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Le JSF menacé au Canada !!!!


glevass
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Il y a 2 heures, Patrick a dit :

Un attaquant a toujours l'avantage parce qu'il choisit où et quand il attaque

Le territoire et la météo au Canada laisse quand même au défenseur un large avantage en terme de temps de présence sur zone de mission. 

En fait sans point d'appui directement sur le territoire canadien une attaque aérienne venant du nord ou de l'est n'a pas de sens. Cette histoire de point d'appui explique aussi pourquoi les canadien investissent autant dans leur marine. On sent d'ailleurs que le contrat frégate toujours en discussion est réexaminable pour faire plus de place aux sous-marins.

Pour en revenir aux chasseurs c'est plutôt les missions otan qui contraignent la définition du besoin. 

Modifié par herciv
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il y a 8 minutes, herciv a dit :

Cette histoire de point d'appui explique aussi pourquoi les canadien investissent autant dans leur marine. On sent d'ailleurs que le contrat frégate toujours en discussion est réexaminable pour faire plus de place aux sous-marins.

C'est vrai, mais ça permet aussi de mettre en lumière ce dont je parlais plus tôt: pour renouveler sa défense, y compris anti-aérienne, il y a d'autres postes plus urgents que le F-35 pour le Canada. Mauvais cheval.

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Il y a 12 heures, Patrick a dit :

[...]

Techniquement la furtivité ne sert À RIEN dans le cadre de la défense d'un territoire. C'est une capacité tournée vers deux missions historiquement: le bombardement sans préavis à proximité de cibles bien défendues, et la reconnaissance. La chasse n'est venue que plus tard, et ce dans une optique particulière, tournée vers l'attaque, avec des AWACS et des chasseurs non-furtifs en rideau défensif (cas du F-22).

Aucune de ces missions ne recouvre la pure défense du territoire. Et dans ce cadre, par exemple avec les prépositionnements de F-22 au Japon et en Alaska, c'est plus sur sa supercroisière, son radar et son armement que compte le F-22, que sur sa furtivité. Si ce n'était pas le cas les US ne seraient pas en train de moderniser et remettre au goût du jour leurs F-16, F-18, et F-15, avec le même genre de senseurs qu'on trouve sur le F-35.

Non, la mission principale que va effectuer le Canada, c'est la police du ciel. Oui ça implique d'aller voir du côté d'avions russes s'aventurant trop près des frontières, pour montrer le drapeau, mais dans ces conditions, et étrangement, les russes font généralement tout pour être repérés! Oui parce que c'est le but! On se jauge, on se teste, on fait de la com', on cherche à faire réagir.

[...]

En conséquence un achat de F-35 ne se conçoit pas dans une stratégie de défense si dans le même temps des senseurs aussi performants sont disponibles sur une autre plate-forme beaucoup moins furtive passivement mais surtout bien moins chère et problématique à entretenir.

[...]

Dans l'ensemble je suis assez d'accord avec ton post.

Toutefois sur la question de défense avec un furtif, je pense personnellement qu'il y a un intérêt : dans un conflit à forte attrition, la furtivité te permet de tirer un missile avec un meilleur PK (avion complètement dans le NEZ du missile) car plus prêt tout en restant en relative sécurité. De plus, si ton raid ennemi n'est pas entièrement descendu, la furtivité te permet de penser que tu pourras revenir car l'ennemi ne saura pas (une fois les contre mesure appliquée) où te chercher.

Toutefois je conviens que dans un scénario de ce type, très Hit & Run, le fait que le F35 ait une furtivité frontale maximale et non latérale ou arrière n'aide pas... sans parler de son chalumeau (comme tu le fais remarquer d'ailleurs). De plus la furtivité ne semble avoir de sens que si tes émissions EM sont minimales, et à partir de là que tu as le réseau de détection (au sol ou en l'air) adéquat pour t'aider et te guider dans ta tâche.

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Il y a 5 heures, rendbo a dit :

Toutefois sur la question de défense avec un furtif, je pense personnellement qu'il y a un intérêt : dans un conflit à forte attrition, la furtivité te permet de tirer un missile avec un meilleur PK (avion complètement dans le NEZ du missile) car plus prêt tout en restant en relative sécurité.

C'est vrai, mais dans le cas du Canada, avec 65 F-35 prévus, la "forte attrition" je ne sais pas ce que c'est. perdre 20 avions serait déjà de la forte attrition.
Donc à moins de considérer que les USA sont derrière, je ne vois pas comment justifier d'acheter 65 F-35 quand on peut se payer 88 Rafale voire encore plus, avec le même budget, qui auront eux aussi une forte survivabilité.

Il y a 5 heures, rendbo a dit :

De plus, si ton raid ennemi n'est pas entièrement descendu, la furtivité te permet de penser que tu pourras revenir car l'ennemi ne saura pas (une fois les contre mesure appliquée) où te chercher.

