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Le Canada et sa place sur la scène internationale


Messages recommandés

Un article sur la politique du gouvernement canadien envers les scientifiques payés par l'Etat.

http://www2.macleans.ca/2013/05/03/when-science-goes-silent/

Si c'est exact c'est hallucinant, les gens doivent demander la permission (pas accordée dans beaucoup de cas) pour donner des interviews voire pour publier dans les revues scientifiques, et une partie du minitère se charge de leur fournir les éléments de langage officiels.

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Un article sur la politique du gouvernement canadien envers les scientifiques payés par l'Etat.

http://www2.macleans.ca/2013/05/03/when-science-goes-silent/

Si c'est exact c'est hallucinant, les gens doivent demander la permission (pas accordée dans beaucoup de cas) pour donner des interviews voire pour publier dans les revues scientifiques, et une partie du minitère se charge de leur fournir les éléments de langage officiels.

C'est malheureusement vrais.

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Nous parlions de corruption de sénateur, voici des nouvelles.

http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/05/15/mike-duffy-nigel-wright-chef-cabinet-stephen-harper-remboursement-depenses-residence_n_3280248.html

Le chef de cabinet du premier ministre Stephen Harper, Nigel Wright, a réglé le problème des dépenses de résidence du sénateur Mike Duffy en lui rédigeant un chèque personnel de plus de 90 000 $. Le sénateur Duffy a dû rembourser des dépenses de résidence à la suite d'un rapport indépendant de la firme de vérification Deloitte.

« M. Duffy a accepté de rembourser les dépenses parce que c'était la bonne chose à faire », a déclaré le porte-parole du premier ministre Harper, Andrew MacDougall dans un communiqué. « Toutefois, M. Duffy se trouvant dans l'impossibilité d'effectuer le remboursement dans les délais prescrits, M. Wright lui a rédigé un chèque de son compte personnel pour lui permettre de rembourser la somme. »

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Le Canada préside désormais le Conseil de l’Arctique, avec son ordre du jour

Le Devoir

Le Canada occupe maintenant la présidence d’un Conseil de l’Arctique nouvellement élargi, entamant un mandat de deux ans en tant que leader d’un groupe de huit nations réparties autour du Pôle Nord, qui représente le principal forum pour les questions nordiques.

La ministre canadienne Leona Aglukkaq, qui est maintenant présidente du conseil, a déclaré mercredi en Suède que le Canada, avec l’aide de ses partenaires de l’Arctique, se concentrerait sur le développement économique et durable des communautés de la région.

«Le temps est venu de nous intéresser à l’Arctique, de développer son énorme potentiel, et d’exploiter les opportunités qu’il nous offre», a-t-elle indiqué.

Mme Aglukkaq, une Inuite qui est notamment ministre de l’Agence canadienne de développement économique du Nord, travaillera avec un groupe plus important de pays intéressés par un Nord riche en ressources de plus en plus accessibles.

Lors de la réunion de mercredi à Kiruna, en Suède, le conseil a augmenté le nombre de pays pouvant surveiller les discussions. Ainsi, la Chine, la Corée du Sud, le Japon, l’Inde et l’Italie ont tous reçu le statut d’observateur, après l’avoir réclamé pendant des années.

L’Union européenne (UE), qui exigeait le même statut, a toutefois essuyé un refus en raison des inquiétudes du Canada concernant les effets sur les communautés nordiques de l’embargo européen sur l’importation de produits du phoque.

«Nous allons continuer de travailler avec l’UE sur cette question spécifique», a précisé Mme Aglukkaq.

Toutes les organisations non-gouvernementales réclamant un statut d’observateur, y compris des groupes de l’industrie de l’énergie et des organisations environnementales comme Greenpeace, ont été refoulées au portillon.

Le conseil compte désormais onze nations dotées du statut d’observateur; il y a également neuf observateurs «intergouvernementaux», ainsi que 11 observateurs non-gouvernementaux.

Pollution pétrolière

Le conseil a par ailleurs adopté mercredi une entente sur la préparation en cas de pollution pétrolière marine — le deuxième traité juridiquement contraignant négocié par le conseil, et un signe de son importance diplomatique croissante.

L’ordre du jour canadien a également été accepté; il promet de concentrer les discussions autour des habitants du Nord, et de favoriser les entreprises écoresponsables et le développement durable des ressources.

Mme Aglukkaq a déjà décrit sa proposition de forum des affaires de l’Arctique comme un mélange de foire commerciale et de conférence où les entreprises peuvent échanger des idées et leurs meilleures pratiques. Mercredi, elle a suggéré que ce forum pourrait également s’attaquer à la question des normes environnementales lorsqu’il est question d’entreprises faisant affaire dans plus d’un pays de l’Arctique.

Un groupe de 42 leaders autochtones et d’organisations — dont deux des six participants permanents au conseil — ont fait part de leurs inquiétudes quant à cet ordre du jour. Plus tôt cette semaine, ce groupe a publié une pétition appelant à l’adoption de normes plus strictes en matière de développement industriel.

