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Le JSF menacé au Canada !!!!


glevass
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Le problème ce n'est pas l'avion par lui même, le problème c'est surtout qu'il est en développement et non pas opérationnel de suite. L'avion qu'il faut ppour le Canada est le F-15 silent eagle.

En fait, le Canada voulait des avions F-35 pour 2016-2017 et, vu le retard, ce ne sera pas avant 2020 (quelque chose dans le genre).

Maintenant, ils réfléchissent à "upgrader" les vieux CF-18 dont certains ont pas loin de 40 ans et mixer vieux et nouveaux appareils quand ils arriveront...

http://www.theglobeandmail.com/news/politics/ottawa-rewrites-fighter-jet-plan-with-upgrades-to-extend-cf-18-lifespan/article9293289/

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Je me dis parfois que certains politiciens achèteraient des Jaguars en pensant que ce sont des 2000-9 upgradés...

  Ah ben, si par exemple en France l'état est un assez gros consommateur de fonctionnaires sortant des mines et polytechnique ect ce n'est pas pour rien, et j'imagine qu'il en est de même dans la plupart des états des pays du G20 ... Les politiques sont absolument incapables de prendre une décision et sont a ce sujet au ras les paquerettes parfois et même souvent encore + que nombre de commun des mortels du grand public en ignorance dans le domaine

  Ceci dit ils sont sensés être suffisamment bien accompagnés dans les ministères pour qu'au final derrière une décision : il y a des fonctionnaires qui savent de quoi ils causent ...

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The Commons: Think of the F-35 as a Senate with wings

by Aaron Wherry on Thursday, March 7, 2013 5:35pm - 23 Comments

VIEW IN CLEAN READING MODE »WHAT IS THIS ? 

Perhaps the F-35 is best understood as a Senate with wings. Or perhaps the Senate is the F-35 that we mistakenly assigned to guard our democracy.

Either way, they are both now easy jokes.

“Mr. Speaker, yet another report from the United States is raising disturbing questions about the F-35,” Thomas Mulcair reported at the outset this afternoon. “Serious problems have been identified with the aircraft’s radar, helmet and cockpit design. Pilots report that the plane is actually incapable of flying through clouds.”

The New Democrats laughed.

“Who knew that this was one of the requirements,” Mr. Mulcair quipped.

The New Democrats laughed again.

“Worse yet, the former head of the U.S. Navy is now suggesting that the F-35A, the model Conservatives plan to buy, should be scrapped entirely,” the NDP leader concluded. “Will the Prime Minister give a straightforward answer? Will he admit that he has made a mistake and agree to full, open and honest competition to replace the CF-18, yes or no?”

The Prime Minister would do no such thing.

“Mr. Speaker,” Mr. Harper declared, “the government has been very clear.”

Indeed. Mr. Harper’s government has been very clear. And not just once on this file, but twice.

In the beginning, it was very much clear that the F-35 very much needed to be purchased or this country was very much doomed. “This is the option that was selected some time ago, because it is the only option available,” the Prime Minister said almost exactly two years ago. “This is the only fighter available that serves the purposes that our air force needs.”

So maybe Mr. Harper was thinking then that our air force doesn’t need to fly through clouds. But since the auditor general’s report of a year ago, the government has been very clear again: this time that it’s actually not sure what kind of plane it wants.

“In response to the Auditor General’s report, we have laid out a process for the procurement of the next generation of Canadian fighter and that obviously involves looking at all the options and also making sure that we receive a full range of independent advice,” the Prime Minister explained this afternoon. “The most important thing for us is that when the CF-18s reach the end of their life expectancy, that there be aircraft there for our men and women in uniform.”

The New Democrats, alas, were not quite ready to let this go. Later it was Christine Moore who stood to recall that the Defence Minister had once proclaimed the F-35 to the best plane for this country. In his seat, Peter MacKay, no longer the minister to stand and take these questions, nodded along and shared a few thoughts with his seatmates.

According to that Pentagon report, Ms. Moore reported, the F-35 was no good in temperatures under 15 degrees and pilots should avoid clouds even in good weather. It was Rona Ambrose’s duty to fend this off.

“Mr. Speaker,” she said, “my understanding yesterday was that the opposition wanted us to just ban one particular aircraft and that is not what we are going to do.”

Indeed. Who would think of so rashly limiting the procurement of a new fighter jet?

“We have embarked on a full options analysis before the purchase or any decision to replace the CF-18s,” Ms. Ambrose explained. “We are using the expert advice of a panel that is looking at every option available to replace the CF-18, and we will be guided by its advice.”

There is apparently no option, but to consider all options.

“Mr. Speaker, the Conservatives committed to buying the F-35 multiple times,” Matthew Kellway corrected. “They told us it is on the right track multiple times. According to the Pentagon, the F-35 needs a heated hanger in Florida, it cannot fly at night, and the pilots stay out of the clouds.”

The New Democrats laughed along as Mr. Kellway went.

“They got the headrest wrong,” he lamented. “How can the Conservatives claim to have a legitimate procurement process when they are pitting real fighter jets against paper planes?”

Ms. Ambrose was once more unimpressed. “Mr. Speaker,” she explained, “unlike the opposition we will be guided by an independent process that is in place.”

The official opposition chuckled once more.

Perhaps this is all a bit unfair to the F-35. It is still early yet. Perhaps, like the Senate, the F-35 is not being treated with due respect. Maybe it just needs to be reformed. But then at least we can say that the Senate might periodically save us from an errant clause. As yet, we can’t know whether the F-35 will ever be able to save us from the Russians.

Tags: Christine Moore, F-35, House Of Commons, Maclean's Politics, Matthew Kellway, Parliament, Question Period, Rona Ambrose, Stephen Harper, The Commons, Thomas Mulcair

http://www2.macleans.ca/2013/03/07/the-commons-think-of-the-f-35-as-a-senate-with-wings/

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A vos stylos claviers

Caractérisation des menaces

La période de 2020-2030 se caractérise par la prolifération des technologies menaçantes actuelles ainsi que les mises à niveau numériques et l'intégration accrue de systèmes, notamment :

   Chasseur comme le SU-27 armé d'un mélange d'armes comme le AA-12 et le AA-11.

