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AFRIQUE : politiques internes et relations internationales


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L'enquête est en cours.

D’après Kinshasa, Léon Kengo wa Dondo, le président du Sénat congolais «aurait eu des dents arrachées. Il a été piétiné, roulé à terre» par «des bandes de combattants proches d'Etienne Tshisekedi».

Vu que la réélection de Kabila est contestée suite aux fraudes massives, une attaque délibéré d'opposants congolais réfugiés en france n'est pas à exclure du tout.

En plus, les relations entre la France qui acceuillent les opposants et la RDC sont tendus, la radio RFI est même interdite de diffusion en RDC.

"En République démocratique du Congo (RDC), la crise post-électorale est loin d’être résolue. L’opposant Etienne Tshisekedi conteste toujours la victoire de Joseph Kabila. Après s’être autoproclamé président, Tshisekedi a même prêté serment le 23 décembre. Le gouvernement de la RDC n’apprécie pas la couverture que certains médias font de cette crise. A tel point que le 1er janvier, Lambert Mende, ministre de la Communications et des Médias et porte-parole du gouvernement a ordonné la coupure du signal de Radio France Internationale (RFI), rapporte le Figaro."

La RDC a trouvé un nouvel ami très généreux : "Dans le cadre du partenariat signé entre le Congo et la Chine, cette dernière vient d’octroyer au pays de l’Afrique centrale, un don de près de 3,9 milliards FCFA (environ 8 millions de dollars). En effet il existe entre ces deux pays de nombreux accords de partenariat dans des secteurs très variés. Cette nouvelle subvention sera destinée à financer des projets de développement qui ont un rendement élevé. Selon le ministère congolais des Finances, du Budget et du Portefeuille public, ce don servira le plus judicieusement possible les intérêts du pays et permettra de lancer de grands projets d’envergure sur l’ensemble du territoire national. Avec cette subvention le pays pourra relancer quelques secteurs d’activités économiques qui sont toujours latents. Quant à la Chine, l’heureuse bienfaitrice, cette action symbolise une fois de plus sa volonté et son implication active dans le processus de développement économique du Congo. Nous sommes satisfaits de ce que la Chine est devenue un partenaire économique et commercial important pour le Congo."

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Au tour de la Namibie...

WINDHOEK (AFP) — Le ministre chinois des affaires étrangères Yang Jiechi a comparé jeudi l'Afrique à une "mine d'or" pour les investissements étrangers, et a promis de sensibiliser les entreprises chinoises au respect du droit du travail en Afrique, lors d'une visite en Namibie.

"L'Afrique est une terre fertile pour les investisseurs étrangers, et c'est une mine d'or pour attirer les investisseurs étrangers, spécialement pour (construire) les infrastructures, qui sont le sang et les muscles d'un pays", a déclaré M. Yang après une rencontre avec son homologue namibien Utoni Nujoma, au terme de la dernière étape d'une tournée qui l'a conduit au Niger et en Côte d'Ivoire.

A ceux qui reprochent aux entreprises chinoises de maltraiter le droit du travail, le ministre a répondu: "Je ne dis pas que toutes les entreprises chinoises se sont conduites parfaitement", a admis M. Yang, "mais nous avons dit à nos entreprises de se conformer au droit local".

Les deux ministres ont signé un accord de coopération, qui prévoit notamment un prêt à la Namibie de 2,5 millions d'euros.

Selon les chiffres de la chambre namibienne de commerce et d'industrie, 27 sociétés chinoises sont actuellement actives en Namibie dans les domaines des travaux publics, des mines, de l'ingéniérie, de la technologie de l'information et dans les services financiers.

La Chine est omniprésente en Afrique, tant dans les entreprises d'exploitation des ressources minières que dans les investissements d'infrastructures, routes, trains, énergie. En Namibie, la Chine a apporté ces dernières années une aide directe en construisant des routes, des écoles et des hôpitaux dans des régions reculées.

Selon un rapport de la Banque mondiale daté de décembre, quelque 35.000 Chinois vivent en Namibie, un pays de deux millions d'habitants.

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Nigéria : l'ultimatum a expiré et les attentats sanglants reprennent.

Une attaque par des hommes armés dans une église chrétienne du nord-est du Nigeria a fait six morts le jeudi 5 janvier, au lendemain de l'expiration d'un ultimatum de la secte islamiste Boko Haram pour que les chrétiens quittent le nord musulman.

De nombreuses attaques ont été imputées par les autorités à cette secte qui multiplie depuis des mois des actions de plus en plus sophistiquées et meurtrières.

Boko Haram a notamment revendiqué l'attentat suicide d'août 2011 contre le QG de l'ONU dans la capitale Abuja qui a fait 25 morts. Ses opérations semblent avoir pris une nouvelle dimension avec une vague d'attentats le jour de Noël (49 morts) visant en particulier des églises.