Si des avions furtifs red et blue sont imbriqués ce sont les IRST qui vont jouer à plein. Le F-35 a de très bons argument à ce propos, mais les autres aussi, de plus en plus.

Il y a 5 heures, rendbo a dit :

Toutefois je conviens que dans un scénario de ce type, très Hit & Run, le fait que le F35 ait une furtivité frontale maximale et non latérale ou arrière n'aide pas... sans parler de son chalumeau (comme tu le fais remarquer d'ailleurs). De plus la furtivité ne semble avoir de sens que si tes émissions EM sont minimales, et à partir de là que tu as le réseau de détection (au sol ou en l'air) adéquat pour t'aider et te guider dans ta tâche.

C'est exactement ce que disait la fameuse étude de la RAND et son un brin dramatisant "can't climb can't turn can't run".

En fait quand on y réfléchit, ce qu'il faut au Canada pour le rôle qu'ils veulent faire jouer à ces avions, c'est un avion de la classe du F-22 en moins cher (donc moins gros).

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Il y a 11 heures, Benoitleg a dit :

Si le Typhon n'avait pas pris autant de retard dans ses développements, je pense qu'il aurait été le meilleur choix (autre qu'Américain) pour les Canadiens. Vu qu'il (le Typhon) est ce qu'il est, et parce qu'on est ce qu'on est, la meilleure alternative actuelle reste le Rafale.

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Il y a 2 heures, rendbo a dit :

Si le Typhon n'avait pas pris autant de retard dans ses développements, je pense qu'il aurait été le meilleur choix (autre qu'Américain) pour les Canadiens. Vu qu'il (le Typhon) est ce qu'il est, et parce qu'on est ce qu'on est, la meilleure alternative actuelle reste le Rafale.

Sauf qu'avec la mise à jour Centurion il va disposer de capacités Air-Sol élargies.

Et puis il serait vraiment étonnant qu'Airbus n'ait pas évoqué le volet militaire en acceptant de voler au secours de Bombardier :tongue:

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il y a 28 minutes, BPCs a dit :

Et puis il serait vraiment étonnant qu'Airbus n'ait pas évoqué le volet militaire en acceptant de voler au secours de Bombardier :tongue:

 

J’ai tendance à penser qu’Airbus avait suffisamment d’intérêts à voler au secours de Bombardier de son propre chef sans même prendre en considération un quelconque volet militaire (de même qu’à mon sens, il n’a pas été sollicité par les autorités canadiennes et donc n’a pas eu à accepter une main-tendue. Les Autorités y auront été favorables sans aucun doute, mais sans avoir réellement de pouvoir d’action sur cette prise de contrôle sauf au titre de la participation minoritaire du gouvernement du Québec dans l’entreprise).

 

En terme de timing, cet aspect est sans doute la cerise sur le gâteau mais dans tous les cas Airbus aurait joué les Chevalier Blanc qu’il y ait ou non un appel d’offre canadien pour remplacer les F/A-18, parce que c’était une superbe opportunité de renforcer à moindre effort son business principal, ni plus ni moins.

(De ce que je lis dans le wiki, on parle de 50,9 milliards d’euros de CA pour la branche civile en 2017 et de 10,8 milliards pour la branche Défense et espace sur la même année...)

S’il avait tenté auprès des autorités canadiennes de conditionner ce rapprochement à l’avancement du volet militaire, ça aurait sans doute été assez mal perçu (l’histoire de la crémière, tout ça...), encore plus dans la situation canadienne actuelle.

 

Ceci étant, avec ce rapprochement, il est évident que le gouvernement canadien est mieux disposé à l’égard l’Airbus et que ce dernier a de nouveaux arguments à faire valoir, ce qui n’augure et n’assure de rien du tout.

C’est le Premier Ministre du Québec qui s’en rendu à Toulouse en mars de cette année chez Airbus et a signé des accords de recherche commune avec certains secteurs de l’aérospatiale, et non Trudeau.

Modifié par TarpTent
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Pour airbus il devient doucement critique de trouver une solution pour que la chaine de production du typhoon ne s'arrete pas... et cela dit, a moins de vouloir faire chier tonton Donald, je ne vois pas les canadiens prendre autre chose que du super hornet, Trump sera encore sur la scene 2 ou 6ans, mais il faudra faire durer les appareils 30 ans a un cout raisonnable, alors a mon sens le F/A18-E/F est le meilleur compromis budget/capacites produit sur le continent nord americain pour leurs besoins, mais bon c'est juste moi, hein, je suis pas madame Soleil...

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1 hour ago, French Kiss said:

Pour airbus il devient doucement critique de trouver une solution pour que la chaine de production du typhoon ne s'arrete pas... et cela dit, a moins de vouloir faire chier tonton Donald, je ne vois pas les canadiens prendre autre chose que du super hornet, Trump sera encore sur la scene 2 ou 6ans, mais il faudra faire durer les appareils 30 ans a un cout raisonnable, alors a mon sens le F/A18-E/F est le meilleur compromis budget/capacites produit sur le continent nord americain pour leurs besoins, mais bon c'est juste moi, hein, je suis pas madame Soleil... 

