[A-400 M] le défi stratégique européen

[P4]

 

EADS's A400M Worst Case Scenario: 5.7 Billion Euro Bill

Posted by Robert Wall at 3/10/2009 2:21 AM CDT

So how expensive could the A400M be to industry if things go really badly? A staggering 5.7 billion euros.

That’s what the company would have to pay back in terms of pre-delivery payments and other costs if the military airlifter program is cancelled. And cancellation could come as soon as next month, hypothetically at least.

EADS says the A400M is not expected to fly before the end of the month. At that point, the European defense procurement agency, Occar, has the right to terminate the launch contract.

EADS, in announcing 2008 full year financial results, says it views that outcome as “very unlikely.”

On that point, it is probably fair to say they are right. A cancellation decision has to be unanimous, and the French government, at least, has signaled it wants to stick with the program.

Individual customers can still cancel their aircraft orders. However, even that’s not straight forward. A cancellation for cause can only be made of those aircraft actually “substantially delayed,” EADS says. So later delivery slots could only be cancelled with some restitution to industry.

[P4]

http://www.defense-aerospace.com/articles-view/feature/5/103419/eads-and-the-a400m%3A-the-real-story.html

By Giovanni de Briganti

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Finally, while focusing on the A400M’s short-term troubles is both necessary and salutary, it should not mask the program’s long-term significance for Europe: a unique opportunity not only to break the US monopoly on the tactical airlift market, but also to credibly compete for the real prize: the C-130 replacement market.

Over 2,200 C-130s of all versions have been built over the past 50 years, and Lockheed Martin, its manufacturer, says it has delivered 171 of the 257 C-130J Super Hercules – the latest version - it has sold to date. Demand is such that Lockheed plans to double production by 2010.

Based on the $1.6 billion that the here United Arab Emirates are paying for the 12 C-130J-30s ordered in February, the C-130 replacement market is worth well over $200 billion, in addition to the 20 billion euros in revenue that EADS will gain from developing and producing 180 A400Ms for its launch customers. And that’s not counting the airlift needs of countries which don’t operate the C-130, or which find the C-130J too small or too short-legged.

Compared to this ultimate prize, the penalties that EADS may or may not have to pay for late delivery to its launch customers are a rounding error. But the very real risk is that the A400M will reach the market too late, or with delivery dates so far off into the future that they would dissuade potential customers.

EADS now has a net cash position of 9 billion euros, and Gallois prudently says that conserving that cash as a safety net for the future is a major priority. But if the company really is as confident in the A400M as it says it is, he could do worse than invest some of that cash into getting the A400M to market as fast as humanly possible.

EADS has already removed some obstacles by reorganizing Airbus Military and the Military Transport Aircraft division, and by replacing its management. It now needs to kick in the financial turbocharger without wasting months waiting for nations to renegotiate the A400M contract and to agree to higher payments. Both can be done in parallel.

After all, when you’re playing for a $200+ billion prize, what’s the sense in hoarding a billion or three?

[Philippe Top-Force]

Selon Challenges

http://www.challenges.fr/actualites/entreprises/20090310.CHA1907/la_contreattaque_de_louis_gallois_par_vincent_lamigeon_.html

ON le sait depuis longtemps, le job de président d'EADS n'est pas de tout repos. A fortiori en ces temps agités où chaque interlocuteur semble mettre du sien pour enfoncer le groupe européen dans la crise. L'Allemagne et le Royaume-Uni menacent à demi-mot d'annuler des commandes de l'avion de transport militaire A400M. Le ministre de la Défense français Hervé Morin passe un savon à Louis Gallois, faisant mine de découvrir que les industriels du secteur, dont le patron d'EADS Astrium François Auque, le zappent régulièrement pour s'adresser directement à l'Elysée. Quant aux Espagnols, furieux de la mise à l'écart pour divergence stratégique du patron d'Airbus Military Carlos Suarez, ils pilonnent sans merci Louis Gallois sur le thème de la baisse d'influence de l'Espagne chez EADS. Bizutant même allègrement le nouveau patron de la branche militaire Domingo Ureña-Raso, jugé "pas assez Espagnol".

