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[Iran]


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Selon ce site, disposant des informations de sources israéliennes et russes, la marine russe escortera les pétroliers iraniens au débouché du canal de Suez en Méditerranée sur leur route vers la Syrie.

https://breakingdefense.com/2021/04/russian-fleet-protects-iranian-ships-smuggling-arms-israelis-say/?utm_campaign=Breaking News&utm_medium=email&_hsmi=123927651&_hsenc=p2ANqtz-8qF66UQCNpnvD5VnLQTqKOECBUIPNqNZXhb5_tho_8xrWruTEoh80piVVwhOVKzaQmVt-DC5ESgIEtfPIglCxRjy_MBA&utm_content=123927651&utm_source=hs_email

Il y a eu un précédent (exercice ?) en octobre 2020 :

https://news.usni.org/2020/10/21/russian-navy-seen-escorting-iranian-tankers-bound-for-syria

 

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Il y a 2 heures, Zalmox a dit :

Selon ce site, disposant des informations de sources israéliennes et russes, la marine russe escortera les pétroliers iraniens au débouché du canal de Suez en Méditerranée sur leur route vers la Syrie.

https://breakingdefense.com/2021/04/russian-fleet-protects-iranian-ships-smuggling-arms-israelis-say/?utm_campaign=Breaking News&utm_medium=email&_hsmi=123927651&_hsenc=p2ANqtz-8qF66UQCNpnvD5VnLQTqKOECBUIPNqNZXhb5_tho_8xrWruTEoh80piVVwhOVKzaQmVt-DC5ESgIEtfPIglCxRjy_MBA&utm_content=123927651&utm_source=hs_email

Il y a eu un précédent (exercice ?) en octobre 2020 :

https://news.usni.org/2020/10/21/russian-navy-seen-escorting-iranian-tankers-bound-for-syria

 

Un point de plus pour Vova !

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  • 2 weeks later...
  • 3 weeks later...

Politique intérieure. L’ancien président de la République Mahmoud Ahmadinejad (déjà empêcher la dernière fois), le vice-président réformateur Eshaq Jahangiri et Ali Larijani, président pendant douze ans du Parlement ne pourrons pas être candidats à la future élection présidentielle iranienne :blink:

https://www.lefigaro.fr/international/iran-trois-tenors-ecartes-de-la-presidentielle-20210525

Modifié par collectionneur
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Un point sur les négos actuelles en vue de "ressusciter" le jcpoa (mais ce jcpoa-II n'a presque plus rien à voir avec l'accord de 2015). Autres tags: "influence régionale de l'Iran"; "programme secret"; "AIEA"

Politico.eu (04 juin) https://www.politico.eu/article/iran-nuclear-talks-take-break-sticking-points/

 

Les négociations sur le nucléaire iranien font une pause : Voici les points d'achoppement

Parmi eux : La destruction des centrifugeuses iraniennes, la garantie de l'accès aux sites nucléaires et la promesse éventuelle de futures discussions sur les missiles balistiques.

Citation

VIENNE - Les négociateurs de l'accord sur le nucléaire iranien terminent la semaine de manière inattendue, de retour dans leur pays, les discussions restant bloquées sur plusieurs points centraux de discorde.

Pourtant, au moment de leur départ, plusieurs d'entre eux ont souligné que les États-Unis et l'Iran pourraient bientôt trouver un terrain d'entente et retrouver la voie du respect de l'accord conclu en 2015, qui visait à limiter les ambitions nucléaires de Téhéran en échange d'un allègement des sanctions.

Les négociateurs ont produit au moins 20 pages de texte avec diverses options sur la façon de résoudre les obstacles restants. Parmi ceux-ci figurent un différend sur la manière de traiter les centrifugeuses avancées de l'Iran, les machines utilisées pour enrichir l'uranium, ainsi qu'un désaccord sur la question de savoir si les inspecteurs ont un accès suffisant aux sites nucléaires iraniens. Les États-Unis et les puissances européennes font également pression pour inclure une mention des discussions de suivi qui porteraient sur le programme de missiles balistiques de l'Iran et son comportement régional plus large.

Les sanctions sont un autre point de discorde de longue date. Les États-Unis et l'Iran ne parviennent toujours pas à se mettre d'accord sur celles que les États-Unis vont abroger.

Entre-temps, l'Iran veut des garanties que les États-Unis n'abandonneront pas l'accord - une fois de plus. L'accord est sous respirateur artificiel depuis que l'ancien président américain Donald Trump s'en est retiré en 2018.

