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[Iran] projet nucléaire et conséquences / Archive


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@TK_AK => tu as du mal à comprendre le sens des phrases alors ...

Je pense pas que le Zulfikar soit un fake, il en est à sa 3ème version et on entend parler depuis un certain temps.

Je pense pas qu'il soit exceptionnel, il doit-être du niveau d'un T-72 de base avec quelques améliorations.

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le casus belli serait beaucoup trop beau.Personne n'a interêt à attaquer de toute façon. 

Une fois les élections américaines passées on y vera plus claire,mais moi je pari qu'il ne se passera rien. L'Iran n'est pas l'Irak de 91. En somme il y a déjà une dissuasion par l'équilibre entre les moyens de nuisances réciproques. 

Puissance balistique VS feu nucléaire = statu quo.

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Voila une allusion de Sarkosy lors de sa visite en Syrie :

12:09  Nicolas Sarkozy à Damas : ''L'Iran prend un risque majeur'' en poursuivant sa course à l'armement nucléaire. Le président français a déclaré au début du sommet quadripartite : ''L'Iran prend un risque majeur à continuer le processus d'obtention du nucléaire militaire - ce qui est notre certitude - parce qu'un jour, quel que soit le gouvernement israélien, on peut se retrouver un matin avec Israël qui a frappé''.  (Guysen.International.News)

''Il ne s'agit pas de savoir si c'est légitime, intelligent ou pas. Qu'est-ce qu'on fera à ce moment là ? Ca sera la catastrophe. Il faut éviter cette catastrophe'', a-t-il ajouté.

Je retiens surtout le "ce qui est notre certitude" ... les renseignements français doivent avoir pas mal d'infos dessus pour que Sarko soit si catégorique.

Sarkozy a aussi la certitude qu'en Afghanistan nous combattons le terrorisme, alors que les services de renseignements disent le contraire... O0

Nicolas peut dire ce qu'il veut, ça ne change rien au fait qu'Israël n'a pas les moyens de retarder voire détruire le programme nucléaire iranien, sans l'avale de Washington. Si malgré l'opposition de Washington, Tel-aviv venait à attaquer les sites nucléaires , ça légitimera d'autant Téhéran qui peut enfin lancer un vrai programme militaire.

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Voila une allusion de Sarkosy lors de sa visite en Syrie :

12:09  Nicolas Sarkozy à Damas : ''L'Iran prend un risque majeur'' en poursuivant sa course à l'armement nucléaire. Le président français a déclaré au début du sommet quadripartite : ''L'Iran prend un risque majeur à continuer le processus d'obtention du nucléaire militaire - ce qui est notre certitude - parce qu'un jour, quel que soit le gouvernement israélien, on peut se retrouver un matin avec Israël qui a frappé''.  (Guysen.International.News)

''Il ne s'agit pas de savoir si c'est légitime, intelligent ou pas. Qu'est-ce qu'on fera à ce moment là ? Ca sera la catastrophe. Il faut éviter cette catastrophe'', a-t-il ajouté.

Je retiens surtout le "ce qui est notre certitude" ... les renseignements français doivent avoir pas mal d'infos dessus pour que Sarko soit si catégorique.

Je crois qu’il se prépare après GW BUSH, il veut être son successeur
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On parle beaucoup de l'Iran se prépare à se défendre, mais se préparent-ils aussi à attaquer ?

Après tout, ils peuvent attaquer en premier.

Attaquer en premier NON

Mais ils peuvent disons forcer la main de leurs ennemis (les monarchie du golfe persique) qu’ils le fassent l'erreur fatale.

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Pour changer un peu de registre: voici une récente étude de l'IRIS sur Le faible impact des sanctions contre l'Iran

Le faible impact des sanctions contre l'Iran 

de THIERRY COVILLE professeur à Advancia-Negocia et chercheur associé à l'Iris (Institut de relations internationales et stratégiques).

