liberty se pose sur la base de Balad, en Irak, après sa première mission opérationnelle le 10 juin.

Depuis le bouclage du texte concernant la Task Force ODIN, soit la mi-mai, l’actualité propre à l’unité ainsi qu’à sa consœur la Task Force Liberty a évolué. Les précisions suivantes peuvent maintenant être apportées :

- Dans le cadre d’un plan visant à revitaliser ses moyens dédiés aux conflits non conventionnels, l’US Air Force pourrait valider une initiative dénommée Reconnaissance Armed Oversight Precision Strike with Command and Control (RAOPS-C2). Celle-ci envisage la création d’escadres aériennes hybrides de reconnaissance et d’attaque. La reconnaissance serait fournie par les avions MC-12W tandis que l’attaque au sol pourrait être confiée à une plateforme légère pour l’instant provisoirement dénommée OA-X (OA : observation/attaque).

- En 2010, l’US Army achètera six C-12 supplémentaires. Parallèlement, il a un temps été envisagé de transférer les 37 appareils du Project Liberty à l’armée de terre, une solution qui a finalement été écartée. Le même sort a été réservé à une autre initiative : transférer les MC-12W aux forces aériennes afghanes. Là, c’est le coût du démontage des systèmes classifiés qui a constitué la pierre d’achoppement. Avant de prendre une éventuelle décision d’acquérir d’autres MC-12W au-delà des 37 appareils du Project Liberty, l’US Air Force entend voir comment l’appareil se comporte en opération réelle.

- Alors qu’il apparaissait que la Task Force Liberty devait constituer le pendant afghan de la Task Force ODIN irakienne, c’est bel et bien en Irak que le premier MC-12W de l’US Air Force, pour l’occasion rattaché au 362nd Expeditionary Reconnaissance Squadron, a effectué sa première mission opérationnelle le 10 juin dernier. Certains documents évoquent par ailleurs l’existence d’une Task Force ODIN II en Afghanistan.

- Le Project Liberty, qui accusait début juin un retard estimé à quatre mois, a provoqué une polémique au sein même de l’US Air Force où les tenants du programme se sont opposés aux partisans des drones. Ces derniers regrettaient que les crédits n’aient pas été consacrés à l’acquisition d’appareils sans pilote. Un Général de l’armée de l’air à la retraite a même parlé de « retour en arrière » en ce qui concerne la persistance de la couverture ISR (Intelligence, Surveillance, Reconnaissance).

- Au-delà de l’Afghanistan et de l’Irak, l’US Air Force pourrait dans le futur déployer des MC-12W en Afrique.

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  • 4 weeks later...

Will Airships Get DoD Funding Priority?

From July 20th INSIDE THE NAVY (subscription only) we learn that the US Army wants an airship.

   On July 8, Pentagon comptroller Robert Hale sent all four congressional defense committees a $3.6 billion proposal to shift funds within the fiscal year 2009 budget from lower- to high-priority needs. Within that proposal is a move to direct $5 million for the new LEMV program, which will be run -- with cooperation from the Air Force and Navy -- by the Army Space and Missile Defense Command in Huntsville, AL.

   "Funds are required to support the initial acquisition planning and development for a Long Endurance Multi-INT Hybrid Airship," states the reprogramming. "This will provide operational forces with a persistent platform of up to two weeks on-station time, with an integrated multi-INT [intelligence, surveillance and reconnaissance] sensor suite."

And a small sample of the requirements.

   A hybrid air vehicle combines the characteristics of a fixed-wing aircraft or a helicopter with a lighter-than-air technology, that uses buoyancy from gas less dense than oxygen to stay aloft.

   "Technical objectives for the LEMV include an unmanned aerial system capable of being controlled through an existing Department of Defense ground station, three-week flight endurance, 2,500 pound sensor payload, 20,000 feet operating altitude, multi-intelligence capable, 16 kilowatts of power for payload, capable of station keeping (the capability to loiter or maintain position over a required mission area in different types of weather), recoverable and reusable," states the Army's May FY-10 budget request.

