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Michael Guay

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Messages posté(e)s par Michael Guay

  1. Intervention partisane flagrante dans le processus électorale de la part d'un porte parole du DGEQ. Le DGEQ est bombardé d'appel à la démission et à l'annulation de l'élection. 
    Rappelons que le DGE du Québec est issu d'une nomination partisane du PLQ.
    Beaucoup de scandale commence à s'accumulé dans cette élection. Rejet de candidature valide, explosion d'inscription au vote de résident hors Québec, déclaration partisane. 

    http://www.vigile.net/Le-DGEQ-doit-demissionner
     

     
    Le geste de Denis Dion était donc malicieux et il entache de façon irréparable la crédibilité de l’institution du DGEQ et du détenteur de la charge, en l’occurrence Me Jacques Drouin. Devant la gravité des faits, les deux n’ont d’autre choix que de démissionner.
     
    Et en fait, la faute commise est si grave qu’elle pourrait même justifier l’annulation du scrutin !
     
    Il faut en effet comprendre que le DGEQ est garant de l’intégrité du processus démocratique au Québec. Quand son porte-parole intervient de façon aussi manifestement partisane dans le processus électoral, c’est, bien au-delà de son intégrité personnelle, celle de toute l’institution qui se trouve remise en question.
     
    Se fiant sur l’autorité de la source, tout électeur serait parfaitement justifié de penser que, malgré le démenti apporté par le DGEQ, son porte-parole reflétait bien la situation dans laquelle allait se trouver l’organisme au lendemain de l’élection d’un gouvernement péquiste majoritaire, et que le porte-parole avait tout simplement eu le malheur d’exprimer tout haut ce à quoi tout le monde se préparait à l’intérieur de la boîte. 

     

     

  2. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/403970/le-quart-des-enfants-inuits-d-age-prescolaire-ont-le-ventre-creux

     

    Le quart des enfants inuits d’âge préscolaire du Canada ont le ventre creux, selon un rapport du Conseil des académies canadiennes. Du lot, 90 % d’entre eux ont faim, 76 % sautent des repas, et 60 % peuvent passer une journée sans manger. 31 % des enfants inuits d’âge préscolaire vivent une insécurité alimentaire modérée, et 70 % « connaissent l’insécurité alimentaire ».
     
    Les ménages autochtones du Canada vivant à l’extérieur des réserves souffrent deux fois plus d’insécurité alimentaire que les non-autochtones. Les ménages avec enfants ont un taux d’insécurité alimentaire encore plus élevé, et les femmes sont davantage touchées que les hommes.
     
    Le Conseil des académies canadiennes se présente comme un organisme « indépendant à but non lucratif ». Il produit « des évaluations scientifiques indépendantes qui alimentent l’élaboration de politiques publiques au Canada ». Les chercheurs contribuent bénévolement à ses enquêtes.

     

     

  3. Texte de mon collègue Robert Moreau
     
    Vous savez ce qui peut être le plus difficile à endurer pour un enseignant d’histoire, c’est de constater que l’histoire se répète inlassablement. Le débat des chefs d’hier soir à TVA (qui à mon avis n’était pas du tout un débat mais plutôt un vulgaire combat d’image et de propos aérés où les idées étaient absentes) j’ai pu voir réapparaître les mêmes arguments et complexes d’infériorité qui paralysaient  les Québécois dans les années 1950 : le syndrome du colonisé.
     
    La principale anecdote du débat qui illustre bien ce syndrome est lorsque Philippe Couillard expliquait l’importance du bilinguisme en utilisant l’exemple de l’ouvrier en usine qui doit absolument parler l’anglais au cas où un investisseur des États-Unis ou du Royaume-Uni ait des questions à lui poser.
     
    C’est comme si le fait de parler français était une maladie, un handicape, une honte épouvantable dans ce monde où la « bisness » se passe « in english ».  Je pose la question à tous les Couillard de ce monde : Est-ce que les ouvriers allemands ont ce même complexe en Allemagne ?  Et les ouvriers italiens en Italie ? Bien sur que  non, puisqu’il s’agit de pays indépendants où leur affirmation nationale est établie depuis longtemps.
     
