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Le Brésil, le géant de l'Amérique du Sud


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De toute façon, même si le Brésil peut fabriquer une bombe A ou H, il n'est pas le seul dans cette situation. On peut compter sans vraiment se creuser l'Allemagne, le Japon, probablement l'Australie, l'Italie, l'Espagne, .....

Donc ce n'est pas une grande nouveauté ce genre d'article.

En plus, il me semble avoir lu que tout ou partie des formules pouvaient se trouver sur internet ou dans de grandes bibliothèques, donc .....

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  • 3 weeks later...

Brazil VP says country should build nuclear arms

  By MARCO SIBAJA, Associated Press Writer Marco Sibaja, Associated Press Writer  – 1 hr 43 mins ago

BRASILIA, Brazil – Brazil's vice president says in an interview published Friday that his country should develop nuclear weapons. Other officials stressed that his comments were not government policy.

Jose Alencar, who also served as defense minister from 2004 to 2006, said in an interview with journalists from several Brazilian news media that his country does not have a program to develop nuclear weapons, but should: "We have to advance on that."

"The nuclear weapon, used as an instrument of deterrence, is of great importance for a country that has 15,000 kilometers of border to the west and a territorial sea" where oil reserves have been found, Alencar said.

Alencar aide Adriano Silva confirmed the comments published by newspapers including O Globo and O Estado de Sao Paulo. But he said they were personal opinions and not a position of the government.

Brazil's constitution prohibits nuclear weapons.

A spokesman for President Luiz Inacio Lula da Silva also insisted that Alencar's "comments do not reflect the position of the government." The official spoke on condition of anonymity due to government policy.

Still, the remarks come at an embarrassing time; they were made on the very day that the U.N. Security Council voted unanimously for a sweeping strategy aimed at halting the spread of nuclear weapons and ultimately eliminating them.

Brazilian officials have promoted nuclear-generated electrical power and say they plan to build a nuclear-propelled submarine. But Defense Minister Nelson Jobim said in August that Brazil has no interest in nuclear weapons.

Alencar, who is not a member of the ruling party, sometimes expresses positions at odds with Silva's, said political analyst David Fleischer of the University of Brasilia.

Fleischer said Brazil abandoned efforts to develop nuclear weapons about 25 years ago when the military ceded control of the country to civilians.

Brazil also signed the 1988 Tlatelolco Treaty that bars nuclear arms in Latin America.

http://news.yahoo.com/s/ap/20090925/ap_on_re_la_am_ca/lt_brazil_nuclear_weapons

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  • 1 year later...

Une petite révolution :

Le Brésil a changé sa position quant à l'Iran et a voté dans la matinée de ce jeudi 24 [mars], en faveur d'une résolution du Conseil des Droits Humains des Nations Unies, à Genève, proposée par les Etats-Unis pour enquêter sur les violations commises par le gouvernement perse.

http://www.estadao.com.br/noticias/internacional,brasil-vota-a-favor-do-envio-de-relator-especial-da-onu-ao-ira,696590,0.htm

Ca traduit surtout un changement dans la politique internationale brésilienne, et ce depuis le départ de Lula. Et l'actualité libyenne pourrait également expliquer en partie cette évolution.

Pour plus d'info sur la résolution :

http://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/iran-l-onu-nomme-un-rapporteur-special-pour-les-droits-de-l-homme_975862.html

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  • 2 months later...

Ca permet de comprendre la non decision du Bresil pour le fx2, la cascade de veto des  presidents successifs.

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2011/05/25/des-chiffres-a-donner-le-tournis_1527130_3222.html#xtor=AL-32280184

30 000. C'est le nombre de projets et de propositions de loi en souffrance au Congrès de Brasilia, le Parlement fédéral qui rassemble 513 députés et 81 sénateurs. Moins d'un sur dix a des chances, un jour, d'être voté.

Parmi ces textes en sommeil figurent 975 amendements constitutionnels jamais approuvés. Le plus ancien est vieux de seize ans. On y trouve aussi 2 180 textes auxquels les divers présidents successifs ont opposé leur veto, et dont le sort aurait dû être décidé par le législateur dans les... trente jours suivants.

