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[Afghanistan]


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Traumatisme qui est encore plus visible chez les Casques Bleus envoyé dans les Balkans (Warrior l'impossible mission fait le tour complet de la situation), ou comment des soldats entrainé pour une guerre très chaude, se retrouvent à devoir protéger des civils mais pas trop.

Avec un ennemi qui n'est pas un ennemi et des massacres rappelant les heures sombres de la 2eme GM.

Un soldat est plus ou moins préparé à une mission mais la guerre a toujours un autre visage et si le choc est grand, les gars pètent les plombs.

D'ou l'importance d'avoir une préparation en amont du futur terrain d'opération dont bénéficient nos troupes.

+1

pour la la Bosnie ,perso j'ai trés mal prit se ressentit ,celui de ne pas pouvoir mettre en application le pourquoi de mon entraînement et subir ,constater ...

au retour ,j'ai traîné longtemps cette sensation ,ma famille a du le ressentir (sa n'a pas du être marrant pour eux ,je m'en rend compte seulement maintenant )et je me suis disons focalisé sur le  job ,à fond dans l'entraînement (continué à se perfectionner ,enfin s'est comme sa que je le voyais ),et je passé beaucoup de temps avec les potes au régiment .

se qui m'a faît du bien s'est la côte d'ivoire ,on a participé à une grosse opé à l'Est ,et j'ai faît le pourquoi je m'entraîné .ne pas subir une situation mais imposer .

désolé ,fallait que j'en parle ...

Relais du 2° REP en décembre par le 2° RIMa/92 RI/ RICM/6° RG/des éléments du 2°RH ==>>>> Task Force RICHELIEU

il n'y a pas une erreur  ?

car le REP a été relevé récemment par le 126°RI en surobi .

le 21°RIMa a relevé les Chasseurs-Alpins du 13°BCA en kapissa .

le 21°RIMa doit-être relevé par le 7°BCA en décembre en kapissa .

à mon avis la Task Force Richelieu va sûrement relevé le 126°RI  en surobi en décembre .

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il n'y a pas une erreur  ?

car le REP a été relevé récemment par le 126°RI en surobi .

le 21°RIMa a relevé les Chasseurs-Alpins du 13°BCA en kapissa .

le 21°RIMa doit-être relevé par le 7°BCA en décembre en kapissa .

à mon avis la Task Force Richelieu va sûrement relevé le 126°RI  en surobi en décembre .

Autant pour moi, c'est exact. Le 126.

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Je vais lancer un petit sujet sur les Balkans pour éviter le HS.

le lien..? :)

@Gibbs y a pas a être désolé ;)

Quoi que aujourd'hui avec la violence des jeux vidéos et tout ce qui suit les films assez cru il y a certains jeune que ca ne choquerai même pas de voir quelqu'un mourir parce qu'il se croirait dans un jeux vidéo...après c'est sur il doit y avoir une différence entre tuer quelqu'un voir quelqu'un se faire tuer et voir un pote se faire tuer...le choc doit aps être le même enfin je suppose n'ayant fait ou vue aucun de ces trois cas ;)

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Question à ceux d'entre vous qui ont participé des Opex ou qui ont eu de la famille revenant de ces operations

comment aborder le retour à la vie normale d'un garçon de 22 ans bientôt aprés 6 mois passés à faire la guerre sans trop savoir ce qui se passe reellement la bas, s'il souffre psycholgiquement et tutti quanti

Quel comportement avoir vis à vis de lui car je ne sais pas ce que peuvent ressentir les soldats en mission

Faut il l'accompagner psychologiquement, lui montrer tout simplement que l'on est fier de ce qu'il a fait connaissant ses valeurs morales

Tous vos conseils me seront fort utiles car autant j'apprehende les moments presents autant son futur retour me fait un peu peur car je ne sais dans quel etat psychologique je vais le revoir et si je serai à la hauteur pour cela

Merci d'avance

Je ne sais pas si ce genre de questions se pose mais tant pis je l'ai fait et si ce n'est pas le cas je m'en excuse

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http://www.wired.com/dangerroom/2010/09/petraeus-to-troops-cash-rules-everything-around-you/

In corruption-plagued Afghanistan, money is one of the most potent weapons that U.S. troops have. Unfortunately, for nearly nine years and approximately $450 billion, the U.S. hasn’t shot straight, funding warlords and even, inadvertently, insurgents — all the while making the Taliban look clean by comparison. So General David Petraeus is providing his troops with some lessons on how to do business in the warzone.