Greenpeace, quant à lui, affirme s’être adressé à la délégation ministérielle réunie à Kiruna et avoir lancé une campagne de sensibilisation internationale visant à inciter le gouvernement canadien à placer «les intérêts de l’humanité et de l’environnement au-dessus de ceux des compagnies pétrolières».

«Nous ne laisserons pas le gouvernement Harper utiliser le Conseil de l’Arctique à sa guise pendant deux ans et planifier la destruction de l’environnement arctique», a déclaré par voie de communiqué Patrick Bonin, responsable de la campagne Climat-Énergie et Arctique de Greenpeace Canada.

Sur Euronews, les peuples traditionnels de l’Arctique ont manifesté leur crainte de voir leur pouvoir diminuer avec l’arrivée de ces nouveaux membres.

Le statut de L’Union Européenne a été remis à plus tard.

Des manifestants écologistes ont voulu mettre en garde ces nations contre les convoitises nées de la fonte des glaces rendant plus accessible les ressources. C'est raté pour eux !  voir cet article : "Conseil de l'Arctique: le Canada veut promouvoir le développement industriel" http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/afp-00521650-conseil-de-l-arctique-le-canada-veut-promouvoir-le-developpement-industriel-566830.php

L’Arctique représenterait près de 30 pour cent du gaz non découvert et 90 milliards de barils de pétrole.

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http://www.lactualite.com/politique/le-canada-51e-etat-americain/

Dans cet article du magazine l'actualité, l'on retrouve un graphique sur les vote du canada vs US vs le reste du monde.

Dernier vote en date?: celui qui portait sur la résolution faisant de la Palestine un État observateur non membre des Nations unies, il y a quelques semaines. Sur les 193 pays membres de l’ONU, seulement 9 ont voté contre cette résolution. Parmi eux, les États-Unis, Israël et… le Canada.

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En voici une bonne...

À l'heure des campagnes massive contre la cyberintimidation au canada, des élèves d'une école primaire d'Ontario demande au conservateur d’arrêter d'en faire contre leurs plus grand rivaux.

http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/05/15/des-eleves-dottawa-demandent-a-stephen-harper-de-retirer-les-publicites-envers-justin-trudeau_n_3282222.html

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c'est logique non, c'est quoi  la différence entre un Américain et un Canadien ? Il y en a pas de grosse alors c'est logique qu'on est des positions similaires sur bien des plans et comme c'est un gouvernement de l'ouest c'est encore plus vrais.  

Pour ce qui est d'utiliser des enfants du primaire dans de la politique c'est franche con ...

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c'est logique non, c'est quoi  la différence entre un Américain et un Canadien ? Il y en a pas de grosse alors c'est logique qu'on est des positions similaires sur bien des plans et comme c'est un gouvernement de l'ouest c'est encore plus vrais.  

Pour ce qui est d'utiliser des enfants du primaire dans de la politique c'est franche con ...

C'est en effet ce que je pense. Rien ne ressemble plus à un canadien qu'un américain ...pour faire mieux vous devriez fusionner ça serait bien plus clair ...car là faire toujours pareil ca fait "toutou". Peut être alors que les seuls à être un tant soit peu différent - pour autant que ne leur met pas des batons dans les roues - ce sont les quebecois. Et je ne doute point que la grande démocratie qu'est l'amérique leur  laisserait cette indépendance. C'est bien de vouloir l'indépendance chez les autres (en URSS notamment) c'est encore mieux d'appliquer l'auto-dermination chez soi.

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C'est en effet ce que je pense. Rien ne ressemble plus à un canadien qu'un américain ...pour faire mieux vous devriez fusionner ça serait bien plus clair ...car là faire toujours pareil ca fait "toutou". Peut être alors que les seuls à être un tant soit peu différent - pour autant que ne leur met pas des batons dans les roues - ce sont les quebecois. Et je ne doute point que la grande démocratie qu'est l'amérique leur  laisserait cette indépendance. C'est bien de vouloir l'indépendance chez les autres (en URSS notamment) c'est encore mieux d'appliquer l'auto-dermination chez soi.

Dans l'absolu si le Canada était annexé ça changerait pas grand chose à nos vies ,mais les USA c'est loin d'être un pays de rêve. Je suis bien content qu'il y est une frontière pour arrêter toute la violence qu'il y a la-bas et leur système politique est tout pourris. SI non même les conservateurs sont pas les toutous des USA c'est juste l’impression que certain anti-conservateur veulent donner...