Sans oublier 50 traités internationaux : l'un d'eux, ratifié il y a deux semaines, datait de 1994. Si le Congrès décidait d'examiner tous ces textes - et eux, seulement - au rythme actuel, cela lui prendrait un siècle. Les élus fédéraux ont largement renoncé à une autre prérogative : contrôler les comptes de la présidence de la République. Douze budgets sont en attente d'examen, le plus ancien date de 1990.

Le Congrès possède un talent singulier pour ne pas décider. Parce qu'il est divisé, émietté en une kyrielle de partis, asphyxié par la bureaucratie, soumis aux clientélismes et exposé aux pressions de la présidence. Résultat, c'est surtout l'exécutif qui légifère. La Constitution autorise le chef de l'Etat à prendre des "mesures provisoires" : 1 127 depuis vingt-deux ans : en moyenne une par semaine.

La conclusion, brutale, revient à l'ancien président de la République (1992-1994), redevenu sénateur, Itamar Franco : "Nous sommes des législateurs à la noix !"

6. C'est le nombre de tickets de métro qu'un usager peut acheter à Buenos Aires pour le prix d'un seul à Brasilia. La capitale fédérale est devenue l'une des villes les plus chères de la planète. Et, sur ce chapitre du coût de la vie, les deux mégapoles brésiliennes, Sao Paulo et Rio de Janeiro, la suivent d'assez près.

Automobiles, vêtements, chaussures, médicaments, jouets, parfums, restauration : la liste est longue des biens et services plus onéreux au Brésil qu'à l'étranger. A commencer par le Big Mac, objet d'un célèbre indice, et quatrième plus cher au monde. Un croissant dans un bar coûte cinq fois plus à Brasilia qu'à Paris, et une boîte d'aspirine deux fois plus, une pizza moitié plus qu'à Londres, une séance de cinéma deux fois plus qu'à Buenos Aires, et une voiture japonaise deux fois et demie plus qu'aux Etats-Unis.

La vie chère résulte d'abord de la surévaluation du real, la monnaie nationale, qui s'est appréciée de 110 % en huit ans par rapport au dollar. A cela s'ajoute une conjonction de facteurs : des taxes à l'importation et des impôts pesants, un coût du travail élevé, des infrastructures saturées, la persistance d'oligopoles qui profitent de leur position dominante. Et une vieille habitude des entreprises à cultiver de très grosses marges de profit.

Les Brésiliens, qui, grâce à leur monnaie forte, voyagent de plus en plus, en profitent donc pour revenir au pays avec des valises pleines de produits achetés aux Etats-Unis ou en Europe. Vacances à l'étranger et shopping massif vont désormais de pair.

21. C'est le nombre de Brésiliens, milliardaires en dollars, qui résident dans la seule ville de Sao Paulo. Selon la revue Forbes, qui scrute l'implantation géographique des grosses fortunes, Sao Paulo vient en sixième position, devant Los Angeles et Tokyo.

Signe de l'enrichissement des élites brésiliennes, la ville compte 7 milliardaires de plus que l'an dernier. Le patrimoine de ces privilégiés a doublé en un an. Rio de Janeiro n'abrite "que" 3 milliardaires, dont l'homme le plus riche du pays, l'entrepreneur Eike Batista, huitième fortune mondiale.

7 %. C'est la proportion, modeste et décevante, des adultes analphabètes qui ont appris à lire et à écrire au cours des dix dernières années. De 2000 à 2010, l'illettrisme a sensiblement reculé au Brésil, passant de 13,6 % à 9,6 % de la population. Cette baisse concerne surtout les jeunes de moins de 20 ans, principaux bénéficiaires de la politique de scolarisation.

