Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Programme spatial russe


S-37 Berkut
 Share

Messages recommandés

Oui mais on parle pas d'un apollo la. Les soyouz ont déjà fait le tour de la Lune ? Cela ne s'est pas fait depuis 40 ans, j'ai de gros doutes que cela puisse faire aussi "facilement" (ou à un prix abordable pour un ou deux clients)

Oui avec le soyuz actuel j'ai des doutes aussi. Faudra sûrement des développements supplémentaires et surtout voir si les russes ont toujours les compétences nécessaires chez eux pour ce genre de solutions. Après comme le dit Chevalier Gilles les risques sont connues et plus ou moins maîtrisés avec une certaine tolérance.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le soyoue était fait pour, mais pour ça, il devait être lancé d'une proton.

Techniquement, ils ont les briques pour, il suffit de les adapter, ça n'a rien d'impossible.

Après, il y a forcément des risques. Mais si les gens concernés veulent les prendre avec leur argent, après tout, ça les regarde.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Oui mais on parle pas d'un apollo la. Les soyouz ont déjà fait le tour de la Lune ? Cela ne s'est pas fait depuis 40 ans, j'ai de gros doutes que cela puisse faire aussi "facilement" (ou à un prix abordable pour un ou deux clients)

Les Russes avaient étudié une version du Soyouz capable de faire le survol de la Lune. Physiquement c'est donc possible. Par contre il n'ont jamais réalisé le vol ni testé complétement le matériel. Donc, si quelqu'un voulait recommencer, il est probable que cela couterait bonbon.

La modification la plus vitale était le bouclier thermique. Celui-ci était bien plus lourd pour résister à la vitesse du retour depuis la Lune.

Mais la plus grosse difficulté du projet était qu'aucun lanceur en service n'était capable de lancer ce Soyouz vers la Lune. Même le Proton était insuffisant. Donc il a fallu concevoir un étage supplémentaire lancé en orbite par le Proton. Le Soyouz aurait fait un rendez-vous en orbite avec cet étage avant de partir vers la Lune.

Une société Russe "Space Adventures" propose de remettre cette architecture en service. C'est la société qui propose des voyage en orbite pour des touristes millionnaires :

http://en.wikipedia.org/wiki/Space_Adventures#Lunar_Mission

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 weeks later...

Mardi, le journal Kommersant a dévoilé le programme spatial très ambitieux de l'Agence spatiale russe pour les années à venir. Un vol habité sur la Lune et des stations scientifiques sur Mars font notamment partie des projets évoqués.

Si la Russie a connu de nombreux échecs ces derniers mois dans le secteur du spatial, elle ne semble pas décourager pour autant. Mardi, le journal Kommersant a ainsi dévoilé la stratégie spatiale du pays pour les prochaines années et le moins qu'on puisse dire, c'est que celle-ci est ambitieuse. D'après les informations révélées par le journal, l'agence spatiale russe aurait en effet pour projet d'installer des stations scientifiques sur Mars, d'organiser un vol habité vers la Lune, d'explorer Vénus et Jupiter mais aussi d'instaurer le Conseil pour l'espace auprès du président russe avant 2030.

"Roskosmos envisage de déployer un réseau de stations de recherche sur Mars en coopération avec ses partenaires étrangers" et de mettre en place plusieurs missions d'exploration de la Lune au moyen d'astromobiles, indique ainsi le journal qui possèderait une copie de la nouvelle stratégie spatiale. Des objectifs qui n'étonne pas tant que cela alors que le directeur de l'Agence fédérale spatiale russe Vladimir Popovkine a récemment indiqué que l'Etat investirait environ 150-200 milliards de roubles (soit 4-5 milliards d'euros) par an afin de mettre en place sa stratégie spatiale à l'horizon 2030.

Avec de tels projets, la Russie entend bien rester l'une des plus grandes puissances spatiales du monde. "Selon le texte du document, il faut porter la part de la Russie sur le marché spatial mondial à 10% contre 0,5% en 2011", ajoute Kommersant relayé par RIA Novosti. Ainsi, la stratégie spatiale russe se concentre sur la conception de nouveaux vaisseaux spatiaux habités et de nouvelles capsules de descente. Mais la préparation d'un vol habité vers Mars ainsi que la création d'une station orbitale de nouvelle génération figurent également parmi les priorités de Roskosmos. Enfin, celle-ci souhaite aussi mettre en orbite plusieurs satellites dans le cadre de diverses missions et perfectionner les lanceurs existants avant 2015.