   Bombardier comme le Tu-160 qui emploie des missiles de croisière guidés à basse altitude qui volent à des vitesses inférieures ou légèrement supérieures à celle du son.

   Avions civils qui comprennent les avions de ligne et les avions civils à basse altitude/lents.

   Artillerie antiaérienne (AAA) systèmes terrestres ou embarqués, comme le ZSU-23/4.

   Missile sol-air (MSA) systèmes terrestres ou embarqués, comme le SA-15 ou le SA-20.

   Systèmes portatifs de défense antiaérienne (SPDAA), comme le SA-18.

   Radars de détection lointaine, comme le Spoon Rest numérique ou la détection lointaine et le contrôle aérien par moyens aéroportés intégrés à un réseau de défense.

La période 2030 et plus est caractérisée par la prolifération de technologies émergentes, notamment :

   Chasseur comme le PAK-FA armé d'un mélange d'armes avancées à arc de tir élargi à spectres multiples.

   Bombardier, comme les bombardiers stratégiques de prochaine génération dotés d'une surface équivalente radar (SER) réduite et employant des missiles de croisière guidés supersoniques, à faible SER.

   Artillerie antiaérienne (AAA) systèmes terrestres ou embarqués, comme les versions améliorées du 2K22 ou du SA-19.

   Missile sol-air (MSA) systèmes terrestres ou embarqués, comme le SA-22 ou le SA-20 amélioré.

   Systèmes portatifs de défense antiaérienne (SPDAA) comme le SA-24.

   Radars de détection lointaine comme l'intégration d'un système radar d'alerte à éléments en phase à un réseau de défense.

Capacités

Pour toutes les questions suivantes, veuillez décrire la capacité de votre système d'armement pour les deux périodes définies à la section A de la DEI (à la rubrique « Calendrier ») et en présence des menaces indicatives incluses dans ces périodes. Les capacités doivent se limiter à votre configuration essentielle de mission décrite ci-dessus.

Pour les questions suivantes, on encourage les répondants à fournir toute information sur les capacités pouvant contribuer à la mesure du rendement décrite à la section A. Si des renseignements supplémentaires sont fournis, les répondants doivent indiquer quelle mesure de l'efficacité peut être touchée et comment les capacités supplémentaires permettent à l'aéronef de contribuer aux missions s'inscrivant dans le cadre de la SDCD.

Nous vous demandons également d'indiquer si le rendement prévu de votre aéronef est fondé sur des vols d'essai, des simulateurs ou des déploiements passés.

1. Capacités des capteurs à FR Décrivez les capacités des capteurs à FR selon la configuration essentielle de mission et indiquez comment elles répondent aux critères d'efficacité énoncés dans la section A. Veuillez inclure des paramètres pour corroborer la description de la capacité. Veuillez également répondre aux questions suivantes :

    Quel est le principal capteur à FR de bord?

    Quelle est la portée approximative de détection radar (détection vers le haut, 5 degrés; détection vers le bas, 10 degrés, avec arrière-plan de neige et de glace arctique) pour un objectif de 0,1 m², 1 m², 5 m² et 10 m²?

    Quelle est la plage de fréquences d'utilisation du radar?

    Décrivez la couverture en azimut et l'angle d'élévation.

    Décrivez les méthodes d'identification de cibles coopérantes et non coopérantes.

2. Capacités des capteurs à EO/IR Décrivez les capacités des capteurs électro-optiques (EO) ou à infrarouge (IR) de l'aéronef selon la configuration essentielle de mission et indiquez comment elles répondent aux critères d'efficacité énoncés dans la section A. Veuillez inclure des paramètres pour corroborer la description de la capacité (y compris, mais sans s'y limiter, la couverture spectrale, les probabilités de détection et la résolution). Veuillez également répondre aux questions suivantes :

    Quelle est la portée approximative de détection IR/EO d'un SU-27 Flanker-B au cours d'une poussée sèche à puissance militaire (puissance MIL), en orientation frontale, et la détection vers le bas avec arrière-plan de neige et de glace arctique (sans nuages)?

    Quelle est la portée approximative de détection IR/EO d'un objectif de la taille d'un missile de croisière (semblable à celle des AS-15), en orientation frontale, et la détection vers le bas avec arrière-plan de neige et de glace arctique (sans nuages)?

    Quelle est la couverture spectrale du capteur à EO/IR?

3. Capacités des armes cinétiques Décrivez les capacités des armes de lutte air-air, air-sol et air-surface destinées à une utilisation opérationnelle dans l'aéronef et indiquez comment ces capacités répondent aux critères d'efficacité énoncés à la section A. Veuillez inclure des paramètres pour corroborer la description de la capacité. Veuillez également répondre aux questions suivantes :

    Quel est le chargement typique de mission air-air, incluant les réservoirs de carburant externes et les capteurs?

    Quel est le chargement typique de mission air-sol, incluant les réservoirs de carburant externes et les capteurs?

    Quel est le chargement typique de lutte antinavire, incluant les réservoirs de carburant externes et les capteurs?

4. Capacités des armes non cinétiques Décrivez les capacités des armes non cinétiques (p. ex. attaque électronique), à l'exclusion des mesures de protection électronique actives, destinées à une utilisation opérationnelle dans l'aéronef et indiquez comment ces capacités répondent aux critères d'efficacité énoncés à la section A. Veuillez inclure des paramètres pour corroborer la description de la capacité (y compris, mais sans s'y limiter, la puissance de sortie, les fréquences couvertes et les effets des armes, etc.).

