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Espagne: vers les 20% de chômeurs en 2010, selon la banque centrale


Sargon d'Akkad
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Espagne: vers les 20% de chômeurs en 2010, selon la banque centrale


La banque centrale espagnole a prédit vendredi que le Produit intérieur brut (PIB) diminuerait de 3% cette année tandis que le taux de chômage atteindrait les 17% de la population active.

Pour 2010, la baisse du PIB devrait se limiter à 1%. En revanche, le taux de chômage pourrait atteindre les 19,4%, selon ces prévisions.

L'Espagne affiche déjà le pire taux de chômage de l'Union européenne: 15,5% de la population active est à la recherche d'un emploi.

Son économie est l'une des plus durement touchée par la crise financière internationale, à cause notamment du quasi-effondrement du secteur de la construction. AP
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Le BTP emploie énormément de gens en espagne, et pas que des sans papiers.L'essentiel de la croissance espagnole depuis 1995 s'est fait dans la bulle immobilière.

Un autre gros danger pour l'économie espagnole, c'est que els ménages là bas sont parmi les plus endettés au monde: un assèchement du crédit aura de gros impacts sr la consommation.Pauvres espagnols...

Enfin la reprise sera probablement rapide, l'économie espagnole offre de très bonnes opportunités aux investisseurs, le marché intérieur est pas encore "mature"(cad il reste des segments à remplir), et surtout, un truc que tous les "commentateurs" oublient (éditorialistes, politologues à la con style christophe barbier, laurent joffrin...), c'est que pendant la croissance forte de l'économie mondiale depuis 2001, il y a eu énormément d'infrastructures et de biens matériels(ports,routes,immeubles) construits, et qui aideront à la reprise, car rendent l'investissemment et l'entrepreunariat plus facile.

Dès que le crédit sera de nouveau disponible en quantité suffisante, l'économie repartira, d'autant plus que l'éclatement de la bulle de l'immobilier aura eu pour effet de faire baisser les prix et libèrera plus d'argent pour la consommation.

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:rolleyes: ? Le secteur de la construction employant un nombre certain de personnes en séjour illégal les espagnols légalement à la recherche d'emploi seront-ils vraiment très affectés pour ce secteur bien précis.

gibbs

il faut savoir qu'à une période ,en espagne les jeunes arrétés leurs étude au profit du métier du batîment car les demandes dans se secteur étaient nombreuse et été trés bien rénuméré (j'ai de la famille en GALICE). 

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Voila que  j'ai mit les liens qui parle de la chute de l'économie Turque et de son ultra depedance au capitaux etranger que Barbaros ce vexe =D

Bien joué, mais cette article est faux, démenti et uniquement trouvable en francais, la banque centrale espagnol n'a jamais sorti ses chiffres...

Croissance en 2008: 1.6% (un des plus hauts taux d'Europe de l'Ouest.

Croissance en 2009:  -0.3 à -0.9% max.

Croissance en 2010: +0.7 à 0.9% Max.

LE chomage par allieurs n'atteindra jamais les 20% mais au grand maximum les 15%

Source : Banco Central de España et El centro nacional de Estatadistica.

http://www.ine.es/fmiFrontEnd/fmi.jsp?L=0

http://www.bde.es/informes/be/boleco/boleco.htm

http://www.ine.es/prensa/seccion_prensa.htm

http://www.ine.es/prensa/pib_tabla_cne.htm

Pour l'année passé :

Lesechos.fr • Le 23 juin 2008

http://archives.lesechos.fr/archives/2008/lesechos.fr/06/23/300275128.htm

Espagne : Zapatero prévoit une croissance inférieure à 2% en 2008

Le gouvernement avait fin avril revu en baisse sa prévision, de 3,1 à 2,3%. Le pays, touché par la déprime immobilière et la crise internationale, a connu une croissance de 3,8% en 2007. L'Etat espagnol va entreprendre une cure d'austérité de 250 millions d'euros entre 2008 et 2009. 

La croissance de l'économie espagnole, qui est en train de connaître un sévère coup d'arrêt, sera inférieure à 2% en 2008, a déclaré lundi à Madrid le chef du gouvernement José Luis Rodriguez Zapatero, ce qui est en dessous de la prévision officielle du gouvernement de 2,3%.

"Actuellement, la conjoncture internationale et les plus récentes données internes nous permettent de penser que l'ajustement de l'économie espagnole va se poursuivre au cours des prochains mois, avec une croissance finale à la fin de l'année en dessous de 2%", a déclaré M. Zapatero lors d'un discours sur la situation économique devant le Conseil économique et social.

"Nous prévoyons une croissance faible à court terme, mais pas un arrêt durable" a déclaré M. Zapatero, alors que l'économie espagnole connaît un sévère coup d'arrêt depuis le début de l'année, notamment à cause de la crise immobilière dans le pays, de la crise financière internationale, et de l'envolée des prix du pétrole et de certaines matières premières.

Le gouvernement espagnol a rabaissé le 25 avril sa prévision de croissance pour l'année 2008 de 3,1 à 2,3%, mais le ministre de l'Economie Pedro Solbes avait déjà déclaré début juin que la croissance pourrait n'être qu'aux "alentours de 2%". La croissance espagnole en 2007 avait atteint 3,8 %.

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Tous les articles parlent de sa et même la banque centrale d'Espagne, et notre STNG veut démentir ces chiffres,  :lol: :lol: :lol: :lol:

Allez, allez, soit un peu sérieux...

