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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante


Philippe Top-Force
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il y a 28 minutes, Ciders a dit :

"Savoir-être" ? Je n'aime pas le sous-entendu derrière cette formulation (rien contre toi, juste que... ça sent pas bon cette affaire). :mellow:

Non tu vas pas forcément chercher là où il faut. Le savoir-être dans la marine est un paramètre qui est surveillé depuis Mathusalem. Il ne faut pas simplement savoir diriger un navire, il faut aussi que son équipage et son commandement soit en phase.

La question posée est comment la marine n'a pas repéré avant le problème. Je peux te dire que la question est posée en très haut lieu.

Le contexte est que l'on passe d'une situation où la marine avait le choix de faire monter qui elle voulait ("fait du prince") à cause de la baisse des effectifs à une situation où les commandements possibles se multiplient et où elle a moins le choix.

Modifié par herciv
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il y a 27 minutes, herciv a dit :

Non tu vas pas forcément chercher là où il faut. Le savoir-être dans la marine est un paramètre qui est surveillé depuis Mathusalem. Il ne faut pas simplement savoir diriger un navire, il faut aussi que son équipage et son commandement soit en phase.

Malheureusement, c'est très exactement ce à quoi je pensais. :excl:

Ceci dit, j'ai quand même l'impression d'entendre davantage parler de cas similaires depuis quelques années (on en a eu plusieurs dans l'US Navy ou la Royal Navy et je me rappelle aussi d'un cas récent dans la Marine Nationale qui avait été rendu public après un suicide).

il y a 28 minutes, herciv a dit :

La question posée est comment la marine n'a pas repéré avant le problème. Je peux te dire que la question est posée en très haut lieu.

Volonté de mettre la poussière sur le tapis ("ça va aller, j'ai confiance en lui !") ou enquêtes préalables bâclées ?

 

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il y a 13 minutes, Ciders a dit :

Volonté de mettre la poussière sur le tapis ("ça va aller, j'ai confiance en lui !") ou enquêtes préalables bâclées ?

Ni l'un ni l'autre. RH pas adapté à un pilotage des ressources en période de recrutement élargi : "Obligation de conserver des gens qui n'ont pas l'étoffe" amenant à des notations annuelles sans "saveur" ne permettant pas de faire ressortir les vrai talents ou les vrai fumistes.

Modifié par herciv
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Il y a 6 heures, Scarabé a dit :

Dans le mêtre de coque en plus il pense qu'ils vont rajouter des banettes :chirolp_iei: le  Marquis. 

Des banettes pour les nains de jardin :bloblaugh:

Je me demande à quel point ça ne pourrait pas servir à rendre le Perle compatible à un équipage mixte comme les SNLE ou les nouveaux SNA.

 

Sinon, je suis surpris par le "faible" coût de ce qui devient une transformation du SNA. Est-ce qu'on aurait pu envisager une transformation des vieux SNLE pour leur donner une seconde carrière en SNA en les raccourcissant de XX m avec le retrait des missiles ?

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il y a 7 minutes, ARPA a dit :

Sinon, je suis surpris par le "faible" coût de ce qui devient une transformation du SNA. Est-ce qu'on aurait pu envisager une transformation des vieux SNLE pour leur donner une seconde carrière en SNA en les raccourcissant de XX m avec le retrait des missiles ?

Pourquoi donc les raccourcir et ne pas tout simplement utiliser ces centaines de mètres cubes vides ? 

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Attendons encore un peu avant de crier victoire... jusqu’à maintenant il s’aggissait des étapes les plus « faciles ». C’est au moment du soudage, de la vérification qualité, des essais en mer, et du suivi sur X années que les ennuis peuvent apparaître.

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il y a 21 minutes, clem200 a dit :

Pourquoi donc les raccourcir et ne pas tout simplement utiliser ces centaines de mètres cubes vides ? 

Pour améliorer les performances du SNA ? Quoique, ça ne doit pas améliorer grand chose, ce n'est pas forcement une bonne idée.

Sinon entre 91 et 2008, ça aurait permis de ne pas utiliser un SNLE (et sa signature) pour des missions moins sensibles.

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Le 13/04/2021 à 10:35, mudrets a dit :

Article russe qui considère que la marine française est la première en Europe, et la seconde de l'OTAN derrière les USA

https://topwar.ru/181825-pervye-v-evrope-vms-francii.html 

PS: on y parle même de FORFUSCO :tongue: @Fusilier

Traduction automatique :

 

Première en Europe: la marine française

12 avril 2021

Les forces navales françaises sont les premières d'Europe occidentale et les secondes de l'OTAN en termes de taille et de potentiel, juste derrière la flotte américaine. Ils comprennent des forces de surface et sous-marines bien développées, y compris l' aviation stratégique et navale . Des plans sont en cours d'élaboration et de mise en œuvre pour le développement ultérieur de la flotte, ce qui, comme prévu, permettra de maintenir et d'augmenter l'efficacité au combat.

