Il y a effectivement l'instant présent d'important et de mon point de vu, je suis sûr que si l'on décidait de prendre le risque (et les morts), on réussirait à remettre en place le pouvoir légitime. La vrai question serait l'après.
J'imagine fortement que c'est ça qui retiens nos politiques pour le coup, "Que faire ensuite?" Et la dessus s'ils pouvaient avoir appris du Mali et autre, c'est bien non? D’où le fait de laisser les Nigériens et la CEDEAO s'en occuper et les aider au besoin. Après tant que l'on ne replis pas tout c'est qu'on compte pouvoir intervenir et appuyer si nécessaire.
Par contre il est clair que ça rappelle fortement une attaque sur un front périphérique tout ça. Barrière à ériger ou riposte, ou les deux...
Pour pouvoir rester au Sahel et de surcroit au Niger... Nous, armée française, devons intervenir militairement. Il y a des risques que la guerre va s’enliser mais laisser la place à Wagner serait une terrible erreur.
Notre président doit mettre la pression sur le Cedeao d'intervenir. Pas question d'attendre ou de proposer une solution pacifique car cela fera gagner du temps au putchistes qui n'ont qu'une seule ambition prendre le pouvoir et remplacer la France par les Russes.
Niger
dans Politique etrangère / Relations internationales
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Pour pouvoir rester au Sahel et de surcroit au Niger... Nous, armée française, devons intervenir militairement. Il y a des risques que la guerre va s’enliser mais laisser la place à Wagner serait une terrible erreur.
Notre président doit mettre la pression sur le Cedeao d'intervenir. Pas question d'attendre ou de proposer une solution pacifique car cela fera gagner du temps au putchistes qui n'ont qu'une seule ambition prendre le pouvoir et remplacer la France par les Russes.