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Economie et climat. CO2 or not CO2?


Jojo67
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Le 03/12/2019 à 23:35, zx a dit :

Une bactérie modifiée par des chercheurs se nourrit exclusivement de CO2

GÉNÉTIQUE La bactérie n’est pas encore autonome dans l’atmosphère ni très efficace, mais elle donne un peu d’espoir

https://www.20minutes.fr/sciences/2665343-20191202-bacterie-modifiee-chercheurs-nourrit-exclusivement-co2?xtor=RSS-176

Avancée intéressante, parce que l'humanité trouve toujours de nouvelles manières de "réduire" son empreinte carbone :

ACTUALITÉ Le nombre de touristes en Antarctique ne cesse d’augmenter

"Les touristes sont de plus en plus nombreux à se rendre en Antarctique. Ils étaient 44.367 pour la saison 2016-2017, 51.707 (+16,5%) pour la saison 2017-2018 et 56.168 (+8,6%) en 2018-2019,...

....D'ici 2023, une trentaine de nouveaux navires d'expédition, en majorité conçus pour pouvoir naviguer en zones polaires, doivent entrer en service. (20 navires de croisière actuellement)"


https://www.meretmarine.com/fr/content/le-nombre-de-touristes-en-antarctique-ne-cesse-daugmenter

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Quand ces fichus glaciers et banquise auront disparu, Terre Adélie sera une station balnéaire prisée, les touristes viennent repérer les lieux, et il doit y avoir quelques promoteurs immobilier dans le tas.
En attendant, on peut déjà se faire déposer en hélicoptère au pôle nord, ça permet de se rendre intéressant ensuite dans les diners en ville.

 

Modifié par WizardOfLinn
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Aviation sans CO2 : oublions l'avion électrique, la solution est ailleurs, dit Safran

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/aviation-sans-co2-oublions-l-avion-electrique-la-solution-est-ailleurs-dit-safran-834909.html

Pour le groupe aéronautique, l'objectif de baisse des émissions de 50% en 2050 par rapport à 2005 (malgré la hausse du trafic) est atteignable. Mais sa réalisation ne passera pas par des avions 100% électriques, mais par la combinaison de plusieurs facteurs : l'entrée en service vers 2035 de nouveaux avions ultra-efficaces à moteurs thermiques, la généralisation des carburants alternatifs associant des biocarburants et des carburants synthétiques, et l'amélioration de la gestion des opérations. Pour autant, les obstacles sont nombreux.

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Le problème des carburants synthétique et autre agrocarburant c'est le coût ... par rapport a du kero donné ou presque ça va fortement limiter les capacité des clients a utiliser ce moyen de transport personne ou fret.

C'est infiniment plus coûteux de tourner vers les agro kero que de payer de racheter des droit démission ...

Pour le moment on parle d'un surcoût de 3 à 5 fois celui du kero ... et encore la demande en agro carburant n'est que balbutiante ... par sur qu'on arrive a un prix de marché raisonnable une fois en régime de croisière ... d'autant que les agro carburant n'intéresseront pas que les avions ... mais aussi beaucoup de solution ne pouvant se passer de moteur thermique. On pense au bateau ... aux véhicule et machine terrestre des région isolé etc. etc.

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1 hour ago, zx said:

on pourrait utiliser l'hydrogene et la pile à combustible pour la propulsion. on en parle de plus en plus pour les camion est engin lourd;

http://www.leparisien.fr/economie/l-aviation-se-prepare-a-l-arrivee-de-l-hydrogene-08-10-2018-7913661.php

Non ...

  • Rendre compatible avec la sécurité des vol le stockage de l'hydrogene à bord est une gageure ...
  • Les PAC produisent peut de puissance, et on une densité de puissance modeste.

La PAC hydrogène c'est envisageable pour les véhicules terrestres disposant de pas mal de volume libre. Poids lourd et train surtout ...

Boeing avait développé le Phantom Eyes ... mais c'est un drone longue endurance ... et ça n'a pas eu de suite.