Quelque chose s'oppose a s'équiper de F-15 ... à part le tarif ... pour un si grand territoire c'est un avion plus adapté que le F-18.

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Il y a 6 heures, French Kiss a dit :

Pour airbus il devient doucement critique de trouver une solution pour que la chaine de production du typhoon ne s'arrete pas...

L’arabie Saoudite, le Koweït et le Qatar sont en train / viennent de s’en occuper.

http://www.air-cosmos.com/le-qatar-s-engage-sur-24-avions-de-combat-eurofighter-typhoon-100267

http://www.air-cosmos.com/l-arabie-saoudite-souhaite-acquerir-48-eurofighter-108411

http://www.air-cosmos.com/typhoon-debut-de-production-des-appareils-koweitiens-104529

24 + 48 + 28 = 100

Pour l’instant c’est plus que de Rafale export signés. 

Modifié par Teenytoon
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il y a 22 minutes, Teenytoon a dit :

Oui mais pour l'eurofighter c'est 4 chaînes de production, pas une seule comme pour le Rafale...

Et de plus seuls les 28 du Koweït sont effectifs, pour l'Arabie et le Qatar c'est des lettres d'intention !

Les 96 Rafales sont eux payés (enfin l'accompte a été versé).

Modifié par emixam
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Il y a 6 heures, g4lly a dit :

Quelque chose s'oppose a s'équiper de F-15 ... à part le tarif ... pour un si grand territoire c'est un avion plus adapté que le F-18.

Au doigt mouillé, je dirais bien qu’à l’époque, le F15 à l’achat comme à l’entretien était significativement plus onéreux que le F/A 18. Il était en plus dédié au Air-air, et n’avait pas de train renforcé ni de crosse d’arrêt résistante comme celle du F/A18, appareil embarqué oblige.

Actuellement, la situation est évidemment un peu moins tranchée, le F15 SE étant maintenant opérationnel en Air-sol avec des coûts d’acquisition et de maintenance qui sont je pense encore un tantinet supérieurs à ceux du F/A 18 ASH. Mais la question de s trains renforcés et de la crosse demeurent. Par ailleurs, les canadiens connaissant déjà le F/A 18 sur le bout des doigts, ils n’auraient pas à repartir de zéro pour l’apprentissage, aussi bien pour les pilotes que pour les mécanos.

Enfin, ça reste dans les 2 cas du Boeing, ce qui ne change donc rien aux bisbilles actuelles, et le constructeur a peut-être une préférence pour maintenir sa proposition de l’Advanced Super Hornet afin de faire avancer ce sujet (même si déjà financé par l’us Navy), puisqu’il est désormais acquis que le F15 SE est lui sur les rails.

 

Mais en performances pures dans sa dernière configuration et de part ses caractéristiques (solidité, fiabilité, opérationnel en conditions difficiles), effectivement le F15 SE me semble aussi un très bon choix.

 

(Bon, ça reste quand même une vision au doigt mouillé, encore une fois)

Modifié par TarpTent
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26 minutes ago, TarpTent said:

Mais en performances pures dans sa dernière configuration et de part ses caractéristiques (solidité, fiabilité, opérationnel en conditions difficiles), effectivement le F15 SE me semble aussi un très bon choix. 

D'autant que la base utilisateur du F-15 est très grande ... ce qui offre des garanties d'évolutions et de coût sur les pièces et la maintenance.

Puis bon il a la classe le F-15 ... presque qu'autant que le F-5 d'antan!

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La politique canadienne de défense aérienne expliquée dans un rapport de 2016.

http://publications.gc.ca/collections/collection_2016/parl/xc34-1/XC34-1-1-421-2-eng.pdf

Quelques extraits :

"The Committee was told more than once that if an aerial terrorist attack or major asymmetric incident occurred in Vancouver, for example, NORAD would, in all likelihood, deploy U.S. Air Force jet fighters stationed in nearby Portland, Oregon, rather than RCAF CF-18s from Cold Lake, Alberta, located further away."

"It should be noted that the U.S. has responded to the asymmetric threat by establishing fighter alert locations in several places across the U.S. These locations operate as remote detachments of their parent Wings"

"In her view, it would make sense to relocate CF-18s closer to the urban centre, though Ms. Sloan did note that jet fighters don’t stay at the base at all times.”