Indicateurs généraux

Actuellement, la marine française dessert env. 35,1 mille personnes Le nombre de membres du personnel de l'aviation navale est de 6,5 mille personnes. 2,2 mille autres servent dans les Forces d'opérations spéciales et le Corps des Marines (FORFUSCO). La flotte compte une douzaine de bases navales, aériennes et terrestres. Ils sont situés à la fois sur la côte et à l'intérieur des terres.

La force sous-marine française comprend neuf sous-marins, incl. porte-missiles stratégiques. La flotte de surface compte plus de 80 navires de guerre et bateaux, ainsi que 35 unités auxiliaires. L'aviation navale exploite plus de 110 avions de toutes classes. Il existe une large gamme d'armes pour navires et aéronefs à des fins diverses.

Dans sa forme actuelle, la marine française est capable de faire de la dissuasion stratégique (pour le moment elle est la seule composante des forces nucléaires stratégiques), de protéger les frontières maritimes et d'afficher le drapeau dans les zones reculées de l'océan mondial. En termes d'indicateurs quantitatifs et qualitatifs, la flotte française ne peut prétendre au leadership mondial, mais se compare favorablement aux autres marines européennes.

La flotte est actuellement en cours de développement selon deux programmes. Le premier est le Plan de construction des forces armées, calculé jusqu'en 2025. En 2018, le plan Mercator a été adopté, qui prévoit des mesures d'amélioration de la flotte jusqu'en 2030. Les deux programmes prévoient la construction et l'achat de nouveaux matériels et infrastructures. développement, formation accrue du personnel, etc. etc.

Forces sous-marines

Les forces nucléaires stratégiques françaises sont représentées par quatre SNLE de type Triomphant, chacun transportant 16 missiles M45 ou M51 développés localement. Ils ont été recrutés de 1997 à 2010 et sont censés être en mesure de continuer leur service dans un avenir prévisible. La possibilité de leur remplacement est toujours envisagée au niveau théorique; aucune action réelle n'a encore été entreprise.

Quatre sous-marins nucléaires polyvalents de classe Rubis sont en service, sur six construits et mis en service en 1983-93. Ces sous-marins transportent des torpilles et des missiles Exocet pour combattre les navires et sous-marins ennemis. Le sort de ces navires a déjà été déterminé. Tant qu'ils resteront opérationnels, mais au fil du temps, à mesure que la ressource s'épuise, ils seront radiés.

Pour remplacer le sous-marin nucléaire Rubis, un nouveau projet Barracuda a été créé. Il est prévu d'y construire six navires. Le bateau de tête Suffren a été accepté dans la marine en novembre de l'année dernière. Dans un proche avenir, il atteindra sa pleine disponibilité opérationnelle. La flotte recevra cinq autres navires en 2022-30.

Flotte de surface

La marine française dispose d'un porte-avions Charles de Gaulle et de trois navires d'assaut amphibies de classe Mistral. Ces navires devraient être maintenus en service au moins jusqu'en 2030 - en raison de réparations effectuées en temps opportun. A l'avenir, le porte-avions et l'UDC devront se moderniser en fonction de projets dont le développement a déjà commencé.

Les forces de surface ont 1 destroyer de classe Cassard et 2 destroyers de classe Horizon. Le premier d'entre eux sera radié à l'avenir et remplacé par un navire d'une nouvelle construction d'une classe différente. Les deux autres destroyers devraient être modernisés avec des capacités étendues et une durée de vie prolongée.

La dernière frégate de défense anti-sous-marine Latouche-Tréville de la classe Georges Leygues reste en service. Dans les années à venir, il sera mis hors service et éliminé. Six frégates de défense aérienne de classe Aquitaine ont déjà été construites dans le cadre du projet FREMM. Deux autres navires de ce type, modifiés pour ASW, seront remis en 2021-2022. À l'avenir, de nouvelles commandes peuvent apparaître. A l'aide de frégates "Aquitaine" dans diverses configurations, la Marine prévoit de remplacer la plupart des frégates et destroyers obsolètes d'ici 2030.

Pour l'instant, cinq frégates de classe La Fayette continueront de servir. À l'avenir, ils seront remplacés par de nouveaux navires FDI. Actuellement, dans l'un des chantiers navals français, un travail de base est en cours de réalisation pour la construction d'une frégate de plomb de ce type. Le signet est attendu cette année. Pour l'instant également, six «frégates de reconnaissance» Floréal seront retenues.

