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Exportation d'armement


Philippe Top-Force
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Une explication à la hausse des exportations britanniques ?

La Grande-Bretagne vend des équipements militaires à pratiquement tous les pays figurant sur sa propre liste des régimes sensibles, dont la Syrie et l'Iran, s'alarme une commission parlementaire dans un rapport publié mercredi 17 juillet.

Ainsi, sur les 27 pays à caractère sensible sur le plan des droits de l'homme figurant sur la liste du gouvernement britannique, seulement deux – la Corée du Nord et le Soudan du Sud – n'ont pas de contrat avec le Royaume-Uni.

Le gouvernement assure qu'il ne délivre aucun équipement "de nature à être utilisé pour faciliter la répression interne" ou "provoquer ou prolonger des conflits régionaux ou internationaux" dans ces pays. L'ancien ministre de la défense et président de la commission parlementaire, John Stanley, a toutefois demandé un "comportement plus prudent au moment d'accorder des licences à des régimes autoritaires".

L'Iran a signé 62 contrats, essentiellement pour du matériel cryptographique alors que la Russie a contracté 27 licences pour de l'équipement biotechnologique, des fusils à lunette, de l'armement laser et des drones. Ces deux pays fournissent des armes au régime du président syrien Bachar Al-Assad.

Le gouvernement britannique lui-même continue à accorder trois licences à la Syrie, portant sur des véhicules tout terrain et des pièces de sonars, alors qu'il a annoncé mardi la prochaine livraison de matériel de protection contre les armes chimiques à l'opposition syrienne...

Suite :

http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/07/17/le-royaume-uni-vend-du-materiel-militaire-a-la-syrie-et-l-iran_3448888_3214.html

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Ils exportent. Ils ont vendu une partie de leur aviation (MiG-29 au Pérou, MiG-23 à la Syrie), mais ils sont aussi actifs dans le secteur de la défense antiaérienne (SA-3 modernisés). Une entreprise locale, Minotor Service Company, a aussi développé des prototypes de véhicules de reconnaissance et de transport de troupes chenillés (respectivement Minotor 2T Stalker et 3T).

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Selon le rapport au parlement sur les exportations d’armes rendu public le 22 juillet par le ministère de la Défense, les ventes françaises d’équipements et de matériels militaires se sont élevées à 4,8 milliards d’euros, contre 6,5 milliards en 2011, soit une baisse de 26%....

Suite :

http://www.opex360.com/2013/07/23/la-concurrence-des-pays-emergents-en-matiere-de-vente-darmes-saffirme/

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  • 2 weeks later...

France : Les entreprises d´armement hexagonales ont sensiblement moins exporté en 2012 qu´en 2011, mais conservent des atouts importants. Quels sont les marchés les plus prometteurs ?

 

Tour d´horizon : 

 

http://www.jeuneafrique.com/Article/JA2743p050.xml0/thales-sagem-armement-vente-d-armesvente-d-armes-les-bons-clients-de-la-france.html

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  • 2 weeks later...

L'entreprise publique russe en charge des exportations d'armes, Rostec, a vendu au premier semestre pour 6,5 milliards de dollars d'équipements militaires, ce qui devrait lui permettre de dépasser les ventes record de l'an dernier. 

 

http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/08/15/russie-exportations-record-d-armes-au-premier-semestre_3462059_3214.html

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  • 2 weeks later...

est ce que les US ont signés de gros contrats sur ces disons 6 derniers mois avec l'AS ou le Qatar ?

je demande parce que sur les 3 pays "désirant" le plus intervenir en Syrie (contre BeA), 2 au moins ont signés ou sont dans l'attente de prospekts mirobolant des deux pays financiers de la "révolution/terrorisme" syrienne : on parle de rafale au Qatar (36 ou 72), signature de la remise en condition de navires en AS, Typhon en AS,...

Modifié par rendbo
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  • 2 weeks later...

http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/09/07/l-industrie-de-defense-un-atout-pour-l-economie-francaise-qu-il-faut-preserver_3472947_3234.html

 

 

A l'occasion de l'Université de la Défense qui se tiendra les 9 et 10 septembre prochains à Pau, et au moment où s'ouvrent les discussions sur le budget alloué à la Défense française, nous souhaitions nous exprimer, tous ensemble, sur les enjeux industriels de la prochaine programmation militaire.  

 

L'entretien et le perfectionnement du système militaire de premier rang qui est le nôtre est une condition sine qua non de notre capacité à intervenir sur la scène internationale. Ces dernières années, nos armées ont été fortement sollicitées et l'actualité nous montre, chaque jour un peu plus, que le niveau d'équipement de nos forces est un outil indispensable à notre autonomie stratégique.