As first reported by the New York Times, Petraeus today released a list of pointers to his commanders about how they should spend their money when they need something built or delivered, building on his concept of “counterinsurgency contracting.” Short version: buy from Afghan companies whenever possible, but take care to know you’re not making the fat cats flabbier. And while Petraeus instructs his troops on getting their own financial affairs in order, the Obama administration is wringing its hands over whether pushing President Hamid Karzai too hard to clean up his government is counterproductive.

From Petraeus’ perspective, the discretionary money that military commanders control in Afghanistan — up to half-million dollar stacks — is supposed to be an investment in the country’s peaceful future. Yet those commanders, many of whom don’t have business-school training, can find themselves overwhelmed by budget minutiae, especially in an unfamiliar culture like Afghanistan’s. Petraeus advises to know who they’re getting into business with, since hiring the firms of politically connected “powerbrokers” for U.S.-funded projects alienates corruption-weary Afghans.

“Establish systems and standard databases for vetting vendors and contractors to ensure that contracting does not empower the wrong people or allow the diversion of funds,” Petraeus instructs. If you can’t avoid using the powerbrokers for a given effort, maybe it’s better to “forgo the project” outright.

But “COIN Contracting” goes beyond knowing whose business to patronize. Get the community involved, Petraeus’s guidelines say, using “local shuras and Afghan government and private sector leaders” to sign off on projects and expose troops to a wide array of Afghan businesses. Look for relatively small-scale projects that Afghan companies can take on and sustain, like “agriculture, food processing, beverages, and construction.” Buy local goods and labor whenever possible. If you can’t use an Afghan business for a project, encourage the people you hire to use Afghan workers. And if you find out that a project you’re funding benefits “criminal networks” — insurgents, powerbrokers, random ne’er-do-wells — stop what you’re doing.

One conspicuous absence from Petraeus’s guidelines: there’s nothing in here about private security contractors. Granted, many of them work for the State Department, guarding diplomats, or for the CIA, doing… other things. But some also work for NATO troops, directly or indirectly, to the point that Karzai has made an issue of seeking their wholesale ouster from the country. Petraeus just doesn’t touch the issue.

It’s one that scholars have urged him to take up Last week, Anthony Cordesman of the prestigious Center for Strategic and International Studies wrote that the U.S. and NATO had to recognize the role their contracting processes play in entrenching the power of corrupt Afghan officials and warlords. In May, Kimberly Kagan of the Institute for the Study of War warned that a NATO plan in Kandahar to consolidate private security firms into one super-merc company would be a huge blessing to unreliable powerbrokers and a setback to the war effort. (Her husband Frederick is now an adviser to Petraeus in Kabul.) And Petraeus has been responsive, helping put together a military task force that investigates wasteful or corruption-inducing funds that military commanders dole out.

But at a higher level, there’s no consensus about how the U.S. should handle corruption in the Karzai government. Both the Washington Post and the Wall Street Journal report on internal Obama administration debates concerning how hard to push Karzai. Embarrass him in public and risk alienating the Afghan president, who can make life even more of a headache for the U.S. through extended pique-fueled intransigence on corruption. What’s more, focusing on corruption seems like mission creep, since it’s not as if corrupt Afghan bureaucrats attacked the U.S. on 9/11 and prompted a nine-year war. One anti-corruption hawk, our pal Andrew Exum of the Center for a New American Security writes today that he’s starting to find the “mission creep” argument for soft-peddling corruption concerns compelling.