Le taux de chômage est plus de 15.5% aujourd'hui...

L'Espagne s'enfonce dans la crise

Les mauvaises nouvelles ne cessent de s'accumuler outre-Pyrénées. La Banque d'Espagne vient d'annoncer que le PIB espagnol reculerait de 3 % en 2009. Quant au taux de chômage, déjà le plus élevé de l'Union européenne - il était de 15,5 % en février -, il continuerait d'augmenter pour atteindre 17,1 % de la population active. Ces prévisions annuelles sont sensiblement plus pessimistes que celles annoncées le 16 janvier par le gouvernement qui misait, pour 2009 toujours, sur une contraction du PIB de 1,6 % et un taux de chômage de 15,9 %. La Banque d'Espagne a également fait des prévisions pour 2010. Si elle table sur un PIB en moindre recul, de 1 %, le taux de chômage devrait encore augmenter à 19,4 %.

"Nous sommes au pire moment de la crise", a commenté, vendredi à l'issue du conseil des ministres, la vice-présidente du gouvernement Maria Teresa Fernandez de la Vega. Elle a dit espérer que le pays trouverait le chemin de la reprise au cours de la deuxième moitié de 2010. Mais la route est encore longue : l'Espagne, qui fut pendant dix ans l'un des moteurs de la zone euro, souffre aujourd'hui de l'effet combiné de la crise et de l'éclatement de la bulle immobilière. En 2008, ce sont plus d'un million de travailleurs qui se sont retrouvés au chômage.

L'Irlande aussi

Autre motif d'inquiétude, le déficit public espagnol atteindra 8,3 % du PIB en 2009 et 8,7 % en 2010, soit un taux très nettement supérieur à la limite de 3 % fixée en principe par le pacte de stabilité européen. La Commission européenne a accordé fin mars un répit de près de trois ans, jusqu'en 2012, à l'Espagne, de même qu'à la France, pour ramener leur déficit public sous la limite en vigueur des 3 %.

Autre pays européen durement touché par la crise, l'Irlande, qui s'enfonce dans la récession. La Banque centrale d'Irlande a annoncé aujourd'hui qu'elle tablait sur une baisse du PIB de 7 % en 2009 et de 3 % en 2010. La chute cumulée de l'activité entre 2008 et 2010 s'établit désormais à "plus de 12 %". Une crise sans précédent pour l'Irlande, qui a enregistré pendant des années des taux de croissance spectaculaires, lui ayant valu le surnom de "Tigre celtique".

http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2009-04-03/l-espagne-s-enfonce-dans-la-crise/916/0/332060

Sans rancune... ;)

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Oui oui, la meme source qui a été démenti, je t'ai donner les sources officiele et meme la source de la banque nationale d'Espagnol =)

Montre moi la source officiele de la banque d'Espagne qui prétend sa, je l'attend...

Chomage en Espagne : 12.8 % source : Organizacion del Trabajo http://www.ilo.org/global/Themes/lang--es/WCMS_101191/index.htm

La recesión se traslada a velocidad de crucero a la economía real. Al duro revés que sufre la construcción se le añade la grave crisis industrial, que se refleja en un desplome de la inversión en bienes de equipo. El indicador que de nuevo vuelve a acusar de forma más intensa el descalabro vuelve a ser la tasa de paro. Según el Banco de España, el desempleo seguirá escalando este año hasta afectar al 17,1% de la población activa en 2010

Tres loins des 20% donc.

Moi quand je vais sur le site de la banque centrale espagnole, je ne vois aps du tout ses chiffres...

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Oui oui, la meme source qui a été démenti, je t'ai donner les sources officiele et meme la source de la banque nationale d'Espagnol =)

Montre moi la source officiele de la banque d'Espagne qui prétend sa, je l'attend...

Chomage en Espagne : 12.8 % source : Organizacion del Trabajo http://www.ilo.org/global/Themes/lang--es/WCMS_101191/index.htm

Tres loins des 20% donc.

Moi quand je vais sur le site de la banque centrale espagnole, je ne vois aps du tout ses chiffres...

Le chiffre que tu me donne est du mois de février, quelle est en est pour le mois de mars?

L'Espagne comptait 3,6 millions de chômeurs fin mars

Image IPB

MADRID, 2 avril (Reuters) - Le nombre des demandes d'allocation chômage en Espagne a augmenté de 3,5% en mars, soit de 123.543, un chiffre en légère baisse par rapport aux mois précédents, mais les effectifs du chômage approchent désormais 3,6 millions de personnes, montrent les statistiques officielles publiées jeudi.

La hausse du nombre des chômeurs est près de quatre fois plus forte que celle enregistrée en Allemagne, dont la population est pourtant près de deux fois supérieure à celle de l'Espagne.

Elle est néanmoins inférieure à celle de 198.838 de janvier, qui constitue un record historique, comme à celle de février (154.058), signe que la hausse du chômage pourrait ralentir, note le gouvernement.

"Même si la hausse de mars est inférieure à celles des six derniers mois, il y a encore de nombreuses personnes qui perdent leur emploi et connaissent des temps difficiles", reconnaît toutefois dans un communiqué Maravillas Rojo, secrétaire d'Etat à l'emploi.

L'Espagne affichait en février un taux de chômage de 15,5%, le plus élevé de l'Union européenne, où il était alors en moyenne de 7,9%.

