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AFRIQUE : politiques internes et relations internationales


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Le gouvernement de Gambie a annoncé mercredi 2 octobre au soir le retrait de ce pays du Commonwealth, organisation anglophone, avec effet immédiat, sans fournir d'explication.

 

"Le gouvernement se retire du Commonwealth en tant que membre et décide que la Gambie ne sera jamais membre d'une institution néo-coloniale, et ne fera jamais partie d'une institution qui représente un prolongement du colonialisme", affirme-t-il dans ce communiqué, précisant que la décision est prise "avec effet immédiat". 

 

un responsable au ministère gambien des affaires étrangères interrogé par l'AFP sur le sujet a indiqué que cette décision suivait la lancée du gouvernement qui, en avril 2012, a rejeté un accord proposé par le Commonwealth pour la création à Banjul de commissions pour les droits de l'homme, les médias et la lutte contre la corruption.

 

Porté au pouvoir par un coup d'Etat en 1994, élu en 1996 et réélu trois fois (2001, 2006, 2011), le président Yahya Jammeh règne en maître sur la Gambie, petit pays anglophone enclavé dans le Sénégal, à l'exception de sa façade maritime. Il a fait adopter en 2002 un amendement constitutionnel supprimant la limite du nombre de mandats. Son régime est régulièrement critiqué par des défenseurs des droits de l'homme pour des violations des libertés.

 

En 2012, Yahya Jammeh avait suscité un tollé international en affirmant, le 19 août, que tous les condamnés seraient exécutés avant la mi-septembre, et en faisant fusiller neuf personnes une semaine plus tard. Il a régulièrement affirmé qu'il ne cèderait pas aux pressions extérieures, et a souvent critiqué la communauté internationale. Il a régulièrement dénoncé des pays occidentaux qui, selon lui, conditionnent leur aide à la Gambie aux droits des homosexuels.

 

Suite : http://www.lemonde.fr/afrique/article/2013/10/02/la-gambie-se-retire-du-commonwealth_3488849_3212.html#xtor=AL-32280515

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http://www.rfi.fr/afrique/20131003-rdc-ue-efficacite-aide-europe-remise-question-cour-comptes (3 octobre 2013)

L’efficacité de l’aide de l’Europe à la RDC remise en question par la cour des comptes européenne : http://www.eca.europa.eu/Lists/ECADocuments/SR13_09/SR13_09_EN.pdf (rapport de 56 pages en anglais)

Modifié par Wallaby
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Emeutes à Madagascar : deux Européens, dont un Français, torturés, tués et leurs corps ont été brulés.

 

Trois Français ont été tués ces deux dernières années à Madagascar. Une religieuse, soeur Emmanuelle Helesbeux, 82 ans, a été retrouvée étranglée le 2 mars 2013 sur un marché à zébus à Mandritsara, dans le nord-est de Madagascar.

Un couple de Français, Gérald Fontaine et Johanna Delahaye, a été assassiné après s'être rendu le 12 avril 2012 sur une plage peu fréquentée et réputée dangereuse, à une dizaine de kilomètres de Tuléar, dans le sud de la grande Ile. Leurs corps avaient été découverts quelques jours plus tard, portant des traces de coups.

 

http://fr.news.yahoo.com/madagascar-deux-fran%C3%A7ais-tu%C3%A9s-foule-d%C3%A9meutiers-082647920.html

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je me demande se que Johnny Clegg pense de la nouvelle Afrique du Sud après Mandela ...

 

http://www.youtube.com/watch?v=P7nZdlK_oWg

 

et je me suis fais aussi cette petite remarque ,on parle toujours de la colonisation passé ,de l'ingérence des anciennes puissance coloniale qui seraient un des problème de l'Afrique .

 

mais en Afrique du sud ,pas d'ingérence étrangère .

 

alors on doit à quoi se bordel que devient l'Afrique du Sud ?

 

ben oui ,je veux bien qu'on est pas était parfait m'enfin là ,dans se cas là il y a bien un PB africano-africain non ?

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ben oui ,je veux bien qu'on est pas était parfait m'enfin là ,dans se cas là il y a bien un PB africano-africain non ?

 

La meme problématique de violence ce retrouve un peu partout, il y a finalement pas tant d'endroit que ca ou la situation est aussi paisible qu'en France ;)

 

Partout ou des très riches côtoient des très pauvres il y a des tensions qui amène a ce genre de violence.

 

Soit tu colles un états très autoritaires dessus et une société de classe pour tenir le tout, soit la frustration né et s'exprime, pas forcément seulement dans l'action politique mais souvent surtout dans l'action violente.

 

Tu peux apaiser cela en apportant de l'espoir, mais ça ne dure qu'un temps, et si l'espoir n'est pas consolidé on retourne rapidement a la situation précédente.