Beaucoup craignent une flambée de violences interconfessionnelles. Des responsables chrétiens ont menacé récemment de se défendre si des chrétiens étaient à nouveau visés.

Le président Goodluck Jonathan a décrété le 31 décembre l'état d'urgence dans des Etats du centre et du nord-est.

Mercredi soir, des explosions ont secoué deux villes du nord-est où la mesure est en vigueur. Les attaques, revendiquées par le porte-parole de Boko Haram qui avait lancé l'ultimatum aux chrétiens, n'auraient pas fait de morts. Mardi, des hommes armés ont pris d'assaut un commissariat de police dans l'Etat de Jigawa (nord), qui n'est pas concerné par l'état d'urgence. Une adolescente a été tuée et un officier blessé.

Boko Haram a affirmé vouloir une application stricte de la charia dans le pays.

La multiplication des attaques a créé un climat de peur et beaucoup expriment leur frustration face aux autorités jusqu'à présent incapables d'empêcher les extrémistes d'agir. (AFP)

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Des leaders chrétiens du Nigeria ont qualifié samedi de "nettoyage ethnique et religieux" les récents meurtres de dizaines de chrétiens par des islamistes présumés et averti qu'ils se préparaient à se défendre contre la multiplication des tueries.

Attentats et affrontements se sont multipliés depuis jeudi, faisant une trentaine de morts dans plusieurs Etats du Nord-Est après l'expiration d'un ultimatum des islamistes exigeant que les chrétiens quittent le Nord du pays le plus peuplé et premier producteur de pétrole d'Afrique.

Convoquée d'urgence samedi, une réunion de responsables chrétiens a conclu que "le schéma de ces tueries nous fait effectivement penser à un nettoyage ethnique et religieux systématique", a déclaré Ayo Oritsejafor, chef de l'Association chrétienne du Nigeria (CAN), regroupant protestants et catholiques.

Les leaders chrétiens "ont décidé de définir les moyens nécessaires pour se défendre face à ces tueries insensées", a-t-il ajouté.

"Nous avons le droit légitime de nous défendre (...) quoiqu'il en coûte", a-t-il averti sans préciser quelles mesures étaient envisagées.

Suite aux attentats qui avaient fait une cinquantaine de morts à la sortie d'offices de Noel, le président du Nigeria, Goodluck Jonathan, a décrété le 31 décembre l'état d'urgence dans des Etats du centre et du Nord-Est touchés par les violences de Boko Haram.

"Ce type d'évènements nous rappelle les débuts de la guerre civile qui a eu lieu au Nigeria", s'est inquiété le chef de la CAN, en référence à la sanglante guerre sécessionniste du Biafra qui avait fait environ un million de morts de 1967 à 1970.

M. Oritsejafor a dénoncé en particulier l'incapacité des gouverneurs des Etats du Nord à empêcher ces violences. "Nous les tenons pour responsables de ces tueries", a-t-il affirmé.

Les autorités de l'Etat d'Adamawa ont réagi aux violences en imposant samedi un couvre-feu de 24 heures.

C'est dans cet Etat qu'a eu lieu l'attaque la plus meurtrière des derniers jours avec la mort de 17 personnes vendredi à Mubi, selon des témoins, dans des tirs contre un rassemblement de chrétiens en deuil. La police a établi le bilan à 12 morts.

Une autre attaque a été perpétrée vendredi soir par des hommes armés dans une église de Yola, capitale du même Etat d'Adamawa, faisant au moins 10 morts parmi les fidèles, selon un responsable chrétien.

Toujours dans le Nord, une autre attaque avait fait six morts, selon des témoins, jeudi, parmi des fidèles réunis en prière dans une église de la ville de Gombe, dans l'Etat voisin éponyme.

"Ces attaques sont l'une des conséquences de la fin de notre ultimatum" demandant aux chrétiens de partir les régions où ils sont en minorité, a déclaré vendredi à la presse Abul Qaqa, porte-parole de Boko Haram.

Enfin, dans la nuit de vendredi à samedi, des affrontements ont opposé plusieurs heures des militants de Boko Haram aux forces de sécurité dans la ville de Potiskum, dans l'Etat de Yobe, toujours dans le Nord, faisant des morts et des blessés, a dit la police.

Au moins deux personnes ont été tuées, selon des sources hospitalières. Des centaines d'habitants ont fui massivement leur domicile.