(Paul Day, version française Marc Angrand)

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12.8 % pour le mois de mars selon le ministere de l'interieur, de toute facon on a une des 10 premieres économie du monde et ont ne depend pas des capitaux étranger comme d'autres pays que je ne citerai pas, on c'en remetra bien d'ici 2, 3 ans pour rappelle l'Allemagne et l'Angleterre sont tres enfoncer dans la crise aussi, ce n'est que passager...

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12.8 % pour le mois de mars selon le ministere de l'interieur, de toute facon on a une des 10 premieres économie du monde et ont ne depend pas des capitaux étranger comme d'autres pays que je ne citerai pas, on c'en remetra bien d'ici 2, 3 ans pour rappelle l'Allemagne et l'Angleterre sont tres enfoncer dans la crise aussi, ce n'est que passager...

L'Allemagne et l'Angleterre sont des pays qui produisent des marchandises dont ils vendent a l'extérieur...

Ils dépendent pas d'une bulle immobilière, et puis ils sont pas comme l'Espagne dont il y a presque 100 milliards $ de différence entre les exportations et les importations...

Exportation: 275.024 millones de €

Importation: 343.677 millones de €

Je vais pas te croire, le chômage est de 15.5% en mars, je préfère croire aux journaux... ;)

L'Espagne a le taux de chômage le plus élevé d'Europe...donc...

L'Espagne, en plein calvaire économique

Image IPB

Après avoir enregistré des taux de croissance très élevés par rapport à la zone euro pendant près d'une décennie, l ‘économie espagnole subit aujourd'hui la plus sévère récession de son histoire. le chemin de la reprise sera long et très douloureux.

Pour la première fois depuis la récession, la Banque d'Espagne et le gouvernement ont dû sauver un établissement financier, la  Caisse d'Epargne de Castille-la Manche. Jusqu'ici les interventions se sont bornées à garantir les prêts interbancaires ou à acquérir certains actifs pour leur fournir des liquidités en masse.  Ce sauvetage est bien la preuve que la péninsule ibérique s'enfonce jour après jour un peu plus profondément dans la crise.

L'Espagne est le pays avec l'Irlande qui a profité le plus de l'entrée dans l'Union européenne pendant les années fastes.  Mais aujourd'hui le retour de bâton est sévère. Elle est la plus pénalisée. Après avoir enregistré des taux de croissance très élevés par rapport à la zone euro pendant près d'une décennie, l ‘économie espagnole subit aujourd'hui la plus sévère récession de son histoire, avec un taux de chômage passé début 2009 à près de 14% et une production industrielle en chute de 20% en février sur un an.

Tous les secteurs d'activité plongent

Tous les gros secteurs de l'activité plongent, aux premiers rangs desquels l'automobile (les immatriculations sont en chute de 45% sur un an en février), l'immobilier et le tourisme. Pays particulièrement touché par l'éclatement de sa bulle immobilière, le nombre des mises en chantier de logements a chuté de 41,5% en 2008 par rapport à 2007.

Il n'y a pas de statistiques officielles pour déterminer le nombre de logements vides, mais, selon le directeur du service des études économiques de la banque espagnole BBVA, José Luis Escriva, il y avait près d'un million de logements en trop par rapport à la demande espagnole vers la fin 2008. Les prix sont en train de marquer le pas, et devraient baisser de près de 25% d'ici 2011, toujours selon BBVA, tandis que les ventes sont en très forte baisse. Selon le ministère du logement, elles ont reculé de 32,6% en 2008.

Pas de sortie de crise avant au moins 5 ans

Le très gros secteur touristique, a enregistré, quant à lui, une baisse de 15,9% des séjours de touristes étrangers en février par rapport à février 2008. 2,8 millions seulement sont venus, les défections venant notamment des britanniques.

L'Américain Paul Krugman, prix Nobel d'économie 2008, estime que le chemin de la reprise sera long et très douloureux, et qu'il faudra pas moins de cinq ans pour que l'économie du pays se redresse. Selon lui, l'Espagne  a besoin d'une déflation relative de 15 % pour que l'ajustement ne soit pas plus long.

« Si l'Union européenne croît à un rythme annuel de 2 ou 3 %, l'Espagne sera dans une situation douloureuse pendant 5 à 7 ans », a-t-il estimé. « Mais si l'économie européenne en général subit la même déflation, ce qui est fort probable, nous sommes en train de parler de la nécessité de réduire encore plus les salaires et les prix. Et cela n'est arrivé dans aucun pays depuis la Grande Dépression des années 1930 ». Le chemin de croix de l'Espagne ne fait que commencer.

http://www.lexpansion.com/economie/actualite-economique/l-espagne-en-plein-calvaire-economique_178048.html

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L'Espagne est la 8iem économie au monde, elle souffre bcp pour l'instant certe, mais sa n'est que passager, certains pays que tu connais tres bien dépendant entierement des capitaux étranger car ils consrtruisent tous sous license, tu veux que je te rapp dans quelles condition économique ce trouvait la Turquie ya 6 ans?

La péninsule a dépasser la capacité industrielle du canada en 2006 alors que le Canada est dans le G8, certaines de  nos entreprises se sont misent parmit les plus grosse d'Europe ou voir du monde dans certains cas, grace à l'Amerique du Sud.