"This also raises the question of whether or not the location of Canada’s CF-18 assets, which are currently based at two main operating bases (MOB) – 3 Wing Bagotville in Quebec and 4 Wing Cold Lake in Alberta – are optimally positioned to address new and emerging threats. In the course of this study, questions were raised as to whether or not CF-18 assets should be stationed at other locations to better respond to threats. At the moment, CF-18s have access to four Deployed Operating Bases (DOB) located in southern Canada and four Forward Operating Locations (FOLs) in the Arctic, where they can deploy whenever needed, such as in times of emergency"

"Recommendation 5
That the defence policy review evaluate the primary locations of Canada’s Air Sovereignty Alert (ASA) assets to ensure they are optimally positioned to respond to asymmetric threats under the auspices of Operation NOBLE EAGLE (ONE)."

 

Les missions du NORAD sont essentielles. L'interopérabilité avec les US une nécessité. A l'époque le f-35 était vu comme le moyen unique pour y parvenir.

Depuis deux ans et l'arrivée de TRUDEEAU et de TRUMP les choses sont moins clairs ...

Ah et puis un petit passage savoureux concernant la double motorisation :

"La portée et la fiabilité constituent une autre capacité essentielle du nouveau chasseur à réaction. Il devra être capable de fonctionner dans toutes les conditions météorologiques et loin de sa base opérationnelle sur de vastes distances inhabitées, comme dans l'Arctique, où il n'y aura pratiquement pas d'assistance en cas de problèmes de moteur. "Je pense que c'est une exigence critique ", a noté le Contre-amiral Bishop. "Nous avons besoin d'un avion de chasse qui peut voler dans le Grand Nord ".226 Cependant, les témoins n'étaient pas d'accord sur la question de savoir si le nouvel avion de chasse à réaction devrait avoir un ou deux moteurs. Le lieutenant-général Hood, par exemple, a exprimé l'opinion qu'il serait satisfaisant de choisir un avion monomoteur plutôt qu'un avion bimoteur. "La fiabilité de la technologie des moteurs a augmenté à un point tel qu'il n'est plus nécessaire d'avoir deux moteurs, a-t-il dit, ajoutant qu'il y a certains avantages à avoir un seul moteur, comme la réduction des coûts des moteurs227.  
Cependant, tous les témoins n'étaient pas d'accord. Michael Byers, par exemple, croit que le Canada a besoin d'un avion de chasse bimoteur à longue portée. À son avis, le Canada ne devrait pas acheter le F-35, qui est une machine monomoteur, mais plutôt acquérir le bimoteur  Boeing F-18 Super Hornet. Bien qu'il reconnaisse que les moteurs d'avion deviennent de plus en plus fiables, il note que "les jets bimoteurs sont encore plus fiables que les jets monomoteurs". Il a expliqué que " les avions monomoteurs.... deviennent plus fiables, mais qu'ils ne se rapprochent pas encore de la fiabilité des avions bimoteurs comparables ".228 Selon lui, la fiabilité des moteurs est cruciale pour les opérations dans l'Extrême-Arctique :  
L'Arctique canadien est extraordinairement vaste. C'est 40 % du deuxième plus grand pays du monde. Nous avons des zones maritimes très étendues. Nous avons, à l'heure actuelle, des avions de chasse bimoteurs que nous avons choisis en raison de la sécurité assurée par un deuxième moteur, tout comme la marine américaine a choisi le F-18, et a acheté beaucoup de Super Hornets de remplacement, encore une fois pour le deuxième moteur, en raison de la sécurité sur l'océan hostile - ou l'Arctique, dans notre cas. Si nous devions choisir un avion à réaction monomoteur pour l'Arctique, nous devrions améliorer considérablement nos activités de recherche et de sauvetage dans l'Arctique, de sorte que nous puissions atteindre rapidement les pilotes s'ils devaient être parachutés en toute sécurité229. 
Soulignant davantage son point de vue, M. Byers s'est demandé si quelqu'un " veut voler d'Ottawa à Londres, en Angleterre, à bord d'un avion civil monomoteur "."

Traduit avec www.DeepL.com/Translator

Un autre extrait concernant le coût du f-35 en 2016 et ses conséquences

Le coût sera un autre facteur clé à considérer lors de l'acquisition d'un futur chasseur à réaction. Le coût financier de la puissance aérienne a considérablement augmenté au cours des dernières décennies, principalement en raison des technologies de pointe intégrées aux avions de combat modernes.239 Par exemple, le coût unitaire d'un chasseur à réaction CF-18 Hornet était d'environ 24 millions de dollars canadiens dans les années 1980. Aujourd'hui, le coût unitaire d'un chasseur à réaction de quatrième génération comme le F-18 Super Hornet est d'environ 57 millions de dollars américains241, alors que celui d'un chasseur à réaction furtif de cinquième génération comme le Lockheed Martin F-35 Lightning II se situe entre 94,8 millions de dollars américains et 
Devant des coûts aussi élevés, le Canada, avec un budget de défense limité, devra faire des choix difficiles, a expliqué Michael Byers. Les CF-18, a-t-il souligné, " doivent être remplacés dans les limites d'un budget raisonnable ". Comme il l'a prévenu, il faudra tenir compte des taux de change monétaires, surtout si le Canada devait choisir un chasseur à réaction d'origine américaine. M. Byers s'est servi de la décision originale du gouvernement canadien de 2010 pour acheter 65 F-35 pour prouver son point de vue : 
Le budget d'acquisition des F-35 de 9 milliards de dollars pour 65 avions a été fixé à un taux de change de 92 cents par rapport au dollar américain. Au taux de change d'aujourd'hui, à 77 ¢ le dollar, vous ne pouvez acheter que 56 F-35, alors demandez-vous si votre gouvernement, dans les limites d'un budget établi et d'un nombre minimum d'avions, sera en mesure d'acquérir certains des avions à l'étude.