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   The Defense Department wants the LEMV to spend one week of its total endurance in transit and on station for two weeks, according to a Pentagon official.

A 2,500 pound sensor payload suggests a small airship, but once the services start getting involved in airships it is only a matter of time before they start looking for a larger, lift version. I don't think people fully understand how survivable airships (we are not talking about blimps here) can be.

Experience will reveal many things difficult to see from the design board. Hybrid Air Vehicles (prototype pictured above) is expected to be one company bidding the program.

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  • 1 month later...

http://www.carnetdevol.org/actualite-ballon/aerostat/americain.html

Aujourd'hui, en Irak et en Afghanistan, les troupes Américaines utilisent les aerostats pour leur protection dans un programme appelé Rapid Aerostat Initial Development (RAID). Ainsi, depuis le début de son utilisation en Afghanistan en 2003 plus de 300 mâts et plus de 60 dirigeables souples sont en service en tant qu'élément de surveillance permanent protégant les bases opérationnelles, améliorant la surveillance de jour et de nuit.

La compagnie Raytheon, leader dans le développement des technologies de défenses, est le principal fournisseur pour ce programme qui utilise un aerostat TCOM de 17 mètres (55 pieds) qui vole à 300 mètres d’altitude pour faire de la surveillance avec une sonde infrarouge électro-optique (avec un poids total de 90 Kg).

Une fois relié au «Army Battle Command Systems» (ABCS), le système peut montrer une image opérationnelle complète et la vidéo en streaming émet sur l'Intranet militaire. Un tel service permet des décisions rapides sur le secteur opérationnel. La vidéo en streaming est automatiquement compressée pour s’adapter à la capacité des liaisons de chaque utilisateur. Les différents systèmes peuvent partager l'information et les images les uns avec les autres.

Juillet 2009 : le Canada a investi $23 millions dans l’achat de tours et d’aerostats, le tout équipé de caméras et de radars. Ceux-ci seront employés en Afghanistan pour la défense de la base et la surveillance. Les Canadiens ont noté le succès des forces Américaines grâce aux renseignements collectés et au système de sécurité de la base.

Aujourd’hui, l’armée est confrontée à un autre problème. À la différence des missiles ballistiques qui volent généralement de manière stable et prévisible, les missiles de croisière posent un défi particulièrement difficile en raison de leur capacité à voler en basse altitude, de ralentir et changer de directions.

L'Armée de l'Air peut faire voler des avions équipés de radars pouvant dépister des missiles de croisière, mais ces systèmes exigent beaucoup de main d'oeuvre et de ressources pour fonctionner.

Ceci a mené l'armée à réfléchir sur le potentiel des aerostats équipés de radars, des ballons captifs ressemblant à des dirigeables souples, pouvant détecter et dépister des missiles de croisière.

Après une série de démonstrations pour homologuer le concept, l'armée a lancé un programme appelé JLENS

avec la passation d'un contrat de développement $1.4 milliards à la société « Raytheon Integrated Defense Systems of Tewksbury ». Photo ci dessus (gauche) : Mars 2008 - Les soldats de Fort Bliss, Texas, testent le prototype de communication et la station de contrôle du JLENS

Le JLENS (Joint Land Attack Cruise Missile Defense Elevated Netted Sensor System) (système de détection et de défense en altitude contre les attaques au sol par des missiles de croisières) devra augmenter les possibilités de surveillance et aidera les défenses aériennes dans l’observation, l’évaluation et le soutien des engagements au-dessus des zones de combats.

Ainsi, le JLENS sera une plateforme de radar aéroportée. Ce système dépiste également les cibles mobiles de surface et détecte la trajectoire prévisionnelle des missiles ballistiques tactiques.

Raytheon a travaillé pour fournir deux systèmes JLENS, chacun comprend deux aerostats de 74 mètres, gonflé à l’hélium, l’un équipé d’un radar de surveillance (SuR) et l’autre d’un radar de contrôle de tir (marquage de la cible) (PTIR), les stations mobiles d'amarrage et le matériel de communications.