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http://www.ledevoir.com/politique/canada/378662/jacques-demers-songe-a-quitter-le-senat

Ottawa — Le scandale qui engouffre le Sénat à Ottawa pourrait peut-être faire une victime inattendue: l’ex-entraîneur de hockey Jacques Demers. Le «coach» se dit tellement «affecté» par les révélations des derniers jours sur les comptes de dépenses de ses collègues et les manières utilisées pour les camoufler qu’il se dit en réflexion, prêt à quitter son siège s’il n’obtient pas les assurances qu’il recherche. Les explications sur ce qui s’est vraiment passé, quant à elles, n’ont pas été fournies par le premier ministre Stephen Harper.

«Je suis personnellement en période de réflexion. Je vais voir ce qui va se passer aujourd’hui [lundi]», a d’entrée de jeu avoué M. Demers, qui s’estime éclaboussé par le scandale. Cette réflexion, précise-t-il, «elle peut me mener à quitter le Sénat». Il a répété qu’il faisait confiance à Stephen Harper et dit le croire lorsque ce dernier affirme ne pas avoir été mis au courant de la situation, parce que l’appareil gouvernemental est gros.

«Je ne l’accepte pas. C’est l’argent des contribuables. Si vraiment ces gens-là ont été fautifs, qu’on les mette dehors, qu’on ne les voit plus. Indépendants, quoi que ce soit, mettez-moi ça dehors!» Le sénateur était furieux. Il a fait un lien avec les précédents scandales de dépenses, notamment les somptueux comptes de dépenses de l’ex-ministre Bev Oda, partie depuis.

«Il y a tellement de menteries qui se disent que j’en ai marre. Qu’on dise la vérité et si on a à perdre nos emplois, qu’on les perde, nos emplois. On ne peut pas tricher les Québécois, les gens qui chaque matin se lèvent et ne savent pas s’ils vont manger le soir. Des jus d’orange à 16 $, des affaires tout simplement incroyables...»

«Moi, je me sens visé comme beaucoup de mes confrères qui vivent une vie honnête, travaillent fort au Sénat, qui sont fiers d’être sénateurs», a-t-il poursuivi, déplorant qu’une centaine de sénateurs honnêtes payaient de leur crédibilité pour les erreurs de quatre personnes croches. «Pour moi, c’est un méchant coup de poing sur la gueule et je n’accepte pas ça. Peut-être parce que j’ai été élevé dans la pauvreté avoir vu c’est quoi ne pas avoir d’argent. On est tous bien payés.»

Signe que la soupe est chaude, le gouvernement a choisi de devancer d’une journée la réunion hebdomadaire de son caucus du mercredi afin que le premier ministre, qui partait pour l’étranger, puisse y assister et livrer son message. Stephen Harper a même invité les journalistes à assister à son message livré en début de rencontre. Il y avait une mise en garde, mais pas d’explications.

«De toute évidence, je veux vous parler des événements des derniers jours, a lancé M. Harper. Et je sais que personne ici ne sera surpris d’entendre que je ne suis pas content, que je suis très vexé par la conduite de certains parlementaires et de mon propre bureau.»

Rappelant que son gouvernement avait été élu en 2006 dans la foulée du scandale des commandites pour faire le ménage, il a énuméré les mesures prises depuis pour instaurer un meilleur système de responsabilité à Ottawa. Selon lui, cela a fonctionné.

«Le Canada est maintenant l’un des meilleurs systèmes de gouvernance parmi les plus responsables et transparents dans le monde entier», a-t-il soutenu. «Mais c’est quelque chose que nous ne devons jamais prendre pour acquis.» M. Harper a ensuite lancé un avertissement à ses troupes, rappelant un discours qu’il avait livré en 2005: «Quiconque veut utiliser une charge publique pour ses propres bénéfices devrait changer de plans ou encore mieux, quitter cette salle», a-t-il dit en brandissant un doigt accusateur à ses troupes, levées pour l’applaudir et lancer des «bravos». M. Harper a finalement parlé des événements du Sénat comme d’une «distraction» qui empêchait le gouvernement de gérer l’économie alors que le monde est encore «un endroit profondément incertain».

À la fin de son laïus de presque neuf minutes, les journalistes lui ont demandé de répondre à leurs questions. Stoïque, il est resté debout tandis que ses troupes scandaient «Harper, Harper» pour enterrer les questions qui n’étaient pas les bienvenues. Les adjoints du premier ministre ont alors intimé les médias à quitter la salle.

Rappelons qu’au cours du week-end, son chef de cabinet, Nigel Wright, a démissionné. Il avait signé un chèque personnel de plus de 90 000 $ au sénateur -alors conservateur- Mike Duffy pour que celui-ci puisse rembourser ses dépenses de subsistance touchée à tort. En contrepartie, il a été convenu que le rapport du Sénat sur son comportement serait adouci en comparaison de ceux des deux autres sénateurs visés par une enquête, Mac Harb et Patrick Brazeau. M. Harper a prétendu qu’il n’était pas au courant de cette transaction. CTV rapporte pourtant que son conseiller spécial en politiques et affaires légales, Benjamin Perrin, était au courant, ayant rédigé le contrat légal avec l’avocat de M. Duffy.