Des dizaines d'islamistes armés avaient attaqué plusieurs points de Potiskum aux cris de "Allah akbar (Dieu est grand), notamment le commissariat. (AFP)

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La capitale sud-africaine Pretoria sera rebaptisée Tshwane d'ici à la fin de 2012, annonce son maire, Kgosientso Ramokgopa, mardi 22 novembre, à la 'une' du quotidien Pretoria News.

Le Congrès national africain (ANC, au pouvoir depuis 1994) souhaite depuis longtemps adopter le terme africain de Tshwane, car le nom actuel de la capitale honore le héros afrikaner Andries Pretorius, qui a écrasé une dizaine de milliers de Zoulous en 1838.

Le maire (ANC) déclare : 'En tant que dirigeants de cette ville, nous allons nous assurer que tous les espaces et symboles de cette ville soient transformés', ajoute-t-il, annonçant un certain nombre de changements de noms de rue.

Mandela reviens...

Ils n'ont donc bien absolument... Rien compris.

Enfin, pour les Chrétiens qui se font massacrer en silence de par le monde, quand on pleurniche pour la moindre incartade sémite (Musulmane ou Juive donc)... Faudrait peut être un jour agir de la même façon pour tout le monde. Ok pour qu'on ne favorise pas la protection des Chrétiens vu que nous sommes des Laics désormais. Mais, il faudrait voir à ne pas favoriser les autres, et laisser tomber les Chrétiens car nous le sommes au fond.

Au Nigéria, comme en Egypte, faudrait peut être refiler un ou deux tours de vis, et je parle de l'UE entière, voir des USA, pour que de façon souveraines, ils protègent mieux ces populations. C'est comme les Chrétiens d'Irak, qu'on abandonne à leur sort, et qui se font massacrer, tout au plus Sarkozy (et c'est tout à son honneur) leur promet il a tous le droit d'asile en France. C'est bien.

Mais pourquoi un Chrétien Irakien profondément ancré dans cette terre n'a t'il pas le droit de vivre en Irak? Parce que le Christianisme était la religion des puissants qui ont peur de se regarder dans la glace?

C'est honteux.

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En parlant des chretiens d'Irak et d'Orient en general, je regardais un film sur le basculement de l'Empire Romain dans le christianisme, notamment sa partie orientale (la plus christianisee a l'epoque) comme Alexandrie. Les paiens sont intimides puis leurs cultes intedits, les juifs expulses de la ville (ou ils vivaient depuis sa fondation quasiement) suite a un affrontement avec les milices de l'eveque local, eveque qui grapille du pouvoir au depend du prefet...etc

La meme chose se repete aujourd'hui mais avec l'Islam dans le role de la religion dominante en Orient, les athees ou agnostiques (paiens d'aujourd'hui lol) sont intimides, les juifs ont ete expulses d'Irak il y a plus de 50 ans et aujourd'hui, c'est le tour des chretiens.

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BLOEMFONTEIN, Afrique du Sud (Reuters) - Jacob Zuma, chef de l'Etat sud-africain, a présidé ce week-end à Bloemfontein à une cérémonie de purification à l'occasion du centenaire de la fondation du Congrès national africain, le plus vieux mouvement de libération du continent, aujourd'hui au pouvoir depuis 1994.

Comme le veut la tradition, un taureau noir a été sacrifié à la sagaie devant un aréopage d'"excellences" pour éloigner les mauvais esprits et apaiser les âmes des ancêtres.

Les fêtes du centenaire de l'ANC, qui ont permis de rassembler dans la même salle des personnalités aussi disparates que l'ancien président Thabo Mbeki ou Winnie Mandikizela-Mandela, ex-femme de Nelson Mandela, ont coûté 100 millions de rands (12,3 millions de dollars).

Au menu des festivités figuraient un banquet géant pour personnalités et chefs d'Etat étrangers, des spectacles de musique et même un tournoi de golf, le tout dans cette "township" (cité noire) de Bloemfontein.

Son soutien populaire et son capital politiques sont aujourd'hui considérablement émoussés, y compris dans les rangs de la majorité noire. Ses détracteurs, en Afrique du Sud comme à l'étranger, reprochent à ses dirigeants actuels de dilapider les deniers de l'Etat, de gaspiller les richesses minières du pays et de se perdre dans de féroces luttes de pouvoirs.

L'économie sud-africaine, qui fait office de locomotive dans toute l'Afrique, connaît un taux de chômage d'environ 40%, qui frappe principalement les jeunes.

Certains militants dénoncent par ailleurs la menace de corruption au sein même de l'ANC et le président Zuma se voit reprocher de ne pas agir assez fermement contre ce fléau.

L'Afrique du Sud a dégringolé au 64e rang du palmarès mondial de l'indice du sentiment de corruption établi par l'ONG Transparency International, alors qu'elle figurait en 38e position en 2001.