    En écoutant Couillard utiliser cet argument méprisant, je réentendais la voix de ma mère me raconter ce qu’elle a vécu à l’époque, lorsqu’elle travaillait comme préposée téléphoniste à la Boutique Morgan. Après avoir entendu ma mère et ses collègues parler entre eux en français, le propriétaire anglophone a dit ceci : « English should be spoken in this store. If I hear another word of French, you are fired »  - Rue Sainte-Catherine, Montréal, Québec, 1957.
     
    Pourquoi, encore aujourd’hui, il y a des Québécois comme Couillard qui trouvent honteux le fait d’imposer et de protéger la langue française au Québec ? Oui, il est fondamental de maîtriser plus d’une langue. Mais si j’apprends une autre langue, c’est pour pouvoir communiquer et échanger avec d’autre nation. Ce n’est surtout pas pour cacher ma propre langue car elle n’est malheureusement pas celle de la « bisness ». L’ouvrier québécois n’a pas à avoir honte de répondre à l’investisseur des États-Unis en français, car il est chez lui.
  4. Tout chaud d'aujourd'hui. 
    Je vous conseil de regarder les deux vidéo. Cela me fait bien rire quand le présentateur dit des plus sérieusement et avec fierté du scoop que le ministre fédéral se dit surpris des constatations fait par les journalistes... 
     

    http://tvanouvelles.ca/video/3404417683001/la-contrebande-de-tabac-reprend-de-plus-belle-explications-17h/

    http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2014/03/20140328-164922.html

  5.  

    Pour dire que notre cadre financier 2014-2018 qui comprend l'indépendance est homologué par l'ordre des économistes du Québec. Même les fédéralistes en sont surpris. Nous avons entre-autre brisé le fameux argument qu'un Québec indépendant ferait faillite. 

    Aussi, un bon résumé de notre parti et de la campagne en cours de la part du Devoir

    http://m.ledevoir.com/societe/education/403987/la-galere-d-option-nationale

     

    Option nationale a tous les maux des petits partis qui démarrent : il manque de tout. De ressources humaines — le parti compte cinq employés, neuf en campagne électorale —, de moyens financiers — la majorité des candidats ont des budgets de campagne de quelques centaines de dollars, contre 40 000 $ pour les grands partis — et d’attention médiatique. « Surtout des médias nationaux », constate avec dépit M. Zanetti.
     
    Et quand on galère, la solidarité prend tout son sens. Pour aider une candidate dans Ungava qui avait besoin de l’original d’une lettre d’accréditation du chef d’ON approuvée par le DGE la veille de la remise de son dossier au directeur de scrutin, un membre a fait la route de Québec jusqu’à Roberval, puis un autre a pris là le relais pour emmener la précieuse missive jusqu’à Chibougamau, en pleine nuit et en pleine tempête. « C’est comme ça chez nous », laisse tomber M. Dubois.

     

     

     

     

  6. Les libéraux en ont fait à l'époque une ''campagne de peur' avec les référendum d'initiative populaire, en disant que 25 000 péquistes se mettrait ensemble et hop référendum pour l'indépendance. Nous on en a bien rie, trouver 25000 péquistes qui veulent faire indépendances sans que le parti dise oui est une chose, mais c'est sur que le gars qui part la pétition se fera acheté, intimidé, ostracisé, etc.

  7. Les référendums d'initiative populaire. Oui je m'en rappel. C'était une proposition de la campagne 2012 en fin de grève étudiante. Tu l'aura bien comprit, c'était juste pour amadouer la gauche étudiantes. 
    Mais c'était un bon projet. 25 000 personnes signe une pétition et hop, un référendum sur le sujet. Bien pour un PQ en opposition, trop démocratique pour le PQ au pouvoir. Y vont nous ressortir l'idée à la prochaine campagne qu'ils feront quand ils seront à l'opposition. 

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  8. Il y a des libéraux autonomistes, mais ils sont très mais très minoritaire. Souvent ils se font accusé par les fédéralistes raicaux majoritaire au PLQ d'être des indépendantistes déguisé. J'en connais un justement...