Bref, l'exercice de présentation des résultats 2008 ce matin, dans un musée de l'aviation perdu au beau milieu d'un no man's land sinistre de la lointaine banlieue de Munich, avait un petit air de contre-attaque pour le président exécutif d'EADS. Exercice dont Louis Gallois s'est acquitté dans son style habituel, à la fois bonhomme et offensif, factuel et rigolard, accompagné de l'indéboulonnable -"malheureusement", glisse un cadre français- directeur financier Hans Peter Ring.

Anglais un poil poussif, le nez dans ses dossiers, Gallois finit par lâcher ses notes et le discours convenu de rigueur. Les rumeurs de démission avant l'été? "A la SNCF, on m'annonçait partant tous les six mois. A EADS, ce n'est que tous les ans. Il y a du progrès." La fronde espagnole? "L'Espagne n'a pas à se plaindre du soutien d'EADS. Dans le cadre de Power 8, nous avons vendu ou filialisé des sites en Allemagne, en France, au Royaume-Uni. Pas en Espagne." Le C-17 de Boeing comme alternative éventuelle à l'A400M? "Il est plus gros, plus cher, et n'a pas les capacités tactiques de l'A400M. Alors, non, ce n'est pas un concurrent." L'annulation pure et simple du programme? "Très improbable. Il faudrait un consensus des pays clients. On en est très loin."

Gallois le sait: les prochaines semaines s'annoncent tendues, entre l'ire des pays clients, le trafic aérien en chute libre et la brouille persistante avec l'exécutif français, qui avait peu apprécié la liberté de ton du président exécutif d'EADS sur le dossier Thales. Mais avec un carnet de commandes de 400 milliards d'euros, soit quinze fois le plan de relance français, et 9,2 milliards de cash disponibles, Louis Gallois sait qu'il dispose encore de quelques sérieux arguments à faire valoir.

[SPARTAN]

A force l'avion va avoir 10 ans de retard... >:( on a toujours pas de solution de repli...en attendant, comme par exemple une version simplifie de l'A400m avec un standard moins contraignant (version "france")?

[zx]

Hmm,  si on a fait notre petit rafale, notre petit caracal, on peut faire notre petit "A400M",

on a tout ce qui faut et rien ne nous empeche d'en faire un, un avioneur et un motoriste, des spec beton et des bases simple, dans 2 ans on a notre avion en complément de l'A400M,  sur la base du transall et sans partir dans le piège de l'ultra performance.

Ca devrait aiguillonner du monde.

[xav]

Le weekend dernier il y avait un antonov sur la Base d'Evreux (base de Transalls normalement) toute le journee de dimanche.

Ca me fait penser d'ailleur que de 10h du matin a 17h (heures aux quelles je suis passé devant la base) il est resté en bout de piste... Il doit etre trop gros (ou lourd?) pour cette base de Transals.

J'etait a un meeting a Evreux il y a deux ans... Il y avait un C17 US en statique, bon lui etait pas trés loin de la taxiway mais à mon avis les emplacements ou spots pour les Transals sont trop petit pour y metre des C17 (sans parler des hangars) donc ceux qui veulent acheter des C17, il faut qu'ils pensent aux installation egalement.

D'ailleur ils feront comment avec l'A400m? Il faudra réaménager les bases? C'est prevu dans le budget?

[pascal]

La piste d'Evreux est au standard OTAN donc pas de pb pour faire atterrir et décoller un An124. Les margerites et les alvéoles sont pour certaines non merlonnées ce qui ne pose pas de pb de dimensions.

Les parkings sont suffisants aussi...

[xav]

La piste d'Evreux est au standard OTAN donc pas de pb pour faire atterrir et décoller un An124. Les margerites et les alvéoles sont pour certaines non merlonnées ce qui ne pose pas de pb de dimensions.

Les parkings sont suffisants aussi...

Donc 0 travaux et 0€ a debourser pour acceuillir des A400M ou d'hypothetiques C17?

Il devait y avoir une autre raison pour que l'Antonov reste en bout de piste donc... (pourtant ça tombe mal si un vol commerciale ou autre a une urgence et doit se poser a Evreux pendant ce temps...)