Si l'on considère que le dossier du nucléaire iranien est une affaire sérieuse, il faut analyser avec le plus de précision possible l'impact des sanctions financières prises à l'encontre de l'Iran. Trois résolutions ont été votées par le Conseil de sécurité des Nations unies depuis décembre 2006, ces résolutions visant à interdire toute transaction économique ou financière avec l'Iran concernant les activités, sensibles (c'est-à-dire pouvant avoir une application militaire) de son programme nucléaire. Parallèlement, les Etats-Unis ont pris un certain nombre de mesures visant à isoler les banques iraniennes Sepah et Saderat. En outre, en 2007, ils ont fait pression sur de nombreuses banques non américaines pour qu'elles cessent de travailler avec l'Iran.

Quel a été l'impact économique de ces mesures ? Selon les derniers chiffres du FMI, la croissance iranienne a atteint 5,8 % en 2007, soit le même résultat qu'en 2006. Selon cette même source, l'Iran a enregistré un excédent courant de 10,4 % du PIB en 2007, contre 9,4 % en 2006. Par ailleurs, sa dette extérieure reste faible, s'approchant de 20 % du PIB. Les résultats macroéconomiques de l'Iran sont donc globalement favorables et il est difficile d'y déceler l'impact de ces sanctions. En fait, les recettes pétrolières de l'Iran représentant près de 80 % de ses exportations et 60 % des recettes budgétaires, la montée des prix du pétrole a gonflé les recettes de l'Etat, qui a soutenu la croissance par une politique budgétaire très expansionniste, tout en assurant des excédents extérieurs conséquents. Cependant, l'injection trop rapide des pétrodollars dans l'économie iranienne, alliée à une politique monétaire trop stimulante, a relancé l'inflation, qui approcherait maintenant les 20 %, ce qui nourrit un très fort mécontentement populaire.

Ces sanctions ont-elles eu un impact sur le commerce extérieur iranien ? Les exportations de pétrole ont atteint 36,4 milliards de dollars sur les deux premiers trimestres de l'année iranienne commençant le 21 mars 2007, soit une progression de près de 8 % par rapport à la même période de l'année précédente, selon la Banque centrale d'Iran. Fait intéressant, les exportations non pétrolières sont en plein boom. Sur les dix premiers mois de l'année iranienne, elles ont atteint 12,5 milliards de dollars, soit une progression de 13,8 % en glissement annuel (source : douanes d'Iran). Les Emirats arabes unis (1,8 milliard de dollars), en tant que centre de réexportation, sont les premiers clients de l'Iran. Mais l'Irak (1,3 milliard) et la Chine (1 milliard) sont maintenant les 2e et 3e clients des exportations non pétrolières. Enfin, les importations ont progressé de 7,6 % en valeur en glissement annuel sur les dix premiers mois de l'année iranienne 2007-2008. Il est donc difficile de voir un impact sérieux des sanctions sur le commerce extérieur iranien.

Ces sanctions ont concrètement pénalisé un certain nombre d'importateurs et d'exportateurs iraniens, car des banques européennes ont arrêté de travailler avec le pays. Les hommes d'affaires iraniens ont alors multiplié les paiements en espèces, notamment par l'intermédiaire de circuits de paiements informels traditionnels appelés « hawala ». Beaucoup d'entreprises iraniennes ont créé des partenariats avec des entreprises basées à Dubaï, ce qui a permis d'utiliser les EAU comme base d'importations : les importations en provenance de ce pays ont progressé de 9 % des importations totales en 2002 à 22,1 % sur les dix premiers mois de l'année 2007. Enfin, les sociétés iraniennes utilisent de plus en plus pour leurs transactions des banques de second rang, pakistanaises notamment, sans doute moins concernées par les pressions américaines. Au total, le recours à des voies parallèles pour les importations alimente une hausse des coûts de transaction pour les entreprises, qui est ensuite répercutée dans les prix. Cependant, la responsabilité essentielle de la hausse de l'inflation, on l'a vu, incombe surtout à la politique irréfléchie d'injection des revenus pétroliers dans l'économie menée par les autorités iraniennes. Ces sanctions n'ont donc qu'un effet marginal sur les prix.

