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Oberoth

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Messages posté(e)s par Oberoth

  1. Les US suivent :

    Le président des Etats-Unis Barack Obama a renouvelé sa mise en garde au colonel Mouammar Kadhafi, l'exhortant à quitter le pouvoir, avant une rencontre prévue entre sa secrétaire d'Etat Hillary Clinton et des représentants de l'opposition libyenne à Paris. "M. Kadhafi a perdu sa légitimité et il faut qu'il parte", a déclaré M. Obama, qui recevait dans le Bureau ovale de la Maison Blanche le Premier ministre Danois Lars Lokke Rasmussen.

  2. On envoie tout se qu'on a au large

    -Porte-avions Charles de Gaulle avec 15 Rafale M, 10 Super-Étendard Modernisé, 2 E-2C Hawkeye, 5 hélicos

    -Mistral avec 10 hélicos

    -Tonnerre avec 10 hélicos

    -Foudre avec 4 hélicos

    -Siroco avec 4 hélicos

    -Forbin

    -Cassard

    -George Leygues

    -La Fayette

    -Rubis

    -Var

    A Matle, Crete, Sicile et Tchad :

    -30 Rafale

    -30 Mirage 2000

    -15 Mirage F1

    -2 E-3 Sentry

    -Une vingtaine d'hélico en tout genre au cas ou.

    Ca suffirait largement mais c'est pas possible.  :'( J'imagine déjà tout se petit monde en action  :-\ Puis au pire les Eurofighter, Tornado et E-3 de la RAF débarquent en renfort.

  3. J'ai une petite question, quelle est la RCS moyenne d'un drone (n'importe lequel) ? Car à chaque fois j'entends parler d'envoyer des drones mais sont ils aussi "visibles" et "vulnérables" aux chasseurs pilotés face aux défenses aérienne ? Je veux dire par là qu'un Patriot ou un S-300 ect...pourra t'il intercepté un drone aussi bien qu'il pourrait intercepté un F-16/F-15/Su-27 and co ? Ou alors le drone est vraiment plus discret ?

  4. L'équipage d'un porte-avions Américain dans le coin aurait été "touché" par les radiations.

    Le porte-avions USS Ronald Reagan avait déjà croisé sur son chemin des fragments radioactifs provenant des centrales de Fukushima, à 250 kilomètres au nord-est de Tokyo, selon les médias américains. Les passagers ont été exposés en une heure à la quantité maximale de radioactivité qu'ils pouvaient supporter en un mois, précise le New York Times. Aucun effet secondaire n'a pour l'instant été constaté parmi l'équipage.

  5. Il semble que les Chinois soient partit pour produire en série les destroyers 052C et les frégates 054A mais on parle déjà d'amélioration (052D et 054B). Néanmoins je penses qu'ils n'en feront pas beaucoup (des 052D et 054D) et qu'ils continueront comme ils ont déjà fait avec des petites séries de deux ou trois navires jusqu'en 2020 afin de sortir plus tard de nouveaux bâtiments qui seront aussi produit en série et qui complèteront les 052C et 054A.

    Durant cette période ils continueront à construire les 052C et 054A qui remplissent leurs besoins actuels et sont assez moderne pour ne pas se faire larguer par les produits occidentaux en combat.

  6. En tout cas tout se que je peux dire c'est que j'habite à Hyères et que y a beaucoup de mouvement sur la base aéronaval, des Tigre, des Apache Brits et des Rafale/SEM (pour les SEM j'ai des doutes c'était assez loin) ont survolés la zone toute la journée en faisant un bruit pas possible. Je sais pas si c'est une coïncidence ou pas. Les Apaches Britanniques sont là depuis 2 jours en tout cas.

  7. Un eldorado pétrolier sous le Bassin parisien

    Cela fait un demi-siècle que l’or noir est pompé dans le sous-sol du Bassin parisien. Pas moins de 2000 puits dans 52 champs identifiés produisent aux alentours de 10.000 barils par jour. C’est-à-dire 0,5% de notre consommation nationale. Si les réserves de brut conventionnelles ont déjà été exploitées, les sociétés américaines Toreador et Hess, ainsi que la filiale du canadien Vermilion fondent de grands espoirs sur les pétroles non conventionnels, en particulier les huiles de schiste. Comme les gaz du même nom qui ont déclenché un mouvement de protestation depuis le début de l’année autour des permis d’exploration délivrés à Total et Schuepbach Energy en Ardèche et en Lozère, le pétrole de schiste est piégé dans des couches de roche mère qu’il faut libérer en fracturant la roche, à grands renforts d’eau et d’adjuvants divers. Dans le Bassin parisien, ce sont les roches mères de l’époque géologique du Lias, à 2750 mètres de profondeur, qui renferment sans doute de grandes quantités de pétrole.

    Le potentiel de la région reste incertain, en témoigne la large fourchette donnée par l’Institut français du pétrole (IFP Énergies nouvelles) obtenue en compilant plusieurs études: entre 60 et 100 milliards de barils de pétrole. Soit entre 90 et 150 années de consommation actuelle de la France! Il s’agit de chiffres théoriques, à distinguer de réserves prouvées et économiquement exploitables. Mais plus le prix du baril grimpe, plus le pétrole non conventionnel, plus coûteux à extraire, devient rentable.

    Suspension des explorations

    La société Toreador, qui concentre désormais la totalité de ses activités sur la France, devrait effectuer après le 15 avril à Doue, en Seine-et-Marne, un forage de recherche, avec des techniques conventionnelles, pour mieux cartographier les réserves. Le 3 mars, le conseil municipal de Doue a toutefois voté une motion demandant de surseoir au projet d’exploration. Une manifestation réunissant entre 1500 et 2000 personnes a eu lieu samedi dernier dans la commune à l’appel du collectif Stop pétrole de schiste 77. Rattrapés par les protestations dans le Languedoc-Roussillon et en Rhône-Alpes, Toreador et Vermilion, après une rencontre avec les ministres de l’Industrie et de l’Écologie, début février, ont suspendu leurs opérations d’exploration. Les responsables ont conscience que leurs arguments - l’exploitation de pétrole de schiste consomme deux fois moins d’eau que celle de gaz et on sait recycler l’eau - sont inaudibles. Les compagnies attendent désormais les conclusions de deux missions, l’une lancée par le gouvernement, l’autre parlementaire, attendues respectivement le 31 mai et le 8 juin.

    Le Code minier en question

    La rapide réforme en janvier dernier du Code minier suscite aussi des interrogations parmi les opposants à une éventuelle exploitation qui y voient une volonté de faciliter les ambitions des compagnies pétrolières. Au ministère de l’Écologie, les services qui ont travaillé à cette modification expliquent qu’il s’agissait avant tout d’un toilettage voulu par Bruxelles afin de mettre les textes français en conformité avec le droit européen et que cette modernisation ne peut que renforcer la protection de l’environnement. Au cabinet du ministère, on est plus nuancé que dans l’administration puisqu’on souligne que la législation actuelle serait certainement insuffisante pour encadrer l’éventuelle exploitation de gaz ou d’huiles de schiste avec la technique de fracturation hydraulique. Le son de cloche est différent dans l’entourage d’Éric Besson, ministre chargé de l’Industrie et de l’Énergie: attendons les conclusions des missions en cours, explique-t-on en substance, plutôt que d’affirmer de façon péremptoire que le Code minier est insuffisant.

    Nodé-Langlois, Fabrice

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