 

En soi suffisant, l'argument de la souveraineté n'est pourtant pas le seul à prendre en considération. Les investissements de défense dynamisent une économie et une industrie qui représentent 165 000 emplois industriels à forte valeur ajoutée et peu délocalisables, un réseau riche de plus de 4 000 PME qui irrigue l'économie des territoires, véritable locomotive technologique pour toute l'industrie française. À l'exportation, nos entreprises affichent un solde très largement excédentaire. Elles portent haut le label France synonyme de performance et d'innovation. Le budget de la défense doit, plus que jamais, être appréhendé comme un levier de croissance et d'industrialisation, comme un élément de la solution et non du problème.

 

Le ministre de la défense et les présidents des commissions de la défense de l'Assemblée nationale et des affaires étrangères et de la défense du Sénat, qui ont fait de l'emploi industriel une priorité, ont eux aussi porté ces arguments. Le président de la République a su les entendre et s'est engagé, malgré la crise et les résistances, sur un volume de crédits qui pourrait permettre de préserver cet acquis industriel et technologique. Mais la mise en œuvre de la prochaine loi de programmation militaire sera déterminante et deux facteurs conditionneront très fortement sa réussite.

 

Tout d'abord aucune mandature n'a vu l'exécution dans sa totalité d'une loi de programmation militaire. Ces glissements sont responsables des contraintes qui pèsent aujourd'hui sur le budget de la défense, réduisant ses marges de manœuvre. Face au risque réel de décrochage, qui menace nos armées, nos outils industriels, nos emplois et le maintien de compétences souveraines, le défi est immense pour la prochaine programmation, puisqu'elle devra ni plus ni moins être la première à être intégralement exécutée. Elle devra recréer une relation de confiance avec l'industrie qui passera par le respect des engagements pris et par une sincérité budgétaire, corollaire d'une visibilité à moyen et long terme indispensable à la survie de nos outils de production, et des emplois qui y sont associés. Ce défi sera très difficile à relever, mais nous avons la conviction que si nous réussissons, cela se traduira directement par des emplois et de la croissance pour l'économie française.

 

Le second facteur concerne la France de demain. Certes, la Défense doit participer à l'effort collectif d'économie, ce qu'elle fait depuis de nombreuses années, mais sans pour autant compromettre l'avenir de manière irrémédiable. Or, elle est désormais à un tournant décisif : certaines compétences critiques, indispensables à notre recherche et à nos bureaux d'étude, sont directement menacées ; elles ont besoin d'être nourries par des projets structurants pour assurer leur pérennité. Nous évoluons dans un milieu compétitif de très haute technologie, dans le cadre de programmes qui s'étalent parfois sur plusieurs décennies, un domaine dans lequel les retards ne se rattrapent pas. Aussi, les choix qui seront fait durant la prochaine programmation conditionneront la survie de pans entiers de nos industries, et notre capacité à rester des acteurs majeurs en Europe.

 

L'industrie de Défense est un pilier de notre économie qui emploie et forme des personnels hautement qualifiés, crée de la valeur en France, innove et exporte. Elle est une richesse collective de la Nation, conséquence de soixante ans de capitalisation de savoirs et de compétences. Mais elle est aujourd'hui confrontée à un impérieux besoin de visibilité et de perspectives d'avenir.

La situation deviendrait délicate si les engagements pris n'étaient pas tenus, provoquant un décrochage irréversible. Nous voulons croire que la France sera capable de relever ce défi.

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  • 3 weeks later...

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20131003trib000788613/defense-trois-nouveaux-contrats-export-dans-l-escarcelle-de-mbda.html

Le missilier européen a engrangé une nouvelle commande en Arabie Saoudite d'un peu plus de 150 millions d'euros. MBDA va signer d'ici peu un contrat export en Malaisie d'un peu moins de 100 millions d'euros. Enfin, les corvettes du Vietnam s'équiperont de missiles MBDA.

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Une délégation militaire dirigée par le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou se rendra en début de semaine prochaine au Brésil et au Pérou, pour des négociations sur la coopération militaro-technique, écrit mercredi le quotidien Kommersant.

 

Selon une source de l'état-major des forces armées russes, les discussions avec la délégation brésilienne devraient porter sur l'achat éventuel de deux batteries de lance-roquettes sol-air portatifs Igla et de trois batteries de missiles antiaériens Pantsir-S1. La transaction est estimée à 1 milliard de dollars.