    Les sondages montre que le PLQ et PQ sont à égalité mais non majoritaire. Mais ici avec le système de parlementarisme britanniques, tu peut être majoritaire avec 30% des voies et que voté autrement que la majorité sert a rien à certain endroit. C'est surtout le cas du PLQ ou il y a des circonscriptions qui récolte bon an mal an 85% PLQ, surtout les zones anglo vivant dans la peur du francophone. Nous avons comme blague chez les indépendantistes que le PLQ pourrait présenté un porc avec un drapeau du canada peinturé dessus qu'ils voteront pareil pour. Un mort pourrais se présenté la-bas qu'il serait élu (c'est arrivé...)

  9. Résumé de notre cadre financier de l'accès vers l'indépendance.

    http://optionnationale.org/contenu/ON_CF_2014.pdf

     

    http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/03/26/option-nationale--lindependance-du-quebec-serait-plus-avantageuse-financierement_n_5037034.html

     

    Élections 2014 - Option nationale : l'indépendance du Québec serait plus avantageuse financièrement

    Option nationale compte réaliser l'indépendance du Québec dans un premier mandat, autour de la troisième année, le temps de rédiger la constitution.
     
    Selon ses calculs, même en prenant à sa charge 18,2 pour cent de la dette fédérale, même en établissant la gratuité scolaire, et même sans accroître le fardeau fiscal des Québécois, un Québec indépendant parviendrait à dégager un excédent de 1,08 milliard $ dès la première année après son indépendance.
     
    M. Zanetti affirme que le Québec pourrait réaliser maintes économies en éliminant les dédoublements et chevauchements avec le gouvernement fédéral et en récupérant sa part de certains investissements du gouvernement fédéral, dans les sables bitumineux, par exemple. Selon lui, une somme de 375 millions $ pourrait être économisée seulement grâce au rapport d'impôt unique.

     

  10. Fraude électorale dans cette élection, oui ou non?

     

    http://jflisee.org/fraude-electorale-les-raisons-de-linquietude/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook

     

    Soyons clairs: le droit de vote est sacré et tous ceux qui ont le droit de voter doivent pouvoir le faire.
     
    Soyons clairs: le passé électoral récent du Québec est jalonné de comportements immoraux et/ou illégaux des fédéralistes en période électorale.

     

     

    Un commentaire plein de sens...

    J’ai été bénévole pour le Bloc Québécois au CHSLD Jean de la Lande (comté de Mercier/Gilles Duceppe) dans l’est du Plateau. Plusieurs (dizaines) jeunes étudiants anglophones (ontariens ou québécois) arrivaient avec leur bail pour s’inscrire le jour même du vote et on les inscrivait. J’ai dénoncé cette situation au représentant du parti et au dge au téléphone mais personne n’a bougé. Ils ont tous voté. Deux copies de bail coûtent 2$ chez Jean-Coutu. Faire un bail ne demande pas beaucoup d’imagination et semble faire passer des causes. Aucun Club Vidéo n’accepterait un bail comme preuve de résidence. Au fédéral, ils ont tous voté et ce qui se passe présentement au dge ressemblent étrangement a un film déjà joué.

     

     

     

     

    C'est arrivé en 95, 50 000 personnes ont débarqué au Québec la veille du référendum, dépense payer par le fédéral... Et ils ont voté. La population électorale de Westmount avait drôlement augmenté cette année la... 

    Au final, comme les fraudes électorales sont juger en dernière instance par la cour suprême du canada... Et qu'ils n'ont jamais voulu entendre la cause... Sous prétexte que le DGEQ et le DGE n'avait rien trouvé de mal à cela. 

  11. http://m.ledevoir.com/politique/quebec/403396/economie-le-quebec-a-les-capacites-de-l-independance-croit-couillard

     

    Roberval — Un Québec indépendant aurait les moyens de survivre économiquement, estime Philippe Couillard. Celui-ci pense néanmoins que la souveraineté amènerait au moins 10 ans de «turbulences». 
     
    «Oui, bien sûr que le Québec a les capacités» de survivre financièrement à la séparation, a répondu le chef libéral samedi matin. La veille, il avait donné l'impression du contraire, en disant ne «pas comprendre que quelqu’un qui s’estime compétent en économie [comme Pierre Karl Péladeau] recommande la séparation du Québec du Canada et la disparition de 9 milliards en péréquation. Ça me semble un calcul assez simple qu’on pourrait lui adresser.»
     
