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[PHA] Porte-Hélicoptères d'assaut ex BPC

BBe

Par BBe,
dans Europe

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Lordtemplar
Lordtemplar

Cormoran 2021.  Pas tous les jours qu'on voit cela

ARMEN56
ARMEN56

Nous sommes en présence d’un RAM liquide ; -  coté BPC on a un soutage de 1600 tonnes  de Gazole et 450 tonnes de TR5 , ram effectué à partir de la niche tribord uniquement -  coté FLF on a

ARMEN56
ARMEN56

Sais pas  Y ptete encore pire en importé , le beurre doux ? HS mode gorafi on   HS mode gorafi off  

g4lly

g4lly

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En meme temps les chinois ne sont pas complétement cons, ils ne copient que ce qui marchent :)

 

Belle hommage en tout cas :happy:

Ils sont pragmatiques. Puis un porte hélicos c'est un porte hélicos ...

Il auraient pu s'inspirer d'un autre modele ... c'est pas ce qui manquent les porte hélico a la mords moi le nœud, mais bon les autres ne sont peut être pas aussi bien que les nôtres :)

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Chronos

Chronos

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Moi je vois aussi qu'ils affichent l'ambition d'y installer des HTH (vu que l'image reprend leur version du Super Frelon) ce qui laisse entendre que ce n'est pas un ferry militarisé et que son pont sera prévu pour supporter de plus grosses charges...

Modifié par Chronos
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g4lly

g4lly

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Posté(e)

Moi je vois aussi qu'ils affichent l'ambition d'y installer des HTH (vu que l'image reprend leur version du Super Frelon) ce qui laisse entendre que ce n'est pas un ferry militarisé et que son pont sera prévu pour supporter de plus grosses charges...

Les déclinaison chinoise moderne du Super Frelon, genre AC313, sont des assez gros hélicoptère, mais qui sont assez léger. On a des masse maxi de l'ordre de 14t. On est très loin des super CH53K US par exemple.

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true_cricket

true_cricket

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Hum ... Je sens qu' on va pas être d'accord mais .. tu vois beaucoup de différences la ?

Quatre ponts plats avec des spot et une superstructure à droite.

Ne sont présents que sur le chinois et le français : les encorbellements aux 4 coins pour l'artillerie. Les accès vers le pont d'envol un demi-étage en contrebas, les niches à embarcation doubles basses sur l'eau.

C'est ça qui doit donner un air de famille entre les deux.

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French Kiss

French Kiss

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Ne sont présents que sur le chinois et le français : les encorbellements aux 4 coins pour l'artillerie. Les accès vers le pont d'envol un demi-étage en contrebas, les niches à embarcation doubles basses sur l'eau.

C'est ça qui doit donner un air de famille entre les deux.

+1

de prime abord c'est de la repompe pure et simple a la chinoise, mais bon ils utilisent une apparence connue pour tout ce qui a une chance de faire des contrats.

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Gibbs le Cajun

Gibbs le Cajun

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Ben mince je ne trouve plus le file batellerie et amphibie.

le fiston m'avait pas dit ,il a déjà fait trois fois de l' EDAR .

il en fait en se moment ,préparation de l' exercice amphibie avec les brits .

je pense qu'on va avoir des vidéos sur le site de l' armée de terre et de la Royale de cette exercice .

il va pas s'ennuyer le fiston !

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g4lly

g4lly

Posté(e)
Posté(e)

Ben mince je ne trouve plus le file batellerie et amphibie.

le fiston m'avait pas dit ,il a déjà fait trois fois de l' EDAR .

il en fait en se moment ,préparation de l' exercice amphibie avec les brits .

je pense qu'on va avoir des vidéos sur le site de l' armée de terre et de la Royale de cette exercice .

il va pas s'ennuyer le fiston !

 

http://www.air-defense.net/forum/topic/5737-batellerie-et-engin-moyens-de-d%C3%A9barquement/ ;)

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Gibbs le Cajun

Gibbs le Cajun

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merci G4lly .

divers marine ,quel buse je fait lol .

merci encore .

je reviendrais pour aller mettre se poste à la bonne place .

pas évident depuis un téléphone en se moment même lol .

merci encore .

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  • 2 weeks later...
zx

zx

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http://kiosque.leditiondusoir.fr/data/339/reader/reader.html#preferred/1/package/339/pub/340/page/7

 

 

Avec les commandos à bord du porte-hélicoptères

 

Le Dixmude a quitté Lorient mardi 7 octobre. Cap sur la Belgique pour participer aux cérémonies du centenaire de la bataille de Dixmude et rendre hommage aux fusiliers marins qui ont combattu l’offensive allemande au prix d’un grand sacrifice, du 6 octobre au 10 novembre 1914. Le bâtiment de la Marine nationale est arrivé à Zeebrugge ce vendredi, après deux jours et demi de mer. En images, un résumé de la vie à bord.