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Ottawa releases draft tender on purchase of new fighter jets

http://lejournalcanadien.com/2018/10/29/ottawa-releases-draft-tender-on-purchase-of-new-fighter-jets/

"

C'est le premier signe de mouvement sur le dossier depuis le lancement du concours il y a près d'un an.
L'effort visant à remplacer la flotte vieillissante de chasseurs CF-18 de la Force aérienne a fait un petit pas en avant lundi lorsque Services publics et Approvisionnement Canada a publié une ébauche d'appel d'offres et a demandé l'avis des fabricants de nouveaux jets.
Il y a cinq entreprises en lice : Dassault Aviation (France), Saab (Suède), Airbus Defence and Space (Grande-Bretagne) et Boeing et Lockheed Martin (États-Unis).
Les fabricants auront environ huit semaines pour commenter divers aspects de l'appel d'offres proposé avant que le gouvernement finalise le document.
On ne s'attend pas à ce qu'une demande de propositions complète soit publiée avant la nouvelle année.
Le ministère a déclaré que l'apport des fabricants " est essentiel au succès global de cet approvisionnement et à la sélection des avions de chasse qui répondront le mieux aux besoins du Canada ".
Un processus lent
Cela fait près d'un an que le ministre de la Défense, Harjit Sajjan, a officiellement " lancé " un concours pour remplacer les CF-18, qui avaient été achetés dans les années 1980, mais qui ont fait l'objet d'améliorations importantes au cours des décennies suivantes.
Au même moment, M. Sajjan a également annoncé que le gouvernement fédéral achèterait des F-18 australiens d'occasion du même cru que la flotte de chasseurs actuelle du Canada.
Cet achat doit servir de palliatif pour permettre à la force aérienne de respecter ses engagements envers l'OTAN et le NORAD en même temps.

Il manque 275 pilotes dans la Force aérienne du Canada, car l'attrition dépasse le recrutement, l'entraînement et la formation. 
Les libéraux ont fait face à des critiques à huis clos au sujet du plan du chasseur Super Hornet maintenant annulé : documents 
La guerre commerciale de Trump pourrait-elle paralyser la domination de l'industrie américaine de la défense sur le marché canadien ? 

Le gouvernement libéral envisage d'acheter 88 nouveaux jets, mais les premiers ne devraient pas arriver avant le milieu des années 20.
On s'attend à ce que la concurrence entre les fabricants pour les marchés canadiens soit féroce.
Lockheed Martin lancera son chasseur furtif F-35, que l'ancien gouvernement conservateur était prêt à acheter jusqu'à ce que le vérificateur général critique Travaux publics et Défense nationale en 2012. La vérificatrice générale a déclaré, entre autres, que les ministères n'avaient pas fait suffisamment de recherches pour justifier l'achat de plusieurs milliards de dollars.
Boeing est sur le point d'offrir le Super Hornet - une version plus grande et plus avancée du F-18 - mais la compagnie de Chicago, IL.-basée et le gouvernement libéral ont échangé des coups l'an dernier dans un différend sur les jets passagers et Bombardier.
Au départ, les libéraux avaient prévu d'acheter des Super Hornets comme palliatif plutôt que des chasseurs australiens, mais ils ont annulé l'achat en raison du différend.
Avantage : Europe ?
Airbus prévoit d'offrir son Eurofighter Typhoon. Saab présentera la dernière version de son Gripen, tandis que Dassault propose le Rafale.
Les constructeurs européens d'avions ont tous exprimé leur optimisme à l'égard de la concurrence le printemps dernier lors d'un salon professionnel de l'industrie de la défense à Ottawa.
Pendant des années, le Canada a été perçu comme favorisant les fabricants américains en raison de ce que les militaires ont appelé les " questions d'interopérabilité ".
Mais les récents différends commerciaux et les tensions politiques entre Ottawa et Washington ont remonté le moral des entrepreneurs à l'extérieur de l'Amérique du Nord.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator

"

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https://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/app-acq/amd-dp/air/snac-nfps/spdgp-ffcp-eng.html

Cette page couvre la chronologie officielle. Projet de capacité de chasseur du futur - Air - Acquisition et vente de matériel de défense - Achat et vente - Services du CPFP - Accueil

Je vais sauter les étapes jusqu'ici et résumer les autres. Encore une fois, n'oubliez pas que plus les dates sont éloignées, moins elles sont probables. Cependant, cela montre bien quelles sont les activités.