 

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A part la PAC, un Tupolev 155, appareil expérimental avec des moteurs thermiques brûlant directement de l'hydrogène, a déjà volé ...en 1989.
Ca a aussi été testé avec du gaz naturel : l'intérêt à l'époque était que les aéroports sibériens pouvaient être plus facilement ravitaillés en gaz qu'en kérozène.
Il y a eu aussi une étude d'Airbus vers 2000 (Cryoplane). Les modifications des moteurs actuels paraissent assez mineures.
Par contre, l'avion optimisé pour LH2 a une sale tête : compte tenu de la faible densité de l'hydrogène, on ne peut pas le stocker dans les ailes, et l'engin ressemble à une grosse bonbonne si on veut de l'autonomie.
Et comme il y a aussi quelques contraintes logistiques (stocker et manipuler un carburant assez explosif sur un aéroport...), l'utilisation de l'hydrogène pour l'aviation ne parait pas être envisagée à court terme.
Il faudrait voir si la combinaison PAC+moteur électrique y change quelque chose (pour des petits avions à plus faible autonomie et consommant moins par exemple?), mais ça risque d'être quand même un marché de niche.

 

Modifié par WizardOfLinn
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3 minutes ago, WizardOfLinn said:

Il faudrait voir si la combinaison PAC+moteur électrique y change quelque chose (pour des petits avions consommant moins par exemple?), mais ça risque d'être quand même un marché de niche.

TAG + moteur électrique sur agro-carburant ... c'est autrement plus viable si on veut optimiser les points de fonctionnement et l’aérodynamique.

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Il y a 11 heures, zx a dit :

Aviation sans CO2 : oublions l'avion électrique, la solution est ailleurs, dit Safran

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/aviation-sans-co2-oublions-l-avion-electrique-la-solution-est-ailleurs-dit-safran-834909.html

Pour le groupe aéronautique, l'objectif de baisse des émissions de 50% en 2050 par rapport à 2005 (malgré la hausse du trafic) est atteignable. Mais sa réalisation ne passera pas par des avions 100% électriques, mais par la combinaison de plusieurs facteurs : l'entrée en service vers 2035 de nouveaux avions ultra-efficaces à moteurs thermiques, la généralisation des carburants alternatifs associant des biocarburants et des carburants synthétiques, et l'amélioration de la gestion des opérations. Pour autant, les obstacles sont nombreux.

Oui, mais c'est "illusoire" :

Une telle filière ne pourra voir le jour que s'il y a une demande pour de tels carburants. Pour cela, il faut qu'il y ait une obligation d'incorporation pour les compagnies aériennes. Problème, au regard de la spécificité internationale du transport aérien, une telle règlementation ne peut se faire qu'à l'échelle mondiale, sous peine de créer des écarts de compétitivité entre les compagnies qui seraient obligées d'utiliser des carburants alternatifs beaucoup plus coûteux et celles qui n'y seraient pas contraintes. Vu la lenteur des débats pour mettre en place dans la douleur le système de compensation mondial des émissions de CO2 Corsia partir de 2020, il semble aujourd'hui illusoire d'espérer réunir tous les pays de la planète sur un tel projet.

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Le 01/12/2019 à 23:39, Tancrède a dit :

Et pourtant c'est une conversation impossible à tenir rationnellement. En bonne partie parce que dans la masse des organisations militantes qui comptent dans le débat et la vie publique (y compris dans la sphère scientifique qui s'est vue pirater par une faction ultra-militante qui attaque maintenant même les scénaris du GIEC comme minimalistes, et s'en prend aux savants non alignés du GIEC: quiconque n'est pas un alarmiste est un climato-négationniste), la plupart placent la question environnementale au second plan, derrière la réorganisation de l'économie (et la concentration de pouvoir qui va avec) qu'ils veulent implémenter pour "combattre" un réchauffement sur lequel même l'Europe entière pèse bien peu.

Je rappelle que c'est le capitalisme qui débouche sur la catastrophe climatique. C'est lui qu'il s'agit d'éliminer, et alors les problèmes environnementaux en seront tout naturellement résolus ! (1)

Comment ? Ah, voyez les énergies renouvelables pour les détails. Et la sobriété. Et le développement social plutôt que physique - a-t-on besoin de tant de choses ? N'oubliez pas aussi que les profits seront utilisés pour les gens plutôt que pour le capitalisme, donc ça fera de la marge (2) Bref, allez voir les spécialistes, ou mieux encore laissez-les et concentrez vous sur l'action militante.

