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Lorimar

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À propos de Lorimar

  • Date de naissance 06/06/1985

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  • Gender
    Male
  • Location
    Genève
  • Interests
    Histoire militaire, géopolitique, défense, stratégie, espionnage
  • Pays
    Switzerland

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  1. Merci pour ta réponse et pour le lien ! Avec le middle power, il y a l'idée d'avoir plusieurs cordes à son arc et de varier les moyens utilisés. Au Yémen, la position de la France pouvait apparaître ambiguë avec la livraison d'armes et si Paris essaie d'apparaître comme le pays des droits de l'Homme, il a pu faire sauter le Rainbow Warrior en 1985. Après, tu as peut-être raison de "globalement classer" un pays dans une catégorie. Bonne fin de journée
  2. Bonjour à tous, J'étais habitué à la grille de lecture soft / hard power, mais une vidéo m'a fait découvrir la middle approach : https://youtu.be/T79C-vuoPKI Qu'est-ce que vous pensez de cette idée d'un "entre-deux" ou d'une "zone grise", pertinent ou pas ? A l'heure où la France évacue le Mali, tout en ayant un "soft power qui se raconte de plus en plus au passé", peut-être que la middle approach est à prendre en compte. Merci d'avance pour vos réponses, Bonne continuation
  3. Merci pour ta réponse rapide et précise ! Le gars de la vidéo retenait plutôt la version soviétique interprétée par J Lopez et Benoît Bihan. Concernant l'OTAN, ils parlent d'approche multi-domaines, mais ça me semble encore incomplet et fragile. Une dernière chose sur l'opératique, un détail me dérange encore : >> Quand on regarde les exemples historiques souvent cités (offensive des Cent-Jours, Bagration, Vistule-Oder, plan Challe, Mandchourie, guerre du Golfe, ....) on ne voit que des praticiens de l'opératique en situation de nette supériorité (qualitative et/ou quantitative). La campagne de France de 1940 semble être une exception. N'est-ce pas un point dérangeant ? Merci d'avance pour ton éclairage Bye
  4. Bonjour à tous, J'ai récemment vu cette vidéo : Son auteur évoque à la fin une "opératique du XXIème siècle" qui combinerait diverses actions tactiques violentes avec des actions basiques non-militaires (ex, dans le cyber, la propagande, la diplomatie, l'économie, le renseignement ...). A-t-il raison de combiner ainsi opératique et approche globale ? Est-ce que ceci ne pervertit pas le concept de base ? Merci d'avance pour votre éclairage :)
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