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Remzou 2.0

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Messages posté(e)s par Remzou 2.0

  1. "Quand on sait que la rénovation de nos P4 coûte 27 000 euros pièce, je me demande s’il ne serait pas plus judicieux de ferrailler ce parc et, pour le même prix, d’acheter d’autres matériels". Général Bosser

  2. D’ici à 2019, l’armée est au régime sec. Le ministère de la Défense a annoncé mercredi 34 000 suppressions de postes dans le cadre de la Loi de programmation militaire. Des régiments vont être dissous, des casernes fermées.

    Mais certaines entités vont tirer profit de cette nouvelle concentration des moyens. C’est le cas de la base aérienne 105 d’Évreux. Avec la disparition de la plateforme aéronautique de la base aérienne 110 de Creil (Oise) à l’horizon 2016, la capitale de l’Eure va voir gonfler ses effectifs - lire nos éditions d’hier.

    Au total, 250 militaires en plus et 18 Casa, des avions capables de transporter des troupes et du matériel, vont être transférés de l’Oise vers la BA 105 d’Évreux d’ici à l’été 2016. Les autres aéronefs de la base de Creil équiperont les forces de souveraineté stationnées dans les départements d’outre-mer.

    Fin du Transall en 2023

    En attendant, l’annonce de ce renfort est bienvenue. « C’est une excellente nouvelle : Évreux est le seul site de l’armée de l’air à avoir un mouvement entrant des entités navigantes. C’est le signe fort que la base est pérenne, avec le maintien des activités aéronautiques de transport », s’est réjoui hier, le colonel Fabrice Feola, le commandant de la BA 105. « La base possède le foncier pour accueillir les avions et les équipages. Il y aura des travaux d’adaptation des structures à programmer dans des délais assez courts », poursuit le commandant. Notamment une surface couverte pour la maintenance des avions. Mais la baisse progressive de la flotte de Transall (15 appareils en 2020, contre une trentaine actuellement) devrait permettre de gagner petit à petit, un peu de place. En 2023, ce sera la fin programmée du Transall. Entraînant la réduction progressive du nombre de mécaniciens et de techniciens chargés de la maintenance de cet avion emblématique. Dans une logique de rationalisation des différentes unités de la base d’Évreux, 250 postes sont supprimés entre 2014 et 2015. Mais elle va en gagner autant, dans le même laps de temps. Avant de dire adieu à ses avions emblématiques, la base d’Évreux sera, pour l’armée de l’air, « le pôle cargo léger-moyen avec le Transall et le Casa, Orléans (41), le pôle tactique lourd avec l’A 400 M, et Istres (13), le pôle cargo stratégique ».

    En revanche, l’arrivée de deux Mirage dédiés à la surveillance de l’Oise et de l’Est parisien n’est pas du tout à l’ordre du jour sur le tarmac ébroïcien. Pas plus que le nouvel escadron de transports, les avions Hercules, plus puissants et plus rapides que les Transall d’Évreux. « Ce n’est plus d’actualité à moyen terme, la réflexion n’est pas aboutie », conclut le colonel Feola.

     

     

    http://www.paris-normandie.fr/detail_article/articles/1676835/bouffee-d-air-pour-la-base#.VEtldFpOLIW

  3. Oui mais il y a clairement des difficultés à acquérir du renseignement et à identifier des cibles : il restait des bombes sous les ailes à la fin.

     

    Un Mica par avion, aujourd'hui et canon chargé.

     

    JMT en a parlé dans son blog, au départ toutes les bombes devaient être tirées sur cette cible mais finalement c'était too much, celle qui ont été lancés ont suffit. :)

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