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Economie et climat. CO2 or not CO2?


Jojo67
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Messages recommandés

Exemple avec les déchet papier et plastique soit disant "recyclé" ... mais aussi électronique à la fin du reportage.

https://www.youtube.com/watch?v=sw0vsfrKL3I

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Mais qui veut des usines sidérurgique derrière son jardin en Europe ou en Amérique?! Personne.

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Le "recyclage" à la Thaïlandaise https://www.youtube.com/watch?v=LO7J3n61o-o

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On a déjà bien du mal à agir sur la source de tous ces déchets...
C'est même parfois assez désespérant avec les emballages en plastique. Par exemple, vous avez remarqué depuis quelques années, que les fruits et légumes se vendent de plus en plus en barquettes dans les grandes surfaces ?
On a éliminé les sachets en plastiques il y a quelques années, remplacés par des sachets en papier, ou à la rigueur en plastique dégradable, ça a marché un temps. Et maintenant on peut acheter des oranges ou des carottes pesées et emballées dans une barquette, qui doit représenter, en poids, des dizaines de fois plus de matériau synthétique que les anciens sachets en plastique.
C'est pratique, ça dispense le client d'aller peser lui-même des fruits et légumes disponibles à l'étalage. Si on a conscience du problème, il est très facile d'éviter ces emballage.

Déchets électroniques : par exemple, certains éclairages à LEDs produisent une vague de déchets à cause d'une conception particulière. Les ampoules à LED tombent en panne au bout de 2000 ou 3000 h, ou moins, alors que le composant LED lui même a une durée de vie de plusieurs dizaines de milliers d'heures (certains vendeurs peu scrupuleux jouent la dessus et donnent la durée de vie de la LED pour toute l'ampoule)
Ouvrez-en une : comme il n'y a pas de place dans un culot E27 pour loger un vrai transformateur, le couplage sur secteur est assuré par un simple condensateur, assez souvent de qualité inférieure, et c'est ce composant qui lache, d'autant plus que la dissipation thermique est rudimentaire.
La parade : utiliser des éclairages avec un vrai transformateur source de courant. C'est ce qui est utilisé pour les dalles, par exemple. Si la dalle ou le transformateur tombent en panne, vous changez l'un des deux, tout n'est pas à jeter. Mais en fait, je n'ai encore jamais vu de panne, alors que j'ai un éclairage à dalle qui cumule maintenant 15000 h de fonctionnement.

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Le 03/02/2021 à 11:50, bubzy a dit :

Il faut simplement sortir du modèle de rêve actuel: une maison individuelle pour tous avec piscine, un véhicule par membre de la famille, un voyage à l'autre bout du monde par an, un smartphone dernier cri chacun qu'on change tous les 1 à 2 ans, utilisation de produits jetables, et surconsommation dans tous les pans de notre vie. C'est ce vers quoi tout le monde tend. Il faut changer ce paradigme. Et lutter contre la propension naturelle de l'homme à vouloir accumuler. ça se fait par l'éducation. Et les premiers qui en ont besoin, c'est ceux qui possèdent maladivement énormément. 

Je pense qu'un point clé sera l'évolution - ou au contraire la pétrification dans leurs modèles actuels - de la culture et des médias.

Est-ce qu'on va voir arriver des séries télévisées avec des personnages qui se posent les bonnes questions, des personnages torturés par le conflit entre l'envie de consommer et l'envie de sauver la planète, proposant une catharsis pour dépasser la schizophrénie actuelle ? Est-ce qu'on va voir émerger des personnages de fiction intéressants, ni en addiction au consumérisme, ni dupes des promesses de la "croissance verte" (attention oxymore) ?

L'autre grande question, c'est celle de la publicité, qui a pour but de renforcer le consumérisme et de détruire les neurones qui permettent aux gens de se poser les bonnes questions. Que va devenir le modèle des grandes entreprises comme Google fondé entièrement sur le "gratuit" financé par la publicité ?

Que va devenir le métier d'influenceur ?

Est-ce qu'on va voir apparaître des influenceurs d'un genre nouveau, chargés de faire le contraire de ce que font les autres : inciter les gens non pas à consommer, mais à la frugalité, au bouddhisme zen, à la doctrine amish, et à la méthode Marie Kondo et autre danshari ?

Modifié par Wallaby
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Il y a 6 heures, Wallaby a dit :

Que va devenir le métier d'influenceur ?

Est-ce qu'on va voir apparaître des influenceurs d'un genre nouveau, chargés de faire le contraire de ce que font les autres : inciter les gens non pas à consommer, mais à la frugalité, au bouddhisme zen, à la doctrine amish, et à la méthode Marie Kondo et autre danshari ?