On the other hand, too much acquiescence to a rampantly corrupt government can convince Afghans that the Taliban possesses more legitimacy than the hypocrites in the U.S. military and the Karzai government, who lecture endlessly about wanting to improve Afghanistan.

No one yet knows how Obama will resolve the debate. Until he does, Petraeus’s reforms will have to serve as a stopgap measure to rein in Afghan corruption.

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Le laisser respirer, le laisser reconnecter avec les plaisirs de la vie civile, les trucs qu'il aime faire quand il ne porte pas l'uniforme.

Et si tu le sens renfermé, juste lui dire qu'il a des oreilles à disposition si ca peut le soulager, et que il n'y pas lieu de le juger quoi que ce soit juste l'aider.

Mais bon, tous les gars qui reviennent de là-bas ne sont pas des traumatisés, d'ailleurs ceux qui sont rapatriés pour blessure en général veulent repartir, parce que c'est le job, leur choix de vie de soldat.

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vivi51, ce genre de questions se posent et c'est tout à fait légitime ;)

Ma réponse sera une réponse de normand pour le fait de le faire parler. Ca dépendra de son caractère. Certains mômes vont parler si on leur demande, ils n'attendent que ça pour vider leur sac, d'autres sont comme des huîtres (souvent) et là c'est beaucoup plus ardu. Ne pas chercher à percer la carapace au marteau piqueur ça c'est certain. L'autre certitude c'est qu'un suivi thérapeutique auprès d'un professionnel est souhaitable, mais là encore il faut que ce soit une démarche volontaire. Cela évidement si le gamin a en gros sur la patate, il peut très bien rentrer éprouvé par l'expérience du combat, mais pas démonté. Ca se verra dans son comportement, même ceux qui essaient de faire semblant que tout va bien alors qu'ils sont touchés laissent des indices de leur souffrance... Parfois trois fois rien.

Alors oui, être disponible pour écouter son expérience et lui faire comprendre si besoin que personne ne le juge, qu'il est normal de ne pas être bien dans ses godillots après avoir pris la vie d'un homme ou d'avoir vu la mort de collègues mais que pour autant il reste celui qu'il a toujours été. l'expérience en plus, qu'un professionnel et un suivi médical est une aide précieuse et que ce n'est pas parce qu'on va voir un psychothérapeute qu'on est bon pour la camisole, que ce soient des pompiers ou des militaires je peux assurer que cela a sauver pas mal de monde.

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il a existé un programme assez bien fait chez les anglais qui consistait à ne pas faire revenir les soldats du jour au lendemain chez eux, certains passait par un club de vacances à Chypre où vraiment il pouvait décompressé sans être justement assailli par leur famille ( qui a juste titre voulait tout de suite savoir...)

les soldats participaient à des sorties entre eux , allaient en ville, à la plage , etc et regoûtaient doucement à la vie civile.

ils rencontraient des civils qui ne les voyaient pas comme des soldats revenant du front , mais plus comme des touristes.

je pense qu'ainsi le choc des retrouvailles était moins fort pour les familles.

bien sûr les familles veulent bien faire, mais ses soldats ont besoin de temps , de distance et éventuellement d'un environnement de transition..

ceci dit je conseille à l'internaute qui soulever cet intéressant sujet de regarder le film " voyage au bout de l'enfer " (désolé pour le titre) . mais je pense qu'on y devine parfaitement le sentiment d'éloignement et de distance avec ses amis et famille.

la scène du militaire qui passe devant la maison en taxi sans s'arrêter et qui revient en douce au petit matin justifie totalement ce dont on discute ici.

courage, patience à ceux qui ont de la famille sur place. souvant je pense aux enfants de ceux qui sont en opération.çà doit pas être facile pour eux.