Bien que Jacob Zuma ait un jour affirmé que "l'ANC gouvernera jusqu'au retour de Jésus", les observateurs redoutent que le parti héritier de Nelson Mandela ne connaisse une érosion de son soutien s'il ne règle pas ses divisions internes, s'il ne réduit pas la corruption et s'il n'écoute pas les doléances de la population.

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(...) le tout dans cette "township" (cité noire) de Bloemfontein.

C'est plutôt dans le Township "à coté" de Bloemfontein que l'ANC a vu le jour, la ville étant à la base bien majoritairement blanche (c'est la capitale historique du Oranje Vrystaat). D'ailleurs la politique anti-Blancs de l'ANC a fait qu'aujourd'hui Bloemfontein n'existe plus puisqu'ils l'ont "fusionnée" avec d'autres villes (exclusivement noires) dans la municipalité de Mangung, à grande majorité noire, les blancs n'ayant plus ainsi aucun poids politique. C'est le scénario de la Rhodesie qui se répète, la fin on la connait tous: un Mugabe (voir plus bas)

(...)Bien que Jacob Zuma ait un jour affirmé que "l'ANC gouvernera jusqu'au retour de Jésus"

Comme je disais avant, un Mugabe en perspective
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Le président de Guinée-Bissau, Malam Bacai Sanha, est mort, lundi 9 janvier, à l'hôpital du Val-de-Grâce à Paris, a-t-on indiqué de source gouvernementale française.

Agé de 64 ans, il avait été admis dans cette institution militaire juste avant Noël, a indiqué cette source précisant qu'il était 'dans le coma depuis longtemps'. La maladie dont il souffrait n'a jamais été rendue publique.

Son pays, un petit Etat d'Afrique de l'Ouest (1,5 million d'habitants) qui fait figure depuis plusieurs années de plaque tournante du trafic de drogue entre l'Amérique du Sud et l'Europe, avait connu un coup de force, le 26 décembre, alors que Malam Bacai Sanha était soigné en France.

Malam Bacai Sanha, ancien combattant anticolonialiste et pilier du puissant Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC, au pouvoir), avait été élu président en juillet 2009. L'opposition bissau-guinéenne avait demandé un débat ouvert sur son état de santé, s'inquiétant des répercussions que pourrait avoir sa disparition dans un pays où les trois précédents présidents ne sont pas arrivés au bout de leur mandat de cinq ans, qu'ils aient été chassés ou tués.

Le gouvernement avait présenté l'attaque du 26 décembre, par des hommes en armes, de l'état-major et et de deux unités de l'armée à Bissau comme une 'tentative de coup d'Etat'. Il s'agirait de la sixième depuis août 2008 dans cette ancienne colonie portugaise, indépendante depuis 1974. Parmi les suspects recherchés figuraient des membres de l'armée, des députés et d'anciens ministres du parti au pouvoir. Au lendemain de l'attaque, l'armée avait annoncé la mise en échec de l'assaut et l'arrestation de plusieurs officiers, dont le chef de la marine, le contre-amiral José Américo Bubo Na Tchuto, cerveau présumé du projet, inscrit sur la liste rouge des "trafiquants internationaux de drogue" des Etats-Unis depuis 2010, qui le considèrent comme un "baron" du trafic de cocaïne colombienne destinée au marché européen.

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2012/01/09/le-president-de-guinee-bissau-meurt-a-paris_1627548_3212.html#xtor=AL-32280515

Encore un pays africain qui va continuer à sombrer dans le chaos ! 

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C'est plutôt dans le Township "à coté" de Bloemfontein que l'ANC a vu le jour, la ville étant à la base bien majoritairement blanche (c'est la capitale historique du Oranje Vrystaat). D'ailleurs la politique anti-Blancs de l'ANC a fait qu'aujourd'hui Bloemfontein n'existe plus puisqu'ils l'ont "fusionnée" avec d'autres villes (exclusivement noires) dans la municipalité de Mangung, à grande majorité noire, les blancs n'ayant plus ainsi aucun poids politique. C'est le scénario de la Rhodesie qui se répète, la fin on la connait tous: un Mugabe (voir plus bas)

Comme je disais avant, un Mugabe en perspective

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Nigéria : menace sur le pétrole.

Le Nigeria, qui s'enfonce encore plus dans la spirale des violences ethnico-religieuses, était paralysé mercredi par une grève générale illimitée, entrée dans son troisième jour faute d'accord entre autorités et syndicats sur le prix des carburants.

Un des deux syndicats nigérians des travailleurs du pétrole a pour la première fois menacé d'interrompre la production de brut: "Nous attendons les résultats des discussions entre les confédérations syndicales et le gouvernement aujourd'hui (mercredi)", a déclaré Tokunbo Korodo, chef du syndicat NUPENG.