 

Il n'y a pas beaucoup de solutions a ce genre de problème ... d'autant qu'il prennent souvent place sur un fond culturel tenace, et une histoire difficile.

 

On retrouve ça autant en Afrique qu'en Amérique Centrale et Amérique du Sud.

 

Mais il y a aussi un peu de tous ca en Asie ... même si souvent la vocation touristique, et les perspective de développement rapide lissent le truc.

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Le chef d’état-major des forces armées bissau-guinéennes, le général Antonio Indjai, a accusé les membres du gouvernement de transition de « corrompus » et d’avoir vidé les caisses du Trésor public. Sur la base de ces manquements, il n’exclut pas de prendre le pouvoir « dans le souci de sauvegarder l’intérêt général des populations ».

 

http://www.afrik.com/guinee-bissau-les-militaires-menacent-de-prendre-le-pouvoir

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Changement de posture onusienne dans l'est de la RDC où le M23 continue de narguer l'armée nationale congolais et le contingent de casques bleus! La Monusco dope sa composante aérienne.

 

L'Afrique du Sud prépare le déploiement de trois hélicoptères d'attaque de type Rooivalk au sein de la brigade d'intervention que l'Onu déploie dans l'est de la RDC. Selon mes confrères sud-africains de DefenseWeb, les trois appareils ont déjà été repeints en blanc sur la base de Bloemspruit (près de Bloemfontein)où est basé le 16 Squadron de la SAAF. Les Rooivalk, leurs équipages et les personnels au sol seront déployés avant la fin de l'année. Ce sera le premier déploiement opérationnel de l'hélicoptère de combat sud-africain.

En juillet, la firme italienne Selex ES (filiale de Finmeccanica) a été choisie par l'Onu pour fournir des drones d'observation. Le contrat de trois ans (plus deux ans en option) permettra à la Monusco d'effectuer une surveillance aéroportée de la région de Goma.  

 

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2013/10/12/drone-et-helicopteres-rooivalk-pour-les-casques-bleus-de-l-e.html

Modifié par alexandreVBCI
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L'engagement actif de Hind ukrainiens avait donné de bons résultats il y a quelques années. Maintenant, il faudra faire attention à la DCA locale, dans une zone où les mitrailleuses lourdes et lance-roquettes sont assez répandus, et les Rooivalk assez peu blindés.

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L'engagement actif de Hind ukrainiens avait donné de bons résultats il y a quelques années. Maintenant, il faudra faire attention à la DCA locale, dans une zone où les mitrailleuses lourdes et lance-roquettes sont assez répandus, et les Rooivalk assez peu blindés.

Oui, mais ils sont aussi plus agiles que les Hind et je doute que le M23 dispose de missiles AA.

 

2412420661.jpg

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La France pourrait réduire drastiquement ses forces à Djibouti.

 

A 3.000 pax en 2010 puis 2.000 actuellement, Djibouti va encore fondre, peut-être bien en dessous des 1.000 militaires, estiment des sources convergentes. Les plus pessimistes des pessimistes évoquant même un format plancher à 700 qui ne remplirait que ce qui est explicitement prévu par les accords de défense : la défense aérienne de Djibouti.

Techniquement, un tel format, avec un escadron de chasse, incluant beaucoup moins d’hélicoptères, et peut-être pas en permanence un avion de transport, reste possible. On l’a compris, c’est comme en métropole sur l’armée de terre que pèserait, dans tous les cas, l’essentiel des efforts.... 

 

Suite : http://lemamouth.blogspot.fr/2013/10/djibouti-va-encore-fondre.html

 

N'importe quoi !  >:D

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Darfour : l'ONU en ligne de mire.

 

Trois Casques bleus sénégalais membres de la mission conjointe ONU-Union africaine au Darfour (Minuad) ont été tués dimanche 13 octobre au matin dans une embuscade près d'El Geneina, capitale du de l'ouest du Darfour, a annoncé l'ONU.

Un autre Casque bleu sénégalais a été blessé dans l'attaque, menée par des "hommes armés non identifiés", a précisé la mission dans un communiqué. 

Il s'agit de la deuxième attaque contre la Minuad en trois jours. Un observateur militaire zambien membre de la mission avait été tué vendredi à El Fasher, au nord du Darfour. 

L'attaque la plus meurtrière contre les Casques bleus de la Minuad avait fait huit morts - sept soldats tanzaniens et un policier sierra-léonais - et 16 blessés, le 13 juillet, près d'une base de la Minuad au nord de Nyala, une des principales villes du Darfour.

