robertvayssieres

La limitation principale est donnée par le gabarit et la masse maxi acceptée par la plate forme...Les autres contraintes sont la nécessité d'avoir un appareil bi-moteur, des évacuations de passagers facile en cas d'amerrissage,un système de flottabilité de secours et des canots de sauvetage embarqués... Le soucis actuel est l'exploitation en off-shore profond, voire maintenant très profond qui éloigne les plates-formes où plutôt les FPSO (sortes de bateaux géants qui exploitent et stockent le pétrole) cela demande des appareils lourds (type EC225) avec de l'autonomie en carburant et un bon emport en passagers (19 pax).c'est pour cela que les rigs peuvent maintenant recevoir des appareils de la classe 11 à 13 tonnes...

Non il n'a pas coulé, récupéré dans la journée,par un bâteau (surfeur) équipé de grue...Il n'ira pas non plus à la ferraille,bien que ce soit un gros boulot il devrait reprendre du service assez rapidement...Les cas d'amerrissage volontaires sont "relativement" fréquents et la procédure n'est pas inconnue des opérateurs off-shore...celui ci s'est posé suite à une perte de lubrifation de la boite de transmission principale enquête en cours...