Au Pérou, l'entretien portera principalement sur le matériel blindé. D'après la source, les Péruviens souhaitaient acquérir 110 chars T-90S et 110 véhicules blindés BTR-80A. Si les intentions des militaires péruviens ne changeaient pas, ces transactions rapporteraient au moins 700 millions de dollars à la Russie.

Le Pérou s'intéresse également à la défense antiaérienne pour remplacer ses systèmes sol-air soviétiques obsolètes Petchora, qui datent des années 1970. La source rappelle que d'ici la fin de l'année le Pérou compte dépenser 2,3 milliards de dollars pour le matériel blindé et l'armement de son armée. "Il s’agit d'une modernisation générale des forces armées du pays, qui sera prise en charge par l'agence chargée des achats d'armements", ajoute la source.

 

http://fr.ria.ru/presse_russe/20131009/199506929.html

 

Exportations d'armement : vers un bon millésime 2013 pour la France

 

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/air-defense/actu/0203053249067-exportations-d-armement-vers-un-bon-millesime-2013-615263.php

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Incroyable article sur les offsets de vente d'armes par le FT:

 

http://www.ft.com/cms/s/0/27fad6b8-1964-11e3-80ec-00144feab7de.html#slide0

 

a article a lire absolument. On voit bien comment certains groupes comme bae / finmicca tirent leurs epingles du jeu....... 

 

Defence groups’ sweeteners swell to $75bn

Western defence companies have agreed $75bn of sweetener deals, ranging from helping Omani fishermen to financing an Emirati beachfront metropolis, to win lucrative arms contracts, a Financial Times investigation has found.

The FT’s probe – based on data provided by IHS Jane’s, the defence industry analyst – reveals the scale of the outstanding promises or “offsets” made by the world’s 12 largest defence companies to win orders from countries seeking investments, jobs and technology.

Defence companies have traded Tunisian olive oil for military transport planes; invested in fledgling airlines in Kazakhstan and Jordan; created a domestic aerospace industry for Turkey; and sent the first Malaysian astronaut into space. In Oman, BAE Systems satisfied part of its offset obligation by luring fish to big, brightly coloured buoys, easing the work of local fishermen.

Lockheed Martin alone is on the hook for at least $27bn of offset deals – 10 times its net profit last year – while Boeing has $12.6bn of such obligations and Raytheon has $7.9bn. In Europe, EADS has the biggest obligations with $7.6bn in promises, while the UK’s BAE Systems and Sweden’s Saab have pledged close to $4bn each.

The numbers represent the value assigned by governments to companies’ outstanding obligations under the agreed side deals. Their actual costs vary and depend on how each company chooses to fulfil their obligation to benefit the local economy.

Executives say that these side deals are becoming increasingly crucial to winning big international defence contracts as developing countries rank competing bids by the companies’ willingness to commit billions of dollars to their economic and industrial development.

Penalties for not delivering on side deals – which can run into the tens of millions of dollars – are kept even more secret than the deals themselves. In 2010 alone, Greece applied penalties to 70 offset programmes, while in India 13 of 18 offset contracts agreed between 2005 and 2013 were subject to penalties.

But these offset projects will be dwarfed by future deals, with analysts predicting a significant rise in arms sales to countries who demand sweeteners.

Concern about these sorts of deals goes well beyond the boardrooms of the world’s big defence contractors. Critics – including the US government, the EU, World Trade Organisation and campaign groups such as Transparency International – say they distort the market, lead governments to order arms they do not need and create opportunities for corruption.

However, Thomas Culligan, head of international business at Raytheon, argues that offsets have become crucial amid shrinking defence budgets in the US and Europe. “If you are not having to deal with offsets, you are probably not selling internationally,” he says. “Yes, it’s a challenge. Yes, it’s a problem. But it sure beats the alternative.”

 

    Lockheed Martin is one of the few companies that state their offset obligations, setting their total value at $9.3bn. The discrepancy with FT estimates is due to differing methodologies.

    Raytheon is one of the few companies that state their offset obligations, setting their notional total value at $5bn. The discrepancy with FT estimates is due to differing methodologies.

    As a supplier rather than a prime contractor, Roll-Royce’s offset obligations are more difficult to calculate. They depend on whether the prime contractor Rolls-Royce serves insists the company shares the burden. Such discussions are kept secret.

    This Avascent graph looks at the offset market by country rather than company, and its methodology includes forecasts based on expected defence sales. It should therefore be viewed as far less conservative.