M. Harper n’a pas fourni à ses troupes des explications supplémentaires à propos de cette transaction: qui savait? Qui l’a décidée? Qui a contacté le Bureau de régie interne du Sénat pour que le rapport sur M. Duffy soit édulcoré? Ces explications, a reconnu le sénateur conservateur Jean-Guy Dagenais, n’ont pas été fournies lors du caucus. «Non, on n’en a pas eu et moi, personnellement, je ne tiens pas à en avoir.» Le ministre du Patrimoine, James Moore, confirme. «On a entendu le même discours du premier ministre [que les journalistes]», discours dont étaient absents ces détails. La défense officielle consiste à dire que Nigel Wright a utilisé son argent personnel pour rembourser les contribuables. Il était donc mu par une bonne intention.

Mike Duffy a finalement quitté le caucus conservateur, tout comme la sénatrice Pamela Wallin. Les deux siègent au Sénat comme indépendant. Mac Harb et Patrick Brazeau ont déjà fait de même. Mme Wallin est sous enquête à cause de ses comptes de dépenses de déplacement élevés. Le rapport final sur sa situation n’a pas encore été rendu public, mais certains médias rapportent que c’est parce que les résultats préliminaires sont accablants qu’elle a été invitée à quitter le caucus préventivement. Elle a fait connaître sa décision vendredi soir, avant le long congé de la fête des Patriotes.

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http://plus.lapresse.ca/screens/48cc-2a4c-51968071-b969-5fdeac1c606a%7CtKgkN7jAzca~

CONTROVERSE AU SÉNAT

« ON ESSAIE D'ÉTOUFFER L'AFFAIRE »

LA DÉRIVE DES PURITAINS

VINCENT MARISSAL LA PRESSE

Peut-être étiez-vous trop occupé (grand bien vous fasse !) à embellir vos plates-bandes la fin de semaine dernière pour avoir porté attention à l’actualité politique, mais il s’est passé des choses très laides à Ottawa. Laides et graves, malgré les grands efforts de banalisation du principal responsable, le premier ministre Stephen Harper.

Les sénateurs ont encore fait des leurs. Non, pas les vilains qui ont sorti prématurément le CH et qui se défendent fichtrement bien contre les Penguins, mais les autres, ceux dont on n’entend pratiquement jamais parler. Ceux qui mènent une petite vie pépère dans un coin peu fréquenté du parlement fédéral, au sein d’une institution archaïque.

Depuis quelques semaines, le Sénat est devenu un sujet chaud à Ottawa. Tellement chaud que ça commence à sentir le roussi au bureau du premier ministre. Stephen Harper avait promis de réformer ou d’abolir le Sénat avant de prendre le pouvoir. Depuis qu’il est premier ministre, il s’emploie plutôt à enfoncer la Chambre haute à des niveaux record de bassesse.

Avant de prendre le pouvoir, M. Harper et ses réformistes redresseurs de tort s’étaient engagés à purifier les mœurs politiques à Ottawa et à ramener décence et transparence dans la capitale fédérale.

Meilleure chance la prochaine fois !

Fidèle à sa stratégie de non-communication, Stephen Harper traverse la pire crise depuis qu’il a pris le pouvoir, il y a sept ans, comme si de rien n’était, se contentant d’un court communiqué de presse pour accepter la démission de son chef de cabinet.

Son chef de cabinet, Nigel Wright, part en raison de son rôle dans l’affaire Duffy ; une autre sénatrice conservatrice, Pamela Wallin, se retire du caucus en raison, elle aussi, d’une possible fraude, et le premier ministre publie un communiqué laconique de quelques mots, qui se termine ainsi : « La principale priorité de notre gouvernement est, et continuera d’être, la création d’emplois et la croissance économique pour le Canada. Cela est au centre de tous nos efforts et de toute notre attention. »

Autrement dit, tout le reste, y compris ces histoires louches impliquant son bras droit, bof, on s’en fout, nous on travaille pour la création d’emplois !

Rappelons, l’histoire n’est pas banale, que l’ex-chef de cabinet de M. Harper a « donné » 90 000 $ au sénateur Mike Duffy pour que celui-ci rembourse des allocations touchées illégalement. M. Wright n’a pas jugé bon, dit-il, d’en informer son patron. Mike Duffy, lui, a carrément menti en disant qu’il avait lui-même acquitté cette dette au trésor public.

Toute cette histoire sent le mensonge, la désinformation, la magouille, la tentative de camouflage, et le lourd silence du premier ministre ne fait qu’accentuer l’impression de faillite morale d’un gouvernement élu sous des promesses vertueuses.

Dans la foulée de cette affaire, la sénatrice Pamela Wallin (elle aussi une ancienne journaliste de CTV, comme Mike Duffy, décidément…), qui fait l’objet d’une enquête comptable pour des frais de déplacement de 320 000 $, a annoncé par communiqué vendredi en fin d’après-midi (ah, le bon vieux truc du vendredi après-midi…) qu’elle se retirait du caucus conservateur.