Du moment qu'on se débarrasse d'abord du capitalisme, tout ira bien !

 

(1) Le bilan écologique de l'URSS et de la Chine maoïste, vous dites ? Mais c'était du capitalisme, tout ça, quoique du capitalisme d'Etat. On vous a bien dit qu'il s'agit d'en sortir !

(2) Le calcul ne tombe pas juste, vous dites ? Il manque un bon ordre de grandeur, vous dites ? Ah ne sous-estimez pas les profits hein !

 

Le 05/12/2019 à 10:35, WizardOfLinn a dit :

Quand ces fichus glaciers et banquise auront disparu, Terre Adélie sera une station balnéaire prisée, les touristes viennent repérer les lieux, et il doit y avoir quelques promoteurs immobilier dans le tas.

En tout cas les promoteurs immobiliers ne seront pas à Marseille, Nantes, Bordeaux, Lille, Le Havre ni Paris.

Puisque la plus grande ville française hors des eaux sera... Clermont-Ferrand :dry:

Bon cela dit, si ce jour arrive, il y faudra de nombreux siècles. 70 mètres de montée du niveau des océans, ça ne se fera pas en quelques petites années...

 

Il y a 11 heures, g4lly a dit :

Le problème des carburants synthétique et autre agrocarburant c'est le coût ... par rapport a du kero donné ou presque ça va fortement limiter les capacité des clients a utiliser ce moyen de transport personne ou fret.

Et le problème de fond des agrocarburants c'est que c'est une très mauvaise utilisation de la surface agricole utile mondiale qui est limitée.

Entre :
- A
ugmentation de la population,
- Nécessité de passer à des modes plus durables d'utilisation des sols - avec beaucoup moins d'intrants, et à terme aucun qui provienne des carburants fossiles
- Nécessité de laisser des espaces véritablement naturels non cultivés si on souhaite ne pas appauvrir radicalement la nature voire la déséquilibrer complètement - je suis en dehors de mon domaine de compétence, mais j'ai cru comprendre que les espaces non cultivés étaient nécessaires aux espaces cultivés qu'il fallait un équilibre

... Il est assez clair que l'agriculture doit se concentrer sur sa fonction première. Pas question de détourner des champs pour y faire pousser du carburant

Modifié par Alexis
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il y a 52 minutes, Alexis a dit :

...

En tout cas les promoteurs immobiliers ne seront pas à Marseille, Nantes, Bordeaux, Lille, Le Havre ni Paris.

Puisque la plus grande ville française hors des eaux sera... Clermont-Ferrand :dry:

...

 

Attention, avec tous ces chamboulements modifiant l'équilibre de la croute terrestre, c'est un coup à rallumer les volcans d'Auvergne :ohmy:

Pour ce qui est des agrocarburants, j'ajouterais à ta liste que le EROI (retour énergétique) est déplorable, ce qui finirait par se voir à grande échelle.

Modifié par WizardOfLinn
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Il y a 3 heures, g4lly a dit :

Non ...

  • Rendre compatible avec la sécurité des vol le stockage de l'hydrogene à bord est une gageure ...
  • Les PAC produisent peut de puissance, et on une densité de puissance modeste.

Pour éviter le stockage de l'Hydrogène qui pose des problèmes, j'avais proposé sur mon site le concept d'hydrogène à la demande.

Citation

 

Le cycle Iode-Soufre qui est assez complexe du point de vue chimique semble avoir été prouvé du point de vue de la viabilité. Les réactions chimiques qui le caractérisent sont les suivantes :

(1) 9 I2 + SO2 + 16 H2O→ (2HI + 10H2O + 8I2) + (H2SO4 + 4H2O) -- [120°C]
(2) 2 HI → H2 + I2 -- [220-330°C]
(3) H2SO4 → SO2 + H2O + ½ O2 -- [850°C]


La réaction (2) qui est légèrement endothermique pourrait être réalisée dans un véhicule. Il suffirait de chauffer l’hydrure d’iode jusqu’à la température requise pour produire l’hydrogène nécessaire à la propulsion. On récupèrerait alors le di-iode (I2) pour le recycler.