Les aerostats captifs fonctionneront jusqu’à 3 kilomètres (2 milles) d’altitude, fournissant la capacité de détecter et dépister des missiles de croisière jusqu’à 200 kilomètres (124 milles) dans chaque direction. Les systèmes sont conçus pour fonctionner sans interruption pendant 30 jours, reviennent au sol pendant huit heures pour l’entretien et repartent de nouveau pour 30 jours.

En dépit de sa taille, il ne sera pas facile de viser l'aerostat JLENS parce que son manque de mouvement relatif le rend difficile à distinguer sur les radars.

De plus, comme les aerostats ne sont pas fortement pressurisés, les balles ne peuvent pas les faire exploser. Leur présence dans la zone de bataille permet la réaffectation des avions, plus coûteux, pour soutenir d'autres missions critiques.

Les premiers aérostats captifs font en réalité 71 mètres de long, les structures aérodynamiques souples sont remplies d'hélium et d'air. Chaque aerostat est attaché à une station mobile d'amarrage reliée à une station de traitement par fibre optique. Le SuR détecte la cible initiale, la transmet au PTIR qui génère une trajectoire de qualité pour le combat.

Le gonflement à l’hélium du premier aérostat au monde de 74 mètres, fabriqué par la société TCOM, et les essais en vol se sont déroulés à Elizabeth City, Caroline du Nord. TCOM est un sous-traitant de Raytheon.

L'aérostat JLENS est le premier de cette taille et c’est aujourd’hui le plus grand aérostat fabriqué. Il est relié au sol par un cable d’amarrage ancré à une station mobile de 82 tonnes, il couvre presque la longueur et la largeur d'un terrain de football. Il peut emporter près de 3 tonnes de matériel de communication et de radar, à une altitude de 3 000 m (10,000 feet).

En décembre 2009, l'aerostat sera transporté au the Army's Dugway Proving Ground, Utah, pour la pose de son radar de surveillance. Le deuxième aerostat et son radar de contrôle de tir seront assemblés chez Dugway en mai prochain (2010), et les deux plateformes seront intégrées en tant que système pour commencer les tests en septembre 2010.

Nous n’avons pas les caractéristiques du 74M (modèle pour l’armée) mais celles du 71M sont assez proches.

L'aerostat 71M® est le plus fiable et le plus moderne (avant le 74M) des aérostats au monde. C’est le plus grand des aerostats de TCOM dont la performance de monter à 4 500 mètres est restée inégalée.

Une longueur hors-tout de 71 mètres et une enveloppe de 16.000 mètres cubes permet au 71M® de soulever une charge utile maximum de 1 600 Kgs à une altitude élevée pendant une longue durée. Le 71M® peut être facilement équipés de radars très puissants à longue portée qui permettent la détection continue des cibles de surface et des vols des avions en basse altitude sous les 200 milles nautique.

Le programme complet comprendrait 18 JLENS soit : 18 PTIR, 18 SuR, 36 mâts d'amarrage et 36 station de traitement des informations.

Ci-dessous, extrait vidéo du journal télévisé du 2 août 2009. Les images ont été tournées dans la Vallée de Zormat. Au fond, on distingue un balon captif TCOM. Merci à Jacques Hochet du hangar d'Ecausseville (aérobase) de nous avoir signalé la présence de ces ballons sur le reportage de TF1.

TCOM s’est développé dans les années 60 et le début des années 70 en produisant des prototypes de radar et de systèmes de communications montés sur des ballons de barrage, lesquels appartenaient au gouvernement lors de la deuxième guerre mondiale. Provenant de Grande-Bretagne, ces ballons étaient trop instables pour fonctionner d'une manière satisfaisante en tant que plateformes aéroportées pour les applications prévues. En conséquence, une nouvelle famille d'aerostat a été conçue, construite et validée par la « Defense Advanced Research Projects Agency », la NASA et d'autres agences du gouvernement des États-Unis.

TCOM est pionnier dans les progrès les plus significatifs des systèmes d'aerostats captifs offrant le meilleur de la technologie dans les domaines de surveillance et de communication.