5. Capacités de l'autoprotection à FR Décrivez les capacités d'autoprotection à FR de l'aéronef selon la configuration essentielle de mission et indiquez comment ces capacités répondent aux critères d'efficacité énoncés dans la section A. Veuillez inclure des paramètres pour corroborer la description de la capacité. Veuillez également répondre aux questions suivantes :

    Quels sont les systèmes d'autoprotection à FR (actifs et passifs) utilisés par l'aéronef?

    Décrivez les capacités de protection électronique du radar.

    Est-ce que les brouilleurs sont incorporés à l'intérieur ou transportés à l'extérieur?

    Quelles sont la puissance de sortie et les fréquences couvertes?

6. Capacités d'autoprotection à IR Décrivez les capacités d'autoprotection à IR de l'aéronef selon la configuration essentielle de mission et indiquez comment ces capacités répondent aux critères d'efficacité énoncés dans la section A. Veuillez inclure des paramètres pour corroborer la description de la capacité (y compris, mais sans s'y limiter, la puissance de sortie, les sensibilités, les fréquences couvertes et les effets protecteurs, etc.).

7. Capacités de contre-mesures d'autoprotection déployables Décrivez les capacités des contre-mesures d'autoprotection de l'aéronef selon la configuration essentielle de mission, comme des paillettes, des fusées éclairantes et des leurres remorqués et indiquez comment ces capacités répondent aux critères d'efficacité énoncés dans la section A. Veuillez inclure des paramètres pour corroborer la description de la capacité. Veuillez également répondre aux questions suivantes :

    Quels sont les types de contre-mesures utilisés par l'aéronef, et en quel nombre?

    Quelles sont les fréquences couvertes et la puissance de sortie, le cas échéant?

8. Capacités de la liaison de données Décrivez les capacités de la liaison de données de l'aéronef selon la configuration essentielle de mission et indiquez comment ces capacités répondent aux critères d'efficacité énoncés dans la section A. Veuillez inclure des paramètres pour corroborer la description de la capacité (y compris, mais sans s'y limiter, les fréquences, les larges bandes de données/vidéo, les plages de réception/transmission, la puissance de sortie et la vivacité de fréquence). Veuillez également répondre aux questions suivantes :

    Quelle est la liaison de données utilisée par l'aéronef?

    Quelle est sa compatibilité avec d'autres liaisons de données existantes?

    Quelle est la portée utile/d'émission?

    Est-ce que les transmissions sont sécurisées/chiffrées?

    Est-ce que la liaison de données est constituée d'une forme d'onde à faible probabilité d'interception/détection?

9. Capacités de communication vocale Décrivez les capacités de communication vocale de l'aéronef selon la configuration essentielle de mission et indiquez comment ces capacités répondent aux critères d'efficacité énoncés dans la section A. Veuillez inclure des paramètres pour corroborer la description de la capacité (y compris, mais sans s'y limiter, les fréquences, les bandes radio, les plages de réception/transmission, la puissance de sortie, la vivacité de fréquence et le chiffrage/déchiffrage). Veuillez également répondre à la question suivante :

    Est-ce que les communications utilisées par l'aéronef sont à propagation indirecte? Si oui, quelle est la méthode employée?

10. Capacités de l'interface véhicule-pilote Décrivez les capacités de l'interface véhicule-pilote de l'aéronef selon la configuration essentielle de mission et indiquez comment ces capacités répondent aux critères d'efficacité énoncés dans la section A. Veuillez inclure des paramètres pour corroborer la description de la capacité (y compris, mais sans s'y limiter, la taille et le type d'affichage, les fonctions mains sur manche et manette [HOTAS], les commandes vocales, le système de repérage mixte monté sur casque et les dispositifs/capacités de vision nocturne).

11. Capacités d'interconnexion des capteurs Décrivez les capacités d'interconnexion des capteurs de l'aéronef selon la configuration essentielle de mission et indiquez comment ces capacités répondent aux critères d'efficacité énoncés dans la section A. Veuillez inclure des paramètres pour corroborer la description de la capacité (y compris, mais sans s'y limiter, des parties de capteurs, l'intégration de l'affichage, la résolution de données, le processus d'interconnexion et l'automatisation du cycle d'utilisation, etc.).

12. Signature FR de l'aéronef Décrivez les signatures FR de l'aéronef selon la configuration essentielle de mission et indiquez comment ces signatures répondent aux critères d'efficacité énoncés dans la section A. Veuillez inclure des paramètres pour corroborer la description de la capacité de l'aéronef selon la configuration essentielle de mission (y compris, mais sans s'y limiter, les mesures radar transversales avec orientation à 0 degrés, 90 degrés et 180 degrés, dans les bandes de fréquence 1 à 2 GHz, 4 GHz, 8 à 12 GHz et 12 à 14 GHz).

13. Signature IR et visuelle de l'aéronef Décrivez les signatures IR de l'aéronef selon la configuration essentielle de mission et indiquez comment ces signatures répondent aux critères d'efficacité énoncés dans la section A. Veuillez inclure les paramètres selon la configuration essentielle de mission pour corroborer la description de la capacité (y compris, mais sans s'y limiter, les mesures visuelles avec orientation à 0 degrés, 90 degrés et 180 degrés, en poussée sèche [puissance MIL], et les mesures IR/visuelles avec orientation à 0 degrés, 90 degrés et 180 degrés en postcombustion [régime maximal], etc.).

14. Contrôle des émissions Décrivez de quelle manière les fonctions de contrôle des émissions (spectre électromagnétique) de l'aéronef selon la configuration essentielle de mission favorisent l'exécution secrète d'une mission (l'aspect secret devant être interprété comme « discret », ou « camouflé »). Veuillez répondre aux questions suivantes :

    Comment l'aéronef fait-il pour masquer ses émissions électromagnétiques ou autres émissions environnementales?

    Comment l'aéronef fait-il pour réduire ses émissions électromagnétiques ou autres émissions environnementales de façon à diminuer sa détectabilité par les unités adverses?