Automne 2018. Comme nous l'avons déjà mentionné, l'ébauche a été publiée.
Examen complet de l'ébauche des documents d'invitation à soumissionner par une tierce partie indépendante.
Remettre les ébauches des documents de demande de soumissions aux fournisseurs admissibles 
Les fournisseurs examinent les ébauches de documents d'invitation à soumissionner et fournissent une rétroaction.
Les fournisseurs admissibles visitent les bases des Forces canadiennes

Janvier à février 2019
Engagement des fournisseurs pour discuter et clarifier la rétroaction
Intégrer la rétroaction des fournisseurs aux documents d'invitation à soumissionner et demander des éclaircissements, s'il y a lieu.

Février à mai 2019
Examen complet des documents de demande de soumissions par un tiers, le surveillant de l'équité et les services juridiques.

Printemps 2019
Finaliser les documents d'invitation à soumissionner
Suivi auprès des fournisseurs admissibles, au besoin (par vidéoconférence)
Communiquer les documents d'appel d'offres finaux aux fournisseurs admissibles.

De l'été à l'hiver 2019
Les fournisseurs élaborent et soumettent des propositions initiales au Canada aux fins d'évaluation.

Hiver à la fin de l'été 2020
Évaluation des propositions initiales des fournisseurs

De l'hiver au printemps 2021
Évaluation des propositions finales et sélection de la proposition qui répond le mieux aux besoins du Canada

Hiver 2021 à 2022
Les contrats/arrangements sont attribués
Le rapport du surveillant de l'équité est publié

2025
Début prévu de la livraison de l'avion

2026
La capacité opérationnelle initiale est atteinte

Traduit avec www.DeepL.com/Translator

https://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/app-acq/amd-dp/air/snac-nfps/CF-18-eng.html

Remplacer et compléter les chasseurs canadiens
Forte, sûre, engagée : La politique de défense du Canada, annoncée en juin 2017, a réaffirmé l'engagement du gouvernement d'investir adéquatement dans les forces armées canadiennes.
Le 12 décembre 2017, le gouvernement du Canada a lancé un concours ouvert et transparent pour remplacer de façon permanente la flotte de chasseurs du Canada par 88 jets perfectionnés. Il s'agit de l'investissement le plus important dans l'Aviation royale du Canada en plus de 30 ans et il est essentiel pour assurer la sécurité des Canadiens et des Canadiennes et pour respecter les obligations internationales.
La Politique sur les retombées industrielles et technologiques s'appliquera à ce marché, exigeant que le fournisseur retenu investisse au Canada un montant égal à la valeur du marché. L'objectif de la politique est de maximiser les débouchés pour les entreprises canadiennes, de soutenir l'innovation par la recherche et le développement et d'accroître les possibilités d'exportation du Canada.
Fiançailles
Le gouvernement du Canada est déterminé à faire en sorte que les industries canadiennes de l'aérospatiale et de la défense, les fournisseurs commerciaux et les gouvernements étrangers des pays alliés et partenaires soient consultés et engagés dans ce processus et qu'ils soient bien placés pour participer. 
Le Canada a tenu une journée de l'industrie des chasseurs de l'avenir le 22 janvier 2018 à Ottawa. L'objectif de cet événement était de partager l'information avec l'industrie et les intervenants ainsi que de présenter aux gouvernements étrangers et à l'industrie l'information dont ils ont besoin pour prendre une décision éclairée quant à la réponse à l'invitation de la Liste des fournisseurs. De plus, l'événement a donné l'occasion à l'industrie canadienne de faire du réseautage avec des gouvernements étrangers et des fabricants d'avions de chasse. 
L'événement, qui a fourni de l'information sur la façon dont le Canada prévoit acheter de nouveaux jets pour ses forces armées, a été bien accueilli et a attiré plus de 200 participants provenant de plus de 80 compagnies et de sept pays. 
Vous pouvez accéder à l'ordre du jour connexe et à une copie des remarques d'ouverture de cette journée de l'industrie. Pour accéder aux présentations de la Journée de l'industrie, voir l'invitation de la liste des fournisseurs.