Il y en a déjà un certain nombre sur youtube.  

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Il y a 15 heures, Shorr kan a dit :

Le problème avec la frugalité, c'est que quand c'est pas toi qui consomme une ressource, ce sera ton voisin qui lui aura beaucoup de scrupules de ce point de vue. ça vaut pour les individus ou les nations.

Peut-être qu'à un moment il va se produire un basculement, et ce seront les non-frugaux qui vont se sentir mal sous le regard désapprobateur d'une majorité frugale, plutôt que comme actuellement où c'est les non-frugaux qui dominent le discours médiatique.

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13 minutes ago, Wallaby said:

Peut-être qu'à un moment il va se produire un basculement, et ce seront les non-frugaux qui vont se sentir mal sous le regard désapprobateur d'une majorité frugale, plutôt que comme actuellement où c'est les non-frugaux qui dominent le discours médiatique.

La souci c'est que le modèle économique n'y résisterait pas ... et probablement pas seulement le modèle économique.

15 hours ago, Shorr kan said:

Le problème avec la frugalité, c'est que quand c'est pas toi qui consomme une ressource, ce sera ton voisin qui lui aura beaucoup de scrupules de ce point de vue. ça vaut pour les individus ou les nations.

Le pire c'est que le sur-consommateur d'a coté va rapidement prendre l'ascendant sur toi ... parce que sa consommation c'est le fuel de sa recherche, de son développement et de sa puissance.

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Il y a 5 heures, g4lly a dit :

La souci c'est que le modèle économique n'y résisterait pas ... et probablement pas seulement le modèle économique.

C'est pas forcément un souci, mais plutôt une porte de sortie non ? C''est un souci pour ceux pour qui le modèle actuel compte beaucoup.

 

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https://youtu.be/ZzJOlYsqV80?t=2440

15 décembre 2020. « Face à la contrainte sur les ressources, croissance verte ou low-tech ? », avec Philippe Bihouix

39:57 Notre univers socio-technique et socio-économique est fondé sur la croissance. William Nordhaus qui a eu le prix Nobel d'économie 2018, ne l'a pas eu tout seul. Il l'a eu avec un autre monsieur qui s'appelle Paul Romer, qui lui est un spécialiste de l'économie de la connaissance et qui a dit qu'en fait on allait pouvoir faire de la croissance pendant plusieurs milliards d'années, jusqu'à ce que le soleil explose, parce que si vous fondez l'économie sur la connaissance, la combinatoire de la connaissance - pensez par exemple aux molécules chimiques, on invente des milliers de molécules chimiques chaque année - vous pouvez comme ça monter jusqu'au ciel.

En réalité malheureusement ça ne marche pas tout à fait comme ça, parce que la puissance des exponentielles nous rattraperait beaucoup plus vite que les milliards d'années. La puissance de l'exponentielle, on l'a tous un peu découverte, pour ceux qui ne manient pas les tableurs excel ou les mathématiques tous les jours, on l'a découvert avec la crise sanitaire. Quand vous doublez tous les quatre à cinq jours le nombre de malades ou le nombre de personnes contaminées, eh bien, au début ça ne se voit pas trop, vous êtes en phase de déconfinement, tout va bien, on se promène sur les plages, et puis tout à coup eh bien : fois deux, fois deux, fois deux, ça fait fois quatre, fois huit, fois seize, fois trente-deux, fois soixante-quatre, ça va très très vite, et l'exponentielle déborde rapidement potentiellement les capacités des hôpitaux ou autres.

On est exactement dans la même logique avec notre satanée croissance puisque deux pour cent de croissance par an, cela revient à multiplier par deux le PIB en 37 ans, à le multiplier par sept en un siècle, et à le multiplier par 390 millions - 7x7x7... dix fois de suite -  en un millénaire. Donc en gros, en l'an 3020, il faudrait que le PIB de la France soit 400 millions de fois supérieur, en ayant divisé par quatre ou six nos gaz à effet de serre, donc il faudrait qu'on ait une économie qui soit globalement, par euro de valeur ajoutée, de l'ordre d'un milliard de fois plus efficace. Vous voyez que c'est quand même subtil, parce que : est-ce qu'on arrivera à construire des bâtiments un milliard de fois moins émetteurs ? est-ce qu'on aura des voitures un milliard de fois moins émettrices de CO2 ? et caetera.