Le pétrole est vital pour le Nigeria, le plus gros producteur de brut d'Afrique devant l'Angola avec près de 2,4 millions de barils par jour, et représente 90 % de ses exportations.

Au moins six personnes ont été tuées le premier jour du mouvement de grève, notamment à l'occasion de heurts parfois violents entre manifestants et forces de l'ordre.

Les pires violences restent cependant concentrées dans le nord musulman, avec apparemment quelques représailles dans le sud chrétien.

Mardi, au moins 16 personnes ont été tuées lors d'incidents séparés dans le pays. Le mouvement islamiste Boko Haram, qui veut imposer la charia (loi islamique) dans tout le pays, est soupçonné d'avoir tué huit personnes, dont cinq policiers, dans un bar de Potiskum (nord-est).

Par ailleurs, des assaillants ont attaqué mardi et incendié en partie la mosquée centrale de la ville de Benin City (sud) après avoir visé la veille une première mosquée.

Cinq personnes ont été tuées et 10.000 déplacées depuis lundi par ces violences dans un quartier haoussa, une communauté nordiste musulmane, selon la Croix-Rouge locale.

Le prix Nobel de littérature nigérian Wole Soyinka a estimé mardi que son pays "se dirigeait vers une guerre civile", accusant certains dirigeants politiques d'attiser l'intolérance religieuse.

Le romancier Chinua Achebe stigmatise, quant à lui, des attaques terroristes "pouvant déstabiliser tout le pays", en créant "une peur généralisée, voire l'anarchie et la guerre".

(AFP)

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MASSACRE DE TOURISTES EUROPEENS EN ETHIOPIE ! :O

Apparemment, une groupe d'hommes armées venant d'Erythrée a abattu sans ménagement des touristes allemands, 5 morts.

Le seul tord de ces touristes étaient d'être blanc et occidentaux.

Ils les ont tué juste pour emmerder le gouvernement centrale de Addis Abeba.

J'imagine la scène de l'execution:

" On a rien contre vous ! Mais on va vous tuer juste parce que cela va provoquer une pagaille au gouvernement et surtout cela va médiatiser notre cause!"

Fin du speech , bang bang.

Pauvre Afrique ....

Toute mes condoléances aux familles.

http://fr.news.yahoo.com/des-allemands-parmi-les-touristes-tu%C3%A9s-en-ethiopie-191525821.html

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ADDIS-ABEBA (Reuters) - Le gouvernement d'Addis-Abeba a accusé mardi l'Erythrée voisine d'avoir formé et armé un groupe d'assaillants qui ont tué la veille au soir cinq touristes étrangers dans la région de l'Afar, dans le nord de l'Ethiopie.

L'Afar est réputé être un repaire pour des rebelles éthiopiens qui régulièrement franchissent la frontière en provenance de l'Erythrée, l'ennemi juré d'Addis-Abeba. Cette région abrite également des insurgés érythréens et des bandits.

"Le groupe de touristes étrangers a été attaqué lundi soir par des hommes en armes appartenant à un groupe formé et armé par les autorités érythréennes, un régime bien connu pour s'adonner à ce genre d'activités terroristes", a déclaré à Reuters le porte-parole du gouvernement éthiopien, Bereket Simon.

Un touriste a réussi à prendre la fuite et est indemne", a précisé la télévision éthiopienne sur la foi de responsables de la sécurité.

D'après un responsable anonyme du ministère éthiopien des Affaires étrangères, le gouvernement pense que les victimes de cette attaque proviennent de plusieurs pays, "principalement européens".

A Berlin, le ministère des Affaires étrangères a fait savoir qu'il s'efforçait d'obtenir, par l'intermédiaire de son ambassade à Addis-Abeba, des éclaircissements sur ce qui s'est passé sur le terrain.

Addis-Abeba accuse régulièrement Asmara de soutenir des rebelles séparatistes éthiopiens. Les deux pays ont livré une guerre frontalière en 1998-2000 qui a fait quelque 70.000 morts et qui n'a pas réglé leur litige.

A Asmara, les autorités de l'Erythrée, qui traditionnellement accusent l'Ethiopie d'"inventer" des mensonges pour ternir son image, n'ont pour le moment pas réagi à ces allégations.

En 2007, cinq Européens avaient été enlevés en Ethiopie, qui avait alors accusé un mouvement rebelle Afar.

C'est pas encore très clair !  >:(  pour développer le tourisme dans le coin, c'est rapé ! manque plus que la guerre reprenne entre les deux pays.

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De nouvelles informations concernant la nationalité des touristes tués.

Il s'agirait en fait d'un allemand, d'un belge , d'un hongrois, d'un italien et d'un autrichien et deux autres touristes kidnappés.