TCOM's Manufacturing & Flight Test Facility est situé près de Elizabeth City, en Caroline du Nord.

Cette compagnie se consacre à la conception, à la fabrication, à l'assemblage, à l'essai de vol et à la formation d'aerostats et de dirigeables.

Depuis 35 ans, TCOM a installé et mis en oeuvre des systèmes d'aerostats autour du globe : dans des environnements arctiques, tropicaux, désertiques aussi bien que dans les terrains montagneux.

Son principal atout est un énorme hangar en métal avec une zone pour les opérations de vol. Avec une longueur de 300 mètres, le hangar peut recevoir à six aerostats 71M® entièrement gonflés. Les portes de 500 tonnes permettent l'entrée et la sortie des véhicules jusqu'à 45 mètres de hauteur.

Les modèles courants sont de types 17M, 32M, 38M et 71M et le nouveau modèle « 74M » sous contrat pour livraison en 2009.

La gamme TCOM

[table=|]taille|charge utile|altitude|endurance

17M|90kg|300m|7j

32M|275kg|900m|14j

38M|225kg|1500m|14j

71M|1600kg|4600m|30j[/table]

Exemple d'emport du petit modele

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Le modele 32M et 38M peut etre opéré depuis un semi remorque PL.

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Le modele 17M peut etre opéré depuis un vehicule moyen ou léger et remorque

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  • 3 weeks later...

Un article sur Defensetech.org sur le MC-12W : http://www.defensetech.org/archives/005034.html

In a Defense Department world where multi-million-dollar contracts for aircraft will likely first net you long waits, missed deadlines and demands for millions more bucks before a plane appears on the horizon, the Air Force’s latest counter-intelligence aircraft is an anomaly.

From the time the Air Force contracted for its first order of MC-12W Libertys until one was flying a mission over Afghanistan was just eight months, says Lionel G. Smith, director, Strategic Development Special Programs for L3 Communications.

That’s the power of modifying an existing aircraft, in this case the Hawker Beechcraft King Air 350 – long a fav plane of the well-to-do. Those ordered by the Air Force, however, swap luxury accommodations for sophisticated ISR technology.

“It costs about $7 million [per plane] from Hawker Beechcraft, and about $10 million in modifications. From contract to combat was about eight months,” Smith said Sept. 15 at the Air Force Association's Air & Space Symposium in Maryland. L3’s integrated systems division manages the modifications.

The plane, with a crew of four – pilot, co-pilot, signals intel systems operator and full-system video operator – flew its first mission from Balad Air Base, Iraq, in June. Of 300 missions flown to date it has a mission capable rate of 98 percent, Smith said.

The MC-12W is a response to Defense Secretary Robert Gates' call for increased ISR support for ground combat troops, Smith said. The Air Force plans to field a fleet of 38 Libertys, most of them built into the ER, or extended range, version of the Hawker Beechcraft plane.

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U.S. plans to deploy an unmanned surveillance airship to Afghanistan are moving forward, with a contract for the Long Endurance Multi-Intelligence Vehicle (LEMV) demonstration expected to be awarded by year-end.

Designed to stay aloft for three weeks carrying a heavy payload of wide-area sensors, the airship is becoming a flagship for Defense Dept. efforts to provide unblinking airborne surveillance to defeat the threat from roadside bombs.

The LEMV is required to stay aloft at 20,000 ft. for 21 days carrying a 2,500-lb. payload, a combination of either a multi-camera wide-area airborne surveillance (WAAS) sensor or a ground moving-target indication (GMTI) radar plus a signals-intelligence system and multiple electro-optical/infrared (EO/IR) sensors.

Lockheed Martin's design is a 250-ft.-long hybrid airship, which derives 80% of its lift from helium buoyancy and the rest from aerodynamics so it can be launched and recovered without the traditional airship ground infrastructure. The vehicle will be optionally piloted: manned for self-deployment and unmanned for surveillance missions.

http://www.defensetech.org/archives/005038.html

http://www.popsci.com/category/tags/lockheed-martin

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  • 2 weeks later...

http://www.defenseindustrydaily.com/133M-to-Lockheed-Martin-for-US-Army-Aerostat-based-Warning-System-05835/

Lockheed Martin received a $133 million award to provide the US Army with 8 additional Persistent Threat Detection Systems (PTDS) to support coalition forces in Iraq and Afghanistan.