Alors pour se rappeler de la backstop technology et de la fusion nucléaire, parce que la fusion nucléaire nous permettrait de faire de la croissance, on va juste se dire que si on continue à prolonger cette horrible exponentielle, c'est pas fois 390 millions en un millénaire, mais si on rajoute encore 555 années précisément - vous voyez, ça doit nous faire à peu près... Clovis en termes de durée - eh bien on atteindrait à ce moment là en consommation énergétique la puissance de l'étoile solaire. Pas la puissance du soleil qui arrive sur terre, ça on sait que c'est 6000 fois la puissance appelée par l'humanité - mais bien la puissance de l'étoile solaire. Alors vous voyez bien qu'on ne va pas faire des réacteurs nucléaires à fusion nucléaire qui seront plus gros que le soleil ! Ca se saurait, enfin vous voyez on rentre un petit peu dans la logique de la science fiction. Eh puis 37 ans plus tard c'est pas un soleil qu'il nous faudrait, c'est deux soleils.   Et puis évidemment 37 ans plus tard, quatre soleils, et caetera. Si vous faites le calcul, vous vous aperceverez qu'il faudrait à ce moment là conquérir la galaxie à une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière pour aller chercher suffisamment d'étoiles et les exploiter.

Vous voyez la stupidité du monde dans lequel on vit, finalement, et des promesses. Et d'une manière ou d'une autre, les exponentielles ne montent pas jusqu'au ciel, il y a plutôt ce qu'on appelle une courbe logistique : elle finit par atteindre un pic et redescendre. Ca marchera avec tout, que ce soit la construction, les barils de pétrole ou le minerai de cuivre.

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Amusez vous ...

... à écouter ou réécouter.

https://www.franceculture.fr/emissions/la-transition/un-contentieux-peut-en-cacher-un-autre

Quote

Certains s'inquiètent de la multiplication des contentieux juridiques autour du climat. Mais regardent-ils vraiment dans la bonne direction ?

J’ai souvent eu l’occasion, dans cette chronique, de vous parler des actions menées devant la justice pour faire pression sur les Etats, afin qu’ils respectent leurs engagements climatiques. Démarches le plus souvent symboliques, mais en politique, les symboles sont importants, et en donnant raison en fin de semaine dernière aux plaignants de l’Affaire du siècle, le tribunal administratif de Paris a marqué un tournant : l’Etat français a bien commis une ‘’faute’’ en ne réduisant pas suffisamment ses émissions de gaz à effet de serre.

D’aucuns voient dans cette décision de justice un dangereux précédent, susceptible d’ancrer la France dans un ‘’gouvernement des juges’’, les magistrats finissant par se substituer au pouvoir politique, tandis que ce dernier n’oserait plus agir, de peur d’être condamné. C’est cet effet pervers et anesthésiant qui est prêté (sans véritable preuve) au principe de précaution, introduit dans le droit français en 1995, et intégré dans la Charte de l’Environnement 10 ans plus tard.

Et bien à tous ces prophètes de tracasseries à venir, je serais tenté de répondre qu’ils feraient mieux de s’intéresser à d’autres contentieux juridiques, beaucoup plus préoccupants pour l’avenir en ceci qu’ils compromettent la lutte essentielle contre le changement climatique. Je veux parler ici des tribunaux d’arbitrage et d’un traité en particulier : le TCE.

Le TCE, Traité sur la charte de l’énergie, est opérationnel depuis 1998. Il est conclu dans le contexte post-soviétique, avec l’objectif de sécuriser les approvisionnements énergétiques de l’Union européenne, en donnant aux investisseurs un cadre juridique stable. Avec, comme gage de cette stabilité, la possibilité pour les entreprises du secteur de l’énergie de se retourner contre les Etats, d’exiger des dédommagements, si jamais ceux-ci ne remplissent pas leur part du contrat.

Un exemple ? Pas plus tard que jeudi dernier avec la plainte déposée par le conglomérat allemand RWE contre le gouvernement néerlandais. Il se trouve : petit 1, que RWE est propriétaire, aux Pays-Bas, d’une centrale électrique au charbon ; petit 2, que les Pays-Bas ont fait le choix de sortir du charbon d’ici 2030, pour respecter leurs objectifs climatiques. RWE doit donc renoncer à cette activité d’ici la fin de la décennie. L’énergéticien contre-attaque, demande des dédommagements devant un tribunal international de commerce, de l’ordre de 1,4 milliards d’euros, et il le fait en se référant au fameux TCE.

Il faut préciser que si le gouvernement néerlandais s’est fixé des objectifs ambitieux sur le plan climatique, c’est parce que la justice l’a contraint à le faire, après qu’une plainte eut été déposée dans ce sens par des citoyens : c’est la fameuse affaire Urgenda. Or que se passe-t-il aujourd’hui ? Et bien la politique de sortie du charbon des Pays-Bas, politique vitale, est remise en cause par un grand groupe industriel.