Sa n'est que passager, tous mes liens qui eux ne vienent pas de la presse comme toi mais des instituts de statistique espagnole  indépendante ou du ministeres de l'interieur montre une reprise des 2010, de plus ya deja eu des crises bien plus importante au siecle derniers en Espagne, et pourant ont est dans le top 10 mondiale deux fois plus riche qu'un pays de 72 millions d'habitants que tu connais alors qu'on est deux fois moins....

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L'Espagne est la 8iem économie au monde, elle souffre bcp pour l'instant certe, mais sa n'est que passager, certains pays que tu connais tres bien dépendant entierement des capitaux étranger car ils consrtruisent tous sous license, tu veux que je te rapp dans quelles condition économique ce trouvait la Turquie ya 6 ans?

La péninsule a dépasser la capacité industrielle du canada en 2006 alors que le Canada est dans le G8, certaines de  nos entreprises se sont misent parmit les plus grosse d'Europe ou voir du monde dans certains cas, grace à l'Amerique du Sud.

Sa n'est que passager, tous mes liens qui eux ne vienent pas de la presse comme toi mais des instituts de statistique espagnole  indépendante ou du ministeres de l'interieur montre une reprise des 2010, de plus ya deja eu des crises bien plus importante au siecle derniers en Espagne, et pourant ont est dans le top 10 mondiale deux fois plus riche qu'un pays de 72 millions d'habitants que tu connais alors qu'on est deux fois moins....

Il faut pas rêver, l'économie espagnole est basée sur la spéculation immobilière et le système bancaire espagnole est connu pour être le maillon faible du système financière...

Espagne et Irlande parmi les pays notés AAA les plus fragiles

LONDRES, 12 février (Reuters) - L'Espagne et l'Irlande font

partie des pays les plus vulnérables au sein de la catégorie des

Etats notés triple A, estime l'agence de notation Moody's

Investor Services dans un rapport publié jeudi.

Le Royaume-Uni, les Etats-Unis et l'Irlande doivent

également faire face à de gros problèmes de dette face à la

récession mais les deux premiers pays ont de la ressource pour

améliorer leur situation, souligne Moody's, tandis que l'Espagne

ainsi que l'Irlande, dont la notation AAA a été mise sous

surveillance avec implication négative le mois dernier, ont peu

de moyens de faire face aux difficultés auxquelles sont

confrontées les finances publiques.

"Le potentiel de rebond de l'Irlande - et dans une moindre

mesure de l'Espagne - apparaît plus discutable compte tenu de

l'ampleur des défis auxquels sont confrontés leur modèle de

croissance", déclarent les analystes de Moody's.

Dans son rapport, Moody's classe les pays AAA en trois

catégories. Parmi celle des plus résistants, figurent

l'Allemagne, la France, le Canada et les quatre pays

scandinaves. Ces pays sont soit entrés dans la crise financière

avec une position très forte ou ont des modèles économiques qui

restent robustes, indique Moody's.

Un peu moins résistants, mais solides tout de même : les

Etats-Unis et le Royaume-Uni, dont le modèle de croissance a

subi un choc. Compte tenu de la taille des économies américaine

et britannique, des mesures fiscales d'accommodement peuvent

être prises sans mettre trop en danger les finances publiques.

Dans le troisième groupe, celui des "vulnérables",

c'est-à-dire les pays contraints de prendre des risques en

matière de finances publiques, figurent l'Irlande et l'Espagne.

Moody's souligne que l'Irlande doit faire face à des risques

particuliers, compte tenu de l'impact de la crise financière sur

le budget de l'Etat.

L'agence concurrente Standard and Poor's a abaissé le mois

ernier la note de la dette souveraine de l'Espagne de AAA à

"AA+". Elle estime que le pays n'a pas suffisamment les moyens

de faire face au ralentissement de la croissance et à

l'explosion du déficit budgétaire.

http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRLC53074620090212

Donc, l'Espagne est en chute libre..L'Américain Paul Krugman, prix Nobel d'économie 2008, estime que le chemin de la reprise sera long et très douloureux, et qu'il faudra pas moins de cinq ans pour que l'économie du pays se redresse. Selon lui, l'Espagne a besoin d'une déflation relative de 15 % pour que l'ajustement ne soit pas plus long.

Pour la Turquie, elle a enregistrer une croissance cette année, malgré la crise, pas comme l'Espagne...

bref, ici c'est l'Espagne...

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L'Espagne est la 8iem économie au monde, elle souffre bcp pour l'instant certe, mais sa n'est que passager, certains pays que tu connais tres bien dépendant entierement des capitaux étranger car ils consrtruisent tous sous license, tu veux que je te rapp dans quelles condition économique ce trouvait la Turquie ya 6 ans?

La péninsule a dépasser la capacité industrielle du canada en 2006 alors que le Canada est dans le G8, certaines de  nos entreprises se sont misent parmit les plus grosse d'Europe ou voir du monde dans certains cas, grace à l'Amerique du Sud.

Sa n'est que passager, tous mes liens qui eux ne vienent pas de la presse comme toi mais des instituts de statistique espagnole  indépendante ou du ministeres de l'interieur montre une reprise des 2010, de plus ya deja eu des crises bien plus importante au siecle derniers en Espagne, et pourant ont est dans le top 10 mondiale deux fois plus riche qu'un pays de 72 millions d'habitants que tu connais alors qu'on est deux fois moins....

nationalisme débile...

pour vous mettre d'accord:

http://www.nytimes.com/2009/02/04/business/worldbusiness/04specon.html

13.9% en décembre; donc 15.5% en février ne me paraît pas exagéré.