 

http://fr.news.yahoo.com/trois-casques-bleus-s%C3%A9n%C3%A9galais-tu%C3%A9s-au-darfour-220346192.html

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Le dispositif US, qui se consolide en permanence à Djibouti, permettra à l'AFRICOM et au CENTCOM de disposer d'une base de lutte anti-piraterie, d'une plate-forme anti-terroriste (avec des drones), d'un hub logistique etc. Autant de capacités qui rendent quasiment obsolète la présence à Djibouti de certaines forces françaises (actuellement 2 100 hommes) et la poursuite de certaines missions. Certes, les militaires du 5e RIAOM ou les cadres de la mission de coopération et de défense (rattachés au MAE) ne seront pas d'accord avec moi. Mais, leur avenir est compté. L'EMA planche sur des scénarii et le ministère réfléchit à la "réarticulation des forces prépositionnées en fonction de la régionalisation de notre action au Sahel". En clair, "il faut alléger ici où là" ("ici et là", plus précisément).

D'où le probable basculement du centre de gravité français vers le Sahel où Serval sera bien, comme annoncé et promis, réduit à un millier d'hommes mais où un dispositif régional durable (sous statut de forces prépositionnées?) pourrait bénéficier du départ de Djibouti de certaines capacités terrestres.

A Djibouti, comme l'ont avancé certains collègues, ne pourraient rester qu'une composante aérienne (quelques chasseurs) et, peut-être, une composante entraînement.

 

 

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2013/10/16/temp-805c218a1c0d4cb31717370fd104e74e-10457.html

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La 1ere division d'infanterie US s'entraîne pour l'Afrique.

 

Dans son édition du 18 octobre, le New York Times publie un article intitulé "U.S. Army Hones Antiterror Strategy for Africa, in Kansas". Des éléments d'une brigade de la Big Red One (la 1er DI) s'entraîne actuellement au Kansas pour ses prochains déploiements africains.

 

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2013/10/19/la-1ere-division-d-infanterie-s-entraine-pour-l-afrique-1047.html

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Ils décident de revenir en Afrique, la fin de la frilosité ?

Je ne sais pas si c'est une bonne chose pour les africains. En générale quand les USA débarquent, c'est que le potentiel de crises graves est élevé et/ou va le devenir (si on veut faire du mauvais esprit).

moi je me demande si ils ne s'ont pas basé sur une approche à la Française ,qui envoi des DAMI (Détachement Assistance Militaire et d'Instruction  ) ,formateur français en Afrique venant des brigades "classique" .

l'avantage de se système permet de gardé un pied dans les armées Africaine qui ont un accord de défense ,et de permettre de "renseigné" en apportant un état très détaillé au niveau brigade ,de l'ambiance ,capacité militaire des alliés Africain .

sa permet d'avoir des unités au sein des brigades apte à disons géré une crise en cas de déploiement dans un des pays Africain .

 

étant donné que les US ont une armée d'importance et seulement quelques pieds à terre en Afrique ,une division suffit pour se faire ,alors que la France gère beaucoup de pied à terre en Afrique et bien donc toute les brigades sont sollicité .

 

enfin j'analyse cela par rapport à l'article deN.Y times .

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Depuis sa création en 2007, l'Africom, dont le commandement est basé à Stuttgart en Allemagne, n'a cessé d'étendre son rôle en Afrique, en se concentrant sur la lutte contre les groupes islamistes armés et l'entraînement de troupes alliées dans la région.
 

"Nous avons toujours eu des intérêts en Afrique. Ce qui est nouveau depuis les cinq dernières années est que nous sommes plus directement engagés, mieux coordonnées" que par le passé, a affirmé la secrétaire d'Etat adjointe pour l'Afrique, Linda Thomas-Greenfield, lors de cette même conférence.

L'Africom dispose d'un budget annuel de 296 millions de dollars qui ne couvre cependant pas les dépenses de Camp Lemmonier à Djibouti, une des principales bases américaines du continent.

Ces dix dernières années, l'armée américaine a tissé un réseau logistique à travers toute l'Afrique de l'Est notamment, avec des accès sécurisés à des ports et aéroports stratégiques.

Plutôt que d'intervenir directement sur le terrain contre des groupes liés à Al-Qaïda en Somalie ou au Mali, l'armée américaine a tendance à préférer se concentrer sur des opérations de renseignement et de formation de troupes de pays alliés dans la région.


http://www.jeuneafrique.com/actu/20131023T194417Z20131023T194348Z/le-commandement-de-l-armee-americaine-pour-l-afrique-ne-va-pas-disparaitre.html
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Le Mozambique s'enflamme à son tour.

 

"La paix est finie", a annoncé le dirigeant de la Renamo au lendemain d'une attaque de commissariat perpétrée par son groupe. Le groupe armé, reconverti en parti d'opposition, met fin à un cessez-le-feu de 21 ans.

 

Plus de 20 ans après la fin de la guerre civile, qui a pris la vie d'un million de personnes, les belligérants remettent ça.