Ce n’est pas inédit. Des dizaines de procédures ont déjà été engagées sur la base du Traité sur la charte de l’énergie. Comme le relève un rapport très complet publié par l’Aitec et Attac France, les 2/3 de ces procédures sont intra-européennes, autrement dit ce sont des entreprises de l’UE qui se retournent contre des Etats de l’UE. On se retrouve donc avec cette situation absurde de voir l’Union européenne entravée dans sa politique de transition énergétique à cause d’un traité qu’elle a elle-même défendu !

Conscient de cette absurdité, des parlementaires européens demandent à ce que les investissements dans les énergies fossiles, très émettrices de gaz à effet de serre, soient retirés du TCE. Sans succès pour l’instant. Vous le voyez : s’il faut craindre un ‘’gouvernement des juges’’, un abus de contentieux juridiques, c’est d’abord de ce côté-ci qu’il faudrait regarder.

 

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C'est louable, mais il faudrait 20 fois plus par an pour compenser les émissions  française de CO² :

Un milliard d'arbres plantés d'ici 2035 en France, l'objectif fou d'une start-up

…..

"Un milliard d'arbres, c'est environ 200 millions de tonnes de carbone capturées en quelques décennies", expliquait récemment Olivier de Montety dans Le Journal du Dimanche. Un chiffre qui correspond à presque la moitié des émissions annuelles françaises. Mais ce projet coûte cher : 100.000 euros l'hectare, ce qui correspond à 30.000 arbres plantés…."

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/societe/un-milliard-darbres-plantés-dici-2035-en-france-lobjectif-fou-dune-start-up/ar-BB1dwyqG?ocid=spartan-dhp-feeds

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2 hours ago, Benoitleg said:

C'est louable, mais il faudrait 20 fois plus par an pour compenser les émissions  française de CO² :

Un milliard d'arbres plantés d'ici 2035 en France, l'objectif fou d'une start-up

…..

"Un milliard d'arbres, c'est environ 200 millions de tonnes de carbone capturées en quelques décennies", expliquait récemment Olivier de Montety dans Le Journal du Dimanche. Un chiffre qui correspond à presque la moitié des émissions annuelles françaises. Mais ce projet coûte cher : 100.000 euros l'hectare, ce qui correspond à 30.000 arbres plantés…."

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/societe/un-milliard-darbres-plantés-dici-2035-en-france-lobjectif-fou-dune-start-up/ar-BB1dwyqG?ocid=spartan-dhp-feeds

C'est amusant ... pendant ce temps là on artificialise les sols bien plus vite ... sols qui stockent en biomasse infiniment plus de CO² que ce que ne stockent les arbres en surface :bloblaugh:

Ou l'art de prendre le problème à l'envers ...

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il y a une heure, g4lly a dit :

C'est amusant ... pendant ce temps là on artificialise les sols bien plus vite ... sols qui stockent en biomasse infiniment plus de CO² que ce que ne stockent les arbres en surface :bloblaugh:

Ou l'art de prendre le problème à l'envers ...

Surtout, toute tentative de plantation des arbres repose souvent sur le financement via les crédit CO2. C'est donc de la compensation. C'est à dire un droit à polluer alors que nous avons désespérément de capturer le trop plein accumuler depuis des décénnies, même si ce n'est qu'une goute dans l'océan.

Surtout que planter des arbres, si c'est pas bien fait, dans un contexte de changement climatique rapide, c'est s'assurer de leur mort prématurée dans les dix à vingt ans, et donc d'un bilan quasi nul. Mais les crédit CO2 investit ne seront pas rendus, par conséquent on aura à nouveau la place d'en replanter un milliard... En fait c'est pas un puis à CO2, mais en étant mauvaise langue je dirais que c'est une mine d'euros. 

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Le greenwashing permet de faire de la thune

en quand tu vas sur leur site (https://www.trees-everywhere.eu/about ) tu tombes sur cette phrase que j'adore :

Business model : Nous sommes un bureau d'études qui réalise des projets et nos honoraires sont proportionnels au montant global du chantier et des certifications obtenues et transférées au client.

:bloblaugh:

Dans les TP une maîtrise d'oeuvre c'est autour de 6-8% du montant. si tu passes par un archi qui a un marché de conception puis suivi de chantier, tu peux aller aisément jusqu'à 12% 

Et le pire c'est que tu vas quand même des boîtes/administrations qui passeront par ce genre de boîte alors que leur plus value est proche de zéro

 

 

 

Modifié par Fanch
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Quelques considérations sur la comptabilisation de l'empreinte carbone :

https://www.connaissancedesenergies.org/tribune-actualite-energies/emissions-de-co2-quel-indicateur-privilegier-dans-nos-politiques-energie-climat

Citation

...