 

La mesure dans laquelle ces différends constituent un obstacle à un accord final semble dépendre de qui parle.

Enrique Mora, le fonctionnaire de l'Union européenne qui supervise les négociations, a déclaré aux journalistes mercredi qu'il était "sûr" qu'un accord serait conclu lors du prochain cycle de négociations, qui devrait commencer le 10 juin.

"J'espère qu'il ne faudra pas beaucoup de temps pour avoir un accord", a-t-il déclaré.

Le vice-ministre iranien des affaires étrangères, Abbas Araghchi, a partagé cette évaluation positive, déclarant au radiodiffuseur iranien IRIB que "le prochain cycle de négociations à Vienne pourrait et devrait logiquement être le cycle final".

L'atmosphère optimiste entre les deux diplomates était visible lorsqu'ils ont bavardé amicalement devant le Grand Hôtel de Vienne avant de partir.

Pourtant, les hauts diplomates britanniques, français et allemands se sont montrés plus prudents. "Nous avons continué à faire des progrès et des parties importantes d'un futur accord ont maintenant été concrétisées, mais les décisions les plus difficiles restent à prendre", ont-ils déclaré dans un communiqué.

De même, Ned Price, le porte-parole du département d'État américain, a déclaré jeudi que les États-Unis étaient "clairs sur leurs objectifs" et que "tout porte à croire qu'il y aura d'autres cycles" au-delà du sixième cycle à venir, ce qui contredit les perspectives plus optimistes de M. Mora.

 

Trouver une voie de retour

Les négociateurs des parties restantes de l'accord - Iran, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et Allemagne - ainsi que l'Union européenne en tant que coordinateur, travaillent de façon intermittente à Vienne depuis neuf semaines pour ressusciter l'accord initial, officiellement connu sous le nom de plan d'action global conjoint (JCPOA).

Le processus a nécessité que les négociateurs élaborent un plan par étapes détaillant les mesures réciproques que Téhéran et Washington doivent prendre. En gros, l'Iran devra revenir sur les récentes avancées de son programme nucléaire - réalisées après le retrait des États-Unis de l'accord - en échange d'un allègement généralisé des sanctions américaines.

Le cinquième cycle de négociations de cette semaine a permis de clarifier ces étapes. Pourtant, il reste du travail à faire, notamment sur l'enchaînement de ces étapes.

En outre, l'Iran continue d'exiger que les États-Unis abrogent toutes ses sanctions contre l'Iran - non seulement celles que Trump a immédiatement réimposées après avoir quitté l'accord, mais aussi les sanctions supplémentaires qu'il a mises en œuvre par la suite. Les États-Unis ont rejeté cette position "maximaliste" et souhaitent conserver certaines sanctions qui ne sont pas directement liées au JCPOA, comme celles liées aux violations des droits de l'homme ou au terrorisme.

L'Iran et les États-Unis sont également en désaccord sur les centrifugeuses avancées de Téhéran, que le pays a utilisées ces dernières années pour enrichir de l'uranium au-delà des limites autorisées par l'accord initial. L'Iran préfère ne pas les détruire, mais les puissances européennes et les États-Unis soutiennent que leur mise en veilleuse ne suffira pas.

 

Assurer la conformité

L'accès est un autre facteur qui complique les négociations.

Depuis février, l'Iran limite la capacité des inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) à examiner ses installations nucléaires.

Dans un rapport confidentiel, consulté par POLITICO, le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi, a déclaré aux États membres de l'AIEA que "les activités de vérification et de surveillance de l'Agence ont été affectées par la décision de l'Iran d'arrêter la mise en œuvre de ses engagements en matière nucléaire".

Les inspecteurs ont vu leur accès quotidien aux principales centrales nucléaires iraniennes de Natanz et de Fordow restreint et n'ont pas eu accès aux données et aux enregistrements recueillis par certains de leurs équipements, entre autres choses, indique le rapport. Sans un accès complet de l'AIEA aux sites nucléaires de l'Iran et une surveillance de ses activités nucléaires, la vérification d'un plan par étapes sera impossible.

 

Missiles et stabilité

Un autre point de tension consiste à savoir si l'Iran acceptera de faire suivre ces pourparlers nucléaires d'un deuxième cycle de négociations sur des comportements distincts que les pays occidentaux critiquent depuis longtemps.