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L’industrie française de l’armement terrestre se heurte à la concurrence des pays émergents. Certes, elle présente des matériels “excellents et compétitifs” et “sûrement meilleurs que les leurs” mais ils ne font pas la différence “compte tenu de l’écart de prix”. Et de préciser : “A tonnage équivalent, à puissance moteur équivalente, à niveau de protection équivalent, ils sont deux fois moins chers que les nôtres!”.

Aussi, le CIDEF, par la voix de son président, réclame la mise en place au sein des armées d’une cellule chargée de la présentation des équipements utilisés en opération, comme le font les Britanniques, non sans efficacité. A noter que l’armée de l’Air le fait déjà pour le Rafale…

“On s’est rendu compte, à l’usage, qu’un certain nombre de présentations de matériel, surtout dans le domaine terrestre, étaient ratées, dont des présentations importantes à la presse, l’état-major n’ayant pas mis les meilleures compétences en ligne pour assurer la démonstration, a expliqué Christian Mons. Le fait est : “Lors de l’Eurosatory de l’année dernière, a-t-il rappelé, le Caesar a fait trois fois long feu, les militaires l’utilisant étant équipés d’AuF1 et ne connaissant pas ce matériel. Devant la presse étrangère, c’est du meilleur effet !”.

 

 

http://www.opex360.com/2013/10/10/selon-christian-mons-president-du-cidef-un-euro-investi-dans-lindustrie-de-defense-rapporte-130-euro-a-letat/

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  • 4 weeks later...

Etant donné que, dans le cadre de la Loi de Programmation Militaire (LPM), plusieurs programmes d’équipements des forces françaises seront étalés ou victimes de réductions de commandes, l’industrie de l’armement doit compenser par des exportations.

 

Puisque s’imposer sur des marchés étrangers doit permettre aux industriels de compenser ces étalements de programmes, l’on pourrait pu penser que les crédits dédiés au soutien aux exportations d’armements allaient être au moins maintenus dans le projet de loi de finances initiales pour 2014. Eh bien il n’en sera rien.

En effet, le directeur chargé des affaires stratégiques au ministère de la Défense, Philippe Errera, a indiqué, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, au début du mois dernier, qu’il était prévu de baisser de 5,7% (hors dépenses de personnels) les crédits alloués au soutien des exportations d’armement....

 

Suite : http://www.opex360.com/2013/11/06/les-credits-pour-le-soutien-aux-exportations-darmement-revus-a-la-baisse/

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C'est surtout qu'ils sont aussi plus adaptés aux besoins locaux. Qu'est-ce qu'un pays d'Afrique va faire avec un Rafale alors qu'un JF-17 Thunder  par exemple fait largement l'affaire pour, en plus, nettement moins cher ?

 

Ce n'est pas qu'une question de prix, mais une question de besoin.

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http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20131107trib000794585/defense-le-perou-veut-un-satellite-espion-made-in-france.html

Astrium est en pole position pour livrer un satellite d'observation aux forces armées péruviennes. La France veut aussi vendre 28 hélicoptères Cougar d'Eurocopter à Lima dont revient le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian

 

Modifié par eikkN
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  • 2 weeks later...

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20131128trib000798355/gros-contrat-en-vue-pour-arianespace-et-thales-alenia-space-au-bresil.html

 

Arianespace et Thales Alenia Space vont signer en décembre un contrat estimé au total à 400 millions de dollars au Brésil pour la fourniture et le lancement d'un satellite de télécoms civils et militaires. La signature devrait intervenir lors de la visite de François Hollande au Brésil

 

 

EAU, Brésil, Arabie Saoudite, Qatar, Pérou...

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Gros WTF, l'Angola achète le PA espagnol Principe de Asturias. 

 

http://www.passarodeferro.com/2013/12/angola-compra-porta-avioes-principe-das.html (en portuguais, pas d'autres sources pour l'instant)

 

Cependant, il avait déjà été mentionné ici

http://www.scoop.it/t/newsletter-navale/p/4005644431/2013/08/04/l-angola-et-d-autres-pays-interesses-par-l-acquisition-de-l-ex-porte-aeronef-espagnol-principe-de-asturias

en décembre 2012 que l'Angola était intéressé.

 

Personnellement ça ne m'étonnerait pas que le PA finisse à terme dans les mains d'une autre marine (sûrement le but de l'achat), surtout que les Angolais n'ont rien pour l'escorter. 

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Les Angolais n'ont rien qui flotte, surtout... Rien au-delà de 1 500 t, du moins (et encore, à part leurs deux patrouilleurs garde-pêche, ils n'ont rien au-dessus du patrouilleur léger qui rôde autour des ports).

 

Qui pourrait acheter ce porte-aéronefs ? Les Chinois n'auraient eu qu'à demander.

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