Donc tout laisse à penser qu'ils ont fait une embuscade en tirant dans le tas et sans se soucier de la nationalité des personnes visés.

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2012/01/18/deux-autres-touristes-enleves-en-ethiopie_1630983_3212.html

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Une nouvelle qui fait sourire pour changer. Les dignitaires africains laissés le ventre vide  :lol:

http://www.courrierinternational.com/chronique/2012/01/18/les-dignitaires-africains-laisses-le-ventre-vide

...Les chefs d'Etat africains venus célébrer les 100 ans de l’ANC ont dû faire leurs propres courses. ”Ils ont apparemment dû acheter leurs draps, la nourriture, la vaisselle, les casseroles et verres, car l’ANC avait demandé aux propriétaires des maisons louées par l’organisation à Woodland Hills Wildlife Estate d’enlever toutes leurs affaires.” Selon le quotidien Volksbladt, cité par le Mail & Guardian, ”les dirigeants, y compris quelque-uns des autocrates les plus redoutés du continent, étaient ‘furieux et déçus de la gaffe’”...

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Nigeria : Attentats en série, un américain enlevé.

Au moins huit personnes ont été tuées vendredi 20 janvier dans une série d'attentats à Kano, deuxième ville du Nigeria, selon un bilan établi par l'AFP à partir de témoignages. Des attaques coordonnées ont visé huit antennes de la police et des services de l'immigration, selon la police fédérale, provoquant la panique dans la ville. Les attentats n'ont pas été revendiqués.

Une explosion a notamment retenti au QG de la police, dans le nord de la ville, tuant au moins trois personnes, et une autre a visé un bâtiment administratif, faisant également trois morts, selon des témoins. Un correspondant d'une chaîne de télévision nigériane a également été tué par balle, selon un témoin. Des collègues du journaliste ont indiqué avoir été informés de sa mort.

Dans la région pétrolifère du delta du Niger, dans le sud du Nigeria, des hommes armés ont également enlevé vendredi un expatrié américain et tué le policer chargé de sa sécurité. Un porte-parole de la police, Charles Muka, a précisé que les ravisseurs demandaient une rançon de 50 millions de nairas (310 000 dollars, 240 000 euros) pour libérer leur prisonnier enlevé dans la ville de Warri.

L'ambassade des Etats-Unis a confirmé l'enlèvement, sans donner de précisions sur l'employeur de la victime. Des dizaines d'enlèvements d'étrangers ont eu lieu dans le delta du Niger pour obtenir des rançons mais leur nombre a diminué à la suite d'un accord avec des rebelles passé en 2009.

(Reuters)

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Nigeria : Au moins 80 cadavres, portant souvent des blessures par balle, ont été comptabilisés samedi à la morgue de Kano, la deuxième ville du Nigeria, au lendemain d'une spectaculaires série d'attaques revendiquée par le groupe islamiste Boko Haram.

Une centaine de personnes attendait à l'extérieur pour recueillir les dépouilles de leurs proches, alors qu'un couvre-feu de 24 heures a été décrété par les autorités locales.

Un précédent bilan établi samedi, alors que des cadavres jonchaient toujours les rues de la ville dans la matinée, faisait état d'au moins 28 morts.

Des représentants de la Croix Rouge locale et de l'Agence nationale des situations d'urgence ont indiqué qu'ils continuaient de collecter les dépouilles pour les emmener dans des morgues.

Le premier quotidien dans le nord, le Daily Trust, a rapporté qu'un porte-parole du groupe Boko Haram avait revendiqué les assauts, expliquant que le groupe avait agi en représailles après le refus du gouvernement de libérer plusieurs de ses membres actuellement emprisonnés. (AFP)

Nouveau bilan : Les attentats de vendredi contre la ville de Kano, au Nigeria, revendiqués par la secte islamiste Boko Haram, ont fait au moins 162 morts, selon une source hospitalière. (AFP)

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Voilà des news concernant l'enlèvement des 2 touristes allemands en erythrée suite à la sanglante embuscade.

Le communiqué des rebelles érythréen est d'un cynisme absolue : Ils déclarent que leur 2 otages allemands se portent bien et rejettent la responsabilité du massacre des 5 autres sur l'armée ethiopienne !

Rien que ça  ! =(

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/01/23/97001-20120123FILWWW00402-ethiopie-2-allemands-otages-des-rebelles.php

Ils me rappellent les clowns de l'AQMI suite à la mort des 2 jeunes français au Niger.

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Un ingénieur allemand a été enlevé près de Kano, deuxième ville du Nigeria à nouveau secouée jeudi par une explosion, moins d'une semaine après une série d'attaques revendiquée par un groupe islamiste qui ont fait 185 morts.