La défense antimines est assurée par 15 dragueurs de mines de trois modèles différents avec des caractéristiques différentes. Les plus massifs sont les navires de type Éridan - 10 unités. En 2023, il est prévu de recevoir le navire de tête du nouveau type SLAM-F. À l'avenir, ces dragueurs de mines remplaceront tout l'équipement disponible.

15 navires et bateaux de patrouille, ainsi que 6 fanions de la Garde côtière continueront de servir pour le moment. Cependant, au cours des années vingt, la plupart d'entre eux seront remplacés, pour lesquels un certain nombre de nouveaux projets aux caractéristiques différentes sont en cours de création.

Des plans similaires ont été élaborés pour l'exploitation et le renouvellement de la flotte auxiliaire. Au fur et à mesure que la ressource s'épuise, de nouveaux projets apparaissent, etc. à moyen et long terme, tous les transports, remorqueurs, navires de reconnaissance, etc. existants seront remplacés.

Aéronavale

L'aviation navale de la Marine nationale française est armée de plus de 40 chasseurs à base de porte-avions Rafale-M utilisés sur le porte-avions Charles de Gaulle. Avec eux, 3 avions AWACS E-2C sont inclus dans l'aviation basée sur les transporteurs. Plus de 20 avions de patrouille / anti-sous-marins Atlantique II et plus de 10 avions de patrouille Falcon de diverses modifications sont également exploités.

l y a des aéronefs auxiliaires. Le groupe des hélicoptères est principalement représenté par des véhicules de transport et / ou de recherche et sauvetage de différents types. Les capacités de combat (anti-sous-marin) n'ont que du NH90 à hauteur de 25-26 unités.

Aucune restructuration radicale de la structure ou de la composition de l'aviation navale n'est prévue au cours de la prochaine décennie. Il est proposé de procéder à une modernisation en profondeur des avions de pont et de patrouille, ainsi que des avions AWACS afin d'améliorer leurs caractéristiques et capacités de base. À l'avenir, il est possible de remplacer des véhicules polyvalents et de transport de différents types. Le développement de nouveaux modèles d'armes d'aviation est en cours pour combattre des cibles aériennes, de surface et au sol.

Tendances générales

À l'heure actuelle, la marine française est la première en taille et en puissance en Europe et la deuxième dans l'OTAN. Il est prévu de maintenir cet état à l'avenir. Les programmes de développement adoptés pour la prochaine décennie ne prévoient pas de changement significatif des indicateurs quantitatifs à la hausse ou à la baisse. Cependant, il est proposé d'améliorer la structure et d'augmenter les indicateurs de qualité.

Plusieurs directions principales sont envisagées. Le premier prévoit la poursuite de la construction et de la rénovation des infrastructures. Le second prévoit le renouvellement de l'effectif de combat en remplaçant progressivement les navires, sous-marins et avions désuets par des modèles modernes et prometteurs qui présentent des avantages évidents. Le troisième domaine est la modernisation. Jusqu'à ce qu'une unité de combat ait développé une ressource, elle sera mise à jour avec une augmentation significative des caractéristiques et des capacités.

De toute évidence, les programmes et projets actuels ne seront pas les derniers du genre. Dans les années à venir, on peut s'attendre au démarrage de l'élaboration de nouveaux plans de développement, qui remplaceront les programmes actuels fonctionnant jusqu'en 2025-30. Aussi, le développement de navires et de sous-marins prometteurs devrait commencer, qui seront construits à partir de la fin des années vingt.

Ainsi, la France a des plans clairs et clairs pour le développement de ses forces navales, et a également la capacité de les exécuter à temps. Grâce à cela, la marine française pourra à l'avenir maintenir une capacité de combat élevée et apporter la contribution nécessaire à la sécurité nationale.

Auteur: Ryabov Kirill

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Un nouveau RP 10 pour la base navale de Cherbourg

La Direction générale de l’armement (DGA) a réceptionné le 9 avril 2021 Le Fou, un remorqueur pousseur de 10 tonnes (RP10) qui sera affecté à Cherbourg, au profit de la Marine nationale. Il constitue le n°11 de la série des RP10 qui comprendra 29 unités.

https://www.meretmarine.com/fr/content/un-nouveau-rp-10-pour-la-base-navale-de-cherbourg

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il y a 39 minutes, Banzinou a dit :

La Marine nationale va se doter d’une « frégate numérique »

http://www.opex360.com/2021/04/25/la-marine-nationale-va-se-doter-dune-fregate-numerique/

C'est pas numérique c'est numétique. 

 

En faite tous les navires de la marine ont des doubles identiques à terre ( moteurs, récteurs,radars, armements etc ) ca permet d'instruire et égalment de reproduire les pannes à terre afin et de donner une solution à ceux qui sont en mer .

Par contre il n'y avait encore aucun double numétique mainteant ça va être chose faite.    

 

 

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