Rappelons aussi au passage les dérives d’un autre redresseur de torts du caucus conservateur, le sénateur Pierre-Hugues Boisvenu, qui a enfreint les règles d’embauche du Sénat en faveur de son ex-petite amie.

Sans oublier, comment le pourrait-on, le flamboyant sénateur Brazeau…

À défaut de réformer le Sénat, Stephen Harper s’affaire chaque fois qu’il le peut à le déformer encore un peu plus.

La démission de Nigel Wright était inévitable dans les circonstances. Les chefs de cabinet prennent souvent les plombs pour leur patron, à plus forte raison lorsqu’ils sont personnellement impliqués dans une controverse. Mais les partis de l’opposition ont bien raison de dire que les questions demeurent.

Les réponses, par contre, ne viendront pas.

Pour M. Harper, la responsabilité s’applique à un non-élu (le chef de cabinet), mais pas à l’élu au sommet de la pyramide démocratique. Il en a fallu beaucoup moins à Jean Chrétien pour mériter (gracieuseté de mon confrère Jeffrey Simpson) le surnom de « gentil dictateur ».

On laisse entendre à Ottawa depuis quelques jours que M. Harper ne pourra répondre aux questions sur ce sujet parce qu’il sera en visite officielle en Amérique du Sud. Foutaise !

Même le président des États-Unis, qui n’abuse pourtant pas des points de presse, répond aux questions de la presse américaine lorsqu’il voyage à l’étranger. Au Canada, on peut poser des questions au commandant de la Station spatiale internationale en orbite, mais pas au premier ministre quand il est à Lima !

Dans les rangs conservateurs, on a eu droit cette fin de semaine à un silence quasi généralisé. Le silence des moutons, complices des dérives éthiques ou simplement terrorisés par le grand méchant loup Harper, qui exerce encore, quoi qu’on en dise, une autorité incontestable sur son caucus. En plus, les députés savent qu’un remaniement s’en vient, ils vont donc se tenir bien tranquilles et avaler sagement toutes les couleuvres.

On verra, à la fin juin à Calgary lors du congrès conservateur, si certains militants se rebiffent devant les dérives de leur parti, mais je doute que M. Harper soit réellement inquiet. Même pour les puritains, le pouvoir vaut bien quelques compromis.

À une certaine époque, les anciens réformistes portaient en Chambre des cravates décorées de moutons pour dénoncer la servilité des députés libéraux. Ils pourraient les ressortir. Elles sont de nouveau à la mode et leur iraient fort bien.

« ON ESSAIE D'ÉTOUFFER L'AFFAIRE »

La controverse entourant les dépenses douteuses de certains sénateurs ne s'estompe pas à Ottawa. Loin de se satisfaire de la démission du chef de cabinet de Stephen Harper, l'opposition néo-démocrate a officiellement demandé hier à la Gendarmerie royale du Canada d'ouvrir une enquête sur le remboursement de 90 000 $ obtenu par le conservateur Mike Duffy.

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http://www.lapresse.ca/actualites/national/201305/22/01-4653443-sondage-le-gouvernement-harper-boude-par-les-quebecois.php

Le gouvernement Harper boudé par les Québécois

L'avance des libéraux, tant à Ottawa qu'à Québec, se confirme dans le sondage panquébécois que vient de réaliser la maison CROP. Le coup de sonde réserve de bien mauvaises nouvelles au premier ministre Stephen Harper. Sa cote personnelle est en chute, tout comme la satisfaction à l'endroit de son gouvernement. Ainsi, les conservateurs auraient été rayés de la carte au Québec si des élections avaient eu lieu cette semaine.

» Consulter les résultats complets du sondage (document PDF)

Les problèmes des sénateurs conservateurs Mike Duffy et Pamela Wallin ainsi que la démission du chef de cabinet de Stephen Harper, Nigel Wright, ont eu un effet dévastateur sur la satisfaction des Québécois à l'endroit du gouvernement Harper. «Les gens n'aimaient pas nécessairement les conservateurs, mais les respectaient, appréciaient leur message sur l'intégrité. Avec ce qui s'est passé depuis quelques jours, c'est comme si la "marque" des conservateurs avait été atteinte en plein coeur», observe Youri Rivest, vice-président de CROP.

La satisfaction à l'endroit du gouvernement Harper glisse à 21% en mai, soit sept points de moins que le mois précédent. Les «insatisfaits» montent de quatre points, à 72%, mais les «très insatisfaits» grimpent de 6%, à 40%. C'est «un groupe qui est vraiment en colère», indique M. Rivest.