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il a existé un programme assez bien fait chez les anglais qui consistait à ne pas faire revenir les soldats du jour au lendemain chez eux, certains passait par un club de vacances à Chypre où vraiment il pouvait décompressé sans être justement assailli par leur famille ( qui a juste titre voulait tout de suite savoir...)

les soldats participaient à des sorties entre eux , allaient en ville, à la plage , etc et regoûtaient doucement à la vie civile.

ils rencontraient des civils qui ne les voyaient pas comme des soldats revenant du front , mais plus comme des touristes.

je pense qu'ainsi le choc des retrouvailles était moins fort pour les familles.

bien sûr les familles veulent bien faire, mais ses soldats ont besoin de temps , de distance et éventuellement d'un environnement de transition..

ceci dit je conseille à l'internaute qui soulever cet intéressant sujet de regarder le film " voyage au bout de l'enfer " (désolé pour le titre) . mais je pense qu'on y devine parfaitement le sentiment d'éloignement et de distance avec ses amis et famille.

la scène du militaire qui passe devant la maison en taxi sans s'arrêter et qui revient en douce au petit matin justifie totalement ce dont on discute ici.

courage, patience à ceux qui ont de la famille sur place. souvant je pense aux enfants de ceux qui sont en opération.çà doit pas être facile pour eux.

il y a un sas de "décompression" pour les militaires Français en fin de mission en Afghanistan ,sa se déroule à chypre .

on voit une vidéo ,faut la chercher avec les fléches ,la vidéo date du 23/12/09 ,titre :Sas de décompression de Chypre

http://www.defense.gouv.fr/terre/mediatheque/videos/entrainement-engagement-operationnel/entrainement-et-engagement-operationnel

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Au fait, la question a surement déjà été posée, mais quelle est la mission exacte du contingent français en Afghanistan ? :-[

Rester en vie ;)


http://www.foreignpolicy.com/articles/2010/09/13/from_bad_to_worse?page=full

The man who sheltered me in Afghanistan last spring is very ill. Cancer cells are pulsing in his bloodstream. Every few days, his sons email me updates about his health: He is a little better. He is having nosebleeds. He is very weak. He is in pain. He is singing to his wife. All summer, his children and grandchildren, his wife, and innumerable doctors and charlatans have been sitting vigil in his house in Mazar-e-Sharif, watching his wasted body thrash about, watching his leukocyte count oscillate, watching his narrow chest rise and fall. Watching for signs of something -- anything -- to give them succor.

Lately, it seems as though the whole of Northern Afghanistan is laid up on my host's narrow mattress. Violence convulses the ripsaw shadow of the Hindu Kush, then quiets again, leaving us to hang on the war's every tremor, to watch minute fluctuations for a miracle while the conflict eats away at Khorasan's saline plains.

I returned to Northern Afghanistan in April to document for Foreign Policy the implacable spread of the Taliban in the region (the dispatches I wrote were recently published as an ebook, Waiting for the Taliban); I left the region in May. At the time, the Taliban were terrorizing travelers in Kunduz and Baghlan provinces, along the main route that NATO uses to bring in supplies from Tajikistan; launching swift attacks on government forces in Takhar Province; and flagging down traffic at impromptu checkpoints on the ancient roads of Balkh.

How to measure the progress of the war since my visit? Violence has been metastasizing across the north. A string of bombings in Kunduz killed at least 19 Afghan police officers in the last five weeks. Last month, 10 Western aid workers, members of a medical team, were slaughtered in Badakhshan -- the remote redoubt of the legendary Northern Alliance leader Ahmed Shah Massoud, where the Taliban did not dare venture even when they were ruling most of the country from Kabul. It was the largest massacre of relief workers in Afghanistan in years. The United Nations, which last winter considered parts of the north volatile, now regards a large swath of the region as extremely dangerous for its personnel.

Of course, deadly bombings, ambushes, and suicide attacks are a trademark of most wars of occupation. Anyone associated with the occupier -- in Afghanistan, this includes virtually all Westerners -- becomes a target of elusive insurgents. (My host in Mazar-e-Sharif took tremendous personal risks when he let me stay at his house.) The rebels operate swiftly, easily finding shelter among the civilian population, many of whom seem to be on their side.

But another recent event in the north demonstrated that the extremist militia is not simply gathering momentum in the region, but that it has already settled in, and that it is quite comfortable: the public stoning, at the order of a Taliban court, of an eloped couple in Dasht-e-Archi, a sun-scalded expanse of rice and wheat farms in Kunduz Province.