En France, la question de l’utilisation de l’empreinte de consommation a fait l’objet d’un rapport très complet(6) du Haut Conseil pour le climat (HCC). Plusieurs questions clefs sont soulevées.

En premier lieu, il apparaît que la plus grande partie des émissions importées proviennent de nos partenaires européens. Le déficit de nos échanges avec l’Allemagne compte lourdement dans notre empreinte carbone. Sauf à imaginer une renationalisation des politiques climatiques, il conviendrait d’utiliser un thermomètre ne comprenant que les échanges extraeuropéens.

...

Ben oui, non seulement ils ont encore une industrie, mais en plus elle tourne au charbon...

 

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https://www.theguardian.com/technology/2021/feb/15/bill-gates-carbon-neutrality-in-a-decade-is-a-fairytale-why-peddle-fantasies

Cependant, contrairement aux Elon Musk ou aux Larry Ellison de ce monde, Gates est perçu comme un homme sensé, fidèle à sa femme, modeste, jurant de ne pas ruiner ses enfants avec un héritage sans limite ou de ne pas gaspiller son énergie à essayer d'envoyer des choses sur Mars.

Il y a un autre obstacle plus important à l'atteinte de l'objectif de zéro émission, qui est le défi politique - dont une partie implique que les militants du climat limitent leur exposition aux accusations d'hypocrisie. Gates aime les jets privés ; il les appelle son "plaisir coupable". Il aime les hamburgers et manger du raisin toute l'année. Quelques semaines après notre entretien, on rapporte qu'il est impliqué dans une offre d'achat de Signature Aviation, qui assure les services au sol pour 1,6 million de vols de jets privés par an. Aujourd'hui, il déclare : "Je reçois du carburant aviation durable que j'utilise quand je vole".

La partie déprimante du livre est le récit du défi à venir, que Gates présente comme extrêmement urgent - et, pour ne pas être défaitiste, à la limite du réalisable. Il indique un chiffre en gros titre : 51 milliards. Il s'agit de la quantité de gaz à effet de serre, en tonnes, émise chaque année dans le monde, que nous devons ramener à zéro d'ici 2050. La première étape pour y parvenir est de comprendre à quoi nous avons affaire. "Il faut que les articles sur le climat soient plus nombreux, afin que les gens puissent comprendre si c'est une percée qui est importante ou non".

Par exemple, le secteur des transports, qui fait l'objet de tant d'attention, ne représente que 16 % des émissions mondiales - c'est pourquoi, alors que le transport aérien a cessé, les gaz à effet de serre n'ont diminué que d'environ 5 %. Comme le souligne M. Gates, l'avenir des déplacements en voiture réside dans les véhicules électriques ; mais si l'électricité provient de centrales au charbon, le changement est d'une valeur limitée.

Les voitures représentent une part mineure du problème par rapport au poids des émissions générées par les industries mondiales du ciment et de l'acier.

Le plus grand geste que les autorités les plus puissantes consentent à faire consiste à retirer les industries polluantes de leur portefeuille d'actions. L'année dernière, l'État de New York s'est engagé à se défaire de son fonds de pension de 226 milliards de dollars (165 milliards de livres sterling) auprès des entreprises de combustibles fossiles. Cela semble totalement inadéquat à M. Gates ; cela détourne l'attention de préoccupations plus urgentes, telles que la recherche d'une source d'énergie neutre en carbone pour alimenter le réseau électrique.

Il en va de même pour tous ceux qui jurent de manger moins de viande. Mais si vous ne remplacez pas l'acier, c'est une blague. Obliger les entreprises à déclarer leurs émissions de CO2 est une bonne chose, mais si vous ouvrez le rapport de cette entreprise sidérurgique, vous allez vous dire : "Oh, c'est choquant, ils ont des émissions ! Et alors ? N'allons-nous pas construire des bâtiments en Inde pour fournir aux gens un abri de base ?"

"Si tout cela ne concernait qu'une réduction de 20%, cela devrait être assez facile. Les pays riches pourraient réduire de 20 % nos voitures et nos grandes maisons, ainsi que les quantités ridicules de viande que nous mangeons. Ce qui rend le climat si difficile, c'est qu'il ne s'agit pas d'une réduction de 20 %, mais de l'amener à zéro. Donc des choses comme le changement des transports en commun pour que vous ayez 20 % de kilomètres en moins à faire en voiture, ça ne vous mène nulle part".

Sur le Green New Deal, la proposition soutenue par Alexandria Ocasio-Cortez qui relève l'objectif de neutralité carbone en une décennie, il est carrément négatif. "C'est un conte de fées. C'est comme dire que les vaccins ne fonctionnent pas - c'est une forme de négationnisme scientifique. Pourquoi colporter des fantasmagories aux gens ?"