Enfin, les sanctions ont pu ralentir le développement des champs gaziers en Iran du fait des pressions exercées sur les sociétés pétrolières et banques européennes. Mais l'impact de ces retards ne se fera vraiment sentir qu'à long terme quand l'Iran aura épuisé ses réserves pétrolières (estimées à 11,4 % des réserves mondiales fin 2006 par BP). Par ailleurs, l'Iran vient de passer des contrats de plusieurs milliards de dollars avec la Malaisie pour développer ses champs gaziers.

Car un embargo n'est efficace que s'il est pratiqué par tous. Or on constate que les entreprises asiatiques sont de plus en plus présentes sur le marché iranien. Les parts de marché de la Chine et de la Corée du Sud ont atteint respectivement 9 et 5,3 % sur les dix premiers mois de 2007. Des entreprises chinoises ont passé d'énormes contrats dans le secteur pétrolier. Cela signifie aussi que la part de marché de la France en Iran est en très net recul. En 2004, avec 8,1 % de part de marché et près de 2,7 milliards d'euros d'exportations, la France disposait en Iran de la 3e part de marché. En 2007, elle ne fait plus partie des cinq premiers exportateurs dans le pays.

Un autre élément à la décharge de ces sanctions est le fait que l'utilisation de moyens tels que les circuits de paiement parallèles (avec utilisation de cash) et de banques de second rang peut rendre la « traçabilité » des flux financiers beaucoup plus difficile. Un élément à ne pas négliger, compte tenu des efforts actuels dans la lutte contre le terrorisme.

Au total, l'efficacité de cette politique de sanctions n'est pas du tout évidente, et le coût pour les entreprises françaises, même s'il reste à préciser, est réel. De plus, le risque d'utilisation « politique » de ces sanctions par le gouvernement iranien pour montrer qu'il résiste aux « méchants » occidentaux et que les difficultés économiques actuelles de l'Iran sont dues à ces mêmes sanctions, n'est pas à négliger. Dans ces conditions, continuer à croire que cette politique va régler la crise du nucléaire équivaut à s'enfermer dans un schéma bien dangereux puisque les sanctions étaient censées éviter la guerre. De vraies négociations entre toutes les parties concernées apparaissent donc encore une fois comme la solution la plus sage

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Attaquer en premier NON

Mais ils peuvent disons forcer la main de leurs ennemis (les monarchie du golfe persique) quils le fassent l'erreur fatale.

Euh non, ce serait plutot une erreur fatale pour l'Iran à mon avis. D'accord, crise économique, terrorisme en Irak, Hezbollah, Shahab sur Tel-Aviv (et Jericho sur Teheran) mais en attendant il y a 2 porte-avions américains dans le coin.
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On parle beaucoup de l'Iran se prépare à se défendre, mais se préparent-ils aussi à attaquer ?

Après tout, ils peuvent attaquer en premier.

trés peu probable, leur doctrine militaire de base ( celle où l'Irak était l'ennemi ) est défensive et s'appuie sur une infanterie et une artillerie nombreuse menant un combat défensif statique style guerre "iran-irak"

depuis ( avec en vue que la menace principale est US ) ils ont introduit une doctrine de guerre asymétrique complétant l'action des forces armées traditionelles par les pasdarans et basej opérant en petite unités et pratiquant la guerrilla à trés grande échelle ( au moins en théorie )

passer à une doctrine offensive implique de repenser la structure des forces et la logistique.............. ça serait trés long et couteux

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trés peu probable, leur doctrine militaire de base ( celle où l'Irak était l'ennemi ) est défensive et s'appuie sur une infanterie et une artillerie nombreuse menant un combat défensif statique style guerre "iran-irak"

depuis ( avec en vue que la menace principale est US ) ils ont introduit une doctrine de guerre asymétrique complétant l'action des forces armées traditionelles par les pasdarans et basej opérant en petite unités et pratiquant la guerrilla à trés grande échelle ( au moins en théorie )

passer à une doctrine offensive implique de repenser la structure des forces et la logistique.............. ça serait trés long et couteux

je pensais à un truc, en admettant que la coalition quitte l'Irak, une guerre Iran-Irak peut se reproduire ?

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je pensais à un truc, en admettant que la coalition quitte l'Irak, une guerre Iran-Irak peut se reproduire ?