Les intentions de vote pour le Parti conservateur (PC) tombent sous le seuil des 10%. Avec 9% d'appuis - deux fois moins qu'aux élections de mai 2011 -, le PC est menacé de disparition dans l'ensemble du territoire québécois. «À moins d'exception, un candidat exceptionnellement populaire, par exemple», précise M. Rivest. Le Parti libéral du Canada (PLC) jouit d'une bonne avance, avec 39% des intentions de vote - l'élan suscité par l'arrivée de Justin Trudeau s'est maintenu. Le Nouveau Parti démocratique (NPD) tient son bout, avec 29% d'appuis. Le Bloc québécois ne bouge pas davantage, à 18%.

Les troupes de Stephen Harper n'ont plus la masse critique nécessaire pour être élues au Québec, même dans la région de la capitale, leur bastion actuel. Ils sont troisièmes avec 21% d'appuis, contre 32% pour les libéraux de Justin Trudeau et 26% pour les néo-démocrates de Thomas Mulcair.

Le NPD a une très légère avance sur le PLC auprès des francophones - 34% contre 32%. Le Bloc québécois est à 22% et, loin derrière, les conservateurs ferment la marche avec 8%. Le problème du NPD au Québec demeure chez les non-francophones - il y trouve seulement 12% d'appuis; 72% d'entre eux vont au PLC.

En dépit de la popularité subite de Justin Trudeau, en avance avec 31% de répondants qui voient en lui le «meilleur premier ministre», Thomas Mulcair reste solide deuxième avec 27% d'appuis. Stephen Harper traîne loin derrière avec un maigre 7%, une glissade de trois points par rapport au CROP d'avril. Cela le ramène tout près de Daniel Paillé, le chef bloquiste qui n'a jamais aspiré à ce poste, avec 6%.

Au provincial

Les libéraux de Philippe Couillard jouissent «d'une confortable avance» dans les intentions de vote au Québec, indique le dernier sondage réalisé par la maison CROP. Mauvaise nouvelle pour Pauline Marois: le Parti québécois (PQ) se rapproche désormais dangereusement de la Coalition avenir Québec (CAQ) en troisième place.

Mais ces impressions cachent une autre réalité: auprès des électeurs francophones, les trois principaux partis sont quasiment à égalité, en compétition pour séduire cet électorat déterminant dans une majorité de circonscriptions. Le PQ est en avance avec 29% d'appuis chez les francophones, mais le Parti libéral du Québec (PLQ) n'est pas loin, avec 27%. Et la CAQ est sur ses talons avec 26%.

Le taux des Québécois «insatisfaits» du gouvernement reste à 65%, pratiquement inchangé depuis le mois de mars. Au lieu d'une stabilisation salutaire, Youri Rivest y voit plutôt une «cristallisation» bien inquiétante pour le PQ. «On voit que c'est figé, que ce sera très difficile à traverser. Mme Marois devra adopter un nouveau ton, un nouveau discours, remanier son équipe, cela prend un geste de rupture avec ce qui s'est fait jusqu'ici», observe-t-il.

Les Québécois sont de mauvaise humeur. La morosité ne se dément pas depuis six mois, et est en constante croissance depuis le début de l'année. Les intentions de vote pour le PQ sont en glissade constante depuis six mois. Le PQ récoltait ainsi 34% d'appuis en janvier, mais n'en a plus que 24% dans le dernier sondage - une baisse d'un point par rapport à avril qui le ramène à deux points seulement de la CAQ, à 22%.

Les libéraux de Philippe Couillard restent en avance, à 38%, mais leur appui chez les francophones a fléchi de trois points, à 27%. Fait significatif pour le sondeur: Option nationale, de Jean-Martin Aussant, passe subitement de 3 à 5% des suffrages. Il pourrait s'agir d'un effet de la Journée nationale des patriotes, où la première ministre Marois a laissé les nationalistes sur leur faim, risque Youri Rivest comme explication.

Québec solidaire passe de 11 à 10%. «En tenant compte des votes de gauche, c'est un 15% qui échappe au Parti québécois, cela fait mal», résume l'analyste.

Le nouveau chef libéral Philippe Couillard demeure la coqueluche des électeurs; 28% voient en lui le meilleur candidat pour le poste de premier ministre - le même score que le mois précédent. Pauline Marois ne bouge pas davantage, avec 16% d'appuis, suivie de près par François Legault, avec 14% - pour lui aussi, un score identique à celui d'avril.

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http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/national/archives/2013/05/20130523-215657.html

Dernière élection fédérale

Un juge conclut qu'il y a eu fraude

Un juge de la Cour fédérale a conclu jeudi qu'un crime a été commis lors de la dernière élection fédérale, sans pouvoir identifier le responsable de la fraude électorale.

Le juge Richard Mosley a décrété que les électeurs dans au moins six circonscriptions au pays ont été victimes de fraude électorale lors de l'élection fédérale de 2011.