    Dans quelle mesure et à quels régimes de vol l'aéronef est-il en mesure de réduire ses émissions électromagnétiques ou autres émissions environnementales?

    Quel est l'effet de cette réduction ou ce masquage sur la charge utile des systèmes de l'aéronef et l'efficacité opérationnelle?

15. Capacité du moteur et de la cellule de l'aéronef Décrivez les capacités du moteur et de la cellule de l'aéronef configuré pour les missions et indiquez comment ces capacités répondent aux critères d'efficacité énoncés dans la section A. Veuillez fournir des diagrammes énergie-manœuvrabilité pour les altitudes de 10 000, 20 000 et 30 000 pieds au-dessus du niveau moyen de la mer (NMM), selon la configuration essentielle de mission, avec 50 % du carburant. Veuillez inclure des paramètres pour corroborer la description de la capacité (y compris, mais sans s'y limiter, sensation de la vitesse maximale à 30 000 pieds au-dessus du niveau moyen de la mer [NMM/ISA], poussée en poussée sèche [puissance MIL], poussée en postcombustion [régime maximal], limites de l'angle d'attaque et force G maximale). Veuillez également répondre aux questions suivantes :

    Quel est le rapport masse/poussée de l'aéronef dans les configurations suivantes?

        masse au décollage selon la configuration essentielle de mission air-air décrite ci-dessus;

        au cours d'une mission air-air type, avec 50 % du carburant et sans armes restantes (mâts installés, si nécessaires à la mission);

        masse au décollage selon la configuration essentielle de mission air-sol décrite ci-dessus;

        au cours d'une mission air-air type, avec 50 % du carburant et sans armes restantes (mâts installés, si nécessaires à la mission);

        distance de décollage et d'atterrissage;

        taux de virage, résistance à la force G;

        vitesse de passage de la vitesse subsonique à la vitesse supersonique.

    Quelle est la charge alaire de l'aéronef dans les configurations suivantes?

        masse au décollage selon la configuration essentielle de mission air-air décrite ci-dessus;

        au cours d'une mission air-air type, avec 50 % du carburant et sans armes restantes (mâts installés, si nécessaires à la mission);

        masse au décollage selon la configuration essentielle de mission air-sol décrite ci-dessus;

        au cours d'une mission air-sol type, avec 50 % du carburant et sans armes restantes (mâts installés, si nécessaires à la mission).

    Quelle est la cadence de virage instantané et continu de l'aéronef à 10 000 pieds, 15 000 pieds, et à 30 000 pieds au NMM dans les configurations suivantes?

        masse au décollage selon la configuration essentielle de mission air-air décrite ci-dessus;

        au cours d'une mission air-air type, avec 50 % du carburant et des armes (mâts installés, si nécessaires à la mission);

        masse au décollage selon la configuration essentielle de mission air-sol décrite ci-dessus;

        au cours d'une mission air-sol type, avec 50 % du carburant et des armes (mâts installés, si nécessaires à la mission).

    Quel est le temps d'accélération de l'aéronef de Mach 0,90 à Mach 1,1 à 30 000 pieds d'altitude, avec les configurations et niveaux suivants :

        au cours d'une mission air-air avec 50 % du carburant et des missiles air-air;

        au cours d'une mission air-sol type, avec 50 % du carburant et aucune arme (mâts installés, si nécessaires à la mission).

    Quelle est la distance de roulement au décollage pour l'aéronef visé par la configuration essentielle de mission, avec les paramètres suivants : piste dégagée et sèche, 0 pi du NMM, 15 °C, pas de vent :

        configuration essentielle de mission air-air;

        configuration essentielle de mission air-sol;

        configuration essentielle de mission air-surface.

    Quelle est la distance d'atterrissage requise (du toucher de la roue principale à l'arrêt, sans réduire le temps de rotation au sol des aéronefs – pas de surchauffe des freins) pour l'aéronef visé par la configuration essentielle de mission, avec les paramètres suivants : piste dégagée et sèche, 0 pied du NMM, 15 °C, pas de vent, pas d'utilisation de l'infrastructure du terrain d'aviation (câbles ou barrières), atterrissage après décollage. En cas d'incapacité d'atterrissage avec le poids au décollage, indiquez le poids d'atterrissage maximum permis, avec restrictions :

        configuration essentielle de mission air-air;

        configuration essentielle de mission air-sol;

        configuration essentielle de mission air-surface.

16. Rayon d'action de combat, distance franchissable et endurance de l'aéronef Décrivez le rayon d'action de combat, la distance franchissable et l'endurance de l'aéronef non ravitaillé visé par la configuration essentielle de mission et indiquez comment ces capacités répondent aux critères d'efficacité énoncés dans la section A. Veuillez inclure des paramètres pour corroborer la description de la capacité (y compris, mais sans s'y limiter, le débit carburant à puissance MIL, le débit carburant au régime maximal et la vitesse d'endurance à 30 000 pieds NMM). Veuillez également répondre aux questions suivantes :

    Quel est le rayon d'action maximum selon la configuration essentielle de mission air-air pour le profil de mission suivant :

        Prise de force maximale (à 0 pi du NMM) et montée à 30 000 pieds du NMM et stabilisation;

        Parcours d'une distance de 100 NM par rapport à l'aéroport à une vitesse de croisière économique;

        Augmentation de la vitesse anémométrique jusqu'à Mach 0,85 et maintien pendant XXX NM (à remplir par le répondant);

        Accélération à Mach 1,2 pendant 100 NM (en ligne droite depuis l'aéroport);

        Réduction de la vitesse anémométrique jusqu'à Mach 0,85 et retour à l'aéroport (les réservoirs de carburant externes sont conservés, le cas échéant);

        Au point de descente optimal, descendre et exécuter une approche de ravitaillement en vol en cas de panne de réservoir.