    Samedi, il a dit que le Québec pourrait se passer de cet argent (et du total de 16 milliards que le fédéral dépense de plus qu'il ne perçoit), mais «très difficilement». «Souvenez-vous de Mme Marois qui parlait de cinq ans de perturbations. Je la trouve très optimiste; si on ajoute l'inflation, on doit être rendu à 10 ans. Alors c'est des années de perturbations majeures dans les services publics», estime-t-il. 
     
    S'il nuance l'ampleur de ces perturbations — «ne soyons pas dramatiques, il ne s'agit pas de survie, mais de difficultés majeures» —, Philippe Couillard se demande pourquoi les Québécois devraient choisir l'indépendance. «Si on était opprimés et humiliés, dans une situation dramatique, on pourrait prendre collectivement la décision de se passer de tout ça [l'argent du fédéral]. Mais on est un peuple libre, heureux et en prospérité.»
     
    À son avis, «l'appartenance à la fédération est un des meilleurs leviers de développement que le Québec possède». 
     
    En disant que le Québec aurait les moyens d'assumer l'indépendance, Philippe Couillard rejoint la position exprimée par Jean Charest en 2006 lors d'une entrevue à TV5. «Personne ne remet en question la capacité du Québec financièrement, avait-il dit. Sauf que la vraie question est la suivante: qu’est-ce qui est dans notre intérêt à nous?»

     

     

    Voici des données importante au sujet de la péréquation
    http://www.infosuroit.com/le-mythe-de-la-perequation/

     

    M. Legault (aujourd'hui chef de la CAQ (Fédéralisme modéré, droite) lorsqu'il était le spécialiste économique du PQ) aime bien parler de coupure, en 2005 il démontra que la meilleure coupure est de coupé le fédéral. Au lendemain de l'indépendance, notre budget augmenterais de 5 milliards par année pour atteindre 17 milliards par année au bout de cinq ans. Cela sans aucune autre intervention. Ajoutons 1.3 milliards avec la création de Pharma-Québec et 3.6 milliards avec la nationalisation des ressources naturelle progressive (proposition d'ON) 

    http://www.vigile.net/archives/plan/qs-finances.html

     

    Voici un vidéo explicatif.

     

    Voici les arguments économique de notre ancien chef d'ON.

     

    Voici ce qu'en dit le spécialiste économique du PI (Indépendantiste radicaux, extrême-droite)

     

  12. Premièrement, il ne faut pas dire indien mais amérindien. Très important. (Au risque de se faire traité de raciste ici par un gogauche bien pensant ou les associations ethnique amérindienne)

     

    Secondo, c'est dommage de n'avoir pas vue dans ce fil la mention de la loi sur les indiens de 1876 qui régis la vie des amérindiens. (Vous ne rêvez pas... 1876)

    http://laws-lois.justice.gc.ca/fra/lois/I-5/

    Elle fait entre-autre qu'un ''indien de réserve'' sera toujours mineur. 
    C'est le conseil de bande qui, en temps que seul interlocuteur politique des ''indiens''

    Ils n'ont pas le droit de ''sortir de la terre de réserve'' mais une minière oui. Une minière peut même extraire de l'uranium à 100m du village sans que sois consulté la communauté. 
     

    Tertio, en dehors de certaine tribu (mohawk, huron, cree) dont les réserves sont l'équivalent de pays en voie de développement, les autres sont carrément du tiers-monde. Pas de route, vivre à 20 dans des cabane délabré dont ils arrachent les planches pour les faire brûlé, ni eau courante, ni électricité. Je ne parle même pas de l'éducation... Mais les membres de leurs conseil de bande ''réélu'' par la forces des armes ont des salaires de millions par année. Comme dit mes voisins amérindien (je vie en abitibi) qui vivent au sous-sol de chez moi: Faut faire sauté le conseil de bande... 