[Chris.]

acceuillir des appareils de manière ponctuelle, c'est pas la même chose qu'y baser des appareils de manière permanente...

un An-124 (ou un C-17), même s'il passe dans les hangars de maintenance, nécessitera des équipements différents par rapport à un A400M, à cause de sa taille, de sa propulsion différente, etc.

[ARPA]

Hmm,  si on a fait notre petit rafale, notre petit caracal, on peut faire notre petit "A400M",

on a tout ce qui faut et rien ne nous empeche d'en faire un, un avioneur et un motoriste, des spec beton et des bases simple, dans 2 ans on a notre avion en complément de l'A400M,  sur la base du transall et sans partir dans le piège de l'ultra performance.

Ca devrait aiguillonner du monde.

Pour une livaison avant 2012 ?

De toute façon maintenant et ce serra de plusen plus vrai, même si l'A400M a du retard ce ne serra pas beaucoup plus rapide de choisir autre chose.

[LBP]

Pour une livaison avant 2012 ?

De toute façon maintenant et ce serra de plus en plus vrai, même si l'A400M a du retard ce ne serra pas beaucoup plus rapide de choisir autre chose.

oui on est bloqué

Donc on utilise plus de AN124 pour économiser le potentiel des Transalls

en plus les Hercules seront modernisés

En plus risque d'avoir des CN235 supplémentaire avec l'aide de EADS

voilà rien de plus cela finir comme cela  ^-^

[Philippe Top-Force]

oui on est bloqué

Donc on utilise plus de AN124 pour économiser le potentiel des Transalls

en plus les Hercules seront modernisés

En plus risque d'avoir des CN235 supplémentaire avec l'aide de EADS

Lorsqu'on a perdu un CN235, on ne l'a pas pour autant remplacé.

On a sûrement grillé toutes les heures (550h par an) d'affrètement de l'Antonov.

[LBP]

Lorsqu'on a perdu un CN235, on ne l'a pas pour autant remplacé.

On a sûrement grillé toutes les heures (550h par an) d'affrètement de l'Antonov.

on en commandera d'autres

voilà ou alors Obama nous louera des C17 pour envoyez plus de matériel et d'homme en Afghanistan 

[Philippe Top-Force]

on en commandera d'autres

voilà ou alors Obama nous louera des C17 pour envoyez plus de matériel et d'homme en Afghanistan 

Juste pour le détail :Ce n'est pas Barak Obama qui donne l'autorisation mais le Congrès US. C'est différent. ;)

Maintenant, si on pouvait placer au Pentagone quelques KC45 A330-200 MRTT, en retour on pourrait renvoyer l'ascenseur par la commande de 4/6 Globemaster III pour épauler les CN235/A400M. Le Livre Blanc prévoit 70 avions de transport. Est-ce en ligne ou en parc ?

Parce que si c'est en parc. 70 = 50 A400M+19CN235 ou 19CN235+14A330-200MRTT+XA400M.

[Captain Pif]

Les 14 C-130 H & H-30 ont un peu plus de 20 ans. Il n'est pas prévu qu'ils soient retirés tout de suite, il faut donc les intégrer aux 70.

[P4]

La France pourrait réduire ses commandes d'avions A400M

PARIS (Reuters) - La France réfléchit à la possibilité de réduire ses commandes d'avion de transport militaire A400M mais n'a pas encore pris de décision sur ce sujet, a déclaré Laurent Collet-Billon, délégué général pour l'armement.

Interrogé sur une éventuelle réduction de commandes, il a déclaré mardi lors d'une conférence de presse : "Cela fait partie des choses à examiner. Nous n'avons pas encore évalué l'ampleur du trou de capacités à boucher. Cela peut passer par une réduction de la cible (le nombre de commandes, NDLR). Notre position est qu'il faut donner les chances à ce programme de se poursuivre."

Le programme A400M, mené par EADS et qui accuse au moins quatre ans de retard selon Laurent Collet-Billon, reste toutefois nécessaire pour la France, a pour sa part déclaré à Reuters le ministre français de la Défense, Hervé Morin.