Le Conseil des Canadiens qui tentait de faire renverser les résultats des élections fédérales dans ces six circonscriptions, soutenait que la fraude faisait partie d'une campagne orchestrée par le Parti conservateur du Canada, pour empêcher ceux qui se préparaient à voter pour un autre parti de déposer leur bulletin de vote.

Dans son jugement d'une centaine de pages publié jeudi, le juge Mosley a conclu qu'une campagne pour tromper les électeurs a bien existé, mais il a ajouté qu'il ne pouvait pas conclure que cette campagne avait été menée par les conservateurs.

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Si les anglophones continuent dans le libéralisme à tout va des libéraux ou le puritnaisme des conservateurs avec des lois liberticides, le tout  dans un climat de corruption ... peut on envisager une autonomie plus grande du Quebec voire une volonté d'indépendance majoritaire à Quebec avec à la clef une victoire de partis indépendantistes ? qu'en pense notre ami quebecois ?

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Le maire de Toronto Rob Ford a nié aujourd'hui avoir fumé du crack, après les allégations d'un journal local dont deux reporters affirment avoir vu une vidéo qui le montre fumant apparemment une pipe utilisée pour cette drogue puissante dérivée de la cocaïne.

Les reporters de Toronto Star avaient affirmé avoir visionné une vidéo montrant Ford en train de tirer sur une pipe à crack, en compagnie de personnes identifiées comme des trafiquants de drogue.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/24/97001-20130524FILWWW00604-toronto-une-video-embarrasse-le-maire.php

Jeudi, le maire a congédié son chef de cabinet, Mark Towhey, parce que celui-ci l'exhortait à suivre une cure de désintoxication, selon des informations obtenues par l'Agence QMI.

Une source proche de la mairie a en effet indiqué que cela faisait longtemps que Mark Towhey tentait de convaincre Rob Ford de faire face à ses «problèmes personnels».

Towhey aurait dit au maire: «Si tu ne le fais pas (une cure de désintoxication), il n'y a aucune autre solution et je ne peux pas t'aider».

Rob Ford aurait crié et dit à Mark Towhey: «Si c'est tout ce que tu peux faire pour moi, alors tu ferais aussi bien de t'en aller et de ne pas revenir».

Mark Towhey a été expulsé du bureau du maire jeudi, par les agents de sécurité de l'hôtel de ville. «Je ne suis plus le chef de cabinet, je n'ai pas démissionné», a-t-il déclaré alors qu'il quittait les lieux.

http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2013/05/20130524-101046.html

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Le maire de Toronto Rob Ford a nié aujourd'hui avoir fumé du crack, après les allégations d'un journal local dont deux reporters affirment avoir vu une vidéo qui le montre fumant apparemment une pipe utilisée pour cette drogue puissante dérivée de la cocaïne.

Les reporters de Toronto Star avaient affirmé avoir visionné une vidéo montrant Ford en train de tirer sur une pipe à crack, en compagnie de personnes identifiées comme des trafiquants de drogue.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/24/97001-20130524FILWWW00604-toronto-une-video-embarrasse-le-maire.php

Jeudi, le maire a congédié son chef de cabinet, Mark Towhey, parce que celui-ci l'exhortait à suivre une cure de désintoxication, selon des informations obtenues par l'Agence QMI.

Une source proche de la mairie a en effet indiqué que cela faisait longtemps que Mark Towhey tentait de convaincre Rob Ford de faire face à ses «problèmes personnels».

Towhey aurait dit au maire: «Si tu ne le fais pas (une cure de désintoxication), il n'y a aucune autre solution et je ne peux pas t'aider».

Rob Ford aurait crié et dit à Mark Towhey: «Si c'est tout ce que tu peux faire pour moi, alors tu ferais aussi bien de t'en aller et de ne pas revenir».

Mark Towhey a été expulsé du bureau du maire jeudi, par les agents de sécurité de l'hôtel de ville. «Je ne suis plus le chef de cabinet, je n'ai pas démissionné», a-t-il déclaré alors qu'il quittait les lieux.

http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2013/05/20130524-101046.html

  Ca sert probablement a rien de nier si le problème a carrément envenimé les choses chez ses proches politique de son "cabinet" c'est que c'est probablement + que vrai si ceux ci sont allés jusqu'a l'intimer a se désintoxiquer ... A moins que ce soit un complot politique ourdé par ses propres proches mais bon ça j'y crois pas

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Cela n'arrive pas souvent, mais quand le gouvernement Canadien fait un bon coup, je ne suis pas du genre à faire comme si cela n'existait pas.

En voila un que je respecte grandement...

http://www.journaldemontreal.com/2013/05/28/le-canada-contre-la-fourniture-darmes-a-lopposition

Syrie: le Canada contre la fourniture d'armes à l'opposition

OTTAWA - Le ministre canadien des Affaires étrangères, John Baird, a affirmé mardi que la Syrie risquait de connaître «plus de violences, de morts et de destruction» si l'Union européenne (UE) livrait des armes aux rebelles syriens.