Chez les adultes, les progrès restent marginaux. La génération des 30-59 ans compte seulement 0,5 % de moins d'analphabètes qu'en 2000, soit 500 000 personnes. Les laissés-pour-compte sont quatre fois plus nombreux en milieu rural que dans les villes. "Notre offre existe, assure le ministre de l'éducation, Fernando Haddad, mais pas la demande. On ne peut pas obliger les adultes à retourner à l'école."

114. C'est le nombre de printemps qu'a connus la Brésilienne Maria Gomes Valentim, sacrée cette semaine nouvelle doyenne de l'humanité par le Guinness des records. Née huit ans seulement après l'abolition de l'esclavage au Brésil, mariée en 1913, veuve en 1946, elle a passé toute son existence dans la même petite ville du Minas Gerais.

"Grand-mère Quita", comme ses proches l'appellent, attribue sa longévité à son petit déjeuner quotidien : une boule de pain agrémentée d'un fruit.

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  • 2 weeks later...

http://www.lefigaro.fr/international/2011/06/08/01003-20110608ARTFIG00742-bresil-rousseff-fragilisee-par-la-demission-de-son-bras-droit.php

Antonio Palocci est accusé d'avoir usé de son positionnement politique à des fins d'enrichissement personnel.

Moins de six mois après son arrivée au pouvoir, la présidente brésilienne, Dilma Rousseff, fait face à sa première crise politique avec la démission d'Antonio Palocci, le chef de la Maison civile - équivalent de premier ministre -, qui est accusé de s'être enrichi dans des conditions peu claires. Le scandale a éclaté il y a vingt-trois jours, lorsque le quotidien Folha de Sao Paulo a révélé que son patrimoine avait été multiplié par vingt au cours des quatre dernières années, alors qu'il était simultanément député fédéral et consultant dans le secteur privé. Il vient notamment de s'offrir un appartement de 500 m2 dans un quartier chic de Sao Paulo, pour la coquette somme de 6,6 millions de reais - soit 2,9 millions d'euros.

Ni le journal ni l'opposition n'ont de preuve que cet enrichissement a été le fruit d'activités illicites. S'il refuse de révéler le nom de ses anciens clients, Antonio Palocci assure en effet n'avoir travaillé avec aucune entreprise liée à l'État. Il rappelle qu'il a suspendu toutes ses activités privées dès sa nomination à la Maison civile. Et il justifie sa réussite professionnelle par son expérience de ministre des Finances auprès de Luiz Inacio Lula da Silva, entre 2003 et 2006. Ce savoir-faire est «très valorisé par le marché», écrit-il dans une lettre, non sans rappeler la trajectoire de certaines figures de l'opposition de droite, tel l'ex-ministre des Finances (1995-2002) Pedro Malan, qui est devenu directeur de banque.

Justifications évasives

Ces justifications évasives n'ont fait qu'aggraver la situation d'Antonio Palocci, d'autant qu'elles sont intervenues au moment où le gouvernement de Dilma Rousseff annonçait de nouvelles mesures de lutte contre la misère. Au sein du Parti des travailleurs (PT), les militants se sont émus que leur principal ministre puisse accumuler une fortune grâce au lobbying. Ils relèvent qu'en 2010 l'entreprise de Palocci a encaissé 20 millions de reais (8,6 millions d'euros) alors qu'il était le coordinateur de la campagne de Dilma Rousseff et, pour ces raisons, perçu par les entreprises comme la future figure clé de son gouvernement. Une situation difficilement défendable d'un point de vue éthique, si ce n'est sur le plan légal…

Le scandale a éclaté à un moment difficile pour Dilma Rousseff. La présidente se relève en effet d'une pneumonie qui l'a affaiblie pendant un mois - alors qu'on garde à l'esprit le cancer lymphatique découvert début 2009, dont elle est en principe guérie. Fragilisé, Palocci n'est pas parvenu à tenir tête à la base politique du gouvernement, dont les deux principales formations sont le PT et le PMDB, un parti fourre-tout sans orientation idéologique. Pour ne rien arranger, l'ex-président Lula s'est prononcé en faveur du maintien du chef de la Maison civile, accréditant l'idée que Dilma Rousseff gouverne sous sa tutelle.