A tethered aerostat-based system in use by the Army since 2004, PTDS is equipped with multi-mission sensors to provide long endurance intelligence, surveillance, reconnaissance and communications in support of coalition forces. 9 systems are currently deployed, and the additional 8 will be provided over the next 11 months…

Les aérostats ont le vent en poupe (humour).

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http://zonedinteret.blogspot.com/2009/10/lsrsaas-plus-quun-simple-radar.html

L'US Navy développe un radar aéroporté dédié officiellement à la surveillance côtière, qui se révèle destiné à l'appui des opérations terrestres et au renseignement.

Ce projet en cours depuis plus de cinq ans fait l'objet de deux programmes sucessifs, le LSRS (Littoral Surveillance Radar System) et son successeur, le futur AAS (Advanced Airborne Sensor). Ces deux systèmes ont fait l'objet de contrats successifs confiés à Boeing, L3-Com et Raytheon.

Le LSRS a débuté comme un programme classifié, mené discrètement par la Navy au début des années 2000, avec la probable collaboration de la CIA. Il visait a développer un radar aéroporté capable de fournir un tracking en temps réel de cibles terrestres (GMTI), pour l'appui des opérations spéciales. Après plusieurs années d'expérimentation aux USA et plusieurs déploiements au-dessus de l'Irak, le programme a été déclassifié par l'US Navy sous l'intitulé de Littoral Surveillance Radar System.

Le système LSRS est un radar à antenne active (AESA), capable de suivre en temps réel des cibles mouvantes d'une taille inférieure à celle d'un véhicule, voire de la taille d'un individu. Cette capacité de détection extrêmement fine permet aux opérateurs au sol de recevoir des données tactiques précises et de suivre discrètement des cibles humaines. Le système est embarqué dans un long pod placé sous le fuselage de l'aéronef, en l'occurrence les P-2 et P-3 utilisés lors des phases de test et à terme, l'avion de surveillance maritime P-8 Poseidon de Boeing. L'interopérabilité du radar avec les différents systèmes alliés a été testée en Irak et en Afghanistan, ainsi qu'au cours d'exercices internationaux, tels que Empire Challenge et SIMEX.

L'AAS sera le successeur du LSRS, avec des caractéristiques techniques pour l'instant non détaillées. L'AAS pourrait lui aussi être équipé d'un radar AESA de nouvelle génération et de systèmes d'enregistrement et d'analyse plus récents. Les caractéristiques et la puissance de ce radar pourraient lui conférer, comme aux avions de chasses les plus récents, une capacité de guerre électronique, en émettant des micro-ondes pulsées de forte intensité capables d'endommager des systèmes électroniques.

Le développement du LSRS et de l'AAS, démontre la volonté de l'US Navy d'assumer une place de choix dans les opération en cours, au-delà de ses missions maritimes, en fournissant un appui ISR aux forces terrestres conventionnelles et aux forces spéciales.

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http-~~-//www.youtube.com/watch?v=JpshqG517uI&feature=player_embedded



http-~~-//www.youtube.com/watch?v=5e802BOcejE&feature=player_embedded


le futur



http-~~-//www.youtube.com/watch?v=W3n5cUaG5fg

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http://warisboring.com/?p=2668

There was a noise like a monstrous kettle boiling over, followed by a deep crunch, as the Chinese-made rocket arced through the sky and exploded on the flat, sandy ground. A couple of minutes later, two American mortar rounds punched the earth about three miles away from Combat Outpost Blackhawk, catching the five Taliban rocketeers as they scurried home. Three died. Two survivors scattered.