La rivalité Arabe/Perse est plus fort que la cohésion chiite,c'est ce qui ressort d'un article du Council on Foreign Relations. Mais, il ne faut pas oublier que l'armée irakienne est aujourd'hui une armée anti-insurrection pas du tout au format d'une guerre de haute intensité.

Mais bon,avec la division du camp occidental, Mahmoud dort sur ses deux oreilles :lol:

Image IPB

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Invité barbaros pacha

Le numéro deux d'Al-Qaïda accuse l'Iran de collusion avec Washington



Le numéro deux d'Al-Qaïda, Ayman Al-Zawahiri, s'en est pris violemment à l'Iran, l'accusant de collaborer avec les Etats-Unis dans leur "occupation" de l'Irak et de l'Afghanistan, dans une vidéo diffusée lundi soir par la chaîne de télévision Al-Jazira du Qatar.

Le document de "près d'une heure et demie", selon Al-Jazira, est intitulé "Sept années de croisades" et analyse la situation du point de vue d'Al-Qaïda sur différentes scènes où le réseau extrémiste sunnite est actif.


Il a été publié, selon la chaîne, pour marquer l'anniversaire des attaques sanglantes du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis menées par le réseau d'Oussama ben Laden.

"Le dirigeant de Téhéran collabore avec les Américains dans leur occupation de l'Irak et de l'Afghanistan", y déclare Ayman Al-Zawahiri, en allusion au guide suprême de l'Iran chiite, l'ayatollah Ali Khamenei, selon un extrait diffusé par Al-Jazira.

"Il reconnaît les gouvernements inféodées (aux Américains) de ces deux pays, tout en promettant mort et destruction à tout (pays) qui oserait toucher au sol iranien", ajoute le numéro deux d'Al-Qaïda.

"La vérité a fini par éclater", dit-il à propos de ce qu'il considère comme un collusion entre religieux chiites et Américains. "Aucune fatwa (avis religieux) n'est venue d'Iran ou d'Irak pour appeler au Jihad en Irak ou en Afghanistan" alors qu'elles se multiplient, selon lui, lorsqu'il s'agit du Liban et de la Palestine.

"Le Jihad serait-il devenu licite au Liban et en Palestine et illicite en Irak et en Afghanistan?" s'interroge-t-il.

Dans un autre extrait, Ayman al-Zawahiri s'en prend à la fois au Hezbollah chiite et aux dirigeants sunnites libanais.

"De quelle victoire parle le Hezbollah", dit-il, affirmant que ce parti a perdu le contrôle du Liban sud et a laissé s'y installer des "milliers de croisés", allusion aux soldats de la force de maintien de la paix de l'ONU.

Quant aux dirigeants sunnites libanais, il les qualifie d'"agents" des Américains.

A propos de l'Irak, le document donne la parole à un certain cheikh Attiyat al-Allah, présenté comme un "idéologue du Jihad" qui affirme que "le projet des Sahwa (les milices sunnites combattant Al-Qaïda avec l'aide de l'armée américaine) est en train de s'effilocher".

Concernant le Maghreb, un dirigeant de la branche nord-africaine du nom d'Abou Moussab Mohammed al-Wadoud, accuse selon le document d'Al-Jazira les Etats-Unis d'"installer des bases dans le sud de l'Algérie et de piller les richesses du pays".
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:lol: ''Cool'', divisez pour régner, cela serait excellent si le régime de Téhéran se chargent de la traque d'Al Queda à notre place.

Bien que l'opposition entre l'Iran et les Taliban soit connut depuis les années 90, déclaré que l'Iran est ''l'ennemi'' ne fait qu'éffiloché le poids (déja maintenant tout relatif sur la scéne médiatique mondiale) d'Al Queda et cie.

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L'AIEA commence à en avoir marre de l'Iran et de ses cachoteries:

http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2008/09/15/l-aiea-accuse-teheran-de-continuer-l-enrichissement-d-uranium_1095531_3216.html#xtor=RSS-3208

Depuis 2007, le régime iranien est accusé d'avoir mené des études en vue d'une militarisation de son programme nucléaire. Ces études portent notamment, selon l'AIEA, sur la confection d'ogives, la possible conversion du missile Shahab-3 en missile nucléaire ou encore des installations pour des essais nucléaires souterrains. Lors de nombreuses négociations menées jusqu'à l'été avec l'AIEA, l'Iran a refusé de discuter de ces études qu'elle a qualifiées d'"allégations sans fondement" et fondées sur des renseignements "fabriqués".