    Quel est le rayon d'action maximum selon la configuration essentielle de mission air-sol pour le profil de mission suivant :

        Prise de force maximale (à 0 pi du NMM) et montée à 30 000 pieds;

        Augmentation de la vitesse anémométrique jusqu'à Mach 0,85 et maintien pendant XXX NM (à remplir par le répondant);

        Accélération à Mach 1,2 pendant 100 NM;

        Réduction de la vitesse anémométrique jusqu'à Mach 0,85 et retour à l'aéroport (les réservoirs de carburant externes sont conservés, le cas échéant);

        Au point de descente optimal, descendre et exécuter une approche de ravitaillement en vol en cas de panne de réservoir.

    Quel est le rayon d'action maximum selon la configuration essentielle de mission de lutte antinavire pour le profil de mission suivant :

        Prise de force maximale (à 0 pi du NMM) et montée à 30 000 pieds;

        Augmentation de la vitesse anémométrique jusqu'à Mach 0,85 et maintien pendant XXX NM (à remplir par le répondant);

        Accélération à Mach 1,2 pendant 100 NM;

        Réduction de la vitesse anémométrique jusqu'à Mach 0,85 et retour à l'aéroport (les réservoirs de carburant externes sont conservés, le cas échéant);

        Au point de descente optimal, descendre et exécuter une approche de ravitaillement en vol en cas de panne de réservoir.

    Quelle est la distance franchissable maximale selon la configuration essentielle de mission air-air pour le profil de mission suivant :

        Prise de force maximale (à 0 pi du NMM) et profil de montée optimal jusqu'à altitude de croisière optimale;

        Croisière pendant XXX NM  (à remplir par le répondant) à la plage de vitesse maximale;

        Au point de descente optimal, descendre et exécuter une approche de ravitaillement en vol en cas de panne de réservoir.

    Quelle est la distance franchissable maximale selon la configuration essentielle de mission air-sol pour le profil de mission suivant :

        Prise de force maximale (à 0 pi du NMM) et profil de montée optimal jusqu'à altitude de croisière optimale;

        Une fois à 100 NM du terrain d'aviation, augmenter la vitesse tactique à Mach 0,85;

        Maintenir à Mach 0,85 pendant XXX NM (à remplir par le répondant);

        Revenir au terrain d'aviation de départ à Mach 0,85 jusqu'au point de descente optimal;

        Exécuter une approche de ravitaillement en vol en cas de panne de réservoir.

    Quelle est la distance franchissable maximale selon la configuration essentielle de mission de lutte antinavire pour le profil de mission suivant :

        Prise de force maximale (à 0 pi du NMM) et profil de montée optimal jusqu'à altitude de croisière optimale;

        Une fois à 100 NM du terrain d'aviation, augmenter la vitesse tactique à Mach 0,85;

        Maintenir à Mach 0,85 pendant XXX NM (à remplir par le répondant);

        Revenir au terrain d'aviation de départ à Mach 0,85 jusqu'au point de descente optimal;

        Exécuter une approche de ravitaillement en vol en cas de panne de réservoir.

    Quelle est l'endurance maximale de l'aéronef selon la configuration essentielle de mission air-air pour le profil de mission suivant :

        Prise de force maximale (à 0 pi du NMM) et montée à 30 000 pieds;

        Parcours d'une distance de 100 NM par rapport au terrain d'aviation à une vitesse de croisière économique;

        Maintient de Mach 0,85 en exécutant une manœuvre d'orbite de patrouille aérienne de combat pendant XX minutes (à remplir par le répondant);

        Revenir au terrain d'aviation de départ à vitesse de croisière économique jusqu'au point de descente optimal;

        Exécuter une approche de ravitaillement en vol en cas de panne de réservoir.

    Quelle est l'endurance maximale de l'aéronef selon la configuration essentielle de mission air-sol pour le profil de mission suivant :

        Prise de force maximale (à 0 pi du NMM) et montée à 30 000 pieds;

        Parcours d'une distance de 100 NM par rapport au terrain d'aviation à une vitesse de croisière économique;

        Maintien de Mach 0,85 en exécutant une manœuvre d'orbite de patrouille aérienne de combat pendant XX minutes (à remplir par le répondant);

        Revenir au terrain d'aviation de départ à vitesse de croisière économique jusqu'au point de descente optimal;

        Exécuter une approche de ravitaillement en vol en cas de panne de réservoir.

    Quelle est la distance franchissable maximale selon la configuration essentielle de mission de lutte antinavire pour le profil de mission suivant :

        Prise de force maximale (à 0 pi du NMM) et montée à 30 000 pieds;

        Parcours d'une distance de 100 NM par rapport au terrain d'aviation à une vitesse de croisière économique;

        Maintient de Mach 0,85 en exécutant une manœuvre d'orbite de patrouille aérienne de combat pendant XX minutes (à remplir par le répondant);

        Revenir au terrain d'aviation de départ à vitesse de croisière économique jusqu'au point de descente optimal;

        Exécuter une approche de ravitaillement en vol en cas de panne de réservoir.

17. Veuillez fournir une description de toute autre capacité qui ferait partie de votre système d'armement configuré pour les missions et qui, à votre avis, répondrait aux critères d'efficacité globaux de la mission.

18. Veuillez fournir une description détaillée, y compris les mesures, s'il y a lieu, des caractéristiques de sécurité de l'aéronef ou de ses capacités qui favorisent la réussite des missions, comme les systèmes anticollision au sol, etc.

http://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/app-acq/stamgp-lamsmp/questevalfin-finquesteval-fra.html
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Avant de s'enflammer il convient de noter le point suivant :

4.0 Remarque à l'intention de l'industrie

Aux fins de la réalisation des travaux découlant de la DEI, il n'y aura pas d'établissement de liste de soumissionnaires admissibles ni de sélection préalable des fournisseurs. La DEI n'est ni un appel d'offres ni une demande de propositions (DP). Aucun accord ni contrat fondé sur la présente DEI ne sera conclu avec une personne ou une entité. L'émission de la DEI ne constitue nullement un engagement de la part du gouvernement du Canada ou elle n'autorise aucunement les répondants à entreprendre des travaux dont le coût pourrait être réclamé au Canada. À l'heure actuelle, le gouvernement du Canada ne s'est pas engagé dans un processus ou une stratégie d'approvisionnement particulier. La stratégie d'approvisionnement sera mise au point après l'achèvement du Plan à sept volets du gouvernement.