La nouvelle fusée-porteuse Angara et les vaisseaux lourds habités de nouvelle génération seront lancés dès 2020 depuis le cosmodrome de Vostotchny situé dans la région de l'Amour. Un premier lancement aura lieu depuis Vostotchny dès 2015 et une mission habitée en destination de la Lune est prévue vers 2030. Par ailleurs, la Russie redoublera d'efforts en vue de réduire le nombre des débris spatiaux évoluant en orbite terrestre et écarter la menace, produira en série des lanceurs superlourds et créera des engins d'exploration des astéroïdes

http://www.maxisciences.com/agence-spatiale-russe/la-russie-devoile-sa-nouvelle-strategie-spatiale_art22720.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

l'agence spatiale russe aurait en effet pour projet d'installer des stations scientifiques sur Mars, d'organiser un vol habité vers la Lune, d'explorer Vénus et Jupiter ... une mission habitée en destination de la Lune est prévue vers 2030. http://www.maxisciences.com/agence-spatiale-russe/la-russie-devoile-sa-nouvelle-strategie-spatiale_art22720.html

C'est cela oui. Cela me rappelle les infos publiées au cours de la décennie 90 par la NASA américaine qui prévoyait un retour sur la Lune à telle ou telle date (cela a varié), une mission habitée vers Mars, etc. Vous avez vu quelque chose, vous, au bout du compte ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 months later...

des sous des sous des sous

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120528trib000700623/baikonour-les-kazakhs-clouent-les-fusees-russes-au-sol.html

Nouveau conflit entre le Kazakhstan et la Russie portant sur le cosmodrome de Baïkonour. Astana veut un accord intergouvernemental pour fixer des compensations financières que la Russie versera en raison de la chute des débris des lanceurs sur son territoire. Pour réduire sa dépendance, Moscou prépare activement le pas de tir de Vostotchny.

Le conflit entre la Russie et le Kazakhstan portant sur le principal cosmodrome de Baïkonour, une enclave russe en plein désert kazakh et qui a été le berceau de la conquête spatiale soviétique, connait un nouvel épisode. En attendant la mise en service opérationnelle du nouveau site de lancements des fusées russes de Vostotchny dans la région de l'Oblast d'Amour (extrême-Orient), qui permettra des vols vers l'orbite géostationnaire - le premier lancement est prévu en 2016 -, Moscou doit continuer à composer avec Astana dont elle reste encore trop tributaire en matière de lancements spatiaux. C'est le président russe Vladimir Poutine qui a signé un décret le 6 novembre 2007 autorisant la construction de Vostotchny  pour réduire la dépendance vis-à-vis de Baïkonour. Les travaux à Vostotchny sont actuellement en cours.

Car selon une source au sein du secteur spatial russe citée par l'AFP, le Kazakhstan réclame un accord intergouvernemental pour fixer des compensations financières que la Russie versera en raison de la chute des débris des fusées sur le territoire kazakh. Car ce qui était un désert à l'époque soviétique est devenu une région où l'urbanisation galope. Du coup, la retombée des étages des fusées Soyuz et Proton sur le territoire kazakh ne favorise pas les lancements en direction du nord, une zone à risques.

Le Kazakhstan a confirmé lundi ne pas autoriser les tirs à partir du cosmodrome de Baïkonour de plusieurs fusées devant mettre en orbite des satellites, notamment européens, faute d'un accord avec la Russie sur les territoires réservés aux débris de lanceurs retombant sur Terre. Selon un communiqué de l'agence spatiale kazakhe, Kazkosmos, qui juge la Russie responsable d'avoir laissé traîner les négociations, les territoires kazakhs où les débris des fusées concernées doivent retomber ne sont pas couverts par l'accord russo-kazakh de location de Baïkonour de 1994. Donc le Kazakhstan ne peut pas autoriser ces tirs. "Les négociations sont en cours et doivent rapidement aboutir", explique à "latribune.fr" un bon connaisseur du monde spatial russe.