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Washington s'alarmait à la publication des rapport plus complaisants de l'AIEA mais il n'y a pas vraiment de réaction contre ce dernier rapport pourtant l'un des plus durs. Maintenant que Washington et Téhéran négocie directement (en secret bien sur =)), l'AIEA n'a plus vraiment d'utilité pour Washington. Les européens l'utilise encore pour faire pression sur l'Iran pour que Téhéran les intègres dans les négociations. Je me demande quand les européens comprendront qu'ils étaient les pions de l'échiquier Téhéran vs Washington. Toutes ces années de négociations avec la Troika c'était simplement pour ramener Washington à la table des négociation iranienne et de facto reconnaitre le rôle que joue l'Iran dans la région.

Les prochaines rencontres entre iraniens et américains se feront en Irak à l'invitation du président irakien.

Pour ce qui est de l'article du Figaro,c'est un résumé synthétisé de "Iran's Asymmetric Naval Warfare " publié par " The Washington Institute for Near East Policy"

http://www.washingtoninstitute.org/templateC04.php?CID=298

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@ tomcat

Que des pays ennemis négocient en secret c'est pas un scoop, il n'existe d'ailleurs pas vraiment d'alternatives aux tensions internationales...

Mais que des négociations aboutissent c'est une autre question, enfin peut être avec un autre président qu'Ahmadinejab...

Donc bientôt nous pourrons fêter l'amitié retrouvée israelo-iranienne... LOL

Après tout Khomeny quand il a annoncé la signature de la paix avec Sadham, a dit quelque chose du genre : "On avait dit qu'on le ferait jamais, mais finalement on a changé d'avis"

De toute manière, l'Iran comme l'Arabie feraient bien de la jouer modeste, parce que l'europe et les USA sont clairement entrés dans l'après pétrole, autrememt dit : faîtes chier et on le fera en 5-10 ans, et soyez cool on le fera en 10-15 ans...

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Je ne vois pas ou on est entré dans l'après pétrole.

Ce genre de décision n'est pas prise par des stratèges géopolitiques et militaires, mais par des économistes qui sont aussi des hommes d'affaire liés au circuits pétroliers, ils resterons dans ce système jusqu'à la dernière seconde ou il sera rentable.

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Je ne vois pas ou on est entré dans l'après pétrole.

Ce genre de décision n'est pas prise par des stratèges géopolitiques et militaires, mais par des économistes qui sont aussi des hommes d'affaire liés au circuits pétroliers, ils resterons dans ce système jusqu'à la dernière seconde ou il sera rentable.

Disons dans la préparation de l'après pétrole... Il y a de nombreuses sociétés qui échappent aux intérêts du lobby pétrolier, il y a une opinion publique favorable, en plus tout le monde a compris que le pétrole bon marché c'est fini, donc qu'il faut passer à autre chose... Quant aux financiers il suffit que tel système soit plus rentable que tel autre système pour qu'ils se jettent dessus... Ils solderont leurs actions TOTAL... comme ils ont soldé leurs actions Lehman Brothers...

Maintenant il est vrai que tout serait plus rapide si il y a avait encore des politiques

Je suppose de toute manière que le développement des centrales nucléaires des années 70 n'a pas du enchanté tout le monde, on l'a quand même fait...

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C'est le maslah-e-nezam , ou la raison d'état à la sauce iranienne.

L'Israel représente peu d'intérêt dans la politique iranienne,c'est simplement un épouvantail que le régime agite pour faire peur/mobiliser le peuple. Avec ses négociations Washington reconnait de facto le rôle de l'Iran,c'est un échec pour les faucons favorables à la manière dure avec le régime des mollahs.

On est tellement dans l'après pétrole qu'on exploite les sables bitumineux et on envisage fortement d'exploiter les réserves en Alaska :lol:

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