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xav et zx, merci pour ces liens.C'est la première fois que je lis ce qui ressemble a un appel d'offre pour des avions de combat.

A première vue on dirait un formulaire exemplaire de transparence et de neutralité ,une preuve que le Canada relance vraiment son processus d'achat . Mais certains points me chiffonnent un peu.

L'absence de prix, tout d'abord . Je sais que ça a l'air normal mais aucune mention au prix,ni même de cout de vol n'est demandé.

Le fait que la date de clôture des demandes n’empêche pas d'accepter d'autres réponses

Les réponses à la DEI seront acceptées en tout temps jusqu'au 15 avril 2013. Le SNAC se réserve le droit d'accepter des réponses tardives, à sa seule discrétion.

L'importance donnée a l'interopérabilité au sein du norad et a l'otan . Le fait de créer la demande avec un scénario 2020 et un scénario 2030 dur a imaginer avec précision aujourd’hui .La demande d'infos sur l’état actuel de la chaine de commande et les prévisions entre 2017 et 2030. La faible distinction entre données réelles et prévues .

L'importance quasi nulle de possibles restrictions a l'usage de l'avion (juste la question 25 sur l’existence de telles restrictions).

C'est moi ou on dirait que le F35 est légèrement avantagé ?

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C'est beaucoup trop tôt pour le savoir, pour l'instant, Dassault a dégainé son épée et jette le gant à son adversaire, le F35 en lui disant amène toi.  :lol:  

après l'étude du cahier des charges du Canada et les évaluations techniques, le prix et les offsets arriveront derrière, y en a pour un moment, 3 ou 5 ans au moins.

si ils font ca à la suisse,  pour l'Inde ca avait commencé en 2006.

Cela va être marrant à suivre, même si un avion US a de bonnes chances de l'emporter, j'imagine mal qu'il en soit autrement vu le poids de l'influence américaine sur le Canada.

On saura si le raffy aime les grands froids et comment le F35 s'en sort sur cet appel d'offre.

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C'est vrai que le processus ne fait que commencer alors même que ce topic a plusieurs années d'existence . En 2009 le premier message disait que la décision du Canada devrait être prise en 2014. Le délai est tenable ou pas ?

En tout cas bonne chance a Dassault pour ce nouveau marché .

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2014 ? il y a peu de chance que cela se fasse sauf si il y a une décision politique, vu que l'appel d'offre a été lancée en début d'année, il faut bien un minimum de 3 ans pour la procédure et cela peut durer très longtemps. on va pas s'ennuyer.

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20130104trib000740685/defense-le-canada-pres-de-lancer-un-appel-d-offre-pour-remplacer-ses-avions-de-combat.html

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Concernant la vente des missiles de croisières SCALP, ce serra en effet impossible vu qu'il s'agit d'une arme de plus de 250 km de portée.

Pourquoi?

Le traité de non-prolifération des missiles de croisière n' interdit la vente de missiles avec une portée de plus de 250km qu'à ds pays ne disposant pas de la base technologique pour en développer eux-mêmes.

Bref, c'est un non-argument pour les ventes entre pays dits "développés".

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  • 2 weeks later...

http://www.flightglobal.com/blogs/the-dewline/2013/03/canadas-f-35-procurement-saga.html

I would assume the test pilot was comparing close combat performance based on the upgraded F/A-18 engines (EPEs), which produce about 20% more thrust than the CF-18's engines (non-EPE). If so, performing like a clean legacy Hornet puts it in an elite class of fighter, with very good performance. How important this is depends again on the role and the requirements. Some contenders like the Rafale and the Typhoon may have better performance when clean, but they degrade when loaded up with external stores (more drag and weight). Super Hornets are bigger and heavier than legacy Hornets, but some engine upgrades may allow them to perform nearly as well (again, when not loaded with external stores).

There is always a debate about how important this close-in turning performance is. With advanced data links and good teamwork, it becomes less critical, because identification of threats and targeting can be done well before close-in performance becomes necessary. Weapons also make a difference. A good sensor/weapon combination can make turning less important, since it can be launched many degrees off boresight. Imagine, in the fantasy world of James Bond, the ability to launch a weapon at a threat in the rear quarter; turning would become far less important in that theoretical case! Helmet-mounted sights and AESA, paired with other types of sensor, can make a fighter able to launch at threats well off the nose.

Image IPB

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  • 3 weeks later...

L’industrie doit fournir des renseignements sur les coûts et orienter le processus d’évaluation des options

GATINEAU (Québec), le 16 avril 2013 – Le Secrétariat national d’approvisionnement en chasseurs fait appel à l’industrie en lui distribuant l’ébauche du questionnaire en vue de recueillir des renseignements sur les coûts des chasseurs disponibles. Il s’agit d’un élément clé de l’évaluation des options pour le remplacement de la flotte des CF-18 du Canada.

Les cinq entreprises qui offrent ce type d’aéronef doivent fournir des commentaires sur la forme et le contenu de l’ébauche du deuxième questionnaire, qui vise à obtenir un aperçu des estimations de coûts. Une fois les commentaires des entreprises examinés et intégrés au questionnaire, la version définitive sera envoyée aux entreprises qui devront cette fois-ci remplir le document. Cette méthode a d’ailleurs été utilisée pour le premier questionnaire sur les capacités techniques des chasseurs disponibles. Un troisième questionnaire portant sur les retombées industrielles sera remis plus tard dans le processus. La mobilisation de l’industrie est conforme à l’engagement du Secrétariat en matière de transparence et d’ouverture; elle est aussi essentielle à l’évaluation complète des options.