Hit-and-run attacks require little planning and can be carried out spontaneously by highly mobile, small, and bold guerrilla groups. On the other hand, the process of convening a court, passing a verdict, summoning the convicts, and executing them, on schedule, during a planned public ceremony (news reports suggested that about 200 villagers participated in the executions, while a larger crowd of men looked on) reflects more than brazenness. It bespeaks a confident command of the region. It bespeaks a fully functional government.

I visited Kunduz in April. The Taliban were already in control of much of the province; the journey was harrowing. Qaqa Satar, the usually lighthearted man who drove me around Northern Afghanistan, hated going there. Every now and then he would look at me in the rearview mirror, purse his lips, and shake his head in disapproval. He went because he did not trust any other driver to keep me safe. Like my ailing host, Qaqa Satar risked his life for mine.

A few weeks ago I watched a video that featured a Taliban fighter who was the spitting image of Qaqa Satar. It wasn't him, of course. But it is possible that soon Qaqa Satar, and Ramesh, the young journalist who worked as my translator, and the Mazar-e-Sharif man who housed me -- all the people who took care of me in northern Afghanistan last spring -- will be living in Talibanistan again.

In the early years of the U.S.-led war in Afghanistan, the country's north was universally dismissed as impervious to the Taliban -- and so received neither the attention nor the resources granted to the south. The world's nonchalance let the Islamic militia return to the region virtually unnoticed, and largely unchallenged. But American and NATO commanders still see taking control of the Pashtun heartland in southern Afghanistan as key to curbing the Taliban, bolstering the government in Kabul, and paving the way for an eventual pullout of Western troops; and now, the long-delayed push to take control of Kandahar, Afghanistan's second-largest city and the Taliban's birthplace, is underway.

Meanwhile, across the north, the Taliban, like a diffuse malignancy, is staking out territory, settling down, setting up governments. Still, the world is paying little attention, as though it expects the north to heal itself somehow.

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C'est la question, sachant que tant que les paki jouerront double jeu  en faisant risette aux US d'un cote et en soutenant les talebs de l'autre, pacifier ce-pays-qui-n'en-est-pas-un restera une douce illusion.

Meme sans cela, on ne peut strictement rien contre les rivalites claniques/tribales/religieuses qui perdureront tant et plus tant que cet endroit de la planete moisira dans son moyen-age. Sans cela l'OTAN aurait pu faire un semblant de travail qui ait un sens pour la population locale (ah oui et a part donner des label combat proven aux derniers equipements de ses militaires), mais aujourd'hui, il faut que l'ISAF parte, bien trop consideree desormais comme une force d'occupation, elle ne sert plus a rien, sinon a accelerer le ralliement autour des talebs (et le creusement budgetaire de nos etats). AMHA, on peut plus grand chose pour le peuple afghan, ils ont deja plus ou moins choisi a l'insu de leur plein gre a qui ils voulaient faire confiance...

Par ailleurs la mission originale de l'OTAN est remplie depuis longtemps: se debarasser des implantations d'AQ dans cette partie du monde. Je pense qu'il vaudrait mieux qu'on poursuive ce type de mission partout ou on peut trouver des camps d'entrainement ou sont planifies les actes terroristes qui risquent de toucher l'occident demain (yemen, soudan, somalie, etc...)

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C'est la question, sachant que tant que les paki jouerront double jeu  en faisant risette aux US d'un cote et en soutenant les talebs de l'autre, pacifier ce-pays-qui-n'en-est-pas-un restera une douce illusion.

Meme sans cela, on ne peut strictement rien contre les rivalites claniques/tribales/religieuses qui perdureront tant et plus tant que cet endroit de la planete moisira dans son moyen-age. Sans cela l'OTAN aurait pu faire un semblant de travail qui ait un sens pour la population locale (ah oui et a part donner des label combat proven aux derniers equipements de ses militaires), mais aujourd'hui, il faut que l'ISAF parte, bien trop consideree desormais comme une force d'occupation, elle ne sert plus a rien, sinon a accelerer le ralliement autour des talebs (et le creusement budgetaire de nos etats). AMHA, on peut plus grand chose pour le peuple afghan, ils ont deja plus ou moins choisi a l'insu de leur plein gre a qui ils voulaient faire confiance...