    Tout les amérindiens vivant en réserve au Québec ont droit à une aide sociale de 2000 cad$ par mois. C'est plus que ce que fera un travailleur au salaire minimum. Comment voulez-vous qu'ils veulent travaillé? Alors ils passe leurs journée en bande déambulante dans la ville d'à coté (la vente d'alcool est interdite dans les réserves) à boire et tout saccager. Mais il y en a qui veulent s'en sortir. Sortir du cycle de la violence, drogue, viol incestueux. 
    J'ai un amis qui à fait de la mission de souveraineté dans le grand nord canadien. Il s'est cramponné à deux main sur sa C7 pour ne pas entré dans chaque maison pour faire le ménage lors d'une patrouille de nuit. Chaque maison qu'il passait devant, il entendait les petites fille crier, pleuré, des bruits de viols...

    Voici une mini-série documentaire très intéressante sur les amérindiens qui veulent s'en sortir et les conditions de vie des autres.

    http://www.youtube.com/watch?v=vAVVW8qhMSE

     

    http://www.youtube.com/watch?v=FFFBR5P4hZY

     

    http://www.youtube.com/watch?v=iZ-sGJ0ACKg

     

    http://www.youtube.com/watch?v=YB0JQmqIoR4 

  13. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/403378/l-inscription-de-nouveaux-electeurs-seme-le-doute-dans-des-bureaux-de-scrutin-montrealais

     

    Des directeurs de scrutin de la région de Montréal sont préoccupés par le flot « inquiétant » et « anormal » de personnes tentant depuis une semaine d’obtenir le droit de vote aux élections du 7 avril, a appris Le Devoir.

     

     

     

    Dates d’arrivée au Québec invérifiables, « preuves » de résidence dont on ne peut attester la véracité : plutôt que de continuer à octroyer aveuglément le droit de vote à des électeurs, M. Vandal a préféré démissionner.
     
    « C’est comme si l’Aéroport international Trudeau était grand ouvert et qu’on distribuait les visas gratuitement à ceux qui passent, sans poser de questions », illustre M. Vandal.
     
    Il n’est pas le seul à témoigner du caractère inhabituel de la situation.

     

     

     

    « Au référendum de 1995, il y a eu beaucoup d’affaires comme cela, a ajouté M. Dion. Mais on ne dit pas que c’est comparable au référendum. »

     

  14. effectivement ,s'est encore "frais" tout sa .

     

    pour le ressentit ,tu voulais parlé de Dieppe  ;)

     

    En effet, c'est corrigé  :lol: 

    Pour l'armée canadienne, je peux cité sur le coup Dallaire lui même, Morisset, dernier survivant des 16 premiers membres de la Deuxième forces opérationnelle interarmées (JTF2) et mon mentor, JRM Sauvé (Conseillé militaire privé de Lévesque et l'homme qui fut derrière la sortie de 6 plans d'invasion du Québec par l'armée canadienne dont le fameux Neat Pitch ainsi que le détournement d'un exercice commun qui créa un froid diplomatique entre le canada et la Norvège.

    Kingston est un centre de formation des FC basé dans un bastions orangiste (Une sorte de KKK canadien (WASP white anglo-saxon protestant), faire recherche sur les loges d'orange) 

    Heureusement, le racisme n'est plus généralisé, mais il arrive encore que certain militaire se voie toute porte fermé et discriminé à cause d'un supérieur raciste. 

  15. Ce n'était pas une question de libéré la France mais un refus de servir l'Angleterre. Une Angleterre impériale qui réclamait toujours plus de soldat de ses colonies pour ses guerres coloniales et le traitement par l'Angleterre des troupes canadienne-française lors de la première guerre mondiale. Il faut aussi se souvenir qu'avant les années 70 et les réformes de Dallaire, l'armée royale canadienne était unilingue anglophone, le français interdit et elle était largement raciste (particulièrement les officiers). Les francophone avant conscription était souvent intégré dans des unités anglophones. Ensuite il y a eu Dieppe qui nous laissa un fort ressentiment. Le sentiment général au Québec était que nous étions que de la chaire à canon. Ce qui n'est pas faux à l'époque. 

    Encore aujourd'hui, un passage à Kingston peut être difficile pour un francophone et il reste encore malheureusement un certain racisme dans l'armé canadienne moderne. 

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