Afin de ne plus risquer de nouvelles crises au sommet de son gouvernement, la présidente a remplacé Palocci par la sénatrice Gleisi Hoffmann, membre du PT, qui est connue pour ses compétences techniques. Cette nomination laisse présager de nouveaux changements au gouvernement, puisque l'articulation politique de la base au Congrès ne relèvera plus de la Maison civile. Là encore, Dilma montre sa difficulté à s'émanciper de l'ombre de Lula, dès lors qu'il s'agit de discussion politique avec ses alliés et des marchandages que cela suppose.

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Si les média s'en mêlent vraiment, ça ne sera sûrement pas le seul à tomber. Au Brésil, même la Cour Suprême est fortement suspecte...

M'enfin, il y a semble-t-il un peu de mieux par rapport aux années 1990 ou au début des années 2000.

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  • 2 months later...

Ca ne va pas très bien pour Rousseff, d'après ce que j'ai entendu à la radio, elle pourrait bien laisser la place à Lula pour le prochain mandat si il veut se représenter, son

gouvernement est en crise, elle est en train de scier la branche ou elle est assise. bref, ca se déglingue.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/18/97001-20110818FILWWW00458-bresil-3e-ministre-corrompu-demissionne.php

Brésil: 3è ministre corrompu démissionne

Le coup de balai anti-corruption donné par la présidente du Brésil Dilma Rousseff au gouvernement et dans la haute administration a coûté son poste à un nouveau ministre, le troisième à tomber en huit mois de gouvernement à la suite de campagnes de presse soutenue par l'opinion publique.

Un quatrième ministre, le puissant ministre de la Défense Nelson Jobim, a été récemment mis à la porte par lz présidente Rousseff, mais pour avoir critiqué publiquement le gouvernement.

Le ministre de l'Agriculture Wagner Rossi a été forcé à la démission hier soir après des accusations de malversations présumées et la révélation par la presse qu'il avait à plusieurs reprises utilisé le jet privé d'une compagnie agro-alimentaire qui bénéficiait de contrats publics.

Au cours des deux derniers mois, scandales et dénonciations ont éclaboussé plusieurs ministères. Début juin, Antonio Palocci, sorte de premier ministre de Mme Rousseff et membre du Parti des Travailleurs (PT-gauche) comme elle, a dû démissionner après trois semaines d'accusations d'enrichissement illicite présumé.

Il a été suivi par le ministre des Transports accusé de détournements de fonds publics. Récemment, la police a arrêté trente-six fonctionnaires et industriels du secteur du Tourisme, dont le numéro 2 du ministère, eux-aussi soupçonnés de détournements de fonds publics.

"Où il se passe des choses indues, où le crime opère, nous combattrons cette situation avec fermeté en utilisant tous les moyens d'enquête et de sanction dont le gouvernement dispose", a averti cette semaine la présidente.

Une société plus sévère envers ses élites

Ex-guérillera sous la dictature militaire, Dilma Rousseff, 63 ans, a succédé le 1er janvier à son mentor en politique, l'ex-président Luiz Inacio Lula da Silva.  "L'attitude de Lula était différente: face à des accusations du même type, il disait que personne n'était coupable avant d'être jugé. Dilma a agi, en forçant les démissions, reflétant une attitude moins conciliante de la société envers certaines anciennes pratiques politiques", a dit  Carlos Lopes, de l'Institut Analise.

Ces scandales ont mis en lumière une pratique bien enracinée dans la politique brésilienne: le président est obligé de distribuer des postes au sein du gouvernement et dans les entreprises publiques "entre tous les partis de la coalition, en échange du soutien des parlementaires. Et cela crée de la corruption", a déclaré Claudio Abramo, le directeur de l'ONG Transparence Brésil.

Le nettoyage entrepris par Dilma Rousseff lui a valu l'éloge de la presse et des organisations anti-corruption. Au Sénat, quelques sénateurs ont mis sur pied un "front" informel de soutien à la présidente et l'ordre des avocats a annoncé la création d'un observatoire de la corruption.