This counter-attack on the morning of August 15 was a rare victory for coalition forces, who are usually helpless to stop the Taliban shooters. Even if coalition troops see them coming, their rules of engagement – that is, the list of conditions governing the use of heavy weapons – often mean they can’t shoot back at all. “I took one look at our 25-page ROE book and said to myself, ‘I will never get to call in a fire mission here’,” grumbled US Army Sergeant Eric Kloberdantz, an artillery forward observer from the 10th Mountain Division, which provides the bulk of the troops for Wardak province.

In this case, the troops had been lucky. A tiny radar installed at the outpost had tracked the incoming rocket and extrapolated the launch point. They would normally have had to survey the location before firing mortars, to reduce the risk of hitting civilians, but the troops at Blackhawk had already mapped out the area and knew that no innocent Afghans lived anywhere nearby. Had the Taliban fired from a nearby village, surrounded by civilians, the coalition would have been powerless to strike back.

The relative helplessness of soldiers in Afghanistan could soon end. In the next few months, a surprisingly unwarlike piece of kit inspired by the CCTV cameras that have proliferated in British cities and beyond, might tip the odds in favour of successful coalition counter-strikes, while reducing further the risk to civilians. That, in turn, could help turn the tide against the Taliban in embattled provinces such as Wardak.

Cameras, infrared sensors and miniature radars, mounted in clusters to 30-metre towers or dangled from a 15-metre-long aerostat blimp, are giving more and more coalition troops such a precise view of Taliban shooters that coalition artillery and mortar crews will be cleared to fire back more often, confident that they won’t hit civilians.

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Oct 19/09: Hawker Beechcraft Corporation announces that the USAF has exercised a $45 million option for 6 additional MC-12W special mission aircraft in support of Project Liberty, per the original November 2008 contract. The company adds that the first 23 planes have all been delivered, on or ahead of schedule.

A comment at the US Air Force Association’s Air & Space Symposium helps clarify the price breakdown of an MC-12W. Lionel G. Smith, L-3’s director, Strategic Development Special Programs, is quoted as saying that:

“It costs about $7 million [per plane] from Hawker Beechcraft, and about $10 million in modifications. From [initial] contract to [deployment in] combat was about eight months.”

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  • 3 months later...
  • 2 months later...

C'est finalement la Thaïlande qui va mettre en service le premier dirigeable de surveillance, pour la RTA (Royal Thai Army) :

http://www.defenseindustrydaily.com/Thailand-Contracts-Aria-for-Blimps-Communications-05401/

Major General Chawalit Srisilpanandana, Director General-Directorate of the Royal Thai Army’s Logistics Department, says that:

“The deployment of these new systems and services by Aria International Incorporated will make a significant impact on the capabilities of our deployed forces in the South of Thailand.”

The system’s components include:

Aeros A-40D Sky Dragon Airship. FAA-certified, manufactured by Worldwide Aeros Corporation. The base sensor platform. At altitude, the A-40D Sky Dragon also has the advantage of being impossible to hear, thus keeping monitoring activity more covert than many smaller UAVs, or helicopters.

An Airship Hangar and Living Quarters. The living quarters were built for Aria and project personnel on a base in the South of Thailand, to avoid imposing on the Thai Army as it built up forces in the south.

A Grizzly Armored Vehicle. Configured as a Mobile Command Vehicle, capable of receiving all the information and also guiding operations on the ground in a very hostile environment.

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  • 2 months later...

3 dirigeables pour les forces stratégiques :

June 14/10: Northrop Grumman announces a $517 million contract to develop up to 3 LEMV (long-endurance multi-intelligence vehicle) hybrid airships for the US Army Space and Missile Defense Command/Army Forces Strategic Command. The 3 LEMVs will be designed, developed and test with their surveillance payloads within an aggressive 18-month time frame, then transported to the front lines for assessment and use by the military. The LEMVs are not small airships, and are described as “just larger than the length of a football field” (about 100m). per the solicitation, they’ll have to sustain altitudes fo 20,000 feet for a 3-week period, while carrying up to 2,500 pounds of sensors and communications equipment.

http://www.defenseindustrydaily.com/Rise-of-the-Blimps-The-US-Armys-LEMV-06438/#more-6438

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