"Il n'y a pas de solution simple comme fabriquer un vaccin et le cauchemar prend fin. Il s'agit de remplacer toutes les usines d'acier et de ciment, tout ce que vous faites avec l'électricité et les transports, même la nourriture. C'est beaucoup plus large, et le temps nécessaire pour faire ces choses à grande échelle est beaucoup plus long".

S'il avait 30 ans de moins, envisagerait-il de ne pas avoir d'enfants ? "Les pays riches s'inquiètent de la diminution de leur population. Alors non, je ne dirais pas à quelqu'un de ne pas avoir d'enfants. Nous ferons du monde un endroit raisonnable où vivre et où les enfants iront bien". Il réfléchit un instant. "C'est bizarre qu'en 2050, j'aurai 95 ans. Est-ce que je vivrai pour voir tout cela se dérouler, en termes de ce qui fonctionne et de ce qui ne fonctionne pas ? C'est pourquoi il faut faire participer les jeunes".

Y a-t-il un seul domaine d'innovation qui, si nous le faisons bien, pourrait nous sauver ? "La réponse de base est non", déclare M. Gates. L'ampleur de la menace est si globale, si exigeante en termes de changements radicaux dans les transports, les bâtiments, l'industrie, l'utilisation du sol et la volonté politique, qu'"il n'y a pas une seule percée qui puisse résoudre toutes ces choses".

Il y en a, dit-il, "quelques unes qui sont très en haut de la liste".  "Mais si vous n'avez que les premiers sur la liste", dit-il, avec une sorte de calme terrifiant, "vous êtes dans un très, très, très grand pétrin."

Modifié par Wallaby
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@g4lly

@bubzy

@Fanch

J'ai repris les chiffres de l'article "Un milliard d'arbres plantés d'ici 2035 en France" pour avoir quelques ordres d'idées et d'échelles, soit 1 mds d'arbres pour 200 millions de t de co², 30000 arbres/ha et 200 kg de co² par arbre,

La compensation des émissions annuelles françaises de GES  (soit 440 106 t équivalents co²) nécessiterait la plantation de  2.2 mds d'arbres par an soit 733 km². C'est assez équivalent à la perte annuelle de terres agricoles en France (800 km²/an).

Après une décennie, les arbres prendraient leur pleine croissance et il y aurait moins de besoins de planter intensivement , les fûts stockant de la masse, mais il faudrait probablement de l'ordre de 10000 km² (!)  pour compenser les émission françaises sur plusieurs décennies. voire un siècle.

 

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Il y a 7 heures, Benoitleg a dit :

Après une décennie, les arbres prendraient leur pleine croissance et il y aurait moins de besoins de planter intensivement , les fûts stockant de la masse, mais il faudrait probablement de l'ordre de 10000 km² (!)  pour compenser les émission françaises sur plusieurs décennies. voire un siècle.

Pour un pays de plus de 600 000 km², je trouve ça peu.

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Il y a 2 heures, ARPA a dit :

Pour un pays de plus de 600 000 km², je trouve ça peu.

Cette surface un peu inférieure à celle de la forêt des Landes  (13000 km²) et si le chiffre de 200 kg de co² stocké par arbre est véridique.

En cherchant :

"Toutefois, il existe des méthodes de calcul pour connaître approximativement le CO2 stocké dans un arbre donné. Pour cela, il faut connaître la masse “sèche” de l’arbre (c’est-à-dire la masse de bois moins la masse d’eau contenue dans le bois, soit environ 35%), sachant que 20% de cette masse est constituée par les racines. Ensuite, on sait que grosso modo, 50% de la masse sèche d’un arbre est constituée de carbone. Enfin, sachant que l’arbre doit absorber 3.67 g de CO2 pour produire 1 g de carbone, on peut obtenir relativement facilement un ordre de grandeur du CO2 absorbé par un arbre.

Ainsi, par exemple, un eucalyptus de 12-15 ans (8 mètre de haut, 40 cm de diamètre) pèse environ 700 kg (soit 840 kg en comptant les racines). 65% de cette masse est sèche, soit environ 550 kg. La moitié est constituée de carbone soit 225 kg. Pour obtenir cette masse, l’arbre a du stocké tout au long de sa vie environ 800 kg de CO2. Cela veut dire que chaque année de sa vie il aura stocké environ 50-60 kg de CO2.