Par ailleurs la mission originale de l'OTAN est remplie depuis longtemps: se debarasser des implantations d'AQ dans cette partie du monde. Je pense qu'il vaudrait mieux qu'on poursuive ce type de mission partout ou on peut trouver des camps d'entrainement ou sont planifies les actes terroristes qui risquent de toucher l'occident demain (yemen, soudan, somalie, etc...)

je partage totalement ce point de vue.

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tient une petite explication pour le pourquoi du comment du choix du nom de Richelieu pour le prochain battle group qui va être déployé en surobi .

pour moi s'était évident mais pas forcémment pour les autres membres du forum  .

http://lemamouth.blogspot.com/2010/09/richelieu-bientot-populaire-en-surobi.html

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la question de Vivi est délicate mais j'aime pas trop la tonalité quelque peut geignarde de vos réponses les gars, si je peux me permettre.

Donc je me permet: voilà, on a un soldat qui a vu du pays, il a plein de truc a raconter. Les gamins sont tout ouii et on les yeux brillants de curiosité et d'admiration. La maman est bien contente que le fiston soit de retour et le papa est tout fier comme bartaban.

Ah ça a pas été tout rose, mais le soldat a fait son devoir, a partir de là si il veut causer de truc dérangeants il causera et a qui il veut. C'est un soldat qui revient a la maison, pas un malade  :rolleyes:

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la question de Vivi est délicate mais j'aime pas trop la tonalité quelque peut geignarde de vos réponses les gars, si je peux me permettre.

Donc je me permet: voilà, on a un soldat qui a vu du pays, il a plein de truc a raconter. Les gamins sont tout ouii et on les yeux brillants de curiosité et d'admiration. La maman est bien contente que le fiston soit de retour et le papa est tout fier comme bartaban.

Ah ça a pas été tout rose, mais le soldat a fait son devoir, a partir de là si il veut causer de truc dérangeants il causera et a qui il veut. C'est un soldat qui revient a la maison, pas un malade  :rolleyes:

hum dis moi tu as deja été ou tu as deja discuté avec des personnes qui ont été en zone de guerre

si oui je serais curieux de savoir si ton experience a bien été celle que tu décris

sinon peut etre que ceux qui ont été et/ou/ vu et/ou écouté ont peut etre des choses à t'apprendre pour te sortir du monde des bisounours (non parceque le geignard là il passe pas trop surtout quand on n'a vraisemblablement pas l'experience de la situation)

donc je recommence : le soldat qui revient fier, le doigt sur la couture, le regard vif et la conscience tranquille c'est Hollywood

tout ceux qui ont participé à une guerre sont atteints plus ou moins fortement et plus ou moins profondement

forcement le gars avec 15 ans de packo de la légion il passe ca plutot bien en général

le gars de 20 ans dont c'est la première OPEX, qui a pris des tirs et vu des copains en charpie plus ou moins reconstituable pour devenir un gars de 15 ans de packo "blasé"  il a peut etre besoin de parler mais pas la force morale de le faire

et pour ca faut l'aider un chouille

et c'est pas un signe de  faiblesse

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Le fait qu'il ait vu du pays, que ses parents soit contents de le revoir et fiers de son engagement personnel, qu'il puisse avoir des photos du pays à montrer et des anecdotes à raconter ne signifie pas pour autant qu'il n'y a pas de souffrance et nier un PTSD n'aidera pas. Se mettre des œillères et faire comme si tout allait si tout va mal et bien c'est un bon moyen pour enfoncer le gars qui revient au pays.

tu as eu un proche qui est revenu d'une OPEX où ça a bardé pour sortir un tel monceau de bestiaises? J'espère pas.

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