"Il faut pas se fixer sur ce retard. Ce qui est certain, c'est que nous avons besoin, nous, de cet avion. Nous avons besoin de rénover une partie de notre flotte de transport qui est très vieillissante, et particulièrement les Français et les Britanniques", a-t-il dit.

Hervé Morin avait indiqué le 12 mars qu'un moratoire de trois mois sur l'A400M serait proposé d'ici fin mars à EADS par les sept pays à l'origine du projet.

Le coût de développement de l'A400M est estimé à une vingtaine de milliards d'euros. La date de son premier vol n'a toujours pas été fixé.

Plusieurs des sept pays parties prenantes au projet et ayant déjà commandé des A400M - France, Allemagne, Espagne, Grande-Bretagne, Turquie, Belgique et Luxembourg - ont récemment indiqué que les retards de l'appareil les conduisaient à envisager des solutions de substitution.

EADS, la maison mère d'Airbus, a minimisé il y a peu l'éventualité d'une résiliation pure et simple du contrat. Elle a toutefois reconnu que des pays avaient la possibilité d'annuler des avions à l'unité.

Le constructeur aéronautique espère que le premier vol de l'appareil aura lieu en 2009. Il était initialement prévu pour janvier 2008.

Un rapport du Sénat français indiquait le mois dernier que les pays ayant commandé des A400M pourraient revenir sur leurs commandes si le premier vol dépassait 14 mois de retard sur le calendrier contractuel, c'est-à-dire dès le 1er avril.

Le moratoire a pour but de faire le point sur l'état du programme et sur les conséquences financières, industrielles et humaines des retards.

EADS a en outre averti le 10 mars que de nouvelles "provisions A400M" étaient susceptibles d'affecter son résultat opérationnel au cours des prochains mois, alors que les dépassements de coûts du programme atteignent déjà deux milliards d'euros. Selon certains analystes, les surcoûts pourraient totaliser trois milliards d'euros en 2009.

[Philippe Top-Force]

"A400M : des solutions d'attente"

17 mars 09 - Le Figaro.

Selon Le Figaro, "Paris et Berlin font cause commune pour sauver l'A400M". Les deux plus gros clients de l'avion de transport militaire, commandé à 180 exemplaires par sept pays, ne veulent pas abandonner le programme. "Les deux capitales sont prêtes à revoir le contrat avec EADS et étudient des solutions d'attente" souligne le quotidien. L'une d'elle pourrait se concrétiser sous forme d'un échange. La Défense française achèterait des heures de vol de Transall allemand contre des prestations militaires dont l'Allemagne a besoin.

[P4]

http://www.defensenews.com/story.php?i=3994153&c=AME&s=AIR

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The French Air Force is considering all options for plugging the capability gap, including acquiring a foreign aircraft, bringing forward the A330 multirole tanker transport or leasing German Air Force C-160 Transall transports. "We are looking at all options," he said.

If the German Transalls are leased to the French Air Force, they would need modifications, an EADS executive has said.

Collet-Billon ruled out an interim acquisition of the C-130J because the plane is too small for the loads envisioned. He did not exclude procurement of the C-17 but stopped short of saying the U.S. plane is a possible temporary solution.

"We are looking at leasing certain types of aircraft through NATO," he said. "There are no taboos."

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[pascal]

Par le passé nous avons déjà acheté des heures de vol aux Belges et peut être même aux Portugais

[alexandreVBCI]

AFP : FRANKFURT, Germany - German Deputy Defence Minister Ruediger Wolf said March 19 that canceling orders for the problem-plagued Airbus A400M military transport plane was a serious option. Wolf told the Sueddeutsche Zeitung newspaper that to bring pressure on Airbus' parent company EADS, "cancellation must be a serious option after a delay of three to six months." The A400M has been plagued by setbacks, with the aircraft's first flight postponed to a date that has yet to be determined because of engine problems. Wolf, who was quoted indirectly by Sueddeutsche Zeitung, said it was more realistic to extend to six months a moratorium accorded to EADS to get the program back on track.

Countries that have ordered the plane, Belgium, Britain, France, Germany, Luxembourg, Spain and Turkey, have suggested delaying from April 1 to July 1 the date on which they can begin to cancel contracts.