Bien sûr, ce calcul est approximatif et ne vaut pas pour tous les arbres de la même façon. Ainsi, plus un arbre est ancien, plus il stocke de CO2, plus il grandit rapidement, plus il stocke de CO2 rapidement. En moyenne, la plupart des estimations considèrent qu’un arbre nouvellement planté stocke entre 10 et 50 kg de CO2 par an (avec une moyenne de 20-30 kg par an pour la plupart des arbres communs)."

https://youmatter.world/fr/arbres-stocke-carbone-combien/#:~:text=En moyenne%2C la plupart des,la plupart des arbres communs).

Sur la base de 20 kg-co² /an  (hypothèse base) :

440 x 109 kg eq co² par an / 20 = 22 x 109 arbres

22 x 109 arbres / 30000 arbres à l'ha = 733 333 ha ou 7333 km²

Un français émet 11.9 t de co² par an,  il lui faut donc planter 560 arbres.

Bon..., mais en même temps, peut-être que quelque chose cloche :huh: ?

Modifié par Benoitleg
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Il faut savoir que la foret "destocke" du CO2 aussi par méthanisation ... les feuilles mortes, les branches morte etc. Les bilan ne sont pas aussi flatteur qu'il puissent paraître ...

Les prairies naturelles séquestre plus de CO2 que les foret de feuillu notamment ...

Les forets matures de conifères d'altitude séquestre bien plus de CO2 que les feuillu de plaine ...

L'autre grand séquestration de carbone c'est le sol - la biomasse des sols est gigantesque par rapport à la végétation visible en surface - ... les sols de zone humide sont les plus gros séquestrateur de carbone tout catégorie confondu ...

Pour faire simple "planter des arbres" est juste un simplisme de plus ...

... si dans le même temps on déstocke du bois de chauffage comme on le fait de plus en plus ... l’intérêt est au mieux nul ...

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Reste à dés-artificialiser les sol - et ca c'est vraiment mal barré - ... retourner à un paysage de bocage ... accepter d'utiliser le bois pour la construction plus que pour le chauffage - pour cela il faudrait reconstituer une filière bois en France ... autrement que revendre des grume à la Chine - ...

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Le 16/02/2021 à 11:25, g4lly a dit :

Il faut savoir que la foret "destocke" du CO2 aussi par méthanisation ... les feuilles mortes, les branches morte etc. Les bilan ne sont pas aussi flatteur qu'il puissent paraître ...

Les prairies naturelles séquestre plus de CO2 que les foret de feuillu notamment ...

Les forets matures de conifères d'altitude séquestre bien plus de CO2 que les feuillu de plaine ...

L'autre grand séquestration de carbone c'est le sol - la biomasse des sols est gigantesque par rapport à la végétation visible en surface - ... les sols de zone humide sont les plus gros séquestrateur de carbone tout catégorie confondu ...

Pour faire simple "planter des arbres" est juste un simplisme de plus ...

... si dans le même temps on déstocke du bois de chauffage comme on le fait de plus en plus ... l’intérêt est au mieux nul ...

---

Reste à dés-artificialiser les sol - et ca c'est vraiment mal barré - ... retourner à un paysage de bocage ... accepter d'utiliser le bois pour la construction plus que pour le chauffage - pour cela il faudrait reconstituer une filière bois en France ... autrement que revendre des grume à la Chine - ...

Pour le méthane des forêts, les sols forestiers tempérés sont le deuxième puits de captage du méthane, la libération de méthane "forestier" a lieu principalement en forêt inondée. Le taux de méthane dans l'atmosphère ne cesse de croître, ce qui rend d'autant plus utile ce type de milieu.

Les sols forestiers, puits de méthane : un service écosystémique méconnu (Daniel Epron – Caroline Plain – Thomas Lerch – Jacques Ranger, 2016)

http://documents.irevues.inist.fr/bitstream/handle/2042/62129/RFF_2016_68_4_313_Epron.pdf?sequence=1

Effectivement, on ne cesse de couper du bois , mais en replanter plus encore devient donc absolument essentiel.

Et les politiques commencent à s'infléchir.

Pendant longtemps, la destruction du bocage a été subventionné et promu à tout crin ("750 000 kilomètres de haies ont été supprimés depuis les années 1950").

Maintenant, le gouvernement change d'avis :

A l’occasion du One Planet Summit, le gouvernement a confirmé le lancement d’un grand programme de replantation de haies. 7000 kilomètres de haies vont être plantées d’ici la fin 2022 pour faire revenir la biodiversité dans les campagnes. 12/01/2021 

https://www.radioclassique.fr/magazine/articles/one-planet-summit-pourquoi-le-gouvernement-veut-replanter-des-haies/

Programme « Plantons des haies ! »

https://www.economie.gouv.fr/plan-de-relance/profils/entreprises/programme-plantons-haies

Un plan national de développement pour l'agroforesterie

https://agriculture.gouv.fr/un-plan-national-de-developpement-pour-lagroforesterie