La faisabilité industrielle semble avoir été prouvée par le japon qui a construit une unité pilote sur ce principe [H. Nakajima, K. Ikenoya, K. Onuki et al. – “Closed-Cycle Continuous Hydrogen Production Test by Thermochemical S_I Process”, Kagaku Kogaku Ronbunshu, 24 (1998) 352 (en Japonais)].

Ce procédé ne nécessite pas d'électrolyse et donc évite les pertes dues au passage de la chaleur à l’électricité. C’est un des procédés qui serait compatible avec l’utilisation directe de la chaleur d’un réacteur nucléaire. Il peut aussi utiliser la chaleur d’un four solaire.

 

http://transition.wifeo.com/lenergie-pour-la-mobilite.php

Modifié par Picdelamirand-oil
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Les solutions technologiques abondamment citées ne sont pas viable :  réduire nos émissions de Co2 est la seule voie possible en particulier le transport mondial les fameux "échanges internationaux" tant vantés par nos élites : on fabrique dans des pays à très bas coût salarial, sans aucune notion écologique puis on le transporte sur des bateaux hyperpolluants jusque chez nous, résultat pollution et esclavage la bas, pollution sur le chemin et chômage ici.

Tant qu'on restera sur ce principe de commerce mondial on aura aucune solution réelle

2030 est à mon avis la date de péremption de ce système avec l'écroulement de nos sociétés 

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Il y a 2 heures, Alexis a dit :

En tout cas les promoteurs immobiliers ne seront pas à Marseille, Nantes, Bordeaux, Lille, Le Havre ni Paris.

Puisque la plus grande ville française hors des eaux sera... Clermont-Ferrand :dry:

Et à cette époque là, il y fera 50°C durant 6 mois de l'année... pas sûr que le Salers Tradition ne survive à cela :sad:

Il y a 2 heures, Alexis a dit :

... Il est assez clair que l'agriculture doit se concentrer sur sa fonction première. Pas question de détourner des champs pour y faire pousser du carburant

D'autant plus que, concernant la France, cela joue sur du colza ou du tournesol aujourd'hui, et c'est le bilan écologique de ce dernier qui est sans doute le moins pire.

Le colza a des exigences de pousse très élevées en azote, potassium mais aussi... phosphore, classé matière première critique depuis 2017 et dont le pic de production est attendu pour 2030, alors même que les USA et la Chine, deux des principaux pays-gisements ont restreint leurs réserves à leurs seuls besoins nationaux (reste le Maroc...). 

Mais après, la France n'a pas de pétrole donc il se peut que les agrocarburants soient malgré tout produits en masse avec le déclin prononcé des pétroles non-conventionnels.

Si on revenait à la densité de réseau ferré du début du 20e siècle, et que tout cela tournait grâce à un circuit complet ou quasi complet de l'uranium via surgénérateurs de type Astrid sur réserves de déchets de la Hague, je ne dis pas mais... Cela n'en prend pas le chemin, vu l'actualité concernant la filière. 

Du coup, sans vouloir paraître trop pessimiste, on se dirige sans doute vers une forme de violences sociales larvées de plus en plus pernicieuses et fracturantes, en interne, avec comme conséquence finale, la fin de la démocratie telle qu'on la connaît aujourd'hui en France, du fait d'un tel fond contextuel et de micro-coups de boutoir plus ou moins tacites de structures évoluant pour l'instant en parallèle mais peut-être bientôt rivales de l'Etat, à tous les échelons et dans toutes les sphères. Le risque est de refaire le chemin en sens inverse, vers la féodalité, du fait de la contrainte d'énergie. 

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Il va falloir accepter que l’hydrogène est un mauvais vecteur d’énergie pour les transports.

Ses performances sont alléchantes sur le papier, mais les efforts pour rendre son usage opérationnelle n'en valent juste pas la chandelle, même pour des applications aérospatiales ; c'est dire !

Pour les installations fixes c'est plus intéressant si l'on veut transporter de l’énergie sur longue distance ou stocker quelques heures  ou jours de consommation pour palier à l'intermittence des énergies renouvelables.