"La présidente Rousseff adopte une position que les autres présidents n'ont pas eue en seize ans", depuis le retour de la démocratie, a déclaré le sénateur Pedro Simon au journal O Globo

Mais le nettoyage a un coût: "aucun gouvernement ne sort indemne de la démission de quatre ministres en deux mois", a estimé jeudi le quotidien Folha dans un éditorial, en soulignant le risque d'"instabilité" du gouvernement. En s'attaquant à la corruption, Dilma Rousseff s'attaque aussi aux partis alliés de la coalition gouvernementale, auxquels appartenaient les ministres démissionnaires. Le Parti de la République, à la tête des Transports, a abandonné la coalition à la suite du scandale.

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  • 1 year later...

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120924trib000721089/defense-thales-et-eads-ratent-un-megacontrat-au-bresil.html

Les deux groupes, spécialistes pourtant dans le domaine de la surveillance des frontières, ont perdu fin août un mégacontrat au Brésil évalué à 6 milliards de dollars. C'est l'avionneur brésilien Embraer qui a raflé la mise.

En France, c'est passé relativement inaperçu... Et pourtant, c'est une belle claque pour Thales et pour la filiale défense d'EADS, Cassidian, qui ont perdu fin août un mégacontrat au Brésil portant sur la surveillance de frontières, baptisé Sisfron (Sistema Integrado de Monitoramento de Fronteiras), piloté par l'armée de terre. Le montant global de cette opération est évalué à 6 milliards de dollars (4,64 milliards  d'euros). Deux groupes pourtant spécialistes dans ce domaine. Ce qu'on perdu en fait Thales (associé à Northrop Flight Technologies) et EADS (pourtant en compagnie du groupe brésilien Odebrecht), c'est la phase de mise en oeuvre initiale, qui va durer deux ans (400 millions de dollars, 310 millions d'euros). Au final, le consortium brésilien Tepro, piloté par l'avionneur brésilien Embraer, associé à Savis technologia et OrbiSat Industra, a raflé la mise.

Le consortium est entré dans la phase de négociation du programme Sisfron, qui implique le contrôle des frontières terrestres, soit 17.000 km partagés avec dix pays différents : Uruguay, Argentine, Paraguay, Bolivie, Pérou, Colombie, Venezuela, Guyane, Surinam et France (Guyane Française). Sisfron est un réseau de radars de surveillance, de capteurs, de commande et de systèmes de communication de contrôle et des drones conçu pour améliorer la protection des frontières du Brésil. Le système est destiné à aider l'armée de terre dans sa prise de décision et de coordonner les actions avec l'ensemble des organisations et agences gouvernementales, responsables du contrôle et de la surveillance des frontières.

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  • 1 month later...

La France pourrait fabriquer des supercalculateurs au Brésil

La France va-t-elle produire des supercalculateurs au Brésil ? Selon l'AFP, les deux pays auraient entamé des négociations et la société Bull pourrait être de la partie.

Se basant sur une information du journal brésilien Valor, l'AFP affirme que la France et le Brésil seraient en négociations pour la production industrielle de supercalculateurs sur le territoire brésilien. À un stade encore peu avancé, ce partenariat, précise le quotidien, engendrerait « un saut technologique de plus de vingt ans de recherche » pour le Brésil.

Spécialisé sur ce secteur, le français Bull pourrait être associé à ce chantier. D'après l'agence de presse, la société a « remis récemment une lettre d'intention au gouvernement brésilien pour formaliser son désir d'engagement dans ce projet de coopération bilatérale ». Contacté par nos soins, Bull n'a pas été en mesure de confirmer cette information. [...]

La suite sur : http://pro.clubic.com/it-business/actualite-520635-supercalculateurs-bresil-france.html

Pour ceux qui veulent s'essayer au portugais, la même info, mais en un peu plus complète : http://www.portugues.rfi.fr/node/136972

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  • 9 months later...