En particulier, les États-Unis et les puissances européennes ont mis l'accent sur le programme de missiles balistiques de l'Iran et sur son soutien aux groupes militants dans la région.

Les négociateurs discutent actuellement de l'opportunité d'inclure dans l'accord nucléaire une référence à des discussions de suivi pour couvrir ces activités. Les États-Unis et leurs partenaires européens font pression en faveur d'une telle référence, mais il n'est pas certain que l'Iran cède.

L'Iran, pour sa part, veut des garanties de la part des États-Unis que Washington (ou tout autre pays) ne quittera plus jamais le JCPOA.

Les deux demandes devront être conciliées, ce qui est particulièrement difficile puisqu'elles ne faisaient pas partie de l'accord initial de 2015.

 

Un programme nucléaire secret ?

Les négociateurs nucléaires ne sont pas les seuls à revenir à Vienne la semaine prochaine. Le Conseil des gouverneurs de l'AIEA, composé de 35 pays, se réunira également pour discuter des récents rapports de l'AIEA sur l'Iran.

Le rapport trimestriel de l'agence indique que l'Iran a produit 2,4 kilogrammes d'uranium enrichi à 60 %, ce qui est proche de la qualité militaire. Et le stock total d'uranium enrichi de l'Iran atteint désormais environ 3,241 kilogrammes, soit 16 fois plus que ce qui est autorisé par le JCPOA.

Le conseil d'administration examinera également un deuxième rapport confidentiel qui décrit en détail la présence de particules d'uranium vieilles de plusieurs dizaines d'années en plusieurs endroits d'Iran, une série de résultats qui ont été rendus publics en février. Les détracteurs de l'Iran affirment que ces traces pourraient indiquer que l'Iran a eu un programme secret d'armement nucléaire dans le passé. L'Iran insiste sur le caractère pacifique de son programme nucléaire.

"Après de nombreux mois, l'Iran n'a pas fourni l'explication nécessaire à la présence de particules de matière nucléaire sur aucun des trois sites où l'Agence a effectué des accès complémentaires", indique le rapport, consulté par POLITICO.

Ce mystère "affecte sérieusement la capacité de l'Agence à fournir des assurances sur la nature pacifique du programme nucléaire iranien", ajoute le rapport.

Malgré ce constat, deux diplomates impliqués dans les négociations, s'exprimant sous le couvert de l'anonymat, ont déclaré à POLITICO qu'ils ne s'attendaient pas à ce que la réunion de l'AIEA fasse dérailler les négociations nucléaires, car le conseil d'administration s'abstiendrait probablement d'adopter une résolution contre l'Iran.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

 

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il y a 56 minutes, Bastion a dit :

La russie va vendre un satellite espion à l'iran . 

https://www.capital.fr/economie-politique/les-capacites-despionnage-de-liran-dopees-par-un-satellite-de-la-russie-1406159

 

Peut on me dire , quels sont les utilisations possible pour l'iran ? 

Euh, l'espionnage ? :ph34r:

Modifié par Shorr kan
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Il y a 1 heure, rogue0 a dit :

...


Au menu :

  • les détails du "casse du siècle" , cad le pillage des archives du programme nucléaire iranien , subtilisés en plein milieu de Téhéran (50 000 documents et 163 disques dans un camion, avec des camions leurres).
    opération menée avec 20 agents de terrain (aucun israélien dans le lot, et certains exfiltrés après coup) .
    Opération révélée par le PM Netanhayu en avril 2018 lors d'une conférence de presse assez théâtrale.

     
  •  

 

ça ferait un super scénario pour une nouvelle suite d'Ocean Eleven ............Ocean Twenty:ph34r:

 

Modifié par Shorr kan
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https://www.lemonde.fr/international/article/2021/06/18/mostafa-tajzadeh-la-presidentielle-en-iran-va-consacrer-la-victoire-d-une-minorite_6084625_3210.html

A 64 ans, Mostafa Tajzadeh, ancien vice-ministre de l’intérieur sous la présidence de Mohammad Khatami (1997-2005), est une figure du courant réformateur. Emprisonné entre 2009 et 2016, il a vu sa candidature à l’élection présidentielle du 18 juin rejetée.

Ils s’en sont non seulement pris aux réformateurs, mais ils ont également disqualifié et rejeté tous les candidats qui pouvaient avoir un poids. Même quelqu’un comme [l’ancien président ultraconservateur] Mahmoud Ahmadinejad a été écarté.