«Mon opinion ferme est que la seule façon de mettre un terme aux souffrances du peuple syrien passe par une solution politique», a déclaré M. Baird à la presse.

«Inonder le pays et la région d'armes conduira à plus de violences, plus de morts et plus de destruction. Aussi le Canada n'a-t-il pas l'intention de suivre cette piste», a-t-il insisté.

«Notre première préoccupation c'est le nombre de jihadistes qui ont rejoint des branches de l'opposition et d'après nous, loin de s'améliorer, la situation ne fait qu'empirer», a ajouté le ministre.

L'UE, profondément divisée, a décidé dans la nuit de lundi à mardi de lever l'embargo sur les armes à destination de l'opposition syrienne, sous la pression de Londres et, dans une moindre mesure, de Paris.

Toutefois, la déclaration politique accompagnant cet accord précise que les pays ne livreront pas d'armes à ce stade, et que le Conseil des ministres européens réexaminera la question le 1er août. Il s'agit de ne pas mettre en danger l'initiative de paix russo-américaine qui vise la tenue d'une conférence internationale à Genève en juin.

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  • 1 month later...

Terrorisme: 2 arrestations en Colombie-Britannique

VANCOUVER – Deux personnes «inspirées de l’idéologie d’al-Qaïda» qui s’étaient «radicalisées pour commettre des actes criminels» ont été arrêtées en Colombie-Britannique et feront face à des accusations liées au terrorisme, a annoncé mardi la Gendarmerie royale du Canada (GRC).

Les suspects avaient l’intention de déposer des engins explosifs à l’Assemblée législative britanno-colombienne le 1er juillet, journée où avaient lieu les célébrations de la fête du Canada, a précisé la GRC lors d’un point de presse.

Les deux individus appréhendés par la police fédérale sont John Stewart Nuttal et Amanda Marie Korody, de Surrey, en Colombie-Britannique. Selon les documents de la cour, le premier serait né en 1974 et la seconde en 1983.

«Les suspects étaient résolus à commettre des actes de violence et discutaient de diverses cibles et techniques. Ces individus posaient une menace réelle», a indiqué la GRC.

John Stewart Nuttal et Amanda Marie Korody seront accusés d’avoir comploté en vue de poser un engin explosif dans ou contre un lieu public dans l’intention de provoquer la mort ou des dommages corporels graves, d’avoir facilité sciemment une activité terroriste, et d’avoir ou avoir eu en leur possession une substance explosive.

Selon le commissaire adjoint de la GRC James Malitzia, les deux suspects d’origine canadienne étaient inspirés par une idéologie d’al-Qaïda. Les autorités policières ne disposent toutefois pas de preuves à l’effet qu’ils auraient bénéficié d’un quelconque soutien de l’organisation terroriste.

Ce sont deux «individus qui se sont radicalisés pour commettre des actes criminels», a indiqué le commissaire adjoint.

Trois cocottes-minute ressemblant à celles utilisées lors de l’attentat du marathon de Boston figurent sur une photo divulguée par la police fédérale, qui a effectué ces arrestations dans le cadre d’une opération baptisée «Souvenir», mise en branle au mois de février.

«Ces dispositifs étaient complètement sous notre contrôle; ils étaient inertes et n’ont représenté en aucun temps de menace pour la sécurité du public», a assuré la GRC.

http://journalmetro.com/actualites/national/337788/terrorisme-2-arrestations-en-colombie-britannique/

Vous avez une idée de combien d'années de prisons ils risquent de de recevoir ? prison à vie est-il trop demandé ?

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Un train transportant du pétrole brut explose au Québec

Un train de marchandises qui se dirigeait vers le Maine a explosé dans la nuit de vendredi à samedi, dans le centre-ville de Lac-Mégantic, dans la région du Granit, au Québec. Les 73 wagons étaient remplis de pétrole brut. On ne sait pas encore s'il y a des victimes.

Plusieurs incendies étaient en cours samedi matin. Le feu s'est propagé à de nombreuses résidences. Une forte quantité de carburant s'est répandue dans la rivière Chaudière et dans le lac, rapporte Radio Canada.

Selon un témoin, le train roulait à toute vitesse en faisant hurler sa sirène lorsque les wagons ont commencé à dérailler en cascade dans le centre de la ville. Le feu a débuté instantanément. Au moins huit explosions ont été entendues, selon divers témoignages.

La Sûreté du Québec a érigé un important périmètre de sécurité, des évacuations étaient en cours. Un centre d'hébergement pour personnes âgées a notamment été évacué. Certains sinistrés sont regroupés dans le parking du magasin Wal-Mart. La Croix-Rouge est sur place.

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2013/07/06/un-train-transportant-du-petrole-brut-explose-au-quebec_3443676_3222.html

On parle d'environs 30 bâtiments incendiés et on a toujours pas trouvé de blessés ou de victimes ce qui est très inquiétant ...

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