Liste des fournisseurs admissibles
Pour ce marché, le Canada a établi une liste de fournisseurs qui ont démontré leur capacité de répondre aux besoins du Canada, tels que définis dans l'invitation à soumissionner.
La liste des fournisseurs admissibles comprend les équipes suivantes (par ordre alphabétique) :
France-Dassault Aviation (avec Thales DMS France SAS, Thales Canada Inc. et Safran Aircraft Engines)
Suède-SAAB AB (publ)-Aéronautique 
Royaume-Uni et Irlande du Nord - Airbus Defense and Space GmbH 
États-Unis - Lockheed Martin Corporation (Lockheed Martin Aeronautics Company) (avec Pratt and Whitney)
États-Unis - La compagnie Boeing
Seuls les fournisseurs susmentionnés seront invités à participer aux activités d'engagement formelles ultérieures et à soumettre des propositions dans le cadre du concours pour la future capacité de chasseurs.
Capacités des futurs chasseurs - Engagement officiel des fournisseurs
Les activités officielles de participation des fournisseurs se sont déroulées du 26 mars au 11 avril et du 11 juin au 5 juillet 2018. Au cours de cette période, des représentants du gouvernement du Canada se sont entretenus avec des fournisseurs admissibles afin de partager et d'obtenir une première rétroaction sur les exigences du Canada et l'approche d'approvisionnement théorique pour ce concours.
Le Canada a rencontré chaque fournisseur pour discuter de l'ingénierie des systèmes d'aéronef, de l'infrastructure de soutien, des avantages économiques pour le Canada et de la méthode d'approvisionnement. 
Dans le cadre du suivi de son engagement auprès des fournisseurs admissibles, le Canada a partagé avec eux un document sur les exigences préliminaires en matière de sécurité. Le présent document donne aux fournisseurs admissibles un aperçu de certaines des exigences du Canada en matière de sécurité et d'interopérabilité avant la publication de la demande de propositions finale au printemps 2019.

Nouveau
Le 26 octobre 2018, le Canada a franchi une autre étape importante vers le remplacement de sa flotte de chasseurs, avec la publication de l'ébauche de la demande de propositions aux fournisseurs admissibles pour examen et commentaires. Les fournisseurs auront environ huit semaines pour fournir leurs commentaires. Cette rétroaction servira à peaufiner et à finaliser la demande de propositions officielle. L'ensemble du processus fait l'objet d'un examen par un surveillant de l'équité indépendant et un tiers examinateur indépendant.
Il est essentiel de veiller à ce que les fournisseurs aient l'occasion de donner leur avis si l'on veut assurer le succès global de cet approvisionnement et choisir le bon avion de chasse pour répondre aux besoins du Canada, tout en tirant parti des avantages économiques pour le Canada.
Le gouvernement travaille avec diligence pour s'assurer que ce processus concurrentiel ouvert et transparent se déroule comme prévu.

Consultations parallèles avec l'industrie canadienne et d'autres intervenants
Innovation, Sciences et Développement économique Canada peut aider l'industrie canadienne et les intervenants à explorer les possibilités de partenariat avec les entrepreneurs principaux. Cliquez sur le lien suivant pour obtenir de plus amples renseignements sur les ressources disponibles pour l'industrie canadienne.
Du 23 avril au 1er mai 2018, Innovation, sciences et développement économique, de concert avec le ministère de la Défense nationale, les Services publics et Approvisionnements Canada et les organismes de développement régional du Canada, a organisé six forums régionaux dans l'ensemble du pays afin de positionner l'industrie canadienne pour cette occasion unique dans une génération.
Ces forums ont permis à l'industrie canadienne et à d'autres intervenants d'en apprendre davantage sur le projet de capacité de chasseur de l'avenir, de formuler des commentaires sur l'approche du Canada en matière d'avantages économiques et de discuter avec des représentants du gouvernement du Canada et d'éventuels entrepreneurs principaux. Au total, des représentants de plus de 250 entreprises canadiennes et de 50 universités et établissements de recherche y ont participé. Cliquez sur le lien suivant pour accéder aux présentations sur Buyandsell.
Le soutien des futurs combattants est un domaine d'intérêt important qui devrait offrir de nombreux débouchés de grande valeur aux entreprises canadiennes. À ce titre, le Canada cherche à obtenir une rétroaction pour mieux comprendre dans quelle mesure les activités non attribuées à la Défense nationale peuvent être exécutées par l'industrie canadienne, de concert avec le fournisseur retenu.

Attribution du contrat à un examinateur expert indépendant
Le 3 août 2018, PricewaterhouseCoopers s.r.l./s.e.n.c.r.l. a obtenu un contrat pour effectuer des examens par des experts indépendants et pour valider divers documents et processus d'approvisionnement liés au projet de capacité de combat futur (FFCP). L'objectif est d'assurer un examen et une validation indépendants des produits et des processus, de fournir une évaluation objective et en temps opportun de l'approche et de la méthodologie utilisées pour appuyer le processus d'approvisionnement. Le contrat prend fin en mars 2022. 