9.9% en mai dernier, selon The economist, source la plus sérieuse qui soit =)

L'angleterre produit des marchandises qu'ils vendent à l'extérieur?

HAHAHAHAHAHAHAHAHAHA..............

l'angleterre a misé sur la finance à outrance et aujourd'hui elle s'en mordra els doigts.

Quoi qu'il en soit, il est clair que les pays libéraux(USA, UK, australie etc) vont se sortir de la crise.Parceque c'est plus tentant

Les pays socialistes (france, allemagne,italie) sont d'une certaine manière en crise permanente...

Pour vous mettre d'accord la turquie ET l'espagne sont dans des situations calamiteuses.Tout là bas s'est fait à crédit pendant les dix dernières années.Les économies de ses pays sont "immatures", elles étaient sous perfusion de crédit et de capitaux étrangers.La chine est dans une situation comparable mais elle a du cash pour prendre le relai.L'espagne, la turquie, et d'une certaine manière l'irlande, le brésil,le chili, l'afrique su sud, TOUS CES PAYS SONT A POIL.

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La Croissance espagnol en 2008 est de +1.6% tu veux encore une source? Je t'en ai deja 4 officiele sur le sujet...

Systeme bancaire espagnole maillont faible? Avec ses banques mondialement présente comme Hispanno Santader ou San Sebastian? Une des banques espagnoles est meme dans le top 5 mondiale...

De plus j'ai lut que l economie Turque sera bel et bien en récesion cette année, tu veux la source aussi? je l'ai deja posté aussi...

Avec des Industries mondialement présente comme Navantia, Hispanno Santader,  Repsol, Casa, ect.. L'Espagne a plus que les moyens de sortir de la crise...

Dit moi, elles sont ou les industries turques dans le monde? A non désoler, vous construisez tous sous license, donc un peu difficile, c'est chez vous qu'on implante pas l'inverse, ou avais je la tete....

D'apres les analyses, l'industrie et l'économie Espagnole sortiront plus forte de la crise...

Solbes afirma que España saldrá "fortalecida" de la crisis El vicepresidente segundo del Gobierno, Pedro Solbes, insiste en que  "si no cometemos errores, saldremos fortalecidos" de la crisis, que "tocará fondo" en 2009. Además, afirma que el sistema financiero español "se encuentra saneado" para hacer frente a las turbulencias financieras. Pese a ello, los expertos no descartan problemas de solvencia en algunas entidades españolas.

fortalecida" de la crisis, siempre y cuando no se "cometan errores y todos actúen responsablemente", en alusión a la Adaministración Pública, empresarios y sindicatos.

Pese a ello, advirtió de que las dificultades económicas "se van a mantener e incluso podrían intensificarse aún más" en los próximos trimestres, y añadió que la actividad "debería tocar fondo" a lo largo del año que viene para, a continuación, "iniciar una gradual recuperación".

Solbes volvió a apelar a la responsabilidad de los empresarios, que en los últimos años "han disfrutado de elevados márgenes" de beneficios y ahora "deben comprometerse a mantener el esfuerzo inversor y la creación de empleo" y pidió a los sindicatos que entiendan que hay que mantener el nivel de empleo, "incluso si para ello se requiere una mayor moderación salarial".

El vicepresidente segundo señaló que las tensiones en los precios "parecen haber tocado techo" en julio porque los mismos factores que empujaron su repunte ahora proporcionan "cierto alivio", en alusión al precio del petróleo.

La inflación parece haber "tocado techo"

Asimismo reconoció que el ajuste "vital y conveniente" del sector de la construcción no se ha producido de una forma más gradual sino que está siendo "brusco", lo que tiene como consecuencia una "acelerada" destrucción de empleo en el sector.

En cualquier caso insistió en que es necesario "absorber" el exceso de oferta inmobiliaria existente antes de que la actividad en la construcción vuelva a recuperarse.

Solbes aseguró que el Gobierno ha reaccionado "con rapidez" en los principales frentes de esta crisis. Incluso señaló que "sería difícil" encontrar algún gobierno de nuestro entorno que haya adoptado hasta ahora "medidas de magnitud similar".

No obstante reconoció que las medidas sirven para mitigar el impacto de la crisis, pero habrá que esperar "algún tiempo" para que se sientan "plenamente sus efectos".

Las medidas del Gobierno no resolverán el problema

"Servirán para aliviar, pero no para eliminar el coste de la crisis", señaló Solbes, en línea con el análisis hecho la semana pasada por el presidente del Gobierno. El vicepresidente aseguró que la primera preocupación del Ejecutivo aprobando estas medidas ha sido la de "limitar el coste que esta crisis tiene para las familias", y por eso se aprobó, entre otras actuaciones, la rebaja fiscal de 400 euros.

Además aseguró que las familias afectadas por el paro "pueden tener la tranquilidad" de que el Gobierno garantizará "plenamente" el pago las prestaciones por desempleo, pese a que el Inem precisará de financiación extra para afrontar su déficit, tal y como reconoció el propio ministro de Trabajo, Celestino Corbacho.