 

il y a une heure, Picdelamirand-oil a dit :

Pour éviter le stockage de l'Hydrogène qui pose des problèmes, j'avais proposé sur mon site le concept d'hydrogène à la demande.

http://transition.wifeo.com/lenergie-pour-la-mobilite.php

Est-ce que tu connais une méthode de génération de l’hydrogène directement à partir de l'eau de mer, hors thermolyse (c'est à dire chimique ou électrochimique) ?

 

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il y a 10 minutes, Shorr kan a dit :

Est-ce que tu connais une méthode de génération de l’hydrogène directement à partir de l'eau de mer, hors thermolyse (c'est à dire chimique ou électrochimique) ?

 

le Bore réagit avec l'eau pour former de l'oxyde de bore et de l'hydrogène. C'est un principe concurrent de celui que je préconise pour l'hydrogène à la demande.

https://www.electronique-eci.com/news/carburant-aqueux-bh4-pour-revolutionner-le-cycle-de-lhydrogene

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il y a 2 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

le Bore réagit avec l'eau pour former de l'oxyde de bore et de l'hydrogène. C'est un principe concurrent de celui que je préconise pour l'hydrogène à la demande.

https://www.electronique-eci.com/news/carburant-aqueux-bh4-pour-revolutionner-le-cycle-de-lhydrogene

Et ça marche avec de l'eau salé ?

C'est surtout ça ma question.

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Il y a 3 heures, kalligator a dit :

Les solutions technologiques abondamment citées ne sont pas viable :  réduire nos émissions de Co2 est la seule voie possible en particulier le transport mondial les fameux "échanges internationaux" tant vantés par nos élites : on fabrique dans des pays à très bas coût salarial, sans aucune notion écologique puis on le transporte sur des bateaux hyperpolluants jusque chez nous, résultat pollution et esclavage la bas, pollution sur le chemin et chômage ici.

Tant qu'on restera sur ce principe de commerce mondial on aura aucune solution réelle

2030 est à mon avis la date de péremption de ce système avec l'écroulement de nos sociétés 

Le plus gros problème, ce n'est pas les bateaux, c'est les camions :

2994d4c9c7_50145031_part-emissions-co2-t

source : AIE 2016 https://www.futura-sciences.com/planete/questions-reponses/pollution-transport-co2-part-emissions-1017/

Le 24/07/2019 à 13:49, Wallaby a dit :

http://www.air-defense.net/forum/topic/6986-union-européenne-nos-projets-son-futur/page/269/?tab=comments#comment-1234260

Attention, à chaque fois que le transport maritime ou fluvial permet de transporter de grandes quantités à un coût énergétique modique, il est préférable pour l'empreinte carbone d'utiliser le transport maritime plutôt que de lui substituer le transport routier ou ferroviaire, même si l'on réduit la distance :

https://www.livescience.com/3041-carbon-footprint-wine.html (10 novembre 2008)

Si vous vivez à San Francisco, vous pouvez vous procurer votre vin dans les nombreux vignobles californiens ; mais si vous vivez à New York, il peut être plus écologique d'acheter du vin envoyé par porte-conteneurs de Bordeaux à un port du New Jersey que d'acheter du vin américain avec un vin de Napa Valley, qui serait acheminé par camion à travers le pays.

Un vin expédié directement de Bordeaux devait être transporté par camion jusqu'à Columbus, en Ohio, avant d'égaler l'impact des gaz à effet de serre d'un vin de Napa Valley transporté par camion au même endroit.

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Etonnant je croyais qu'un bateau polluait un max (cf porte containeur récemment inauguré en France qui émettait autant de souffre que 55 mio de bagnoles, pas de chiffre sur le Co2). Dont acte.

 

Aurais-tu dans la part du transport routier une répartition Autos privées d'une part et autres transport routiers ?

 

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LE CLIMAT DANS TOUS SES ÉTATS (4/5) - Un niveau très élevé de CO2 dans l’atmosphère serait capable de faire disparaître complètement les nuages, selon une récente modélisation. Les conséquences seraient désastreuses.

https://www.lefigaro.fr/sciences/2019/02/27/01008-20190227ARTFIG00257-climat-un-scenario-catastrophique-avec-la-disparition-des-nuages.php

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