Au cœur du problème se trouve cette tendance bien connue des mouvements africains de libération de vouloir, une fois arrivés à la tête de l'Etat, gouverner d'une main de fer, au point d'empêcher l'opposition de participer au pouvoir. Depuis les élections de 1994, les premières après la guerre civile, le Frelimo (Front de libération du Mozambique) a remporté tous les scrutins présidentiels et législatifs.

Le parti de l'opposition de la Renamo (Résistance nationale mozambicaine) dénonce les fraudes électorales à chaque vote. Alors que l'économie prospère depuis le début des années 2000, la Renamo a été isolée financièrement [les compagnies profitant de la croissance sont souvent liées au parti au pouvoir]. Son chef, Afonso Dhlakama, proteste amèrement contre son ennemi d'hier et gouvernement d'aujourd'hui. Il se plaint de cette "stratégie de monopolisation du pouvoir" et de son enrichissement frauduleux, du mauvais emploi qu'il fait des richesses du pays, du fait qu'il a placé des partisans dans la police et les services publics, ainsi que des fraudes électorales.

le Mozambique est dans l'impasse - et il reprend les armes. L'Institut sud-africain des affaires internationales estime que si les choses venaient à s'enflammer, l'Afrique du Sud pourrait se lancer dans une intervention bilatérale. Je pense pour ma part que l'Angola aussi est susceptible de s'impliquer.

 

http://www.courrierinternational.com/article/2013/10/24/l-ulcere-purulent-de-la-guerre-civile-renait

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Il y a quelques reportages vidéo sur France 24, l'équipement des forces congolaises est encore vraiment plus qu'hétéroclite. J'ai vu un homme avec 2 casques lourds superposé ! Mais j'ai noté que la majorité du groupe filmé avait des gilets pare-éclats. Il y a avait un T-55 en état de marche, des LRM monté sur 4x4 et des camoins civils pour le transport. Le reporter a parlé de l'artillerie de l'ONU mais n'a pas fait mention des hélicoptères Hind.

Modifié par collectionneur
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Selon les propos résumés de Martin Kobler, le représentant spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en RDC :"On peut dire aujourd'hui que le M23 est militairement fini. L'attaque conduite par les FARDC avec le soutien de la MONUSCO a été un succès. Tout le monde en a conclu que nous devions revenir à la table des négociations à Kampala".

Lundi les Forces armées de la RDC (FARDC) ont repris au M23, la base militaire stratégique de Rumangabo, à une quarantaine de kilomètres au nord de Goma. Pour le chef de la Mission des Nations unies pour la stabilisation de la RDC (Monusco) "Cela marque quasiment la fin militaire du M23" car "Presque toutes les positions du M23 ont été abandonnées (lundi) ".
Le ministre de la Défense de la RDC a appelé les rebelles du M23 à se rendre, suite aux derniers revers infligés aux rebelles au Nord-Kivu, après que l’armée a pris le contrôle de Rutshuru, Kiwanja et Kibumba menant à Goma.

La reprise de la base de Rumangabo marque une étape décisive pour la RDC, car c’était le dernier verrou sur la route de Bunagana, à la frontière ougandaise, où les responsables politiques du M23 ont leur base depuis plus d'un an.

 

http://www.koaci.com/articles-86894

 

Succès total selon l'ONU.

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Selon les propos résumés de Martin Kobler, le représentant spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en RDC :"On peut dire aujourd'hui que le M23 est militairement fini. L'attaque conduite par les FARDC avec le soutien de la MONUSCO a été un succès. Tout le monde en a conclu que nous devions revenir à la table des négociations à Kampala".

Lundi les Forces armées de la RDC (FARDC) ont repris au M23, la base militaire stratégique de Rumangabo, à une quarantaine de kilomètres au nord de Goma. Pour le chef de la Mission des Nations unies pour la stabilisation de la RDC (Monusco) "Cela marque quasiment la fin militaire du M23" car "Presque toutes les positions du M23 ont été abandonnées (lundi) ".

Le ministre de la Défense de la RDC a appelé les rebelles du M23 à se rendre, suite aux derniers revers infligés aux rebelles au Nord-Kivu, après que l’armée a pris le contrôle de Rutshuru, Kiwanja et Kibumba menant à Goma.

La reprise de la base de Rumangabo marque une étape décisive pour la RDC, car c’était le dernier verrou sur la route de Bunagana, à la frontière ougandaise, où les responsables politiques du M23 ont leur base depuis plus d'un an.

 

http://www.koaci.com/articles-86894

 

Succès total selon l'ONU.

 

Comment l'armée congolaise est passée d'une déroute systématique contre le M23 à une victoire totale sur ce groupe en espace d'un an? 

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