 

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https://www.nytimes.com/2021/06/18/opinion/activists-iran-election-boycott.html

Certes, le Conseil des gardiens a rejeté d'autres candidats à la présidence au cours des quatre dernières décennies. Mais cette fois-ci, c'est particulièrement significatif car le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, a 82 ans, ce qui soulève la question de la succession.

Les personnes qui boycottent le vote comprennent un large groupe de personnes à l'intérieur et à l'extérieur de l'Iran, y compris de nombreuses personnes qui avaient autrefois des sympathies pour le régime, comme l'ancien président Mahmoud Ahmadinejad, M. Mousavi et Faezeh Hashemi, la fille de l'ancien président Akbar Hashemi Rafsanjani.

Lors de ses voyages de campagne ces dernières semaines, M. Raisi a cherché à se présenter comme un homme du peuple et a promis de lutter contre la corruption. Il a parlé aux personnes qui l'ont approché au sujet d'affaires judiciaires en cours, se décrivant comme un homme accessible. Mais son passé à la tête de l'appareil judiciaire est révélateur de ce qui pourrait se passer sous son règne. De jeunes militants ont été jugés à huis clos et exécutés. En tant que jeune religieux, il a signé l'exécution de milliers de prisonniers politiques en 1988.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ebrahim_Raïssi

À partir de 2017, Ebrahim Raïssi est considéré comme le successeur le plus probable du Guide de la Révolution, Ali Khamenei18,19,20. Il a une grande influence dans les groupes économiques conservateurs et parmi les Gardiens de la révolution, et n'a jamais quitté le sillage d'Ali Khamenei (qui a été l’un de ses professeurs). Cependant Raïssi n'est pas reconnu par les religieux chiites comme une autorité sur le plan religieux. Pour pallier cette faiblesse (dans le système théocratique iranien), il se pare du titre d'ayatollah. Raïssi est un seyyed, c'est-à-dire un descendant du prophète Mahomet.

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  • 1 month later...

https://www.telegraph.co.uk/world-news/2021/07/31/israel-tells-uk-respond-severely-iranian-attack-killed-british/

Dominic Raab a ignoré les appels d'Israël à riposter contre l'Iran samedi, alors que des preuves croissantes montrent qu'un drone "suicide" lancé par le régime a tué un agent de sécurité britannique au large des côtes d'Oman.

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https://www.gov.uk/government/news/iranian-ambassador-to-uk-summoned-mv-mercer-street-attack

 

Citation

L'ambassadeur d'Iran au Royaume-Uni a été convoqué au Foreign, Commonwealth & Development Office aujourd'hui (2 août). Cette convocation fait suite à l'attaque illégale d'un navire marchand au large des côtes d'Oman le 29 juillet, au cours de laquelle un ressortissant britannique et un ressortissant roumain ont été tués.

Un porte-parole du Foreign, Commonwealth & Development Office a déclaré :

    L'ambassadeur d'Iran au Royaume-Uni, Mohsen Baharvand, a été convoqué aujourd'hui au Foreign, Commonwealth & Development Office par le ministre du Moyen-Orient, James Cleverly, en réponse à l'attaque illégale commise sur le MV Mercer Street le 29 juillet.

    Le ministre Cleverly a réitéré que l'Iran doit immédiatement cesser ses actions qui mettent en danger la paix et la sécurité internationales, et a rappelé que les navires doivent être autorisés à naviguer librement, conformément au droit international.

 

Les dégâts sur le Mercer Street :

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il y a une heure, collectionneur a dit :

Attaque sur le toit de la passerelle a ton avis ?

 

Je pense aussi que l’engin  semble avoir  frappé  dans le bloc superstructure , entre l’arrière du bloc et la cheminée où se trouvent des locaux  occupés ; auto directeur calé sur point chaud des échappements ?

210802043314755495.png

 

https://newsbinding.com/uk-news/us-joins-uk-in-blaming-iran-for-deadly-drone-style-attack-on-israeli-tanker-that-killed-two-crew/

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il y a 45 minutes, ARMEN56 a dit :

Je pense aussi que l’engin  semble avoir  frappé  dans le bloc superstructure , entre l’arrière du bloc et la cheminée où se trouvent des locaux  occupés ; auto directeur calé sur point chaud des échappements ?

Cela me semble le plus vraisemblable

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