Des ravisseurs en voiture ont enlevé dans la matinée Edgar Raupach, ingénieur travaillant pour la société de construction nigériane Dantata et Sawoe, a indiqué à l'AFP un porte-parole de la police, Magaji Majia.

Un responsable de l'ambassade d'Allemagne au Nigeria a déclaré que son équipe était en train de vérifier les déclarations de la police. "Le ministrère des Affaires étrangères et l'ambassade d'Allemagne travaillent très dur" sur cette affaire, a déclaré ce responsable sous couvert d'anonymat.

En mai 2011 deux ingénieurs, un Italien et un Britannique, ont été enlevés dans l'extrême nord-est. Ils sont apparus dans des enregistrements vidéo laissant entendre que leurs ravisseurs appartenaient ou étaient liés à Al-Qaïda et n'ont toujours pas été libérés.

Alors que les autorités sont très critiquées pour leur prétendue incapacité à mettre en échec Boko Haram, la source policière ayant requis l'anonymat a également indiqué que près de 200 personnes avaient été arrêtées suite aux violences de vendredi, dont une majorité de Tchadiens.

"80% (des attaquants) étaient des mercenaires tchadiens", a affirmé cette source affirmant que les Tchadiens auraient été payés pour participer aux récentes attaques attribuées à Boko Haram.

Les forces de sécurité ont longtemps soupçonné Boko Haram d'introduire clandestinement des armes au Nigeria par la frontière poreuse avec le Tchad et le Niger, au nord-est du pays.

Un rapport de l'ONU rendu public mercredi évoque la menace que fait peser Boko Haram sur la région et les liens qu'il a tissés avec Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).

La guerre civile en Libye aurait permis à des groupes armés africains tels que Boko Haram et Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) d'accéder à de vastes caches d'armes, selon un rapport de l'Onu publié jeudi.

Selon ce document, qui analyse l'impact de la guerre civile en Libye sur les pays du Sahel, les autorités de certains pays estiment que la secte islamiste Boko Haram, responsable de la mort de 500 personnes en 2011 et de plus de 250 autres cette année au Nigeria, entretient des liens de plus en plus étroits avec Aqmi.

"Les gouvernements des états visités estiment que, malgré les efforts mis en oeuvre pour contrôler leurs frontières, de vastes quantités d'armes et de munitions issues des stocks libyens parviennent à entrer illégalement au Sahel", écrivent les auteurs.

Les armes évoquées par le rapport sont des "lance-grenades, des mitrailleuses avec visée anti-aérienne, des fusils automatiques, des munitions, des grenades, des explosifs, ainsi que de l'artillerie légère anti-aérienne montée sur véhicule".

Le Nigeria n'est pas le seul pays à s'inquiéter des activités de Boko Haram sur son territoire. Des responsables du Niger ont également affirmé à l'équipe onusienne que Boko Haram avait apparemment des liens avec Al Qaïda, qu'elle "répandait déjà ses idées et sa propagande, et avait réussi dans certains cas à obtenir la fermeture d'écoles publiques".

"Même si Boko Haram a concentré ses attaques terroristes sur le Nigeria, sept de ses membres ont été arrêtés alors qu'ils se déplaçaient entre le Niger et le Mali en possession de manuels sur la fabrication d'explosifs, de brochures de propagande, ainsi que de contacts de membres d'Aqmi qu'ils devaient prétendument rencontrer", affirme le rapport.

(Reuters)

Des rebelles touaregs se sont emparés jeudi de Léré, localité malienne proche de la frontière mauritanienne, ouvrant ainsi un nouveau front au Sud de la zone qu'ils revendiquent, a-t-on appris jeudi de diverses sources, notamment militaires.

"Ils sont entrés dans la ville sans combats. Il n'y avait pas de présence militaire. L'armée avait retiré hier une petite unité. Les rebelles sont entrés et ont hissé (leur) drapeau", a-t-on déclaré à Reuters. L'information a été confirmée de source militaire, civile et diplomatique.

Léré se trouve 600 km au nord-est de Bamako. Les séparatistes touaregs du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) étaient déjà passés à l'offensive dans l'extrême Nord et le Nord-est, la semaine dernière.

Ils réclament l'indépendance du Nord du pays et parmi eux figurent des Touaregs maliens ayant combattu en Libye.

De sources rebelle et militaire, on indique que d'autres combats ont eu lieu à Anderamboukane, une ville du nord-est proche de la frontière avec le Niger, où des rebelles ont attaqué des positions de l'armée malienne.

Un porte-parole des rebelles a déclaré jeudi qu'au moins 50 soldats maliens avaient été tués l'avant-veille lors d'affrontements à Aguelhok, une ville de 8.000 habitants située dans le nord du pays.