También aludió a las aportaciones financieras, mediante las líneas de crédito del ICO, para ayudar a los "sectores prioritarios": las pequeñas y medianas empresas, la construcción de vivienda protegida y renovación del parque automovilístico. Así, la inyección de liquidez del Gobierno se aproximará a los 50.000 millones de euros hasta 2010, según ha recordado el propio Solbes.

Rescate inmobiliario

Medidas que, recordó, se complementarán con la prometida línea de crédito para promotores que saquen viviendas al mercado del alquiler y con la constitución de sociedades cotizadas de inversión inmobiliaria que, según Solbes, ayudarán a las empresas del sector a atraer inversores y captar financiación en el mercado. Sin embargo, tales medidas tendrán una dudosa eficacia para solventar los efectos de la crisis económica, tal y como avanzó LD.

"Si no cometemos errores ahora, esta dura etapa nos permitirá corregir desequilibrios del pasado y seleccionará y fortalecerá a las empresas más competitivas, de modo que estaremos sentando las bases para una próxima etapa de expansión económica sostenida", apuntó el ministro de Economía.

Incluso consideró que empieza a notarse que la economía española avanza hacia un patrón de crecimiento "más equilibrado", como lo muestra que el sector exterior ha tenido una aportación positiva al crecimiento por primera vez en siete año, según la contabilidad nacional del segundo trimestre.

Tanto la demanda externa como la productividad, que han sido "puntos débiles" de la economía española en la fase de mayor crecimiento, pueden ser ahora "las bases del crecimiento futuro más equilibrado", concluyó.

El sistema financiero español está "saneado"

En cuanto a las turbulencias financieras, el vicepresidente segundo reiteró que el sistema financiero español "se encuentra saneado" para hacer frente a la difícil situación en la que se encuentran los mercados financieros.

Unas tensiones que, reconoció, "lejos de remitir se han recrudecido" en las últimas horas, con la quiebra del banco estadounidense de inversiones Lehman Brothers, así como por la compra de Merril Lynch por parte del Bank of America.

Solbes señaló que las autoridades europeas van a asegurar el buen funcionamiento del sistema financiero y van a dar une respuesta "coordinada" a la crisis, como así se ha decidido en la reunión informal del Ecofin celebrada este fin de semana en Niza.

Asimismo valoró la decisión tomada hoy por el Banco Central Europeo (BCE) de inyectar en el mercado 30.000 millones de euros (42.600 millones de dólares). Pese a ello, los expertos no descartan problemas de solvencia en el sector bancario español pese a la buena situación del sistema financiero.

Ici l interview de Zapatero, d'apres lui une sortie de la crise des 2009 est possible...

Zapatero asegura que España saldrá de la crisis en 2009

El presidente del Gobierno, José Luis Rodríguez Zapatero, aseguró  hoy que los españoles se ahorrarán el próximo año en torno a 20.000  millones de euros en el pago de sus hipotecas gracias al descenso  continuado del Euríbor desde el pasado 15 de octubre, fruto de las  medidas de apoyo al sistema financiero puestas en marcha por los  gobiernos europeos y el Banco Central Europeo, y que a partir de  enero se traducirá en un descenso de las cuotas mensuales.     

  En una entrevista concedida al canal de televisión por internet del PSOE, Zapatero destacó que las actuaciones de su Ejecutivo en  respuesta a la crisis ya han empezado a dar resultado sobre el  sistema financiero, que han "despejado el riesgo" de quiebras de las  entidades españolas y garantizado los depósitos de los ahorradores  españoles. 

  El jefe del Ejecutivo, quien señaló que los "primeros síntomas de  la recuperación económica" no empezarán a manifestarse hasta finales  de 2009, aseguró que la crisis ha demostrado que el Estado "es  imprescindible" y tiene capacidad de hacer cosas "tan bien e incluso  mejor que el mercado solo", al tiempo que insistió en que, para salir  de ella habrá que reforzar la cohesión y las políticas sociales.  "Invertir socialmente es invertir en las posibilidades de la riqueza  de la economía española", remachó el presidente, para quien el  objetivo es "hacer una gran coalición de ciudadanos para ganar la  crisis".   

  "Dentro de un año tendremos un tono vital de país mejor, estaremos  viendo como la recuperación económica la tocamos ya con las manos,  aunque seguiremos teniendo del reto del empleo", incidió. Para el  presidente, los datos dentro de un año seguirán siendo malos, pero  las expectativas más positivas, lo que hará recuperar la demanda y el  consumo.   

CONTENCION "PALPABLE" DEL PARO EN ABRIL. 

Zapatero admitió que la "realidad ha sido bastante novedosa", ya  que las dificultades han superado las previsiones que manejaba hace  un año, a causa de la crisis financiera y su impacto sobre el empleo,  lo que ha exigido "un trabajo más intenso de reacción", a través de  la aprobación de un amplio paquete de medidas, entre las que destaca  el plan extraordinario de inversión productiva dotado con 11.000  millones de euros. 

  Englobado en este plan, destaca el fondo de inversión estatal para  municipios, cuyos 8.000 millones permitirán la puesta en marcha de  25.000 obras públicas entre enero a abril del próximo año, un periodo 

a partir del cual la "contención de la destrucción de empleo será  palpable".   

  No obstante, el presidente recordó a los desempleados que el  sistema de protección por desempleo les garantiza una renta durante  "doce, catorce o dieciséis meses" y si la evolución del mercado  laboral y la actividad económica "les pusiera en más dificultades"    el Gobierno "sería sensible" a sus reclamaciones, siempre  aprovechando "al máximo" el diálogo social.