The European Aeronautic Defence and Space Company (EADS) was supposed to get the transport plane in the air for an inaugural flight in January 2008, and the seven countries await a total of 180 A400Ms.

On March 18, French defense official Laurent Collet-Billon said Paris might reduce the number of planes it has ordered.

France has signed on for 50 aircraft, while Germany has ordered 60.

Le ministre de la défense allemand considère l'abandon de l'A400M comme une option sérieuse.

Un "officiel" du ministère de la défense français dit que le nombre d'appareils commandés par la France pourrait être réduit....

Grrrr !!!  >:(  >:(

[Philippe Top-Force]

A400M : la résiliation est "une option sérieuse", selon un responsable allemand

[ 19/03/09  - 10H43 - AFP  ]

Le secrétaire d'Etat allemand à la Défense Rüdiger Wolf juge dans une interview publiée jeudi que la résiliation des commandes de l'avion militaire A400M doit être considérée comme une "option sérieuse" alors que le programme a quatre ans de retard.

M. Wolf a déclaré à la Süddeutsche Zeitung que pour faire réellement pression sur le fabricant, le groupe européen EADS, "il faut que la résiliation soit une option sérieuse au bout du délai de trois ou six mois" accordé à EADS.

Le secrétaire d'Etat allemand, cité au style indirect par le quotidien, juge en effet plus réaliste de prolonger à six mois le moratoire de trois mois accordé la semaine dernière à EADS par les sept pays engagés dans le programme de l'avion militaire.

Ces pays (France, Allemagne, Espagne, Royaume-Uni, Turquie, Belgique et Luxembourg), qui ont commandé au total 180 appareils, veulent repousser au moins jusqu'au 1er juillet, au lieu du 1er avril, la date à laquelle ils pourront dénoncer les contrats, EADS n'ayant pas respecté son engagement de procéder à un vol inaugural en janvier 2008.

Mercredi, le Délégué général pour l'armement français, Laurent Collet-Billon, a estimé qu'une réduction de la commande d'A400M "faisait partie des mesures examinées."

La France a commandé 50 A400M au groupe européen de défense et d'aéronautique EADS, et l'Allemagne 60 appareils.

[Philippe Top-Force]

Le feuilleton continue.  :lol:

A400M. L'Allemagne, le plus important client du programme...

[ 20/03/09  ]

L'Allemagne, le plus important client du programme avec 60 appareils commandés, suit la position française : dans une interview au quotidien « Süddeutsche Zeitung », le secrétaire d'Etat allemand à la Défense, Rüdiger Wolf, a jugé que la résiliation des commandes de l'appareil devait être considérée comme une « option sérieuse ».

[pascal]

Les politiques envoient un message clair aux militaires, aux industriels et à l' OCCAR

çà veut dire en gros: "Ne nous prenez pas pour ce que nous sommes pas" (trop)...

[Philippe Top-Force]

Le feuilleton continue.  :lol:

A400M. L'Allemagne, le plus important client du programme...

[ 20/03/09  ]

L'Allemagne, le plus important client du programme avec 60 appareils commandés, suit la position française : dans une interview au quotidien « Süddeutsche Zeitung », le secrétaire d'Etat allemand à la Défense, Rüdiger Wolf, a jugé que la résiliation des commandes de l'appareil devait être considérée comme une « option sérieuse ».

Puisque j'ai parlé de feuilleton Pascal, dans ce cas j'ai dû râter un épisode  :-[ Car si on lit bien sus-mentionné, l'Allemagne suit la position française, et son secrétaire d'état allemand à la défense annonce dans un journal allemand, que la résilation des commandes devrait être considérée comme une option sérieuse.

J'ai suivi ce qu'a dit le Directeur GA sur une possibilité de réduction de la cible de dotation, mais ni Hervé Morin ni un autre décideur politique français n'ont émis l'hypothèse d'une résiliation des 50 commandes.

A moins que cela m'est échappé.

[pascal]

A mon avis Philippe, si Laurent Collet-Billon se permet une telle position en tant que haut fonctionnaire de la Défense, c'est que le politique est sur la même longueur d'onde.