Le ministre malien de la Défense a confirmé l'affrontement d'Aguelhok, ajoutant que les pertes avaient été lourdes des deux côtés.

Un porte-parole du MNLA a déclaré que l'organisation poursuivrait ses offensives jusqu'à ce que le Mali retire ses soldats de la zone revendiquée et qu'il accepte le droit des Touaregs à l'autodétermination.

La France, ancienne puissance coloniale au Mali, a appelé les deux camps à un cessez-le-feu immédiat.

(Reuters)

Des risques de conflits majeurs éclatent dans toute l'afrique.  >:(

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  • 2 weeks later...

Tous libre...

PEKIN (AP) — Vingt-neuf travailleurs chinois enlevés fin janvier par des rebelles au Soudan ont été libérés et devaient embarquer à bord d'un avion du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), ont rapporté mardi les médias officiels chinois.

Des rebelles de la branche Nord du Mouvement populaire de libération du Soudan (SPLM-N) avaient attaqué le 28 janvier un chantier de construction routier dans la province du Sud-Kordofan. Sur les 47 Chinois travaillant sur le site, 29 avaient été pris en otages, 17 avaient réussi à fuir et un autre avait trouvé la mort.

Les 29 otages ont été libérés, a annoncé la télévision publique chinoise CCTV, l'agence de presse Chine Nouvelle indiquant de son côté qu'ils devaient embarquer à bord d'un avion du CICR. On n'avait pas d'autres précisions dans l'immédiat sur leur libération.

Chine Nouvelle a précisé que la Croix-Rouge avait joué les médiateurs entre les autorités de Khartoum et le SPLM-N, un groupe rebelle dont les membres appartiennent à une ethnie minoritaire qui contrôle aujourd'hui une grande partie du Sud-Soudan.

Alliée du Soudan, la Chine utilise régulièrement son influence sur la scène internationale pour défendre le régime de Khartoum. Les Chinois ont également réalisé de gros investissements dans le secteur pétrolier soudanais.

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(AFP) JOHANNESBURG — Le principal parti d'opposition sud-africain a demandé dimanche l'ouverture d'une enquête après la publication d'informations selon lesquelles Pretoria aurait facilité la livraison d'armes à l'ex-président de Madagascar lorsqu'il réprimait les manifestations contre son régime.

"Le Comité national de contrôle des armes conventionnelles devrait immédiatement autoriser une enquête sur des informations selon lesquelles (l'ancien président Marc Ravalomanana) a utilisé l'Afrique du Sud comme point de transit pour importer des armes anti-émeutes chinoises, avant le coup de force de 2009" qui l'a chassé du pouvoir, a déclaré un député de l'Alliance Démocratique (DA), David Maynier, dans un communiqué.

Selon M. Maynier, le Comité a aussi autorisé la vente de matériel anti-émeutes à Madagascar, pour un montant de 2,3 millions de rands (230.000 euros), en 2009.

Ce matériel a été "exporté à destination des forces militaires ou paramilitaires juste avant le coup" à Madagascar, a-t-il ajouté. "Il y a avait donc une forte probabilité que ce matériel anti-émeutes soit utilisé pour la répression interne", souligne-t-il.

Cette demande d'enquête intervient après la publication par WikiLeaks d'un câble diplomatique américain de 2009 indiquant que M. Ravalomanana a utilisé l'Afrique du Sud comme point de transit pour des boucliers, des armures, des gaz lacrymogènes, des balles en caoutchouc et des uniformes en provenance de Chine, lors d'achats massifs de matériel de contrôle des foules.

L'auteur du câble soulignait qu'un tel équipement pouvait être mortel, placé entre les mains des forces de sécurité malgaches, mal entraînées.

Marc Ravalomanana vit actuellement en exil en Afrique du Sud, pays qu'il a gagné peu après son éviction du pouvoir en 2009 au profit d'Andry Rajoelina, alors maire de la capitale Antananarivo.

Il a été condamné par contumace aux travaux forcés à perpétuité pour la mort d'une trentaine de manifestants, abattus par sa garde devant le palais présidentiel en février 2009.

Il a tenté à plusieurs reprises de rentrer à Madagascar pour participer à de nouvelles élections en vertu d'une "feuille de route" signée par les principaux partis malgaches mais en a été à chaque fois empêché par les autorités aériennes malgaches.

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Mouais je trouve un peu trop alarmiste pour du simple matériel anti-émeute ! Qu'es que ça aurai donner si Madagascar avait commander des armes ou des véhicules léger ! :P

Ils auraient voulu quoi que des bandes armées s'affrontent pour que le pays sombre encore plus ?

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