L’élaboration du questionnaire a été faite sous la surveillance et les conseils du panel d’examinateurs indépendants, qui s’assure que tous les travaux d’évaluation des options se déroulent de façon rigoureuse et impartiale; il veille également à ce que les résultats dévoilés au public soient complets et faciles à comprendre.

L’évaluation des options pour le remplacement de la flotte de CF-18 du Canada fait partie du Plan à sept volets du gouvernement Harper, qui a été lancé à la suite du chapitre 2, Le remplacement des avions de combat du Canada, du rapport du printemps 2012 du vérificateur général. Le Plan a été établi afin d’aider le gouvernement à prendre la meilleure décision qui soit pour remplacer la flotte de chasseurs CF-18 du Canada. Le gouvernement ne prendra aucune décision à cet égard avant d’avoir terminé toutes les étapes prévues dans le Plan à sept volets.

Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Web du Secrétariat national d’approvisionnement en chasseurs : http://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/app-acq/stamgp-lamsmp/snac-nfps-fra.html.

http://nouvelles.gc.ca/web/article-fra.do?mthd=tp&crtr.page=1&nid=732959&crtr.tp1D=1
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  • 2 weeks later...

http://www.cbc.ca/news/politics/story/2012/09/10/avro-arrow-revival-plan.html

Ottawa accused of axing Avro Arrow revival too soon

Retired major-general Lewis MacKenzie argues jet's comeback is viable alternative to F-35

Je ne suis pas un partisan du programme F-35. MacKenzie dit vrais au sujet de l'éternité que prend le délais de livraison des appareils. Cependant, le canada n'a aucune motivation pour le développement d'un appareil de conception national et se bornera toujours au modèle US pour les conservateurs et UK pour les libéraux.

L'entropie de l'appareil d'état canadiens est tel que l’innovation (militaire entre-autre) est chose du passé.

Les gens à la tête des structures d'états canadiens préfèrent adopter des modèles existants mêmes si non adapter au besoin locaux plutôt que de se forcer à innover.

Malheureusement, ''l'expert'' du gouvernement dans cet article s'empresse à discréditer le général retraité ce qui est malheureux car l'avis vaut la peine d'être entendu. Prendre en compte un avis contraire, nécessite de remettre en question. Cela n'a pas sa place dans le canada nouveau.

Cela est triste, car (entre-autre dans le domaine militaire) le canada prenait une place de plus en plus importante tout en conservant une aproche des plus honorables dans la communauté internationale.

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http://www.cbc.ca/news/politics/story/2012/09/10/avro-arrow-revival-plan.html

Je ne suis pas un partisan du programme F-35. MacKenzie dit vrais au sujet de l'éternité que prend le délais de livraison des appareils. Cependant, le canada n'a aucune motivation pour le développement d'un appareil de conception national et se bornera toujours au modèle US pour les conservateurs et UK pour les libéraux.

L'entropie de l'appareil d'état canadiens est tel que l’innovation (militaire entre-autre) est chose du passé.

Les gens à la tête des structures d'états canadiens préfèrent adopter des modèles existants mêmes si non adapter au besoin locaux plutôt que de se forcer à innover.

Malheureusement, ''l'expert'' du gouvernement dans cet article s'empresse à discréditer le général retraité ce qui est malheureux car l'avis vaut la peine d'être entendu. Prendre en compte un avis contraire, nécessite de remettre en question. Cela n'a pas sa place dans le canada nouveau.

Cela est triste, car (entre-autre dans le domaine militaire) le canada prenait une place de plus en plus importante tout en conservant une aproche des plus honorables dans la communauté internationale.

le problème au Canada c'est qu'ils sont 30 millions et c'est un pays énorme ou il y a tout a faire et ils ne peuvent pas se permettre un budget dingue pour leur armée. L'ontario a lui seule a un déficit de 19 milliards cette année
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http://www.cbc.ca/news/politics/story/2012/09/10/avro-arrow-revival-plan.html

Je ne suis pas un partisan du programme F-35. MacKenzie dit vrais au sujet de l'éternité que prend le délais de livraison des appareils. Cependant, le canada n'a aucune motivation pour le développement d'un appareil de conception national et se bornera toujours au modèle US pour les conservateurs et UK pour les libéraux.

L'entropie de l'appareil d'état canadiens est tel que l’innovation (militaire entre-autre) est chose du passé.

Les gens à la tête des structures d'états canadiens préfèrent adopter des modèles existants mêmes si non adapter au besoin locaux plutôt que de se forcer à innover.

Malheureusement, ''l'expert'' du gouvernement dans cet article s'empresse à discréditer le général retraité ce qui est malheureux car l'avis vaut la peine d'être entendu. Prendre en compte un avis contraire, nécessite de remettre en question. Cela n'a pas sa place dans le canada nouveau.

Cela est triste, car (entre-autre dans le domaine militaire) le canada prenait une place de plus en plus importante tout en conservant une aproche des plus honorables dans la communauté internationale.

 Innover et développer c'est bien, je pense que personne ne dira le contraire et tout pays en a besoin pour ses propres intérêts industriels et donc économique, surtout quand on a chez soit une industrie aéronautique qui assemble des avions ("Bombardier") qui est hautement impliquée dans la sous-traitance de pièces aéronautique des + grands constructeurs civils (Boeing-Airbus) et probablement aussi pour du militaire de manière + modérée (aucune idée des marques et des pièces mais il me semble bien qu'il y a pas mal d'activité de sous traitance pour divers fighters ou que sais je en pièces) et aussi dans le domaine spatial : le Canada est industriellement assez impliqué autant pour la NASA, que pour l'ESA via des pièces construites chez eux

Et dernière chose, quand le passé industriel du pays dans le domaine des fighters a eut produit sous licence diverses productions américaines, qui dit qu'au final le pays a déja vu industriellement pas mal de choses dans le domaine (F4, F104 Starfighter, F5, F86 ...  https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_aircraft_of_the_Royal_Canadian_Air_Force   a lire en bas dans les "retired aircrafts" ou l'on constate une certaine activité de production sous licence par le passé)