 

 

Image-1024-1024-65005.jpg

 

 

Image-1024-1024-64993.jpg
Au départ de Lorient, mardi 7 octobre. Les élèves de l’École des fusiliers marins de Lanester embarquent sur le Dixmude. Cap sur la Belgique pour participer aux cérémonies du centenaire de la bataille de Dixmude. Du 16 octobre au 10 novembre 1914, les combats pour contrer l’offensive allemande sont terrifiants : sur 6 500 hommes emmenés par l’amiral Pierre-Alexis Ronarc’h, 3 000 sont tués, blessés ou portés disparus. Les valeurs de devoir, de résistance et de sacrifice des fusiliers marins - « les poilus marins » - trouvent leurs racines dans cette bataille. (Photo : Charles Josse)

 

 

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Le commandant du Dixmude, le capitaine de vaisseau Pierre de Briançon. En arrière-plan, le commandant en second, le capitaine de frégate Philippe Poitou. (Photo : Charles Josse)

 

 

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La cambuse. 60 jours de provisions pour 600 personnes, sans ravitaillement. C’est la capacité de la cambuse. On y trouve de tout pour tous les goûts ! Les denrées sont stockées au sec ou dans de grands frigorifiques. C’est l’affaire du Premier-maître Fabrice Vrecko. (Photo : Charles Josse)

 

 

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En cuisine. Ce midi-là, les cuisiniers préparent 477 entrecôtes, servies avec des haricots verts. Avec la cambuse, ils sont une trentaine à assurer le pain quotidien des marins. Un pain fabriqué à bord, tout comme les croissants chauds qui égayent les petits-déjeuners de temps en temps. Deux services à midi, à 11 h et à 12 h, deux services le soir, à 19 h et à 20 h. Parfois sans frites quand la météo, mauvaise, fait trop rouler le navire d’un côté sur l’autre. Gare aux projections d’huile ! Et pour les âmes fragilisées par le mal de mer, un bon plat de pâtes revigore les ventres vite fait. (Photo : Charles Josse)

 

 

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Le radier. Situé tout à l’arrière du Dixmude, c’est une immense fosse de 57 m de long prévue pour accueillir quatre chalands ou deux hydroglisseurs. La fosse est remplie d’eau, jusqu’à 1,50 m de profondeur, la porte arrière du navire s’ouvre sur la mer. Les engins nautiques quittent alors le Dixmude pour transporter les troupes et les débarquer à terre. L’opération est menée en moins de deux heures. Le radier est aussi utilisé pour les loisirs. Les hommes y installent des filets et jouent au badminton. (Photo : Charles Josse)

 

 

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Le fumoir. C’est le seul endroit du navire où il est autorisé de fumer. Le fumoir se trouve à bâbord arrière, au-dessus du radier. On y grille sa clope à toute heure du jour et de la nuit. On y croise le marin de bas, des officiers et le commandant en second parfois. Les grands pots de conserve vides de la cambuse jouent les cendriers. Il est recommandé de ne pas jeter sa cigarette par-dessus bord. On ne sait jamais où le mégot, virevoltant au vent, pourrait atterrir. (Photo : Charles Josse)

 

 

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La cloche. Elle trône au pont numéro 2, là où l’on embarque sur le Dixmude et donc aussitôt visible de tous, marins et passagers d’un périple. La cloche est gravée d’« une ancre au naturel câblée au jas de bois à deux tenons d’or et à une couronne royale enserrant la verge, brochant un glaive gardé d’or et un lebel placé en sautoir et à un écusson moderne fascé de huit pièces d’or et d’azur qui est le blason de la ville de Dixmude, ailé d’or, surbrochant ». Au fil du cordage circulaire sont portés en lettres capitales le nom de Dixmude et la phrase de l’amiral Ronarc’h à ses fusiliers marins, « Sacrifiez-vous. Tenez ». (Photo : Charles Josse)

 

 

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À la passerelle. Un navire immense dirigé par une si petite barre à roue. Un volant de karting ! Le contraste surprend. Mais le Dixmude, comme les autres bâtiments de projection et de commandement, est d’une manœuvrabilité extrême. Grâce à deux propulseurs d’étrave et un système de propulsion orientable à 360 °. On dit que le bâtiment « vire court » et « tient le point fixe ». (Photo : Charles Josse)

 

 

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Exercice incendie. Le message tombe dans les hauts parleurs qui diffusent à tout le bord : alerte incendie dans un local du hangar avions, au pont numéro 5. Toute la chaîne d’intervention se met en place, chacun sait exactement ce qu’il a à faire. On agit vite, mais avec méthode. Les chefs veillent à la bonne exécution et rappellent à l’ordre illico presto en cas de cafouillage. (Photo : Charles Josse)

 

 

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Du sport. La salle de sports s’anime en fin d’après-midi. C’est avec les repas, l’autre moment clé pour le bon moral des troupes. Se sentir en forme, se tenir en forme. Les fusiliers marins sont bien rodés à l’exercice physique. Lever de la fonte sans grimacer ils connaissent. Les pompes aussi. Impressionnant ! Une, deux, trois… (Photo : Charles Josse)

 

 

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Appontage. Le chien jaune guide l’hélicoptère jusqu’à son stationnement en douceur, au centimètre près. Celui-ci, parti de Cherbourg, vient livrer du matériel électronique de rechange pour un autre hélicoptère cloué sur le pont d’envol. Six hélicoptères peuvent se poser simultanément sur le pont de 5 200 m2. (Photo : Charles Josse)
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