TODAS LAS CCAA GANARAN. 

  En este proceso ocupará un lugar primordial la cooperación con los  entes territoriales. Así, Zapatero señaló que el nuevo sistema de  financiación se caracterizará porque el 80% de sus nuevos recursos  concedidos a las comunidades tendrán como destino último la  educación, la sanidad y la ayuda a la dependencia. 

  Asimismo señaló que las líneas principales del modelo tendrán en  cuenta la realidad de la España "diversa y plural" de las diecisiete  comunidades y aseguró que cada una de ellas ganará con el nuevo  modelo. "Todas van a tener más recursos que compromete el Estado y  cuyo destino último es educación, sanidad y dependencia", insistió.

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ESPAGNE •  La crise frappe durement les enfants



La presse espagnole consacre de plus en plus de place à l'augmentation de la pauvreté chez les plus jeunes. Avec 24 % de cette population frappée par ce fléau, le pays figure dans le peloton de queue des nations européennes.

"Le visage de la pauvreté espagnole est celle d'un enfant", titrait déjà, en septembre 2008, Público. Le phénomène s'est renforcé. Les principales victimes de ce fléau sont surtout les fils d'immigrés, souligne El País. "Ce sont eux qui font doubler le taux de pauvreté, et qui triplent le taux d'extrême pauvreté", explique le journal. De son côté, ABC note que les victimes sont principalement les familles nombreuses et monoparentales. Les aides accordées aux familles ont quasiment doublé en deux ans. Le journal conservateur s'interroge sur les causes de cette augmentation. La pauvreté s'est accrue de 30 % ces six derniers mois, y compris dans des villes comme Madrid. Conséquence de cette situation : le nombre d'organisations qui viennent en aide aux enfants du pays ne cesse de croître. La banque Caixa a même créé une association, Caixa Proinfancia, en faveur des enfants espagnols.

Selon les chiffres publiés par ABC, "39 321 enfants percevaient cette aide en mars 2008 ; ils sont 110 534 actuellement". "Même au sein de familles riches, il y a des enfants pauvres", constate Gabriel González, le responsable de l'enfance à l'UNICEF Espagne, dans Público. A qui la faute ? Au gouvernement espagnol, dont "la volonté politique en faveur de la famille et de l'enfance est défaillante". Le quotidien compare la situation avec le reste de l'Europe. Avec 1,8 million d'enfants pauvres, soit 24 % de la population infantile du pays, l'Espagne figure dans le peloton de queue de l'Union européenne, avec le Portugal, l'Italie, La Roumanie, la Pologne et la Lituanie. Un chiffre qui dépasse largement la moyenne européenne, qui s'établit déjà à 16 %.

Voilà pourquoi on commence à se mobiliser. "Je ne peux pas mettre un terme à la pauvreté infantile tout seul, aidez-moi à y parvenir." Ce sont les mots d'Iker Casillas, le gardien de but de l'équipe d'Espagne de football, qui participe à la campagne de sensibilisation lancée par banque Caixa.


Émilie Chaudet

http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=96041
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Je crois que niveau misere sociale, tu ferais mieux de ne rien dire sinon je peux me lancer aussi en sortant dans liens sur la misere sociale en Turquie et de ses régions sous developpé de l'Est alors si j etais toi je n'irai pas vers ce terain....

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<oh les boulets vous allez arreter votre gueguerre par chiffres interposés parceque non seulement ca confine au ridicule, c'est gamin, c'est gonflant et ca me donne envie de fermer le thread tout en distribuant des baffes, baffes qui dois je le rappeler seront les dernières pour deux d'entre vous qui ont deja eu leur comptant d'ejection temporaires du forum dans leur long et douloureux historique de presence ....>
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  • 2 months later...

"Je ne peux pas mettre un terme à la pauvreté infantile tout seul, aidez-moi à y parvenir." Ce sont les mots d'Iker Casillas, le gardien de but de l'équipe d'Espagne de football, qui participe à la campagne de sensibilisation lancée par banque Caixa.

Si lui, C. Ronaldo, Kaka et Villa donnent une petite partie de leurs salaires, pas de soucis, ils y arriveront !

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Capitao relit tes propres sources :

Según sus cálculos la tasa de paro será del 17,9% este año, del 18,9% en 2010, del 18,4% en 2011 y del 17,1% en 2012

Personne ne parle de 20%..

En plus dans le meme temps, le chomage à diminuer(- 24 000) et l'activié industrielle à reprit sensiblement...

Según Eurostat, la desocupación en los 16 países que utilizan la moneda única se disparó en abril al 9,2% de la población activa, tres décimas más que en marzo, al perder su puesto de trabajo 396.000 personas. Se cuentan ya en la zona euro 14 millones y medio de parados.

Se espera que el paro alcance el 10% al finalizar el año. La estadística implica que el consumo seguirá resitiéndose, frenando el crecimiento pero evitando la inflación. De hecho los precios continúan estables en mayo.

España siguió ostentando el récord del mayor porcentaje de paro al superar ligeramente en abril el 18%, ocho décimas más que en marzo.