 Certes quand on a tout cela on ne part pas de rien ... Ce qui crédibilise la chose pour la possibilité que le Canada développe soit même son fighter et il y aurait tout intérêt ... Mais le problème étant que le Canada partirait quand même d'un retard assez "marqué" ce qui ne veut pas dire "mission impossible" pour produire et développer soit même un fighter moderne probablement pour être raisonnable un 5 ème gen  pour la furtivité mais qui aurait un niveau général de 4 ème gen dans les autres domaines  (dynamisme, manoeuvrabilité, systèmes d'armes, technicité globale, électronique et motorisation ... Probablement d'origine étrangère pour cette dernière) voir même un peu moins si ça se trouve ou alors aidé par un pays qui maitrise le 4,5 gen pour assurer la ou il y aurait des faiblesses éventuelles par manque d'expériences de développement sur les technologies accumulées par certaines puissances entre 1980 et 2000 ... Peu importe

 Ils y arriveraient sans aucun doute ... Et ça serait tout bon pour le Canada en intérêts et retombées même si le fighter n'aurait aucun projet de vente, mais beaucoup d'acquis qui permettrait au pays d'aller + loin, ou de se servir des retombées pour son propre grand constructeur national "Bombardier" pour ses futurs appareils civils voir militaires divers

 Mais il y a un problème majeur dans cette proposition, c'est le temps enfin le délai ... Pour développer un fighter et surtout quand on part du niveau ou démarrerait le Canada : C'est minimum 10 ans de boulot en études, développements, essais divers en matériaux, aérodynamique, systèmes avant d'envisager de construire un premier proto ... Et probablement 5 ans de + pour commencer a produire le zing en série, un délai de bien 15 ans minimum et peut être 20 ans a cause de la furtivité et des choses secrêtes a explorer

 Du coup la critique de cette personne sur les "délais de livraisons" des constructeurs étrangers probablement justifiée dans le fait des aléas auxquels le Canada peu déja s'attendre quelque soit l'appareil qu'il commanderait, tombe a l'eau car le délai serait probablement encore + long en développant soit même un appareil qui en vaut le coup ... (jusqu'a un délai 200% + long et même pourquoi pas 300% selon a quoi on le compare : Le délai de livraison des F35 ? Du Rafale ? Du Foufoun ? 10-5-5 ans ?)

L'autre problème c'est pour quel besoin ré-évalué ? Dans le sens que si le Canada partirait sur un plan complêtement a l'opposé de produire lui même un fighter qu'il aurait développé par ses soins (aidé ou pas)  la quantité de fighters a prévoir serait alors forcément changée ...

Car 65 F35, ça correspond a quoi ? Les besoin objectifs du Canada en matière de supériorité aérienne avec un territoire aussi grand ? Ou un chiffre raisonnable malgré les besoins probablement + grands en réalité a cause du cout élevé de l'appareil et de sa marge de dérive des couts globaux de possession et de MCO assez flou encore aujourd'hui (et il me semble que c'est ce qui est le + fortement dénoncé dans le dossier et qui a crée les + vives oppositions au F35 et au lobbying de LM) et que du coup 65 c'est du "malgré" le besoin réel ...

 Parce que pour assurer un plan d'acquisition de fighter d'un niveau raisonnable (furtif ou pas) en passant par la case développement et industrialisation par soit même ... Il faudra probablement au minimum 100 fighters de + dans le dossier (environ 150 au moins, voir +) pour la crédibilité économique des couts/appareils : Si le Canada se lance dans un plan de développement pour environ 50-70 équivalent ou pas loin F35/Raffy like c'est vite vu, ils payeront chaque appareil une véritable fortune inédite dans le domaine a + de 250 millions de $ l'engin ... Soit un scandale a lui seul ne serait ce que de l'envisager

Et pour quand ? Car un tel plan en partant de 2013-14-15 pour la décision ça voudrait dire grosso modo premières livraisons au minimum 2030, et peut être même 2035 si il y a des aléas de développement liés a des technologies ou pour le Canada tout serait a réinventer pour un pays qui n'a plus l'expérience de construction de fighters (sous licence ...) depuis les années 70 je crois

En fait je crois que c'est la pire proposition qui soit ... Car le dossier n'enlèverait pas l'urgence et l'évidence que les F18 actuels du Canada pour espérer assumer la souveraineté aérienne des territoires nord et de la question arctique doivent être remplacés ou épaulés par un nouvel engin a commander au + tot pour espérer l'avoir vers 2020 ... Et on retombe sur la case départ, la situation actuelle du Canada exige qu'ils achètent un fighter pour en disposer pas trop tard

  Car si ils ont aussi lorgné sur des nouveaux F18 en alternative, c'est que la situation urge un minimum ... Et qu'il y a un besoin réel d'avoir un Zing a neuf vers 2020 et au de la

Après dans "développer, innover" on peut y fourrer pas mal de choses ... Cela pourrait aussi se faire sur un contrat de transfert industriel pour produire un nouveau fighter a partir d'un proposé dans les futurs candidats a l'appel d'offre pour "re-légitimer" le F35 comme ils sont en train de faire ... Car on peut s'y attendre malgré l'appel d'offre qui sera le vainqueur probable ... Mais bon, je doute que le Canada ait de quoi apporter du "+" en développement a un F35 ... Qui malgré ses déboires est sensé être la crême du domaine en surfant sur des acquis du F22 bien que l'aspect dynamique de l'engin laisse a "caution" mais que sa furtivité a la limite rend la question dynamique pas forcément un domaine crucial selon le point de vu

Alors qu'un Raffy ou un typhoon sous transfert techno peuvent recevoir d'un développement national (ou commun) pour améliorer l'appareil ... Mais bon, qui d'autre que son propre constructeur peut améliorer par développement son propre appareil ?

 

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