Le satellite européen de météo Metop-B sera lancé cet été

Ce nouveau conflit a bloqué les vols de trois lanceurs devant mettre en orbite sept satellites, notamment le satellite européen de météorologie Metop-B, a indiqué le journal russe "Kommersant" lundi. Ce que confirme à "latribune.fr" le président d'Arianespace et de Starsem, Jean-Yves Le Gall : "nous devions lancer Metop-B le 22 mai mais nous n'avons pas eu l'autorisation. Nous le lancerons de Baïkonour fin juillet, début août", précise-t-il. L'évolution de Baïkonour "renforce" le pas de tir de Soyuz au Centre spatial guyanais (CSG), explique-t-il. "Nous pouvons lancer sans problème en direction du nord et l'est", les zones de retombées se situant au-dessus de l'océan. Outre Metop-B, Arianespace prévoit encore de lancer de Baïkonour six satellites de la constellation Globalstar cet automne. Après ce vol, la société de commercialisation des lanceurs européens n'a plus aucun vol de Baïkonour dans son carnet de commandes. Elle a en revanche "15 contrats de lancements" pour Soyuz à partir du CSG.

115 millions de recettes pour le Kazakhstan

Par ailleurs, Roskosmos, l'agence spatiale russe expliqué que "pour ces raisons, nous ne pouvons remplir nos propres obligations et nos obligations internationales", a expliqué la source à "Kommersant". Outre Metop-B, il s'agit de la mise en orbite des satellites russes Konopous-B et MKA-PN1, bélarusse BKA, canadien ADS-1B et allemand TET-1 (prévu le 7 juin) et le russe Ressours-P (prévu en août). La Russie verse 115 millions de dollars par an au Kazakhstan pour le cosmodrome de Baïkonour au terme d'un accord allant jusqu'à 2050. C'est de cette base que décollent la plupart des fusées russes, notamment les vols habités en direction de la Station spatiale internationale (ISS).

Le Kazakhstan a par le passé déjà bloqué le décollage de certains types de lanceurs russes après l'explosion en vol de fusées. Ce conflit intervient alors que la Russie a connu une année noire en 2011 dans le domaine spatial, avec l'échec de cinq lancements. Le dernier en date remonte au 23 décembre, lorsqu'un satellite de communications militaires et civiles est retombé en Sibérie en raison d'une panne de la fusée Soyouz.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 weeks later...

C'est cela oui. Cela me rappelle les infos publiées au cours de la décennie 90 par la NASA américaine qui prévoyait un retour sur la Lune à telle ou telle date (cela a varié), une mission habitée vers Mars, etc. Vous avez vu quelque chose, vous, au bout du compte ?

Il s'agit manifestement de communication "Russe" qui s'apparente surtout a du fantasme + qu'autre chose et qui profite de l'impact médiatique "mondial" qu'a eu la réduction de voilure via Obama des projets de la NASA qui ont dans l'immédiat renoncé a des missions habités sur le sol lunaire tout en confirmant quand même un créneau de missions habités en orbite lunaire du SLS

Des abandons qu'on sentait venir autour du projet "Cassini like" de retour d'une mission d'exploration du système jovien en duo avec l'europe (abandon majeur de la mission Io/Europe, la ou l'Esa dans le duo devait s'occuper via une sonde bien moins couteuse dans le même programme de Calisto/Ganymède)

Manifestement les médias russes (et surement l'état en parallèle avec le retour de Poutine a la présidence)  en ont profité pour faire de la "com" autour de la puissance spatiale russe qui elle garde des objectifs qui s'ils étaient crédibles : feraient de la Russie "le grand maitre de l'espace et de l'épopée exploratrice humaine des nouvelles frontières"

Sauf que ça n'a pas une once de crédibilité en réalité, quand on voit les bourdes et échecs qu'ils cumulent avec notamment le dernier épisode en date via Phobos/Grunt on peu se poser sérieusement la question

Ce sont des réflexes de "communication" autour des technologies civiles, qui datent de la guerre froide (pas les technologies, quoique si en bonne partie c'est vrai, mais les "réflexes" de com ...) en se positionnant par rapport a ce que projettent ou abandonne les USA ...