Évaluation des propositions relatives à la capacité permanente
Les propositions seront rigoureusement évaluées en fonction des coûts, des exigences techniques et des avantages économiques. L'évaluation comprendra également une évaluation de l'incidence des soumissionnaires sur les intérêts économiques du Canada.
Tout soumissionnaire responsable d'une atteinte aux intérêts économiques du Canada sera nettement désavantagé. La participation des intervenants et de l'industrie à l'élaboration des critères, ainsi que des lignes directrices pour leur application comme outil d'approvisionnement continu pour les grands projets, font l'objet de consultations distinctes. Les représentants du Ministère ont déjà rencontré des représentants d'associations de l'industrie aérospatiale et de l'industrie de la défense, et ils continueront de collaborer avec divers intervenants pour peaufiner davantage ces critères au cours des prochains mois. 
Tous les fournisseurs seront soumis aux mêmes critères d'évaluation.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator

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http://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/app-acq/amd-dp/air/snac-nfps/remarques-remarks-eng.html

Major-général Alain Pelletier, chef, Programme de capacité de chasse, Aviation royale du Canada
Mesdames et Messieurs, bonjour ! 
La Politique de défense du gouvernement du Canada énonce les engagements concomitants assignés à l'Aviation royale du Canada pour faire en sorte que le Canada demeure fort au pays, en sécurité en Amérique du Nord et dans le monde, où l'Aviation royale du Canada (ARC) est un élément clé - et souvent l'élément principal de l'engagement du Canada. 
En tant que garant de la souveraineté canadienne, l'ARC a besoin des ressources - les gens - et de la puissance aérienne pour remplir ces missions essentielles pour le Canada.
La récente annonce concernant le remplacement de notre flotte actuelle de CF-18 par des chasseurs de pointe vise à investir dans la sécurité de notre pays.
... et il incombe au Canada de veiller à ce que l'ARC dispose, comme le stipule la Politique de défense du Canada, des capacités aérospatiales modernes requises qui lui procurent un avantage opérationnel par rapport à ses adversaires actuels et futurs, ce qui lui permet de mener à bien les missions que le Canada demande aux Forces armées canadiennes d'accomplir dans des environnements opérationnels complexes et contre des systèmes et adversaires à technologie avancée.
Notre nouvelle politique de défense stipule que les Canadiens ont besoin d'une armée agile, hautement entraînée, superbement équipée, compétente et professionnelle. Collectivement, à l'échelle du gouvernement, nous visons à mettre en œuvre ces principes dans le cadre de ce projet.
Pour ce faire, le futur chasseur doit être capable de détecter, de suivre, d'identifier, d'évaluer et, si nécessaire, de vaincre les menaces dans tous les environnements, qu'ils soient permissifs ou contestés, dans un contexte de défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD), d'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et de coalition.
Mais le Canada n'agit pas toujours seul. Nous devons donc mettre en place des capacités avancées pour suivre le rythme et demeurer pertinents pour nos alliés et pour travailler en étroite collaboration avec nos partenaires du NORAD et de l'OTAN. L'interopérabilité transparente avec les États-Unis et nos partenaires à cinq yeux permettra au Canada d'apporter une contribution solide aux efforts de la coalition dans le monde entier.
Grâce à cette acquisition, l'Aviation royale du Canada sera mieux en mesure de contribuer au succès des missions des Forces armées canadiennes en collaboration avec la Marine royale du Canada, l'Armée canadienne, les Forces spéciales et tout le gouvernement.
Nous ferons de même dans le processus d'approvisionnement, en étroite collaboration avec nos partenaires de l'ensemble du gouvernement. 
Pendant que cet important processus d'approvisionnement est en cours, les femmes et les hommes de l'Aviation royale du Canada continueront de compter sur notre flotte modernisée de CF-18 pour mener des opérations de souveraineté, de NORAD et de l'OTAN, ainsi que sur toute autre demande que nous pourrions recevoir, alors que nous nous préparons à passer à la nouvelle capacité, fournie dans le cadre de ce projet.
Les exigences de l'ARC pour le futur chasseur sont alignées sur celles d'un avion fort, sécuritaire et engagé et reflètent pleinement l'intention du gouvernement du Canada d'acquérir une flotte de chasseurs de remplacement au moyen d'un processus concurrentiel. 
En conclusion, j'aimerais vous rappeler que la politique de défense exige que l'Aviation royale du Canada exécute simultanément un large éventail de missions pour le Canada.
Cet investissement important dans l'ARC procurera la souplesse nécessaire pour permettre aux Forces armées canadiennes d'opérer dans tout l'éventail des conflits, d'assurer l'interopérabilité avec les alliés du Canada et de conserver un avantage opérationnel par rapport aux menaces actuelles et pour plusieurs décennies à venir.
Je vous remercie d'être venus aujourd'hui, mais avant de quitter la scène, je voudrais vous présenter M. Stephan Kummel, Directeur général de la capacité de combat et le Lcol Jean-Marc Brzezinski, Directeur du projet de capacité de combat futur. Le Lcol Brzezinski est un pilote de chasse expérimenté qui fournira plus de détails sur l'environnement dans lequel notre futur chasseur évoluera et sur les capacités qui seront recherchées par l'ARC.
Lcol Brzezinski, la parole est à vous.

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