Con todo, por primera vez en 14 meses, el número de parados ha empezado a bajar en España, al borrarse de las oficinas de empleo en mayo más de 24.000 personas. Es el efecto del plan de fomento de infraestructuras y una tímida recuperación en la industria y en los servicios.

http://es.euronews.net/2009/06/02/el-paro-en-la-zona-euro-en-la-cota-mas-elevada-en-diez-anos/

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  • 1 month later...

vous pourriez pas mettre des petits resumés en francais, on lit pas tous l'espagno (ou le portugais??)l!

Je te fais un petit résumé :

Ce post, comme d’autres, a été ouvert par Sargon pour montrer la déchéance du monde occidental, il va de soi qu’il n’a posté aucun article ni commentaire sur les derniers signes de relance des économies américaines françaises ou portugaises et encore moins sur la situation des populations qui vivent dans les bidonvilles des villes turques. Evidement cela fait démarrer au quart de tour notre ami STNG et là tout part en vrille sans les interventions périodiques de l’un ou autre modérateur.

Voila je crois avoir résumé brièvement la totalité de ce post.

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Hausse des impôts prévue en Espagne apparemment.

http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/08/22/contre-les-deficits-le-gouvernement-espagnol-envisage-des-hausses-d-impots_1230928_3214.html

Contre les déficits, le gouvernement espagnol envisage des hausses d'impôts

Simple ballon d'essai ou décision déjà bien étudiée ? Une polémique a immédiatement suivi les déclarations du ministre espagnol de l'équipement, José Blanco, qui, à la radio, le jeudi 20 août, a laissé entendre que le gouvernement socialiste de José Luis Rodriguez Zapatero pourrait augmenter les impôts pour financer les mesures sociales et de relance face à la crise.

M. Blanco a bien précisé un peu plus tard qu'il s'agissait d'une "réflexion personnelle" répondant à la "démagogie" du Parti populaire (PP, opposition de droite), qui préconise, au contraire, un allégement de la fiscalité. Mais, faite par ce très proche collaborateur du président du gouvernement, dont il est le numéro deux à la direction du Parti socialiste ouvrier d'Espagne (PSOE), cette remarque a inévitablement lancé un débat à la veille des négociations parlementaires sur le budget.

José Blanco a indiqué que "s'il s'avère nécessaire d'augmenter certains taux d'imposition des personnes ayant le plus de revenus pour garantir la politique sociale et l'investissement public qui dynamise notre économie, il faudra le faire". Les revenus les plus élevés semblent visés, mais certains quotidiens évoquent aussi les revenus moyens. L'opposition conservatrice n'a pas tardé à dénoncer un projet qui aurait pour conséquence, selon le PP, de ponctionner d'abord les classes moyennes.

Ce qui est sûr, c'est que le gouvernement espagnol possède peu de marges de manoeuvre budgétaires. En excédant depuis 2005, les comptes publics espagnols sont brutalement passés dans le rouge avec la crise économique. Les manques à gagner fiscaux et sociaux, associés au financement du plan de relance (8 milliards d'euros supplémentaires ont été consacrés ces derniers mois aux travaux publics) ont détérioré le solde, au point que le gouvernement prévoit un déficit public de 9,5 % en 2009.

ENVOLÉE DU CHÔMAGE

Une hausse d'impôt constituerait un changement de pied complet de la part du gouvernement socialiste. Après son accession à la présidence du gouvernement, en 2004, M. Zapatero n'avait jamais renoncé à son axiome, formulé en 2003, selon lequel "baisser les impôts, c'est de gauche". Aidé par une croissance supérieure à 3 % et une augmentation constante du nombre d'emplois, le chef de l'exécutif a réduit, pendant son premier mandat à la Moncloa, les taux de l'impôt sur les sociétés et de l'impôt sur le revenu. A peine reconduit en 2008, et alors que la crise pointait déjà, le chef de l'exécutif avait supprimé l'impôt sur le patrimoine, l'équivalent de l'impôt sur la fortune, et accordé une ristourne de 400 euros à chaque contribuable à l'impôt sur le revenu.

La violence du retournement de la conjoncture et sa durée l'ont contraint à réviser son credo. Il faut dire qu'avec un recul du produit intérieur brut de 1 % au deuxième trimestre par rapport au premier trimestre (- 4,1 % en rythme annuel), l'Espagne demeure dans le rouge pour le quatrième trimestre consécutif, au moment où l'Allemagne et la France amorcent un retour à la croissance.

En juin, déjà, les impôts sur le tabac et l'essence ont été augmentés. La déduction de l'impôt sur le revenu pour l'achat d'un logement prendra fin dès 2011. En juillet, M. Zapatero a admis que certaines "mesures" pourraient être nécessaires, mais qu'elles devraient être "conjoncturelles et très modérées". L'envolée du chômage, passé en moins de deux ans de 8 % à 17,9 % de la population active, assèche aussi les comptes publics. D'autant que le gouvernement a débloqué des aides supplémentaires comme une allocation de 420 euros par mois pour les chômeurs en fin de droits. Les syndicats demandent du reste que la mesure soit rétroactive.

Etroites économiquement, les marges de manoeuvre du gouvernement le sont aussi politiquement. M. Zapatero ne dispose en effet que d'une majorité relative au Parlement, et la recherche d'alliés pour faire adopter ses projets de loi se révèle chaque fois plus difficile. Il est peu probable qu'en pleine récession un projet de budget trouve plus aisément des partisans.)

En Belgique la CSC parle d'une augmentation des impôts et d'une baisse des allocations de la sécu. (Source : Le Soir).

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