Un bel exemple, la fusée Angara (le futur éventuel lanceur lourd russe pour missions habités) qui a l'époque ou fourmillait médiatiquement encore le programme Constellation et les projets désirés par l'administration Bush ... Les russes ayant fait une annonce d'une Angara capable de faire du 100t orbite basse après les annonces diverses autour d'ARES 5 et du retrait des navettes, ARES 5 qui devait être pilier majeur des programmes lunaires Constellation ... Pis du coup les russes n'en ont jamais reparlé après 2007, 2008-2009 Obama annonçant l'arrêt de Constellation et d'ARES 5 dans un premier temps et même d'ARES 1 dans un second temps, puis quasi 3 ans de latence sans annonce d'un lanceur lourd ou étrangement la russie n'a pas remis sur la table Angara 100

Et puis fin d'été 2011 SLS sort du bois enfin au niveau médiatique par besoin de sortir les USA du floue de leur vision de l'espace pour les 10-20 ans a venir : tiens comme par hasard, du coup les russes maintenant veulent faire plein de trucs (qui ne seront pas a leur portée, tout du moins en bonne partie, car tout dépend quoi : une mission de sonde sur Venus ça, ça reste crédible) 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Quand est il en 2012 du vol circum lunaire annoncé l'année dernière ? Y a t'il des préparatifs ou s'agit d'un coup d'épée dans l'eau :

Space Adventure a confirmé le 5 mai 2011 la vente d'un des deux billets et a annoncé également l'accord avec Energuia pour la modification d'un Soyouz TMA, et que ce vol est prévu pour 2015.

Cette annonce a été faite par le directeur-adjoint de Space Adventure, : Richard Garriott

''In working towards the goal of extending private space exploration beyond low-Earth orbit, Space Adventures continues to pursue its planned circumlunar mission. After consultation with Rocket Space Corporation Energia, modifications to the Soyuz TMA configuration have been agreed upon. The most important of which is the addition of a second habitation module to the Soyuz TMA lunar complex. The additional module would launch with the Block DM propulsion module and rendezvous with the Soyuz spacecraft in low-Earth orbit.

"Space Adventures will once again grace the pages of aerospace history, when the first private circumlunar mission launches. We have sold one of the two seats for this flight and anticipate that the launch will occur in 2015," said Richard Garriott, Vice-Chairman of Space Adventures''

http://spaceadventures.com/index.cfm?fuseaction=news.viewnews&newsid=827

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La Russie et l'Inde construiront une fusée hypersonique

Image IPB

Le premier démonstrateur de la fusée hypersonique russo-indienne dont la vitesse sera de 5 à 7 fois supérieure à celle du son sera prêt en 2017, a annoncé mercredi Sivathanu Pillai, directeur général de la société BrahMos, constructeur des missiles du même nom.

Il a souligné que ces fusées ne seront livrées qu'en Inde et en Russie et que l'hypothèse de leurs exportations dans d'autres pays n'était pas envisagée.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La Russie et l'Inde construiront une fusée hypersonique

Image IPB

Le premier démonstrateur de la fusée hypersonique russo-indienne dont la vitesse sera de 5 à 7 fois supérieure à celle du son sera prêt en 2017, a annoncé mercredi Sivathanu Pillai, directeur général de la société BrahMos, constructeur des missiles du même nom.

Il a souligné que ces fusées ne seront livrées qu'en Inde et en Russie et que l'hypothèse de leurs exportations dans d'autres pays n'était pas envisagée.

Ouhou ! Ca a l'air super crédible tout ça

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Celui qui (journaliste) a pondu ça comme article n'a pas recherché beaucoup dans la documentation !

Je dirais même qu'il a rien cherché du tout. C'est une fusée ou un missile ? Si c'est une fusée c'est normal qu'elle passe les Mach. Si c'est un missile, c'est quoi exactement ?
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je dirais même qu'il a rien cherché du tout. C'est une fusée ou un missile ? Si c'est une fusée c'est normal qu'elle passe les Mach. Si c'est un missile, c'est quoi exactement ?