Petit déterrage de topic pour vous faire part de ce que je viens de recevoir dans ma boîte mail:

 

 

 


 

logo-MAEE.jpg

Lancement du programme "Chaires françaises dans l'Etat de Rio de Janeiro" : appel à candidatures

Bonjour,

Le Consulat Général de France à Rio de Janeiro et l’Université de l'Etat de Rio de Janeiro (UERJ) lancent le premier appel à candidatures d’une chaire pour des professeurs ou chercheurs d'établissements de recherche et d'enseignement supérieur français à Rio de Janeiro.

Cette chaire, codirigée avec un Professeur brésilien, constitue une excellente opportunité pour développer et structurer les collaborations entre les organismes français et l’UERJ au travers d'actions de recherche, d'enseignement et de divulgation scientifique.
 
Les dossiers sont à déposer avant le 15 novembre 2013. Le texte de l'appel à candidatures et les modalités de dépôt des dossiers sont disponibles à l'adresse suivante : http://riodejaneiro.ambafrance-br.org/Creation-de-la-cooperation-Chaires 

Contact pour tout complément d'informations : florence.puech@diplomatie.gouv.fr

Florence Puech
Attachée de coopération pour la Science et la Technologie
Consulat Général de France à Rio de Janeiro

 

Ce message est adressé aux abonnés de la liste de diffusion Programmes de recherche. Merci de ne pas y répondre, votre message ne serait pas traité.
Si vous ne souhaitez plus être destinataire de ces envois, vous pouvez vous désabonner en cliquant sur ce lien

Bref, la lune de miel continue...

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La présidente brésilienne a annuler l'unique dîner d'Etat prévu a la Maison-Blanche cette année suite aux révélations sur PRISM mais cela a t'il des conséquences pratiques sur les relations commerciales/militaires entre les 2 pays ? Les F-18 sont ils toujours réellement dans la course avec le climat actuel ?

Et concernant cette histoire de super calculateur avec Bull, cela a t'il progressé ? Franchement, je ne voit pas l'intérêt d'aider un futur concurrent sur ce domaine sensible sans contrepartie.

Modifié par collectionneur
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  • 8 months later...

Les coûts du mondial de foot n'est pas près d'être digéré. Elle risque bien de passer à la trappe aux prochaines élections.

 

Dilma Rousseff "ne se laissera pas intimider"

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/06/13/97001-20140613FILWWW00451-dilma-rousseff-ne-se-laissera-pas-intimider.php

Modifié par zx
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  • 4 weeks later...

7-1 en demi final... C'est un record dans l'Histoire de la coupe du monde non ? Demain le Brésil entre en guerre civile...

Par contre les gens semblent oublier que après le mondiale il y à les JO de Rio !

Modifié par Conan le Barbare
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  • 1 month later...

Si c'est une ecolo qui met Roussef dehors, ca craint pour le gripen.

Brésil : Marina Silva, la femme qui fait trembler Dilma Rousseff

 

La mort d'Eduardo Campos ouvre la voie à sa colistière, l'écologiste Marina Silva, un petit bout de femme qui affole l'establishment à 50 jours du scrutin.

 

http://www.lepoint.fr/monde/bresil-marina-silva-la-femme-qui-fait-trembler-dilma-rousseff-16-08-2014-1854224_24.php

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Si c'est une ecolo qui met Roussef dehors, ca craint pour le gripen.

Brésil : Marina Silva, la femme qui fait trembler Dilma Rousseff

 

La mort d'Eduardo Campos ouvre la voie à sa colistière, l'écologiste Marina Silva, un petit bout de femme qui affole l'establishment à 50 jours du scrutin.

 

http://www.lepoint.fr/monde/bresil-marina-silva-la-femme-qui-fait-trembler-dilma-rousseff-16-08-2014-1854224_24.php

 

Cela craindrait surtout pour les brics.

Si c'est une ecolo comme ceux européens, pour ce qui est de la politique étrangère, ils sont alignés sur les US.

 

Ecolo français, allemands étant ceux pour la guerre en Irak en 2003.

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