Plan de développement de l'agroforesterie (pdf)

https://agriculture.gouv.fr/sites/minagri/files/160517-ae-agrofesterie.pdf

Et certains financent leur remise en place depuis plus lontmeps et il y a même un n° vert (02 41 71 77 50), c'est tout dire :

Planter des haies bocagères avec subventions

https://missionbocage.fr/planter-haies-bocageres-subventions/ 

https://missionbocage.fr/wp-content/uploads/2017/05/Fiche-Planter-une-haie-Mission-Bocage.pdf

Mission bocage (1 millions d'arbres plantés depuis 2000)

https://missionbocage.fr/qui-sommes-nous/

 

Modifié par Benoitleg
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https://www.meretmarine.com/fr/content/naval-energies-cession-ou-fermeture-quelques-mois-pour-boucler-le-dossier

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Naval Energies : cession ou fermeture, quelques mois pour boucler le dossier

Naval Group a officialisé le 5 février sa décision de se retirer du marché des énergies marines. Sa filiale Naval Energies, créée en 2017 et que l’industriel possède à 100% depuis la fin 2020 suite au rachat des participations de Bpifrance, TechnipFMC et BNP Paribas, sera soit cédée partiellement ou totalement, soit liquidée. « Depuis la création de Naval Energies, son actionnaire Naval Group a beaucoup investi et porté des projets ambitieux pour le développement des énergies marines renouvelables. Malgré les efforts de toutes et de tous, ces projets, engagés pour certains depuis près de 12 ans, ne présentent pas aujourd’hui suffisamment d’assurance de succès économique à court, moyen ou long terme pour Naval Group. Dans ce contexte, Naval Group a mené une revue stratégique afin de rechercher des solutions et estimer les options offertes à Naval Energies. La décision a été prise de lancer un processus visant une cessation des activités incluant la recherche d’un repreneur pour tout ou partie des activités », a expliqué Naval Group, qui se donne quelques mois, en gros jusqu’à l’automne, pour boucler le dossier.

Plusieurs pistes de reprise seraient à l’étude, dont une option apparemment du côté de Technip, qui avait lui-même évoqué le sujet il y a quelques semaines. « Des solutions au sein de Naval Group seront proposées le moment venu aux salariés qui ne seraient pas repris, afin de minimiser l'impact de cette décision en matière d'emploi », dit Naval Group, dont la filiale emploie un peu plus de 100 personnes dans les régions de Brest et de Nantes.

En tout, l’aventure des énergies marines renouvelables aura, depuis ses débuts en 2008, coûté à l'industriel plus de 300 millions d’euros et aucun marché commercial décroché dans les technologies visées. Initialement, du temps de DCNS, l’entreprise misait sur les éoliennes flottantes, l’énergie thermique des mers, les hydroliennes et le houlomoteur. Les deux derniers furent abandonnés ces dernières années mais aucune concrétisation d’importance n’est venue pour les deux autres. Pour y parvenir, Naval Group estime qu’il faudrait encore attendre plusieurs années et maintenir de lourds investissements, de l’ordre de plusieurs centaines de millions d’euros. L’industriel, qui n'a pas la surface financière suffisante pour y parvenir, et a surtout d’autres priorités désormais, préfère se recentrer sur son cœur de métier, le marché naval militaire, pour y mobiliser les ressources nécessaires à la course à l’innovation technologique et au maintien de sa compétitivité. Sans parler des investissements considérables que nécessitent les grands programmes comme les sous-marins nucléaires lanceurs d’engins de troisième génération (SNLE 3G), le successeur du porte-avions Charles de Gaulle (PA-NG) ou encore le programme des sous-marins australiens.

Du côté des syndicats, la décision de mettre un terme à l’activité EMR était attendue. Pour autant, ce nouvel échec de Naval Group dans une tentative de diversification a du mal à passer. La CFDT dénonce par exemple un « énorme gâchis » et veut des éclaircissements : « Pour comprendre pourquoi nous en sommes là et pour répondre à toutes ces questions, le PDG de Naval Group a proposé un Audit interne. La CFDT soutien cette démarche car il est pour le moins anormal qu’une entreprise comme la nôtre se retrouve dans cette situation. Les responsabilités devront être assumées et les pistes d’avenir mises en lumière pour que les erreurs ne se reproduisent pas », dit le syndicat, pour qui la priorité est maintenant de reclasser au sein du groupe tous les salariés de Naval Energies qui le souhaitent.

Il restera également à voir quel impact ce dossier aura, en fonction d'une reprise ou d'une fermeture, sur le projet de parc pilote d'éoliennes flottantes de Groix Belle-Ile, qui doivent employer une fondation développée par Naval Energies. 

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