Finalement, il s'agit bien d'un missile sur des sites indiens : http://www.madhyamam.com/en/node/2724 - http://www.thehindu.com/sci-tech/science/article3580844.ece?textsize=large&test=1

Les journalistes étrangers francophones sont de très mauvais traducteurs, on ne peut franchement pas se fier !  :rolleyes:

Mille excuses !  :-X

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Sujet a déplacer en marine-asie du coup ou air-asie  ;)  du coup ce n'est pas un projet spatial

Par contre, je reste dubitatif sur la crédibilité pour autant, d'autant + que leur brahmos a quasi mach 3 devrait être satisfaisant par rapport a la missilerie navale occidentale qui elle a pas l'air pressée d'aller au de la du sub-sonique

Ca fait un peu effet de : surenchère sur un missile ou ils n'ont pas l'air d'être a l'aise avec, enfin c'est le sentiment que cela donne

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

rapport a la missilerie navale occidentale qui elle a pas l'air pressée d'aller au de la du sub-sonique

pas pressée, regarde ce que les us sont en train de nous pondre:

Designs for LRASM-B focused on operating at the other end of the spectrum for precision strike weapons—high-altitude and supersonic speed over stealthy penetration.

http://www.darpa.mil/Our_Work/TTO/Programs/Long_Range_Anti-Ship_Missile_%28LRASM%29.aspx

Image IPB

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...
  • 4 weeks later...

Le vaisseau cargo russe Progress qui s'est arrimé jeudi à la Station spatiale internationale (ISS) a mis moins de six heures pour rejoindre le poste orbital contre deux jours habituellement. Un exploit qui valide une nouvelle technique de l'agence spatiale russe.

Aujourd'hui, les vaisseaux cargo lancés vers la Station spatiale internationale (ISS) mettent habituellement deux jours à rejoindre l'ISS actuellement en orbite à quelque 400 kilomètres de la Terre. Mais hier, l'agence spatiale russe Roskosmos a réussi à faire arrimer son vaisseau cargo Progress seulement 6 heures après son décollage ! Un temps record rendu possible grâce à une toute nouvelle technologie dont c'était le premier test.

http://www.maxisciences.com/progress/le-cargo-progress-rejoint-l-iss-en-un-temps-record_art26019.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La Russie perd deux satellites et suspend les tirs de Proton-M

Mardi, l'agence spatiale russe a annoncé que le lancement d'une fusée Proton-M planifié hier s'était soldé par un échec. Les moteurs du bloc d'accélération de l'engin se sont éteints prématurément plaçant les deux satellites transportés sur une mauvaise orbite.

C'est un nouvel échec pour Roskosmos. Alors que l'agence spatiale russe a connu ces derniers mois plusieurs difficultés techniques, un nouvel incident s'est produit hier durant le lancement d'une fusée russe Proton-M. Le tir avait lieu depuis le cosmodrome de Baïkonour au Kazakshtan et devait permettre de place en orbite deux satellites de télécommunications Express-MD2 et Telcom-3. Mais l'opération a échoué en raison d'une défaillance technique du bloc d'accélération Briz-M.

En effet, selon l'agence, le bloc d'accélération construit par le Centre Khrounitchev s'est mis en marche à l'heure prévue, mais ses moteurs se sont éteints sept secondes après au lieu des 18 minutes 5 secondes prévues. Alors que les satellites devaient normalement se séparer du lanceur à 8H44 et 9H14 (heure de Moscou), ils se sont ainsi retrouvés sur une mauvaise orbite. Ils "n'ont pas été détectés sur l'orbite de transition", et "le signal du propulseur a été reçu depuis une orbite provisoire d'urgence", a indiqué Roskosmos dans un communiqué. Aussi, "en raison de l'accident du bloc d'accélération, les satellites peuvent être considérés comme perdus" a t-elle encore ajouté citée par RIA Novosti.

La suite : http://www.maxisciences.com/fus%e9e/la-russie-perd-deux-satellites-et-suspend-les-tirs-de-proton-m_art26075.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 964
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Aquaromaine
    Membre le plus récent
    Aquaromaine
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...